Matériel & Hardware

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  • [Guide] Bien choisir son kit Raspberry Pi

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    Je ne doute pas que c’est du bon matos qui pourrait remplacer mes engins surtout que la plupart sont très spécialisés, mais je viens d’en changer un par un i7 3,4Gh 16Go de Ram 2Go Graphic et ssd 128 pour 50 balles, ce qui suffit largement pour lire le média. J’ai un NAS comme celui de @Rapace, à priori. C’est le seul équipement qui est en ligne en permanence.

  • Vos Disques Durs

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    @Mister158 a dit dans Vos Disques Durs :

    tu rigoles mais elle est très loin de savoir combien j’ai dépensé pour ces conneries !!!

    je crois qu’elle me défoncerait mdrrrrrrrrrrrr

    Je vais lui envoyer un mail anonyme, t’es dans la merde mon pote 😏

  • [Topic Unique] Modding PC

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    @michmich Maintenant qu’on ne peut plus Jacky-ifier sa voiture, on se rabat sur le PC… 🙂

    Il faut dire qu’il y en a eu des tartes: http://www.zejackytouch.com/

  • Vos achats High Tech

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    @Raccoon lol pareil, ou même la tablette

  • Vos NAS

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    Hello, alors ça fait presque 10 ans que j’essaie d’optimiser mon NAS le plus possible.

    Mon objectif initial, accéder à mes fichiers en SMB sur tous mes appareils possibles. (de ce que je commençais à comprendre c’était le plus simple à mettre en place et le moins coûteux)
    J’ai commencé avec un simple pc de bureau HP avec Intel Q quelques choses et des disques d’1 To sou Open Media Vault.

    Ensuite, j’ai évolué sur un boitier mini tour avec du micro ATX en Intel i3 3210 & G3220 en cherchant le juste milieu entre consommation et coût. Je faisais du troc sur Hardware.fr

    Passage à des WD Red 4to d’abord 2 puis 3 sous Truenas.
    Il m’a fallu énormément de temps à prendre en main Truenas.

    Passage sur un Fractal Node 804. Entre temps qui était quasi impossible à obtenir.
    Je bossais chez LDLC, et même avec tous mes fournisseurs il était impossible à avoir. J’en avais trouvé un à pas cher à Toulouse, j’habitais Pau, j’ai fait l’aller-retour en partant du taff un vendredi soir. 40€ le boitîer de mémoire, une 30€ de masoil.

    (à côté, j’ai découvert Unraid grâce à la chaîne YouTube LinusTechTips, mais je ne sais pas, j’étais un peu intimidé par le truc, mais c’était dû tout simplement à tous les projets que la châine méttait en place pour montrer l’utilisation de Unraid et qu’il ne fallait pas 2000 petabytes pour utiliser Unraid ahah)

    Jusqu’à début 2024 je suis resté sur Truenas en upgradant vers du i7 6700 delid et downclocké juste en changeant un disque dur HS et en ajoutant un autre (la galère ultime de ZFS…)

    Et 2024 marque le plus grand changement pour moi.

    J’ai compris l’importance du transcoding, du potentiel réel d’un NAS, les VM, Docker, la possibilité d’utiliser des SSD en cache, le 10gb en SFP+ etc.
    Et je me suis surtout retrouvé bloqué avec la possibilité d’augmenter un pool ZFS sur Truenas… Ou alors, je n’ai pas su comment le faire. Je sais me débrouiller, mais j’aime les choses simples et sans prise de tête, donc j’ai rage-quit.

    Donc préparation d’une nouvelle base.
    Déjà trouver une carte mère moderne ayant plus de 6 ports SATA.
    Achat d’une carte pcie avec deux ports SFP+ et switch D-Link sfp+ & RJ45 2.5Gb et les câbles
    Cela a été le plus dur, mais j’ai trouvé mon bonheur et je recommande grandement cette carte mère :

    Biostar B760MX2-E Pro D4

    Socket 1700, 8 ports SATA, port lan 2.5gb et ram en DDR4 pour une question de coût toujours.

    16Go de RAM en DDR4 pas EEC (je sais qu’il faut de l’ecc mais je suis un débile tant que j’ai pas rencontré le problème) 3000Mhz

    Et surtout la co-star, i5 12500 pour le transcoding, pareil j’ai cherché longtemps la meilleur solution en terme efficacité/coût. La communauté Unraid conseille ce CPU ou bien une carte Intel ARC. Sauf que de ce que j’ai compris les drivers ARC sont pas encore implementés dans le kernel d’Unraid (dsl si j’ai pas bon le terme) et il faut bidouiller ça. La maj est prévu pour Unraid 7 mais comme je l’ai dis plus haut j’ai choisi la solution la plus simple. Donc i5 12500 et c’est parfait.

    Et on est toujours les mêmes disques durs WD Red 4to. J’en ai 4 donc 1 en parité.
    Mais je vais switcher sur des disques durs reconditionnés qu’on peut trouver sur des sites comme serverpartdeals.
    Ce site a une excellente réputation apparemment, mais on trouve aussi sur Amazon.
    Je vais m’orienter sur 3 Ultrastar DC HC550 18TB.
    D’après les données de retour de pannes, ce modèle est très fiable et surtout grâce à un site comme serverpartdeals, vous êtes presque dur de pas tomber sur le même batch de disques durs, ce qui limite le risque de pannes au déballage.

    Voilà aujourd’hui je suis vraiment très content, tout roule comme sur des roulettes.
    Je vais acheter un p’tit Syno en redondance en recyclant les WD 4to.

    Je peux vous donner le coût de tout cela si ça vous interrèse.

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    @Mister158 oui… mais comme tu as mentionné 980 euros… j’ai eu un petit doute…
    Désolé pour mon post du coup…
    PS avec les prix de l’électricité, je connais un pote qui tourne avec un sli de 4090 et qui se plaint du coût de ses factures EDF… :loool:

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    Avec le Raspberry Pi 500+, la fondation Raspberry Pi franchit une nouvelle étape : un véritable ordinateur tout-en-un qui associe la puissance d’un Raspberry Pi 5 à un clavier mécanique rétroéclairé. Doté de 16 Go de RAM, d’un SSD NVMe de 256 Go et d’une connectique complète, il se positionne comme une alternative compacte et abordable aux mini-PC traditionnels. Dans cet article, nous vous proposons de découvrir ensemble son déballage, sa mise en route, ses entrailles et les possibilités offertes par son clavier RGB.

    Raspberry Pi 500+ : premières impressions et déballage

    Le Raspberry Pi 500+ est enfin arrivé ! Vous découvrez ci-dessus la toute premières image de son emballage ! La boîte met en avant le design de l’appareil : un clavier mécanique compact et élégant, qui intègre toute la puissance d’un Raspberry Pi 5.

    La face arrière de ce Raspberry Pi 500 Plus figure sur un des côtés de l’emballage, pas trop de surprise ici.

    Sur la face arrière, les caractéristiques principales sont bien mises en évidence : processeur ARM Cortex-A76, 16 Go de RAM LPDDR4x, un SSD NVMe de 256 Go pré-installé, la connectivité complète (Wi-Fi, Bluetooth, Gigabit Ethernet) et bien sûr un clavier rétroéclairé programmable LED par LED.

    Le plaisir du déballage

    À l’ouverture, on découvre directement le Raspberry Pi 500+ soigneusement calé dans son coffret. Le clavier blanc, aux touches profilées, inspire tout de suite confiance par sa finition. Un petit compartiment (en haut à droite) contient les accessoires livrés ave le Pi 500+.

    Les accessoires fournis

    Dans la boîte, deux petits outils attirent l’attention. La pièce noire est un extracteur de touches : elle permet de retirer facilement les cabochons (keycaps) du clavier mécanique afin de les remplacer ou de les nettoyer. La pièce blanche, quant à elle, est destinée à l’ouverture du boîtier. Elle fait office de levier pour déclipser la coque supérieure sans risque d’endommager les fixations. La fondation a prévu que les utilisateurs puissent accéder facilement à l’intérieur de la machine (notamment au SSD NVMe de 256 Go installé en interne). Cet outil agit comme un levier pour déclipser proprement la coque supérieure sans abîmer les fixations plastiques. Ces deux accessoires montrent bien la volonté de la fondation de rendre le Raspberry Pi 500+ personnalisable et facilement réparable.

    Une première prise en main prometteuse

    Dès le premier contact, le Pi500+ se distingue par sa construction solide et son ergonomie : tout est intégré dans un seul châssis, ce qui en fait une véritable machine prête à l’emploi. Le design rappelle un ordinateur personnel complet, mais dans le format compact cher à la fondation Raspberry Pi. Les anciennes versions pesaient moins de 400 grammes, ici on dépasse les 600 grammes et franchement on sent bien la différence !

    Raspberry Pi 500+ : démontage des touches et clavier rétroéclairé RGB

    Utilisez l’outil fourni pour enlever les cabochons des touches.


    Grâce à l’outil extracteur fourni, il est très simple de retirer une touche du clavier du Raspberry Pi 500+.


    Une fois le cabochon ôté, on distingue parfaitement l’interrupteur mécanique.

    Les LEDs RVB sont sous les touches, ici en bleu


    Et ici du blanc et du rouge.

    Ce choix technique permet d’offrir à la fois la sensation d’un vrai clavier mécanique, avec un retour tactile franc, et une personnalisation visuelle avancée. Chaque touche peut en effet être rétroéclairée indépendamment, avec une large palette de couleurs. Sur les photos ci-dessus, vous apercevez plusieurs exemples de touches retirées et l’éclairage individuel bleu, blanc ou rouge, qui confirme la programmation « touche par touche ».

    Un tel niveau de finition place le Pi500+ au-dessus de la simple carte SBC : c’est désormais un ordinateur complet, ergonomique et personnalisable.

    Mise en route et configuration du Raspberry Pi 500+

    La première mise sous tension du Raspberry Pi 500+ est très simple. Une fois l’alimentation branchée en USB-C, l’appareil démarre automatiquement sur le SSD NVMe de 256 Go pré-installé avec Raspberry Pi OS. Vous n’avez donc pas besoin d’insérer de carte microSD : tout est prêt à fonctionner dès la sortie de la boîte.

    L’assistant de configuration vous guide pas à pas : choix de la langue, du clavier et du fuseau horaire, puis connexion au réseau Wi-Fi. En quelques minutes, vous obtenez un bureau fonctionnel, entièrement basé sur Raspberry Pi OS, et prêt pour vos projets de développement, vos activités multimédia ou votre usage quotidien.

    Le gain en rapidité par rapport à une installation sur carte microSD est immédiat : le système démarre en une quinzaine de secondes, et l’ouverture des applications est fluide grâce à la mémoire LPDDR4x de 16 Go.

    Avec cette approche, le Raspberry Pi 500+ se rapproche d’un véritable PC personnel, sans configuration complexe ni étapes supplémentaires.

    Démarrer directement le Pi 500+ sur le SSD NVMe

    Par défaut, le Raspberry Pi 500+ vérifie d’abord la présence d’une carte microSD avant de lancer le système. Si vous utilisez uniquement le SSD NVMe intégré, cette étape intermédiaire n’est pas nécessaire et rallonge le temps de démarrage. En configurant l’amorçage direct sur le SSD, vous gagnez en rapidité : le Pi500+ démarre alors en environ 15 à 18 secondes, sans attente inutile.

    Accès au menu principal de raspi-config
    Depuis un terminal, lancez la commande sudo raspi-config pour ouvrir l’outil de configuration.

    Accéder aux options avancées de démarrage
    Dans le menu, choisissez Advanced Options, puis l’entrée A4 Boot Order qui permet de définir l’ordre de priorité des périphériques de démarrage.


    Choisir l’ordre de démarrage
    Plusieurs options sont proposées. Sélectionnez B2 NVMe/USB Boot afin que le Raspberry Pi 500+ démarre en priorité sur son SSD NVMe interne avant de tester l’USB ou la carte SD.


    Confirmation du choix
    Un écran confirme que le NVMe/USB est défini comme périphérique de démarrage par défaut. Validez avec OK.


    Redémarrage du système
    Pour que la modification soit prise en compte, redémarrez immédiatement le Raspberry Pi 500+ en choisissant Oui.

    En configurant le Raspberry Pi 500+ pour démarrer directement sur son SSD NVMe, vous optimisez à la fois la vitesse et la simplicité d’utilisation. Plus besoin de laisser une carte microSD insérée en permanence : l’ordinateur se comporte comme un véritable PC, prêt à fonctionner dès l’allumage. Cette petite modification de l’ordre de démarrage vous fera gagner de précieuses secondes à chaque mise sous tension.

    Et si l’on regardait sous le capot ?

    Une fois la configuration logicielle terminée, il est tentant d’aller voir ce que le Raspberry Pi 500+ cache à l’intérieur. La fondation a prévu un outil spécial pour ouvrir facilement le boîtier, sans risque d’endommager les fixations. Voyons ensemble les entrailles de cette nouvelle machine, avec son SSD NVMe intégré et son architecture compacte.

    Le Pi 500 + que j’ai reçu de la Fondation est en QWERTY, c’est la version que j’ai reçue pour ce test. Il s’accompagne de la souris officielle Raspberry Pi.

    La touche « Cmd » est ici marquée du logo Raspberry Pi : un clin d’œil au design des claviers Apple, adapté à l’univers Pi ?


    De profil, on distingue clairement les interrupteurs mécaniques sous chaque touche, avec un design compact mais robuste. La touche « Espace » a un switch central et deux guides situés à chaque extrémité de la touche.

    La connectique arrière comprend trois ports USB (dont deux en USB 3.0), un lecteur microSD, un port USB-C pour l’alimentation et deux sorties micro-HDMI capables de gérer la 4K.

    À gauche du port Ethernet Gigabit, on retrouve l’accès au fameux connecteur GPIO 40 broches. Protégé par un cache, il reste disponible pour tous les projets de bidouille chers à la communauté Raspberry Pi et aux makers.

    Le dessous du Pi 500+ révèle cinq vis à retirer (repérées ici en bleu). Une fois ces vis enlevées, il faut utiliser l’outil blanc fourni, pour déclipser délicatement la coque.

    En soulevant le capot, on découvre le circuit imprimé du clavier mécanique. Chaque touche est équipée de son interrupteur et de sa LED RGB. Le clavier est relié par une nappe plate à la carte principale.

    Sous le clavier, un large et épais blindage métallique protège et refroidit la carte mère. On distingue le SSD NVMe fixé sur la droite.

    Autre élément clé découvert lors du démontage : le SSD NVMe de 256 Go (au format 2230), fourni et installé d’origine avec Raspberry Pi OS par la fondation Raspberry Pi. Ce choix marque un tournant important par rapport aux générations précédentes, qui reposaient presque exclusivement sur des cartes microSD pour le stockage principal.

    Avec ce support :

    Vous bénéficiez de performances bien supérieures : le démarrage de Raspberry Pi OS s’effectue en 15 à 18 secondes seulement, et l’ouverture des applications est nettement plus fluide. La fiabilité est renforcée : contrairement aux microSD sujettes à l’usure rapide, un SSD NVMe offre une meilleure endurance pour une utilisation quotidienne. La fondation propose un SSD badgé Raspberry Pi, optimisé et pré-installé avec le système officiel, ce qui simplifie grandement la mise en route. La présence de ce SSD démontre la volonté de Raspberry Pi de rapprocher le Pi 500+ d’un véritable ordinateur personnel, prêt à l’emploi et pensé pour durer.

    Le connecteur interne accepte les formats NVMe jusqu’au 2280, ce qui ouvre la porte à une extension de capacité jusqu’à 1 ou 2 To selon vos besoins. Vous pouvez ainsi transformer le Pi 500+ en véritable mini-PC de bureau, capable de stocker confortablement projets, médias et environnements de développement.

    Le démontage du Raspberry Pi 500+ révèle une puce bien connue : le RP2-B2, une évolution du microcontrôleur RP2040 lancé en 2021 avec le Raspberry Pi Pico.Le RP2040 a marqué un tournant pour la fondation : c’est le premier microcontrôleur maison, conçu et produit sous contrôle direct de Raspberry Pi. Avec lui, la Fondation ne dépend plus uniquement de fournisseurs tiers et maîtrise ainsi toute la chaîne, du design à la production, pour garantir une disponibilité et une flexibilité optimales.

    Côté technique, on retrouve :

    Dual-Core Arm Cortex-M0+ jusqu’à 133 MHz 264 Ko de SRAM organisés en six banques indépendantes Interfaces multiples : 2× UART, 2× SPI, 2× I²C, 16 canaux PWM 8 machines d’états PIO pour émuler presque n’importe quel protocole USB 1.1 avec mode hôte et périphérique Drag & Drop via USB pour une programmation facile Large plage d’alimentation (1,8 à 5,5 V) et modes basse consommation

    Ce composant équipe le Raspberry Pi Pico et sa famille, mais aussi désormais des produits plus ambitieux comme le Pi 500+, où il prend en charge des fonctions spécifiques telles que la gestion du clavier mécanique et des LEDs RGB.

    En intégrant ce microcontrôleur « maison » dans ses propres produits, la fondation maîtrise l’ensemble de l’écosystème matériel et logiciel, tout en assurant une continuité et une indépendance technologique stratégique.

    Sous la plaque de dissipation, un pad thermique assure le transfert de chaleur entre le microprocesseur et le blindage métallique.

    Un autre détail de conception : une mousse conductrice placée entre la plaque et la carte électronique (sur la prise Ethernet), destinée à améliorer la mise à la masse et à limiter les vibrations.

    La carte mère du Pi 500+ enfin dégagée : processeur quad-core Cortex-A76, RAM LPDDR4x soudée, SSD NVMe, connectique arrière et GPIO sont visibles dans un agencement compact et propre.

    Au cœur du Pi500+, le SoC Broadcom BCM2712 (sous blindage métallique) accompagné du southbridge RP1 développé par la Fondation Raspberry Pi. En haut, la RAM 16 Go Micron LPDDR4X soudée directement sur la carte. Le composant à droite marqué BOURNS SM51625L est un réseau de protections ESD (ElectroStatic Discharge). Son rôle : protéger les lignes sensibles (comme l’Ethernet, l’USB ou le HDMI) contre les surtensions et les décharges électrostatiques. C’est typiquement une barrière qui absorbe les pics de tension avant qu’ils n’endommagent les circuits du SoC ou du RP1.

    Zoom sur le trio principal : processeur Broadcom, puce RP1 (qui gère USB, GPIO, PCIe, etc.) et la mémoire LPDDR4X. C’est le cœur du Pi 500+.

    La zone près du port Ethernet montre l’empreinte prévue pour un PoE (Power over Ethernet), non peuplée ici. Raspberry Pi a donc anticipé une éventuelle évolution ou un modèle dédié.

    Le composant Renesas dédié à la gestion de l’alimentation (PMIC). Il assure la distribution des tensions nécessaires à l’ensemble du système.

    Sur cette photo, on distingue le module radio Wi-Fi / Bluetooth soudé sur la carte du Raspberry Pi 500+. C’est le Raspberry Pi RP1 radio module, blindé sous un capot métallique sérigraphié.
    Il assure la connectivité Wi-Fi 5 (802.11ac) et Bluetooth 5.0/5.2, avec les certifications nécessaires (FCC, CE, etc.).

    Un connecteur marqué BATTERY : il est certainement destiné à une pile de sauvegarde RTC (horloge temps réel). Cela permet de conserver l’heure même sans alimentation. Je n’ai pas encore pu le tester, je le ferai dès que j’aurai plus d’infos.

    La sérigraphie révèle qu’il s’agit d’une carte Raspberry Pi 500 R4 (PVT), millésime 2024. PVT signifie Production Validation Test : une version de pré-série réservée aux partenaires et testeurs. J’ai donc eu la chance de recevoir un exemplaire avant la mise en production finale, afin de valider et documenter ses fonctionnalités pour la préparation de cet article.

    Mise en service du clavier du Raspberry Pi 500 + 🚀 Installation rapide – Raspberry Pi 500+ Copiez les paquets .deb sur votre Pi 500+. Ouvrez un terminal dans ce dossier (touche F4 depuis le Bureau). Installez et mettez à jour le firmware : sudo apt install ./rpi-keyboard-fw-update\_1.0\_all.deb sudo rpi-keyboard-fw-update Installez l’outil de configuration : sudo apt install ./rpi-keyboard-config\_1.0\_all.deb ✨ Premiers pas avec les LED

    <textarea wrap=“soft” class=“crayon-plain print-no” data-settings=“dblclick” readonly=“”></textarea>

    # Activer un effet rouge uni rpi-keyboard-config effect "Solid Color" --hue 0 --sat 255 # Passer à un pinwheel rapide rpi-keyboard-config effect "Cycle Pinwheel" --speed 200 # Changer de préréglage avec Fn+F4 🎨 Votre premier préréglage personnalisé (30 s) # Définir le préréglage 0 en vert rpi-keyboard-config preset set 0 "Solid Color" --hue 85 --sat 255 # Activer le préréglage rpi-keyboard-config preset index 0

    👉 Vous pourrez ensuite le rappeler à tout moment avec Fn+F4

    Raspberry Pi 500+: Un clavier lumineux La doc complète : RPi Keyboard Config

    RPi Keyboard Config est une bibliothèque Python et un outil en ligne de commande pour configurer les claviers Raspberry Pi, incluant la personnalisation du keymap et le contrôle des LED RGB.

    Claviers pris en charge Raspberry Pi 500 (USB VID: 2e8a, PID: 0010) Raspberry Pi 500+ (USB VID: 2e8a, PID: 0011) Fonctionnalités Configuration du keymap : réaffectez des keycodes à n’importe quelle position. Contrôle des LED RGB : pilotage LED par LED (500+). Effets : effets intégrés (couleur unie, dégradé, pinwheel, heatmap, réactif, etc.). Presets : modifiez les préréglages parcourus avec <kbd>Fn</kbd>+<kbd>F4</kbd>. Surveillance des touches : visualisez les pressions de touches. Démos : jeu Flappy Bird et motif aléatoire sur les LED (500+). Installation

    Installez le paquet depuis les dépôts :

    sudo apt install rpi-keyboard-config

    Les règles udev sont installées automatiquement.

    Firmware du clavier

    Le clavier doit disposer du firmware à jour. Mettez à jour avec :

    sudo rpi-keyboard-fw-update

    Code source : github.com/raspberrypi/keyboard-firmware

    Utilisation en ligne de commande Informations de base # Afficher les infos clavier rpi-keyboard-config info # Afficher les infos avec plan ASCII rpi-keyboard-config info --ascii # Version de firmware uniquement rpi-keyboard-config get-version Configuration du keymap

    Les mappages peuvent être modifiés dynamiquement via rpi-keyboard-config key ou via vial.rocks. (Utilisez Chrome)

    # Obtenir le keycode d'une position (ligne, colonne) rpi-keyboard-config key get &lt;row&gt; &lt;col&gt; [--layer &lt;layer&gt;] # Définir le keycode d'une position rpi-keyboard-config key set &lt;row&gt; &lt;col&gt; &lt;keycode&gt; [--layer &lt;layer&gt;] # Lister tous les keycodes d'une couche rpi-keyboard-config key get-all [--layer &lt;layer&gt;] # Exemples rpi-keyboard-config key get 2 3 rpi-keyboard-config key set 2 3 KC_A rpi-keyboard-config key get-all # Rétablir le keymap par défaut rpi-keyboard-config reset-keymap Verrouillage / Déverrouillage du clavier

    Requis pour certaines opérations (ex. monitoring des touches). Voir docs Vial.

    # Déverrouiller rpi-keyboard-config unlock # Verrouiller<br><br>rpi-keyboard-config lock

    Touches de déblocage

    Lorsque le système vous demande d’appuyer sur les touches de déblocage,
    il s’agit des touches suivantes :

    ESC ENTER

    Appuyez simultanément sur ESC puis ENTER pour poursuivre la procédure.

    Surveillance des touches

    Note : nécessite le déverrouillage préalable.

    # Surveiller les pressions de touches rpi-keyboard-config key watch [--layer &lt;layer&gt;] [--no-leds] [--exit-key &lt;key&gt;] # Exemples rpi-keyboard-config key watch rpi-keyboard-config key watch --no-leds Contrôle des LED (Raspberry Pi 500+) Teinte et luminosité globales

    Raccourcis par défaut :

    Fn+F3/Fn+Shift+F3 pour la teinte,
    Fn+F6/Fn+F5 pour la luminosité.

    # Teinte globale (0-255) rpi-keyboard-config hue rpi-keyboard-config hue 85 # Luminosité globale (0-255) rpi-keyboard-config brightness rpi-keyboard-config brightness 255 Effets RGB

    Les effets temporaires restent actifs jusqu’à extinction/reboot ou appui sur <kbd>Fn</kbd>+<kbd>F4</kbd>. Les presets sont restaurés au redémarrage. L’effet direct temporaire est stocké à l’index 7 (non cyclable).

    # Effet courant rpi-keyboard-config effect # Définir un effet (+ paramètres optionnels) rpi-keyboard-config effect &lt;effet&gt; [--hue &lt;0-255&gt;] [--sat &lt;0-255&gt;] [--speed &lt;0-255&gt;] # Lister les effets disponibles rpi-keyboard-config list-effects # Exemples rpi-keyboard-config effect "Solid Color" --hue 0 --sat 255 rpi-keyboard-config effect "Cycle Pinwheel" --speed 200 rpi-keyboard-config effect "Typing Heatmap"

    Remarque : la composante valeur (V de HSV) dépend de la luminosité globale. Certains effets peuvent ignorer teinte/saturation.

    Presets RGB

    Les presets se parcourent avec Fn+F4.
    Le preset précédemment affiché est restauré au démarrage.

    # Index du preset courant rpi-keyboard-config preset index # Définir l'index du preset courant rpi-keyboard-config preset index &lt;0-7&gt; # Lire la configuration d'un preset rpi-keyboard-config preset get [index] rpi-keyboard-config preset get 2 # Définir la configuration d'un preset rpi-keyboard-config preset set &lt;index&gt; [effect] [--hue &lt;0-255&gt;] [--sat &lt;0-255&gt;] [--speed &lt;0-255&gt;] [--startup-animation &lt;animation&gt;] # Revenir au preset enregistré (utile après un effet temporaire) rpi-keyboard-config preset revert # Exemples rpi-keyboard-config preset set 0 "Solid Color" --hue 0 --sat 255 rpi-keyboard-config preset set 3 "Cycle Pinwheel" --speed 150 rpi-keyboard-config preset set 2 --hue 85 --sat 255 rpi-keyboard-config preset index 2 # Ne boucler que sur les 3 premiers presets rpi-keyboard-config preset set 3 skip # Définir l'animation de démarrage rpi-keyboard-config preset set 0 "Solid Color" --startup-animation "START\_ANIM\_W\_FADE\_SAT" Animations de démarrage disponibles Nom Description START_ANIM_NONE Aucune animation START_ANIM_B_NO_FADE Animation de démarrage, extinction des LED, puis preset START_ANIM_B_FADE_VAL Comme ci-dessus, puis fondu en luminosité croissante vers le preset START_ANIM_W_NO_FADE Animation de démarrage, LEDs blanches, puis preset START_ANIM_W_FADE_SAT Comme ci-dessus, puis fondu avec saturation croissante Opérations LED (mode direct)

    Si le preset courant n’est pas le mode LED direct, un effet LED direct temporaire est appliqué.

    # Effacer toutes les LED rpi-keyboard-config leds clear # Définir une couleur globale (plusieurs formats) rpi-keyboard-config leds set --colour red rpi-keyboard-config leds set --colour "128,255,255" # HSV rpi-keyboard-config leds set --colour "#FF0000" # Hex RGB rpi-keyboard-config leds set --colour "rgb(255,0,0)" # RGB # États LED courants rpi-keyboard-config leds get # États LED sauvegardés (EEPROM) rpi-keyboard-config leds get-saved # Sauvegarder / recharger la conf LED rpi-keyboard-config leds save<br><br>rpi-keyboard-config leds load Contrôle LED individuel # Par index rpi-keyboard-config led set &lt;index&gt; --colour &lt;couleur&gt; # Par position matrice (ligne,colonne) rpi-keyboard-config led set &lt;row&gt;,&lt;col&gt; --colour &lt;couleur&gt; # Exemples rpi-keyboard-config led set 5 --colour blue rpi-keyboard-config led set 2,3 --colour green rpi-keyboard-config led set 10 --colour "170,255,255" Réinitialisations # Réinitialiser presets et LEDs directes rpi-keyboard-config reset-presets # Réinitialiser le keymap par défaut rpi-keyboard-config reset-keymap Formats de couleur acceptés Noms : red, green, blue, yellow, cyan, magenta, white, orange, purple, pink HSV (par défaut) : 128,255,255 (teinte, saturation, valeur) Hex RGB : #FF0000 RGB explicite : rgb(255,0,0) (avec le préfixe rgb()) Liste des keycodes QMK # Lister tous les keycodes rpi-keyboard-config list-keycodes # Filtrer par catégorie rpi-keyboard-config list-keycodes --category basic rpi-keyboard-config list-keycodes --category modifiers # Rechercher par nom (insensible à la casse) rpi-keyboard-config list-keycodes --filter "slash" Démos et jeux # Flappy Bird sur les LED (500+) rpi-keyboard-config game # Motif LED aléatoire (500+) rpi-keyboard-config random-leds Utilisation de la bibliothèque Python Initialisation from RPiKeyboardConfig import RPiKeyboardConfig # Initialiser le clavier keyboard = RPiKeyboardConfig() Informations clavier # Modèle et variante print(f"Model: {keyboard.model}") # "PI500" ou "PI500PLUS" print(f"Variant: {keyboard.variant}") # "ISO", "ANSI" ou "JIS" # Version de firmware version = keyboard.get\_firmware\_version() print(f"Firmware: {version[0]}.{version[1]}.{version[2]}") # Plan ASCII du keymap (couche 0) ascii\_map = keyboard.get\_ascii\_keycode\_map(layer=0)<br><br>print(ascii\_map) Keymap en Python # Lire un keycode keycode = keyboard.get\_keycode(matrix=[2, 3], layer=0) print(f"Key at [2,3]: {keycode}") # Écrire un keycode (ex. 'A') keyboard.set\_keycode(matrix=[2, 3], layer=0, keycode=4) # Lister toutes les touches all\_keynames = keyboard.get\_all\_keynames(layer=0) for data in all\_keynames: pos = data['position'] print(f"Key r{pos[0]} c{pos[1]}: {data['keycode']} -&gt; {data['name']}") # Réinitialiser le keymap keyboard.reset\_keymap() Déverrouillage & monitoring # Statut de sécurité<br><br>unlocked, unlock\_in\_progress, unlock\_keys = keyboard.get\_unlock\_status() if not unlocked: print("Unlocking keyboard...") keyboard.unlock() # État de la matrice (touches pressées) if unlocked: active\_keys = keyboard.get\_switch\_matrix\_state() print(f"Pressed: {active\_keys}") # Verrouiller keyboard.lock() LED en Python (500+) Opérations de base # Basculer en mode LED direct keyboard.set\_led\_direct\_effect() # Par index (HSV: H,S,V) keyboard.set\_led\_by\_idx(idx=5, colour=(0, 255, 255)) # Rouge keyboard.set\_led\_by\_idx(idx=6, colour=(85, 255, 255)) # Vert keyboard.set\_led\_by\_idx(idx=7, colour=(170, 255, 255)) # Cyan # Par position matrice keyboard.set\_led\_by\_matrix(matrix=[2, 3], colour=(42, 255, 255)) # Orange # Envoyer les mises à jour au clavier keyboard.send\_leds() # Effacer toutes les LED keyboard.rgb\_clear() Opérations avancées # États LED courants current\_leds = keyboard.get\_current\_direct\_leds() for i, (h, s, v) in enumerate(current\_leds): print(f"LED {i}: HSV({h}, {s}, {v})") # Informations individuelles led\_info = keyboard.get\_led\_info(idx=5) print(f"LED 5: {led\_info}") # Toutes les LED (config) all\_leds = keyboard.get\_leds() for led in all\_leds: print(f"LED {led.idx}: matrix={led.matrix}, colour={led.colour}") # Sauvegarder / charger en EEPROM keyboard.save\_direct\_leds() keyboard.load\_direct\_leds() # Lire les LED sauvegardées saved\_leds = keyboard.get\_saved\_direct\_leds() Teinte et luminosité globales (Python) # Teinte globale current\_hue = keyboard.get\_hue() keyboard.set\_hue(85) # Luminosité globale current\_brightness = keyboard.get\_brightness() keyboard.set\_brightness(128) Effets & presets (Python) # Effets pris en charge &amp; effet courant effects = keyboard.get_supported_effects() current_effect = keyboard.get_current_effect() # Créer / appliquer un preset from RPiKeyboardConfig.keyboard import Preset from RPiKeyboardConfig.effects import get_vial_effect_id solid_effect_id = get_vial_effect_id("solid color") red_preset = Preset( effect=solid_effect_id, speed=128, hue=0, # Rouge sat=255, # Saturation max val=255, # Luminosité max fixed_hue=True, startup_animation="START_ANIM_B_FADE_VAL" ) keyboard.set_preset(0, red_preset) keyboard.set_current_preset_index(0, save_index=True) # Lire / revenir au preset preset = keyboard.get_preset(0) keyboard.revert_to_saved_preset() # Reset presets &amp; LEDs directes keyboard.reset_presets_and_direct_leds() Référence QMK

    La bibliothèque supporte les keycodes QMK standard. Listez-les via la commande ci-dessus, ou consultez la documentation QMK : docs.qmk.fm/#/keycodes.

    Un exemple : le drapeau Français #!/usr/bin/env python3 # ============================================================ # Nom : clavier_drapeau_francais.py # Version : 1.0.3 # Auteur : framboise314 # Licence : MIT # Objet : Afficher le drapeau français (bleu-blanc-rouge) # en trois bandes verticales 1/3 - 1/3 - 1/3 # Matériel : Raspberry Pi 500+ (LED RGB intégrées) # Dépend : rpi-keyboard-config (lib Python incluse) # ============================================================ from RPiKeyboardConfig import RPiKeyboardConfig # ---- Couleurs HSV (H,S,V) ---- BLEU = (170, 255, 255) BLANC = (0, 0, 255) ROUGE = (0, 255, 255) def initialiser_clavier(): """Retourne un objet clavier prêt pour le mode LED direct.""" clavier = RPiKeyboardConfig() clavier.set_led_direct_effect() return clavier def lire_matrice_leds(clavier): """Récupère la liste des LED avec leurs positions matrice.""" return clavier.get_leds() def bornes_colonnes(leds): """Renvoie la colonne min et max du clavier.""" cols = [led.matrix[1] for led in leds] return min(cols), max(cols) def couleur_pour_colonne(col, col_min, col_max): """Retourne la couleur selon la bande verticale (BLEU | BLANC | ROUGE).""" etendue = col_max - col_min + 1 tiers = etendue / 3.0 idx = (col - col_min) + 0.0001 # évite les bords ambigus if idx &lt; tiers: return BLEU elif idx &lt; 2 * tiers: return BLANC else: return ROUGE def appliquer_drapeau(clavier, luminosite=None, sauvegarder=False): """Applique le drapeau français sur les LEDs.""" leds = lire_matrice_leds(clavier) col_min, col_max = bornes_colonnes(leds) if luminosite is not None: clavier.set_brightness(int(luminosite)) for led in leds: col = led.matrix[1] couleur = couleur_pour_colonne(col, col_min, col_max) clavier.set_led_by_idx(idx=led.idx, colour=couleur) clavier.send_leds() if sauvegarder: clavier.save_direct_leds() def main(): # Réglez ici si besoin luminosite_globale = 255 # 0..255 (None pour ne pas toucher) clavier = initialiser_clavier() appliquer_drapeau( clavier, luminosite=luminosite_globale, sauvegarder=sauvegarde_eeprom ) print("Drapeau français appliqué (BLEU | BLANC | ROUGE).") if __name__ == "__main__": main() Afficher la matrice (ASCII) directement en ligne de commande rpi-keyboard-config info --ascii

    Ça imprime le layout du clavier sous forme de « matrice » ASCII.

    Lister tous les keycodes (par position matrice), au besoin avec la couche :

    rpi-keyboard-config key get-all # couche 0 par défaut rpi-keyboard-config key get-all --layer 1 # exemple autre couche

    Vidéo

    Conclusion

    Le Raspberry Pi 500+ n’est pas un simple gadget pour passionnés : c’est un véritable mini-PC complet, pensé pour offrir confort d’utilisation et fiabilité au quotidien. Certains pourront juger son prix relativement élevé par rapport aux Raspberry Pi traditionnels. Pourtant, il faut rappeler que cette machine intègre d’origine 16 Go de RAM LPDDR4x et un SSD NVMe de 256 Go, deux composants qui transforment radicalement l’expérience utilisateur.

    Face à de nombreux mini-PC du marché, parfois séduisants mais souvent limités (voir l’analyse des inconvénients sur Neozone), le Pi 500+ a l’avantage d’une conception maîtrisée de bout en bout par la Fondation Raspberry Pi. Vous profitez ainsi d’un produit pensé pour durer, parfaitement documenté, et soutenu par une vaste communauté.

    En définitive, le Raspberry Pi 500+ s’adresse à celles et ceux qui recherchent un mini-ordinateur robuste, évolutif et immédiatement opérationnel, sans compromis sur la mémoire ou le stockage.

    En deux mots

    Oui, le prix du Raspberry Pi 500+ peut sembler élevé face à certains mini-PC x86.
    Mais il se justifie si vous visez des usages makers :

    le GPIO accessible, l’intégration fluide avec Linux, le format tout-en-un avec clavier mécanique, une **excellente efficacité énergétique **pour un fonctionnement continu.

    En revanche, pour des besoins de jeux vidéo récents, de virtualisation lourde ou de rendu 3D intensif, un mini-PC/PC x86 plus puissant restera plus adapté.

    Acheter le Pi500+ chez Kubii :

    Pi500+ seul 204€ : https://www.kubii.com/fr/4822-raspberry-pi-500-plus.html
    Pi500+ version kit 225€ : https://www.kubii.com/fr/4823-kit-raspberry-pi-500-plus.html

    – Sources : Changer le SSD, intervenir sur le clavier - Notice officielle du Pi500+ - https://docs.qmk.fm/keycodes

    https://www.framboise314.fr/raspberry-pi-500-plus-16go-nvme/

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    Perso je me demande ce qu’une pelle de chantier fait avec un antenne 3g-4g.
    Communication inter-pelles ?
    C’est une antenne à laquelle se connectent les outils de com ?
    Peuvent pas utiliser les réseaux “standards” ? Avec un natel robuste…
    Me demande s’ils ne s’y retrouveraient pas à gérer quelques abonnements plutôt que du matos dédié mais certainement coûteux.

  • 5 Votes
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    Je viens de zieuter le reportage et voir les gamins qui passent leur aimant dans ce taudis te glace le sang.
    Par contre, il date de 2019 et je me demande comment a évolué la chose maintenant.
    Même si je me dit qu’il n’a pas du y avoir grand changement…
    Hormis, peut-être, la manière de planquer la chose.

  • 7 Votes
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    Moi perso chaque fois que je vois une nouvelle machine faisant tourner du retrogaming, je suis comme un gamin devant ses nouvelles cartes Pokémon 🥰.
    J’aime la machine même si je préfère pour ma part, qu’il y ait des joysticks comme sur une de mes r36s (qui m’ont coûté kdal d’ailleurs) ou une anbernic rg353v (pour y faire tourner les jeux de la psx faisant appelle aux joysticks analogique, de la n64 etc etc).
    Et c’est bien mieux de jouer avec un joystick analogique que la croix directionnelle…avis personnel (sauf pour les jeux comme Tetris, Street Fighter où il est plus confortable d’y jouer avec la croix directionnelle pour ma part).

  • 2 Votes
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    [mode troll on]

    Finalement une PS5 Pro n’est pas si chère, pour moins cher qu’une carte graphique, on a la machine ET la carte 🙂 Elle ne consomme pas non plus toute la production d’une centrale nucléaire 🙂

    [mode troll off]

  • [Aide] Le meilleur choix

    Résolu
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    @H-Barret oui il améliore le débit de la TV, je suis a 780 en descendant et 680 en montant.

    Donc ce débit puissant et stable peut être parfait pour Kodi en réseau local a mon avis

  • 5 Votes
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    Inutile, beau et geek. Need!
    Je me suis abonné au KS pour voir ce qu’on aura pour 159$.

    J’aime beaucoup l’idée du changement de pad. Reste à voir les prix des accessoires ^^

  • 2 Votes
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    C’est vrai qu’un Raspberry Pi 4 (c’est celui que j’ai) permet de faire déjà pas mal de tâches courantes, Web, mailing, bureautique légère, multimédia avec une relative aisance à condition de ne pas tout faire en même temps.
    J’imagine que le 5 avec 8 ou 16 Go de RAM ça doit envoyer pas mal par rapport à son prix.

  • piste audio

    Déplacé
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    @Marion Bonjour,

    Il suffit précisément de régler à nouveau les paramètres, langue par défaut, sous-titres, et selon le cas, ne pas régler sur pass-trough, les pistes son dolby et dts pour obtenir du son “simple” en deux canaux…

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    Le MNT Reform Next apporte le processeur Rockchip RK3588 à la série d’ordinateurs portables modulaires. Il conserve la nature matérielle ouverte de l’ancienne réforme MNT et introduit une conception plus légère et plus modulaire, complétée par un processeur beaucoup plus rapide.

    Ordinateur portable modulaire MNT Reform Next RK3588

    Le MNT Reform Next sépare les trois cartes de ports de la carte mère principale, permettant une plus grande personnalisation et modification que ses prédécesseurs. Le module de processeur standard (RCORE) peut être échangé avec d’autres modules tels que le Raspberry Pi CM4, ainsi que les modules NXP i.MX 8M Plus, NXP LayerScape 1028A et AMD Kintex-7 FPGA.

    Module processeur MNT Reform Next RCORE RK3588
    Module processeur RCORE RK3588 sur adaptateur

    Comme le MNT Reform classique et le MNT Pocket Reform, le boîtier du Reform Next est fraisé en aluminium anodisé et microbillé. En plus d’être réparable et personnalisable, l’ordinateur portable modulaire RK3588 est suffisamment puissant pour être un pilote quotidien pour la navigation, l’écriture, la programmation, les jeux, la conception graphique, la création sonore et le montage vidéo.

    Spécifications MNT Reform Next :

    SoM SoC – Rockchip RK3588 CPU – Processeur octa-core avec 4x Cortex-A76 et 4x Cortex-A55 GPU – GPU Mali G610 MP4 « Odin » avec prise en charge d’OpenGLES 1.1, 2.0 et 3.2, OpenCL jusqu’à 2.2 et Vulkan1.2 RAM – 16 Go ou 32 Go LPDDR4 Interface de carte porteuse – connecteur de bord SODIMM à 200 broches pour la réutilisation/l’échange de modules de MNT Reform classique et MNT Pocket Reform Stockage Mémoire flash eMMC de 256 Go Emplacement SSD M.2 NVMe (jusqu’à 2 To) Emplacement pour carte microSD Emplacement pour carte microSD Express (interne) Chiffrement complet du disque possible avec LUKS Écran – Panneau eDP mat IPS 1920 × 1080 de 12,5 pouces Sortie vidéo – Port HDMI pleine taille Caméra – Module de caméra en option basé sur le capteur autofocus Omnivision OV5640 Pont Infineon/Cypress CX3 MIPI-CSI vers USB Coupe-circuit matériel Audio DAC TLV320AIC3100 avec pilote/connecteur de haut-parleur interne Prise casque TRRS : prise en charge du pilote de casque stéréo et du microphone mono Réseautage USB 2 ports USB 3.0 Type-C Port USB 3.0 Type-C avec alimentation USB Port USB USB 3.0 Type-A Entrée utilisateur contrôlée via le microcontrôleur Raspberry Pi RP2040 Clavier mécanique 80 touches avec commutateurs Kailh Choc Brown et rollover N-key Rétroéclairage RVB personnalisable Écran OLED pour les fonctions de contrôle du système Trackpad à trois boutons (commutateurs Cherry MX ULP) avec prise en charge des gestes Alimentation Chargement USB Type-C Power Delivery Batterie 8 × cellules LiFePO4 (16 000 mAh au total) ~5 heures d’autonomie ; autonomie potentielle de plus de 8 heures avec des batteries Li-ion (en développement) Contrôleur de charge/boost BQ25756 (multi-chimie) pour batteries Li-ion 4S2P LiFePO4 ou 4S2P Dimensions – 29 x 20,5 x 2,6 cm Poids – ~ 1,6 kg (sous réserve de changement)

    Batterie MNT Reform Next

    La société MNT Research est fière de ses projets « open source, accessibles et modulaires » et MNT Reform Next ne fait pas exception. L’ordinateur modulaire basé sur RK3588 promet un « contrôle total de votre appareil et de vos données personnelles ». Tous les composants sont open source, avec des schémas d’accès public, des fichiers KiCAD et un micrologiciel pour la carte mère et le clavier.

    Le MNT Reform Next peut exécuter plusieurs systèmes d’exploitation open source, notamment OpenBSD, Genode Sculpt et Debian Linux. La société propose une image système prédéfinie, un manuel complet et un manuel de démarrage rapide, tous accessibles dans la section documentation de leur site Web.

    La campagne MNT Reform Next est sur le point d’être entièrement financée sur CrowdSupply. La variante de base de l’ordinateur portable modulaire et open source avec eMMC de 16 Go et 256 Go est au prix de 1 099 $ avec livraison gratuite dans le monde entier. Des options plus chères avec plus de RAM, un SSD NVMe et une pochette pour ordinateur portable sont également disponibles. Toutes les commandes devraient être expédiées d’ici le 1er septembre 2025.

    Source : raspberryme.com

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    Ouai j’aime binz aussi surtout le 2ème.
    Nul doute que d’autres moddeurs s’y mettront

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    @Raccoon si tu lit bien l’article sur Korben, tu verras ce petit paragraphe:

    De plus, cette optimisation n’est pas réservée qu’au dernier modèle. Les possesseurs de Raspberry Pi 4 pourront également en profiter, même si les gains seront plus modestes.

    Du coup, quand j’aurai un peu le temps, je ferai ça sur mes pi-4 aussi.
    Même s’ils n’annoncent rien de fou-fou sur le pi-4. Un sou est un sou, un point de bench est un point de bench!