Twitter : un jour après sa montée au capital, Elon Musk met déjà la pression
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@Pollux
La modération de Twitter appliquait la loi. La loi, c’est que les appels à la haine sont interdits, point. Il n’y a aucun favoritisme idéologique pour la gauche. Critiquer la colonisation et l’esclavage n’est pas un délit, appeler à une épuration ethnique, si. Ce n’est quand même pas la faute de la gauche si l’extrême-droite appelle à la haine. Au passage, on a même démontré que les algos des GAFAM favorisaient les appels à la haine, et donc la propagande de droite extrême.
Voir la vidéo de Lê Nguyên Huong sur le sujet :
Si les GAFAM étaient réellement neutres, la droite extrême serait donc encore plus modérée qu’elle ne l’est ! Mais c’est une constante de ce courant de se plaindre sans raison valable. Il n’y a qu’à voir comment ils contestent les résultats d’élections dont le mode de scrutin leur est pourtant favorable !
Si vous haïssez des gens qui ne vous ont rien fait, vous ne pouvez pas vous plaindre qu’on vous reproche de haïr des gens qui ne vous ont rien fait. Arrêter de les haïr plutôt. Rien ne vous y oblige.
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La haine fait vendre…l’amour non.
Les politiques de ce monde le savent et jouent sur la haine pour pouvoir passer au pouvoir (le votant naïf, croyant que c’est tous ça qui va payer son loyer, baisser ses impôts, faire revenir sa femme qui s’est barrée avec le facteur… etc etc) -
@Psyckofox a dit dans Twitter : un jour après sa montée au capital, Elon Musk met déjà la pression :
La haine fait vendre…l’amour non.
Les politiques de ce monde le savent et jouent sur la haine pour pouvoir passer au pouvoir (le votant naïf, croyant que c’est tous ça qui va payer son loyer, baisser ses impôts, faire revenir sa femme qui s’est barrée avec le facteur… etc etc)Tellement triste, et tellement vrai…
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Je ne vais pas m’appesantir sur le sujet, n’étant inscrit sur aucun RS il m’est difficile d’en parler, tout ce que je peux dire c’est que sur Twitter comme ailleurs appliquer la loi n’est nullement un gage d’impartialité.
Je suis d’accord la haine appelle la haine, mais perso je ne hais personne et je ne suis pas convaincu que la haine soit une spécificité de droite. Je suis d’ailleurs surpris de lire des “pourris” ou “pourriture” pour qualifier E Musk, je me demande ce que ces contempteurs ont à lui reprocher concrètement, parce que tout ce qui concerne sa gestion de Twitter relève pour l’instant du procès d’intention.
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Twitter plonge en plein chaos
Des employés ont été licenciés par erreur et le réseau social tente de les… réengager. En parallèle, l’abonnement à 8 dollars créé par Elon Musk fait débat. Et des comptes ont été suspendus abruptement
Article pour abonné: https://www.letemps.ch/economie/twitter-plonge-plein-chaos-trois-sources-majeures-dinquietude-se-dessinent
et https://www.letemps.ch/economie/twitter-chercherait-reengager-employes-licencies-vendredi -
Je n’ai pas dis que tous les riches étaient des pourris (même si beaucoup le sont) ni que Elon Musk faisait avancer le monde,mais que des gens comme lui,Bezos ou Zuckerberg le sont avec leur libéralisme sans limite basé sur les profits et les conséquences que ça engendre…
Par contre,ces géants de la tech ont déja changé le monde et c’est une avancée technologique mais est-ce réellement une avancée pour la société ? Quand on voit les dérives que ça a créé,on peut se poser la question.PS: Et je pense que ce genre de patron ne se soucie guère de ses employés qu’il presse comme des citrons puis s’en débarasse comme bon lui semble…
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Twitter suspend des comptes qui ont changé leur nom en «Elon Musk»
Plusieurs comptes certifiés ayant changé leur nom sur Twitter en «Elon Musk» ont été suspendus par le réseau social, récemment racheté par le milliardaire.
Des utilisateurs de Twitter aux comptes certifiés ayant changé leur nom d’utilisateur en «Elon Musk» pour se moquer du nouveau propriétaire du réseau social ont été suspendus par la plateforme. La comédienne Kathy Griffin, qui compte deux millions d’abonnés, figure parmi ces internautes. Elle avait en outre remplacé sa photo de profil par une image du milliardaire.
Le patron de Tesla, qui s’est décrit par le passé comme un «défenseur absolu de la liberté d’expression», a tweeté dimanche que «les comptes Twitter qui se font passer pour quelqu’un d’autre, sans spécifier clairement qu’il s’agit d’une parodie, seront suspendus de façon permanente».
Le compte Twitter de h3h3Productions, appartenant au youtubeur Ethan Klein, a aussi été banni alors qu’il s’affiche comme parodique. Accusé d’être impliqué personnellement dans les décisions d’interdire les comptes le ciblant, Elon Musk a répondu à un tweet signalant la suspension du compte de Kathy Griffin.
«En fait, elle a été suspendue pour s’être fait passer pour une comédienne», s’est-il moqué. L’humoriste, dont le compte n’a toujours pas été réactivé, à tout de même tenu à lui répondre par le biais du compte de sa défunte mère: «Je suis de retour d’entre les morts pour vous dire de libérer Kathy.» D’autres utilisateurs, dont l’acteur de Star Wars Mark Hamill, ont rejoint la mêlée avec le hashtag #FreeKathy (Libérez Kathy).
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Twitter part en c***** et c’est cool
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“Je viens de le supprimer”: Elon Musk fait marche arrière quelques heures après le lancement du badge “Officiel” de Twitter
Twitter avait commencé mercredi à déployer le badge “Officiel”, signalant l’authenticité et la notoriété d’un compte, et se distinguant de la coche bleue, qui remplissait ce rôle jusqu’à présent.
Mais Elon Musk souhaite intégrer la vérification des comptes dans Twitter Blue, un abonnement mensuel qui passera à 8 dollars par mois, et sera ouvert à tous, pas seulement aux organisations et célébrités.
Des comptes comme ceux de l’AFP en français, en anglais et en espagnol, celui de la députée américaine Alexandria Ocasio-Cortez, du pape François en anglais ou encore du rappeur controversé Kanye West avaient reçu le badge “Officiel” avant qu’il ne disparaisse.
Des dirigeants politiques ont reçu un badge “Officiel du gouvernement”, dont le chef de l’État français Emmanuel Macron, le président américain Joe Biden ou encore le Premier ministre britannique Rishi Sunak. Ce badge n’a pas disparu.
Twitter n’a pas donné de précisions mercredi sur les critères du badge “Officiel” mort-né.
“Beaucoup de gens se demandent comment il sera possible de faire la distinction entre les abonnés @TwitterBlue avec des labels bleus et les comptes vérifiés comme officiels”, avait tweeté Mme Crawford.
“C’est pourquoi nous introduisons le label ‘Officiel’ pour certains comptes lors de notre lancement”, avait-elle ajouté.
Une initiative écartée à peine quelques heures plus tard par Elon Musk.
“Le standardiste de la hotline de Twitter est en ligne! Merci de mentionner vos plaintes ci-dessous”, a-t-il tweeté, avant d’ajouter : “Merci de noter que Twitter va faire beaucoup de choses bêtes dans les mois qui viennent. Nous garderons ce qui marche et changerons ce qui ne marche pas”.
Depuis ce weekend, sur les iPhone, l’application mobile de Twitter mentionne déjà l’arrivée du nouveau Twitter Blue, en ces termes: “Pouvoir au peuple: Votre compte recevra une coche bleue, tout comme les célébrités, les entreprises et les politiciens que vous suivez déjà”.
Mais la nouvelle formule, qui mélange outils pratiques et vérification de l’identité, suscite de nombreuses interrogations et critiques, beaucoup d’utilisateurs et d’observateurs craignant que ce système ne dévalorise le gage d’authenticité que la coche bleue était censée représenter.
“La vérification étendue à tous va démocratiser le journalisme et donner plus de pouvoir au peuple”, a insisté Elon Musk dimanche.
Il assure aussi que Twitter Blue va permettre de lutter contre les faux comptes et diversifier les sources de revenus de la plateforme, alors que plusieurs annonceurs se sont temporairement retirés de Twitter juste après l’acquisition.
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Les responsables quittent le navire, les autorités s’inquiètent
L’acquisition tumultueuse de Twitter par Elon Musk a continué de faire des remous jeudi. Des hauts responsables du réseau social ont démissionné et l’agence américaine de la concurrence (FTC) a émis un rare avertissement.
«Nous suivons les récents développements chez Twitter avec beaucoup d’inquiétude. Aucun directeur général ou entreprise n’est au-dessus de la loi», a déclaré un porte-parole de la FTC. Il a rappelé que la plateforme doit respecter certaines règles selon les termes d’un accord passé avec l’agence sur la sécurité et la confidentialité des données.
L’accord en question, révisé cette année, «nous donne de nouveaux outils pour nous assurer qu’il est respecté, et nous sommes prêts à les utiliser», a ajouté le porte-parole, en référence aux amendes conséquentes que la FTC pourrait infliger. Or de nombreux employés au fait de ces régulations ne sont plus chez Twitter.
Le patron de Tesla et SpaceX a licencié la moitié des 7500 salariés de l’entreprise californienne il y a une semaine, dix jours après l’avoir rachetée et en être devenu le seul maître à bord. Des centaines de personnes étaient déjà parties cet été, et les démissions de cadres ont continué la semaine dernière.
Jeudi, Lea Kissner, responsable de la sécurité, a annoncé son départ dans un tweet: «J’ai pris la décision difficile de quitter Twitter. J’ai eu l’opportunité de travailler avec des gens formidables et je ressens beaucoup de fierté pour le travail que nous avons accompli avec les différentes équipes de la confidentialité des données, de la sécurité et de l’informatique».
D’autres directeurs ont aussi fait leurs adieux d’après le Washington Post, dont les responsables de la confidentialité des données et de la conformité avec les lois et régulations. Elon Musk inquiète de nombreuses autorités, annonceurs, associations de défense des minorités et utilisateurs.
Il a tenté à plusieurs reprises de rassurer tout le monde en rappelant que la modération des contenus, garde-fou contre les abus sur la plateforme, n’avait pas changé. Mais ses décisions mises en place dans la précipitation et ses provocations sur Twitter suscitent des controverses quotidiennes depuis deux semaines.
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Nouvelle vague de démission en masse après l’ultimatum d’Elon Musk, l’infrastructure du réseau menacée
Twitter joue sa survie. Des centaines de salariés – et peut-être davantage – ont démissionné, jeudi, au lendemain d’un ultimatum d’Elon Musk qui avait demandé aux employés rescapés de la première vague de licenciements de choisir entre se donner « à fond, inconditionnellement », et partir. La moitié des 7.500 employés du groupe avaient déjà été licenciés il y a deux semaines par le multimilliardaire.
Selon les médias spécialisés, de nombreux ingénieurs ont claqué la porte, y compris certains qui s’occupaient d’outils critiques pour l’infrastructure du réseau, qui pourrait donc subir de graves turbulences dans les prochains jours. Pour ajouter à la confusion, le QG de l’entreprise a été bouclé jusqu’à lundi, le temps que la situation se clarifie.
Mercredi, Elon Musk, qui a racheté Twitter pour 44 milliards de dollars il y a trois semaines, avait demandé individuellement aux employés du réseau social un engagement « hardcore » à « travailler de longues heures à haute intensité pour bâtir un Twitter 2.0 révolutionnaire et réussir dans un monde de plus en plus concurrentiel ».
« Seule une performance exceptionnelle vaudra une note suffisante », a-t-il précisé dans ce courrier interne consulté par l’AFP. Les salariés avaient jusqu’à jeudi après-midi pour cliquer sur la case « oui », sous peine de devoir quitter Twitter avec une indemnité correspondant à trois mois de salaire. Un management vivement dénoncé, particulièrement car de nombreux employés étrangers ne peuvent pas rester aux Etats-Unis sans visa.
Selon The Verge, des centaines d’employés, et peut-être jusqu’à 1.000 – mais on ne sait pas s’ils partiront bien tous – n’ont pas coché la case « oui ». Sur le Slack interne de l’entreprise, de nombreux salariés ont annoncé leur départ avec l’emoji d’un salut militaire.
D’après Zoë Schiffer, journaliste du média spécialisé Platformer, Twitter a prévenu jeudi après-midi tous les employés que les bureaux étaient temporairement fermés et inaccessibles, même avec un badge.
Selon The Verge, des équipes « critiques » ont démissionné, notamment celle qui maintenait les librairies systèmes qu’utilisent tous les ingénieurs de Twitter. « Vous ne pouvez pas faire tourner Twitter sans cette équipe », a confié au site un employé, sous couvert d’anonymat.
Selon le New York Times, Elon Musk a dépêché ces dernières semaines des ingénieurs de Tesla, mais ils auront besoin de temps pour se familiariser avec Twitter et son code informatique. En attendant, le site peut continuer en autopilote, mais tout problème inattendu risque de provoquer une panne qu’il pourrait être difficile de régler.
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@duJambon
En complément de cet article :
Elon Musk lance un ultimatum délirant à tous les employés de Twitter
https://parismatch.be/actualites/societe/602270/elon-musk-lance-un-ultimatum-delirant-a-tous-les-employes-de-twitter -
Le destin de Twitter en question après l’ultimatum d’Elon Musk
L’avenir de Twitter semble incertain vendredi, après que de nombreux ingénieurs de l’influent réseau social ont pris Elon Musk au mot, et annoncé leur départ plutôt que de rester pour se donner «à fond, inconditionnellement».
Selon d’anciens salariés et plusieurs médias américains, des centaines d’employés ont répondu «non» à l’ultimatum du nouveau propriétaire et patron, qui leur avait donné le choix entre travailler sans relâche «pour bâtir un Twitter 2.0 révolutionnaire» ou partir avec trois mois de salaire.
La moitié des 7.500 employés du groupe californien ont déjà été licenciés il y a deux semaines par le multimilliardaire, et quelque 700 salariés avaient déjà démissionné pendant l’été, avant même d’être sûrs que l’acquisition aurait lieu.
«Mes amis sont partis, la vision est brouillée, une tempête arrive et il n’y a pas d’incitation financière. Que feriez-vous? Est-ce que vous sacrifieriez votre temps avec vos enfants pendant les vacances pour de vagues promesses et (pour) rendre une personne riche encore plus riche?», a résumé Peter Clowes, ingénieur informatique et directeur chez Twitter et «survivant des licenciements», d’après son profil Linkedin.
Comme de nombreux autres salariés du groupe californien, il a détaillé ses hésitations et les raisons de son choix, expliquant qu’il ne «haïssait pas Elon Musk», qu’il comprenait certaines des décisions du patron et voulait «voir Twitter réussir».
Mais il ne reste selon lui que «trois ingénieurs sur les 75» de son équipe. «Si j’étais resté, j’aurais été de permanence quasi constamment, avec très peu de soutien pour une durée indéterminée sur des systèmes informatiques complexes dans lesquels je n’ai pas d’expérience», note-t-il.
En outre, «aucune vision n’a été partagée avec nous. Pas de plan sur cinq ans comme chez Tesla. (…) C’est un pur test de loyauté», détaille-t-il.
Jeudi soir, des messages anti-Elon Musk ont été projetés sur la façade du siège de l’entreprise à San Francisco, juste à côté du logo, dont «Elon Musk, ferme-la», «Stop au Twitter toxique» ou «En avant vers la faillite», d’après des photos de Gia Vang, une journaliste de l’antenne locale de la chaîne NBC.
Des dizaines d’employés actuels et surtout passés se sont retrouvés jeudi soir dans un «Spaces», les salons audio de la plateforme, pour se soutenir et raconter des souvenirs.
Des salariés qui ont choisi de rester, ont évoqué leur attachement indéfectible au réseau social et leur désir de le voir survivre et même renaître.
«Bravo à tous les travailleurs de Twitter. Vous avez bâti un lieu de connexion vital et vous méritiez tellement mieux. (…) Merci», a pour sa part tweeté l’élue démocrate Alexandria Ocasio-Cortez, tout en indiquant où la trouver sur d’autres plateformes, si jamais c’était la fin du réseau des gazouillis.
D’autres élus et régulateurs ont réagi, inquiets notamment à l’idée que la capacité du service à modérer les contenus soit compromise.
Des sénateurs américains ont averti que les plans d’Elon Musk «sapent l’intégrité et la sécurité de la plateforme».
Le multimilliardaire «ne pourra pas faire ce qu’il veut" en Europe, a martelé Thierry Breton, le commissaire européen au Marché intérieur, sur franceinfo vendredi.
«Il connaît quelles sont les conditions pour continuer à opérer Twitter en Europe», a-t-il ajouté, insistant sur la nécessité de recruter plus de modérateurs au lieu de licencier.
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Elon Musk s’en va-t-en guerre contre Apple
Elon Musk, propriétaire de Twitter depuis un mois, a déclaré la «guerre» à Apple lundi, après avoir déjà mis le réseau social dans une position périlleuse en s’aliénant annonceurs, (ex) employés et régulateurs. Le tempétueux milliardaire a assuré qu’Apple «menaçait» de retirer le réseau social de son magasin d’applications, incontournable sur les iPhone.
«Apple a menacé de retirer Twitter de son App Store, mais ils refusent de nous dire pourquoi», a déclaré le patron de Twitter, après une série de tweets accusant la marque à la pomme de censure et d’abus de position dominante.
«Apple a essentiellement arrêté de faire de la publicité sur Twitter. Est-ce qu’ils détestent la liberté d’expression en Amérique?» a-t-il notamment lancé, avant d’interpeller le dirigeant du groupe californien en ces termes: «Qu’est-ce qui se passe Tim Cook?».
«Est-ce qu’Apple menace la disponibilité de Twitter sur l’App Store ou formule des exigences en matière de modération des contenus?» a demandé un internaute à Elon Musk, qui a répondu «oui». Apple n’a pas immédiatement répondu à une sollicitation de l’AFP.
Elon Musk a lui publié un meme (image parodique) représentant une voiture baptisée «Elon» qui prend une sortie d’autoroute en direction de «déclarer la guerre», au lieu de continuer tout droit vers «payer 30%», la commission d’Apple sur les dépenses des utilisateurs effectuées via l’App Store.
Le patron de Tesla prône un relâchement de la modération des contenus sur le réseau social, en accord avec sa vision absolutiste de la liberté d’expression. Il a récemment fait rétablir le compte de Donald Trump et d’autres personnalités bannies après avoir enfreint les règles. Son approche fait peur à de nombreuses marques, de General Motors à Pfizer, qui ont suspendu leurs publicités sur la plateforme.
Or le chiffre d’affaires de Twitter dépend à 90% des recettes publicitaires. D’après le «Washington Post», au premier trimestre cette année, Apple était le principal annonceur sur le réseau, avec 48 millions de dollars de dépenses, soit plus de 4% du chiffre d’affaires trimestriel.
Source et plus: https://www.tdg.ch/dapres-elon-musk-apple-menace-de-retirer-twitter-de-lapp-store-954362563856
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Ils n’ont pas dû apprécier ça non plus:
@duJambon a dit dans Twitter : un jour après sa montée au capital, Elon Musk met déjà la pression :
Elon Musk a lui publié un meme (image parodique) représentant une voiture baptisée «Elon» qui prend une sortie d’autoroute en direction de «déclarer la guerre», au lieu de continuer tout droit vers «payer 30%», la commission d’Apple sur les dépenses des utilisateurs effectuées via l’App Store.
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Le mec se la joue mais il devrait balayer devant sa porte.
Mais quel bouffonhttps://www.begeek.fr/twitter-une-fuite-expose-les-donnees-de-54-millions-dutilisateurs-376033
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Il ne faut pas lire que le titre, d’après l’article la fuite date de quelques mois
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Je ne lis pas que les titres @Pollux
Le hack en lui même date oui (confirmé il y a quelques mois) mais il n’y avais aucune preuve de l’exploitation de la faille dans l’API, donc aucune données disponibles.
Les datas exploité de ce hack ont fuitées il y a peu sur un forum de hacker donc on a les preuves maintenant
C’est dans le premier paragraphe.
Alors ce n’est pas de sa faute mais ça le concerne
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@Violence a dit dans Twitter : un jour après sa montée au capital, Elon Musk met déjà la pression :
Alors ce n’est pas de sa faute mais ça le concerne
Ah ok vu comme ca, pourquoi pas, mais du coup ca devient chaud de racheter une boite s’il faut assumer les erreurs antérieures