Humour & Insolite

C’est le coin pour se marrer un peu 😉

300 Sujets 16.9k Messages
  • Un peu d'humour en vidéo

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  • Un peu d'humour en image

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    C’est bien de passer après… Tout parait plus sobre 😁
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  • Blagues et histoires drôles

    Épinglé Déplacé
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    Oh puree celle-là je ne m y attendais pas ,mais bon on peut changer la fin pour se l arranger à sa convenance 🤣🤣extra.

  • Ancien topic Un peu d'humour en.....vidéo

    Épinglé Verrouillé
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  • On ne se moque pas de ces choses là.

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    Celle-là, je ne l’avais pas encore vue: Le sharktopus

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  • Le monde est fou (vers l'infini et au delà)

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    L’univers James Bond est menacé par un magnat de l’immobilier

    Les propriétaires de la franchise James Bond dénoncent une attaque « sans précédent » contre leur héros culte. En cause, une bataille juridique engagée par un magnat de l’immobilier, bien décidé à faire main basse sur le nom 007.

    text alternatif

    Son nom est Bond. James Bond. Enfin… pour combien de temps encore ? C’est peut être l’un des affrontements les plus inattendus de l’univers Bond. Un duel juridique entre les détenteurs de la franchise et un promoteur immobilier autrichien bien décidé à lui arracher son identité. Josef Kleindienst, fondateur du Kleindienst Group – actuellement en train de bâtir un complexe touristique pharaonique sur des îles artificielles au large de Dubaï – a en effet lancé une série de recours pour non-utilisation contre plusieurs marques déposées autour de James Bond.
    En ligne de mire, des intitulés aussi emblématiques que les intitulés « James Bond », « 007 », « James Bond Agent Spécial 007» ou encore l’incontournable réplique « Bond, James Bond ». Selon le droit britannique et européen, si une marque n’est pas exploitée commercialement pendant cinq ans dans les catégories pour lesquelles elle est enregistrée, elle peut faire l’objet d’une procédure de révocation.

    C’est dans ce contexte que les avocats de Danjaq, la société américaine détenant les droits mondiaux du merchandising Bond avec la société britannique Eon, ont réagi avec fermeté. « Les marques James Bond font partie des plus renommées dans l’Union européenne », a souligné Rudolf Böckenholt du cabinet Boehmert & Boehmert, représentant de Danjaq (dirigée par la famille d’Albert R. Broccoli, coproducteur originel des films), dans une déclaration relayée par The Guardian. « Elles sont sous licence pour de nombreux produits de consommation, allant d’articles de luxe à des biens du quotidien. » Selon lui, les revendications de Kleindienst constituent une « attaque sans précédent ». Car loin de se limiter à une simple opération symbolique, la tentative de Kleindienst est massive. Elle concerne des classes de produits allant des voitures miniatures aux publications numériques (comics, ebooks…) en passant par les cosmétiques, voir les restaurants et autres bar à cocktails. Le promoteur ne s’est pas arrêté là, il a également déposé une demande de marque James Bond auprès de l’Office de la propriété intellectuelle de l’Union européenne. S’il a choisi de ne pas faire de même au Royaume-Uni, c’est peut-être parce que « le test d’intention d’utilisation » y est plus strictement appliqué.

    Le contexte rend l’affaire d’autant plus délicate. Depuis la sortie de Mourir peut attendre en 2021, la franchise est en sommeil. Aucun acteur n’a encore été annoncé pour succéder à Daniel Craig, et le prochain film n’a toujours pas de date de sortie. La période d’inactivité approche dangereusement la plus longue jamais enregistrée entre deux volets (six ans et quatre mois). Une aubaine pour qui voudrait plaider la « non-exploitation commerciale » de la marque.
    Mais le spectre d’un James Bond relégué au musée n’est qu’un leurre. La franchise, épaulée par Amazon, prépare apparemment la suite et la succession. Et ce, depuis le rachat controversé de MGM pour quelque 8,5 milliards de dollars par la compagnie de Jeff Bezos. En mars, la firme a confirmé que le prochain film serait développé par Amy Pascal (ex-présidente de Sony Pictures) et David Heyman, le poids lourd derrière Harry Potter, Barbie ou encore Paddington. Si les spéculations quant à celui qui revêtira le costume du plus célèbre espion du monde vont bon train, l’équipe de production, elle, semble bien en place.

    Josef Kleindienst, de son côté, maintient qu’il a des projets « prochains » pour la marque, sans entrer dans les détails. Ses intentions pourraient aller de l’exploitation sur des produits dérivés à des lieux de divertissement. Et s’il parvient à faire annuler certaines protections, rien ne l’empêcherait de lancer, disons, un bar à Martini sous licence James Bond… sans même demander la permission. La holding Danjaq a demandé un délai supplémentaire pour sa défense devant l’office européen de la propriété intellectuelle (EUIPO). Elle aura jusqu’à la mi-juin pour riposter – une extension qui, selon les règles, ne sera prolongée que dans des « circonstances exceptionnelles ». En attendant que 007 ressorte de l’ombre au cinéma, son plus grand combat pourrait bien être juridique.

    Source : https://www.vanityfair.fr/article/lunivers-james-bond-est-menace-par-un-magnat-de-limmobilier?utm_source=firefox-newtab-fr-fr

  • Peignons les roses en rouge dit la dame de coeur

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    Le tourisme devient de plus en plus un fléau.

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    L’horloge des CFF (Chemins de Fer Fédéraux) est une véritable icône. Avec sa trotteuse rouge qui fait une pause juste avant chaque minute pleine. Mais pourquoi exactement ?

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    Il est 15h51. J’attends l’IC6 en direction de Berne sur le quai 4 de la gare de Viège. Le train devrait arriver dans une minute. Un coup d’œil à l’horloge sur le quai : la trotteuse se dirige vers 12 heures. Mais au lieu de passer à 15h52, l’horloge s’arrête un instant. 15:51:00 heures. Qu’est-ce qui se passe ?

    Comment une icône du design est née

    Pour savoir d’où vient cette saccade, il faut remonter l’horloge de quelques années. L’horloge de gare, aujourd’hui légendaire, a été conçue en 1944 par l’ingénieur et designer suisse Hans Hilfiker. À l’époque, elle n’avait pas encore d’aiguille rouge des secondes, qui n’a été ajoutée que des années plus tard. Hilfiker a délibérément conservé une mise en page simple pour que l’horloge reste lisible même à grande distance.

    L’aiguille des secondes, ajoutée par la suite, est censée rappeler la palette de commande utilisée autrefois par le personnel de la gare. Aujourd’hui, son design épuré est connu dans le monde entier comme un symbole de la Suisse et de son système ferroviaire fiable. L’horloge est désormais fabriquée à Sumiswald par le fabricant Moser-Bär, qui est également responsable de la corne des cars postaux. Le design est aujourd’hui disponible sous forme de montres-bracelets et d’horloges murales auprès du fabricant suisse et détenteur de la licence Mondaine.

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    En 2012, Apple a même copié notre montre CFF sur l’iPad - sans demander la permission au préalable. Les CFF n’ont pas déposé de plainte, mais ont conclu un accord extrajudiciaire avec Apple pour payer des droits de licence de 20 millions de francs.

    Comment un obstacle est devenu un ductus

    Dès le début, les CFF se sont montrés très exigeants quant à la ponctualité de leurs horloges. Les horloges des gares, qui sont aujourd’hui plus de 5000 dans toute la Suisse, ne doivent pas seulement être précises, mais aussi synchronisées. Mais il y a 80 ans, il n’était pas facile de synchroniser autant d’horloges à la seconde près - on a donc opté pour une autre approche.

    Dans chaque gare, un système d’horloges distinct a été installé, avec une horloge mère et plusieurs horloges secondaires. Ainsi, seule l’horloge mère devait donner le rythme et envoyer une impulsion à toutes les autres horloges secondaires à chaque minute pleine. Cela explique déjà le saut des minutes de la longue aiguille.

    Ce que nous n’avons toujours pas résolu, c’est le problème de la trotteuse. Envoyer une impulsion à chaque seconde aurait été beaucoup trop compliqué à l’époque et aurait usé le système trop rapidement. C’est pourquoi un moteur synchrone a été installé pour la trotteuse, qui fonctionne en continu et indépendamment du reste du système. D’un côté, cela assure la fluidité du mouvement de l’aiguille des secondes, mais cela peut entraîner des décalages temporels en raison des variations de fréquence du courant alternatif local.

    Pour remédier à ce problème, l’entraînement de la trotteuse a été très légèrement accéléré, de sorte qu’elle effectue une rotation en 58,5 secondes. Arrivée au sommet, l’aiguille s’enclenche dans le mouvement à l’aide d’un barreau magnétique. C’est d’ailleurs ce phénomène qui avait déjà fait s’arrêter il y a quelques années pour ma collègue Carolin. Dès que l’impulsion des minutes est donnée, la tige est relâchée et la trotteuse peut continuer à tourner. Cela permet de s’assurer que toutes les horloges sont à nouveau synchronisées au moins à la minute pleine.

    De l’imperfection à la marque de fabrique

    Aujourd’hui, il serait bien sûr facile de synchroniser toutes les horloges et d’éliminer la pause entre les secondes. Mais, tout comme le design épuré, l’étrange saut des minutes est devenu une caractéristique des horloges de gare suisses. Même la méga-horloge purement numérique de la gare du Wankdorf à Berne s’arrête brièvement à chaque minute pleine.

    Si l’on regarde à l’étranger, on se rend vite compte que notre horloge de gare a en quelque sorte placé la barre très haut. Ainsi, les horloges des chemins de fer allemands ne rappellent pas seulement celles des CFF par leur apparence - la trotteuse qui s’arrête a également été directement reprise. En Autriche et en Italie, la similitude des horloges sur les voies et dans les gares est également indéniable.

    À mes yeux, cet arrêt de la seconde a également une belle symbolique. Parfois, il vaut la peine de s’arrêter un instant, de prendre une grande respiration et de repartir. Tout comme notre emblématique trotteuse rouge le fait à chaque minute pleine.

    Source: https://www.galaxus.ch/fr/page/le-moment-o-la-suisse-sarrete-38025

  • Ce que l’amour des échelles à chat dit des Suisses

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    Voilà la marque d’un pays civilisé (ça nous change de Nestlé & consorts)

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    J’en sais rien de tout ça.
    aujourd’hui, je dis bien aujourd’hui, ma fille est de passage à New York, via Montréal.
    Elle est allé au Liban il y a moins d’un an, et elle s’est fait dire que c’était chaud pour aller aux US.
    Mais c’est passé comme une lettre à la poste

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    @michmich Oui oui le doc est là… mais il y a des docs sur les OVNI et pourtant.
    Je m’en souviens plutôt bien. Il y a de grosses incohérences. Celle de “l’hibernation” est quand même un peu exagérée. D’après un “spécialiste”, son corps se serait mis en hibernation ce qui lui aurait permis de consommer moins d’oxygène. À 10 000m, il fait -55°C (l’eau gèle instantanément)et le taux d’oxygène est de 12%. Les animaux hibernent en abaissant leur rythme respiratoire dans un environnement où le taux d’oxygène est compris entre 85% et 100%. Ils respirent moins souvent, mais gardent une saturation supérieure à 90%.
    Bon, mais admettons. Si elle est en hibernation, comment peut elle être consciente de ce qu’elle fait. Faire une descente en spirale serrée demande toute la concentration des meilleurs parapentistes au meilleurs de leur forme.
    Pour cette histoire, la majorité pense que dans une traduction de l’évènement à l’époque, 10 000ft s’est transformé en 10 000m.

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    Naturellement, lorsqu’on entend parler d’« antimatière », on pense à une matière dévastatrice capable de détruire une ville. Certes, un demi-gramme d’antimatière suffirait à dévaster une ville, mais avec la technologie actuelle, il faudrait 500 millions d’années pour en produire un demi-gramme. Le transport transportera au maximum 100 antiprotons.

    « Le plus dangereux dans tout ce transport est que le camion ait un accident, car l’essence dans le réservoir du camion est un million de fois plus dangereuse que l’antimatière », a déclaré le professeur Ulmer à IFLScience.

    Source: https://www.iflscience.com/how-do-you-move-antimatter-if-it-violently-reacts-with-regular-matter-79353

  • Collision improbable entre un cycliste et une de Lorean

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  • Ces Yakusas défilent presque nus dans la rue

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    Le crime organisé ne se révèle jamais… Sauf au festival Sanja Matsuri, qui a lieu tous les troisièmes week-ends de mai au Japon. L’occasion, pour les mafieux, d’exposer leurs tatouages et leurs valeurs

    https://www.20min.ch/fr/video/japon-ces-pontes-de-la-mafia-defilent-presque-nus-dans-la-rue-103348823

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    Armin Capaul a défendu de manière sympathique et ouverte l’inscription dans la Constitution fédérale d’un soutien financier aux éleveurs qui n’écorneraient pas leurs vaches (une vache dans un alpage, c’est méchant et dangereux)

    La Suisse est, de loin, le pays qui organise le plus de votations populaires au monde. Il n’est donc pas étonnant que des propositions insolites surgissent parmi les thématiques soumises au vote. Citons les autoroutes sans voitures, des zones touristiques sans bruit d’avions de combat ou encore l’initiative sur les vaches à cornes.

    Ah, la Suisse, ce paradis pour les droits populaires… Pour chaque idée qui recueille 100’000 soutiens, on vote. Si au moins 50’000 électeurs s’opposent à une proposition de loi, on vote. Chaque fois que le gouvernement et le parlement veulent modifier la Constitution, on vote.

    Depuis 1848, les électeurs suisses se sont prononcés environ 650 fois. Nous vous présentons ici les propositions les plus insolites, y compris celles qui le sont devenues avec les années.

    Le nouveau droit matrimonial (1985)

    Dans la catégorie «Il y a une éternité, un siècle, il y a un an», la votation sur la révision du droit matrimonial se pose là. Par le passé, l’époux pouvait décider seulLien externe de résilier le bail ou de vendre la maison familiale, sans que l’épouse n’ait son mot à dire. C’est lui qui gérait les biens qu’elle apportait dans le mariage. Il pouvait même lui interdire de travailler.

    Le gouvernement et le parlement ont voulu changer cet état de fait. Un comité conservateur ayant lancé un référendum, la population a dû se prononcer. En septembre 1985, 54% des votants disent oui au nouveau droit matrimonial et successoralLien externe. Si seule la population masculine avait voté, l’ancien droit matrimonial aurait été maintenu.

    Initiative «pour douze dimanches par année sans véhicules à moteur ni avions» (1978)

    Aujourd’hui encore, les images, datant de 1973, des autoroutes suisses vides frappent les esprits. En pleine crise pétrolière, les trois dimanches sans voiture décrétés par le Conseil fédéral se veulent une tentative d’économiser les ressources. De quoi inspirer un groupe d’étudiants, pour lesquels les dimanches sans voiture devraient s’inscrire dans une nouvelle normalité suisse.

    Ils proposent donc d’interdire non seulement les voitures mais la totalité du trafic motorisé «sur terre, sur mer et dans les airs» chaque deuxième dimanche du mois. Les initiants ayant voulu inscrire chaque détail dans la Constitution fédérale, les vélos électriques auraient également été visés aujourd’hui; les «véhicules équipés d’un moteur auxiliaire» étaient explicitement mentionnés.

    En cas d’acceptation, des ouvrages tels que «Circuits à vélo sur les voies de dépassement», «Les douze plus belles randonnées sur l’autoroute» ou encore «Les meilleurs spots de détente sur la voie du milieu» auraient certainement été publiés en Suisse, où le sport de loisirs est roi.

    Mais les choses n’iront pas aussi loin. Des petites formations de droite, de gauche et du centre se prononcent certes en faveur de l’initiative «pour 12 dimanches sans véhicules à moteur et sans avions par anLien externe», mais, en mai 1978, elle est rejetée par plus de 63% des votants.

    Initiative pour l’interdiction de l’absinthe (1908)

    Une vague de «panique morale» survenue à l’orée du 20e siècle fera croire aux jeunes Suisses, un siècle plus tard, que l’absinthe était comparable à la cocaïne ou au LSD.

    Ce spiritueux peut être acquis en toute légalité en Suisse depuis mars 2005. Une «réglementation spéciale, qui ne correspond plus aux exigences actuelles» se voit ainsi supprimée, écrit l’Office fédéral de la santé publiqueLien externe en février 2005. Tout en restant, en appareil administratif digne de ce nom, tatillon: «L’absinthe demeure illégale jusqu’au 1er mars 2005», précise l’OFSP en conclusion.
    À la suite d’un infanticide et d’un féminicide sous l’emprise de l’absintheLien externe , des pétitions et des interdictions sont lancées dans plusieurs cantons en 1905. Le mouvement est soutenu par des organisations de lutte contre l’alcoolisme ou prônant l’abstinence, ainsi que par le lobby du vin et de la bière, lequel voit d’un mauvais œil que la «fée verte» est moins chère que leurs boissons.

    Sur le plan politique, sociaux-démocrates et catholiques-conservateurs soutiennent l’initiative. La bataille autour de l’alcool du Val-de-Travers fait surtout rage en Suisse romande; mais les citoyens alémaniques et de Suisse orientale sont nombreux à vouloir priver les Romands de ce spiritueux: à Nidwald et dans les Grisons, plus de 80% se prononcent pour l’interdiction. Sur l’ensemble de la Suisse, le oui à l’interdiction l’emporte pour 63% des votants.

    Augmentation de la mise maximale dans les «jeux de Kursaal» (1958)

    Une autre votation à classer dans la catégorie «L’ensemble du pays débat de comportements addictifs malsains». Les casinos étaient interdits en Suisse depuis 1874.

    Après des tergiversations dans les années 1920, une mise maximale – qui fait aujourd’hui penser à une limite d’argent de poche instaurée par des parents inquiets – de deux francs par jour est autorisée en 1928. À la fin des années 50, le joueur invétéré peut donner libre cours à ses pulsions: la mise passe à 5 francsLien externe.

    Malgré l’opposition de petites formations modérées et des milieux ecclésiastiques, près de 60% des votants se prononcent pour en décembre 1958. Aujourd’hui, pour jouer à la roulette américaineLien externe au Grand Casino de Berne,

    L’initiative «pour les vaches à cornes» (2018)

    Un paysan de montagne, Armin Capaul, qui danse sur du Jimy Hendrix dans son étable devant les médias internationaux, et touche ainsi le cœur du public suisse. Son initiative dite «vaches à cornes» vise à inscrire dans la Constitution fédérale le soutien financier aux éleveurs d’ovins et de caprins qui laissent leurs cornes aux animaux adultes. Le franc-parler du Grison sensibilise de nombreuses personnes à la souffrance que constitue l’écornage, et l’importance de leurs cornes pour les bêtes.

    Mais l’argument du bien-être animal est également mis en avant par des opposants, qui soulignent que la multiplication d’étables à stabulation entravée, dans le but d’éviter les blessures, ne sera pas bénéfique aux animaux.

    Impossible de dire à quel point l’argument d’Armin Capaul selon lequel les vaches à cornes sont un «précieux bien culturel» a influencé les suffrages. Soutenue par le PS, les Verts, le PVL et le PEV ainsi que de nombreuses associations de défense de la nature et des animaux, l’initiative «pour les vaches à cornesLien externe» est rejetée à plus de 54% en novembre 2018.

    Le monopole des allumettes (1895)

    La proposition de donner à l’État le monopole de la production d’allumettes date d’avant le siècle passé, c’est dire si elle paraît incongrue aujourd’hui.

    La raison en est pourtant très sérieuse: le phosphore blanc utilisé à l’époque dans la production était non seulement facilement inflammable; il provoquait surtout une maladie mortelle chez les ouvriers. Le phosphore rouge, inoffensif, avait déjà été découvert, mais il était plus cher.

    Après une première interdiction qui avait vu prospérer la contrebande d’allumettes, le monopole d’État se voulait une alternative pour faire face au problème. Les radicaux, les démocrates et les sociaux-démocrates y étaient favorables, mais en septembre 1895, plus de 56% des votants ont dit non au référendumLien externe.

    Initiative «contre le bruit des avions de combat à réaction dans les zones touristiques» (2008)

    Le nom de cette initiative, qui a fait l’objet d’une votation en 2008, soulève une question brûlante: de manière générale, qui est favorable aux décibels que produisent les avions de combat? Question corollaire: en cas de oui, où donc lesdits avions auraient-ils pu faire du bruit? Après tout, quelle municipalité de Suisse ne se revendique pas, parfois avec courage, pour ne pas dire inconscience, comme une zone touristique qui a beaucoup à offrir aux touristes de passage?

    Quoi qu’il en soit, c’est le projet de faire atterrir et décoller des F/A-18 à Meiringen qui déclenche l’initiative d’une fondation d’un grand hôtel et d’une organisation de protection de l’environnement. «En temps de paix, les exercices militaires impliquant des avions de combat à réaction sont interdits dans les zones de détente touristiques»: c’est en ces termes que la Constitution fédérale doit être modifiée. Malgré l’appui des opposants à l’armée et des partis de gauche, le texte est rejetéLien externe à plus de 68% en février 2008.

    Source: https://www.swissinfo.ch/fre/cinquieme-suisse/les-sept-votations-suisses-les-plus-farfelues-de-tous-les-temps/89293990

  • Garder son smartphone ou avoir la main verte ?

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    @Pluton9 a dit dans Garder son smartphone ou avoir la main verte ? :

    Il va faire comment Darmanin pour bosser sans téléphone?

  • Un petit câlin à un gros gros rongeur ?

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    Ça m’est arriver , maison au 7/8 de la montagnes et l’éclair a frapper la sommet.

    Un vrai tremblement de terre pour 3 seconde et le bruits on en parle pas…

  • Une machine pour tester la sensibilité de la vulve

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    Et puisqu’on parle sexe, une petite dernière pour la route:

    Qui a le langage le plus cru au lit, les hommes ou les femmes?

    Évoquer ses fantasmes et ses désirs sexuels ou souligner de façon crue ses préférences sexuelles et ainsi créer du désir: tout cela relève du «dirty talk» (parler cochon). Il s’exprime face à face, par SMS ou par téléphone. Pour le compte de Babbel, application d’apprentissage des langues, l’institut Yougov a interrogé 1000 Allemands âgés de 18 ans et plus à ce sujet. 42% des personnes interrogées pratiquent le dirty talk. Les hommes en sont toutefois nettement plus friands. En règle générale, ils aimeraient même le pratiquer davantage.

    30% des hommes interrogés déclarent qu’ils trouveraient leur partenaire plus attirant(e) s’il ou elle utilisait des mots érotiques, contre seulement 18% des femmes. Les résultats du sondage ont également révélé que les femmes interrogées se sentaient souvent mal à l’aise avec le dirty talk. Seules 12% en souhaitaient dans leur vie amoureuse.

    (même pour ça) Les femmes se forcent

    40% des femmes ont déclaré qu’elles se forçaient pour faire le premier pas en matière de dirty talk. 22% d’entre elles se sentent contraintes à un rôle de soumission. Une femme sur sept s’est déjà sentie humiliée, soit deux fois plus que les hommes. Chez eux, seuls 12% se sont sentis soumis.

    Selon 78% des personnes interrogées, hommes et femmes confondus, le dirty talk fonctionne surtout pendant la phase de séduction. En revanche, quand la relation est stable, 46% s’y adonnent encore.

    Source: https://www.20min.ch/fr/story/sexualite-qui-a-le-langage-le-plus-cru-au-lit-les-hommes-ou-les-femmes-103313256

    De toute façon, une salope est une femme qui cède aux hommes ou une qui ne le fait pas, alors…

  • Générateur de faux articles de presse en ligne

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    Ha merci pour le test et le retour michmich 🙂
    Avec des précisions dans le “prompt”, ça peut donner un résultat très drôle 🙂
    N’hésites pas à re-tester