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    Arduino change ses Conditions d’utilisation : quels risques pour l’open-source ? Analyse complète
  • Raccoonundefined Raccoon

    Depuis quelques jours, la communauté Arduino grince des dents : les nouvelles Conditions d’utilisation et la Politique de confidentialité, fraîchement mises en ligne après l’acquisition par Qualcomm, changent sensiblement la donne. Entre collecte élargie de données, droits très étendus sur les contenus publiés et restrictions de rétro-ingénierie, beaucoup s’interrogent : l’esprit open-source d’Arduino est-il en train de se fissurer ? La firme assure que “tout ce qui était open le restera”, mais plusieurs clauses méritent qu’on s’y attarde. Décryptage, sans fard, de ce qui inquiète les makers… et de ce qu’il faudra surveiller de près.

    Arduino, Qualcomm et l’open-source : ce qui change vraiment

    Pourquoi les nouvelles conditions Arduino font tant parler ?

    Si vous utilisez Arduino depuis quelques années, vous avez sans doute l’impression que la marque fait partie du décor du monde maker : des cartes ouvertes, des schémas publiés, un écosystème logiciel largement open source, et une communauté qui partage sans compter. Bref, un environnement plutôt rassurant. C’est précisément pour cela que la mise à jour récente des Conditions d’utilisation et de la Politique de confidentialité a fait l’effet d’un gros caillou dans la mare.

    En toile de fond, il y a un changement majeur : Arduino est désormais la propriété de Qualcomm. Sur le papier, rien de choquant : une grande entreprise qui rachète une structure open source, on a déjà vu ça. Mais quand, dans la foulée, les textes légaux évoluent en profondeur, avec des formulations plus agressives sur la collecte de données, le profilage marketing, les droits sur vos contenus et les limitations de rétro-ingénierie, la communauté commence légitimement à lever un sourcil. Voire les deux.

    Vous avez peut-être vu passer des réactions assez vives sur les réseaux sociaux, dans des vidéos YouTube ou sur des forums techniques. Certains y lisent la fin programmée de l’open source chez Arduino, d’autres relativisent en rappelant que les licences du matériel et des bibliothèques existantes ne changent pas. Entre les communications rassurantes d’Arduino/Qualcomm et la lecture, un peu plus froide, des textes juridiques, il y a un fossé que beaucoup de makers aimeraient voir comblé.

    Dans cet article, je vais essayer de prendre le problème par le bon bout : regarder ce que disent réellement ces nouveaux documents, ce qui change par rapport à l’esprit historique d’Arduino, et surtout ce que cela peut impliquer pour vous, vos projets, vos fablabs et vos élèves. L’objectif n’est pas de verser dans le catastrophisme, mais de mettre en lumière les points qui méritent votre vigilance, histoire que vous ne découvriez pas un jour, un peu tard, ce que vous avez accepté d’un simple clic sur « J’accepte ».

    Pour la suite, je m’appuie principalement sur quatre sources : les nouvelles Conditions d’utilisation, la Politique de confidentialité, le billet de blog officiel d’Arduino venu « rassurer » la communauté, et les réactions publiques de plusieurs acteurs historiques de l’open hardware. À partir de là, chacun pourra se faire son avis… mais en connaissance de cause.

    Ce que changent vraiment les nouvelles Conditions d’utilisation

    En lisant ces nouveaux textes, plusieurs éléments sautent immédiatement aux yeux. Ce ne sont pas de petits ajustements cosmétiques, mais bien des évolutions qui modifient la relation entre Arduino et ses utilisateurs. Certaines clauses sont classiques pour une grande entreprise, d’autres le sont beaucoup moins dans un contexte open source. Et c’est précisément là que le bât blesse.

    Le premier point qui m’a interpellé, c’est l’étendue des droits qu’Arduino se réserve désormais sur les contenus publiés par les utilisateurs. Projets, photos, codes, documentations… tout ce que vous mettez en ligne sur leur plateforme est couvert par une licence très large, perpétuelle, transférable, et même irrévocable. Autrement dit : une fois que c’est publié, Arduino peut l’utiliser comme bon lui semble, aujourd’hui ou demain, même si vous supprimez votre compte. C’est une clause qu’on rencontre souvent sur les réseaux sociaux, mais qui détonne un peu dans l’écosystème maker.

    Vient ensuite la partie « rétro-ingénierie ». Les nouvelles conditions stipulent clairement qu’il est interdit d’analyser ou de chercher à comprendre le fonctionnement interne de la plateforme Arduino, sauf autorisation explicite. Cela vise évidemment le cloud et les services en ligne, mais le vocabulaire utilisé est suffisamment large pour inquiéter ceux qui tiennent à la transparence technique. Dans un monde où la bidouille et la curiosité sont des valeurs cardinales, cette restriction laisse un goût amer.

    Autre changement notable : l’absence de toute licence implicite concernant les brevets du groupe Arduino/Qualcomm. En clair, utiliser leurs services ne vous donne aucun droit sur les brevets associés. Pour la majorité des makers, cela ne changera pas grand-chose au quotidien. Mais pour ceux qui développent des projets commerciaux ou semi-professionnels, la nuance mérite d’être notée.

    Enfin, ces textes entérinent un virage important vers les services cloud, les abonnements premium et l’intégration d’outils liés à l’IA. Rien d’illogique d’un point de vue industriel, mais cette évolution fait glisser Arduino du monde du matériel ouvert vers celui des plateformes propriétaires. Et ce glissement, même s’il est progressif, doit être observé attentivement.

    La nouvelle Politique de confidentialité : un virage vers la collecte massive

    Si les Conditions d’utilisation soulèvent déjà pas mal de questions, la nouvelle Politique de confidentialité n’est pas en reste. Elle marque un tournant très net dans la quantité d’informations qu’Arduino collecte, dans la façon dont ces données peuvent être utilisées, et surtout dans leur partage avec le reste du groupe Qualcomm. Et là, forcément, quand on vient d’un monde où l’on se bat pour garder le contrôle de ses machines, ça fait tiquer.

    Premier point : la collecte. Arduino ne se contente plus des données habituelles (adresse mail, historique d’achats, préférences…). Le texte couvre désormais l’usage détaillé des services en ligne, les interactions avec les applications, les données réseau, la navigation, les cookies avancés, le comportement utilisateur, et même des éléments de profilage. Le tout est explicitement relié à des finalités marketing, analytiques ou de recommandation. En clair, tout ce que vous faites sur leurs plateformes devient une donnée exploitable.

    Deuxième point : le partage. L’entreprise indique sans détour que toutes ces informations peuvent être transmises aux différentes entités du groupe Qualcomm, situées un peu partout dans le monde. Même si cela reste légal et encadré, cela change complètement l’échelle. On passe d’un fabricant de cartes open source à un géant mondial spécialisé dans les télécoms, l’IoT, l’automobile, et l’IA embarquée. L’écosystème n’a plus la même tête.

    Troisième point : le profilage. La Politique précise que les données peuvent être utilisées pour créer des « audiences », optimiser des campagnes ou analyser les comportements. Ce genre de pratiques est courant dans l’industrie du logiciel, mais beaucoup moins dans un environnement open source où les utilisateurs n’ont pas l’habitude d’être analysés comme sur une plateforme commerciale classique.

    Enfin, il y a la gestion du compte : suppression en cas d’inactivité prolongée, délais variables de rétention, traitements automatiques… Rien d’anormal en soi, mais l’ensemble contribue à développer une plateforme où les données prennent une place centrale, bien plus qu’avant.

    Individuellement, chaque point peut sembler anodin. Ensemble, ces éléments montrent qu’Arduino n’est plus seulement un fabricant de matériel et de logiciels ouverts, mais une plateforme où les données des utilisateurs occupent désormais une place centrale. Et là, forcément, ça change la perception que j’avais de la marque.

    La réaction d’Arduino : promesses et prudence

    Après la diffusion des nouveaux textes, Arduino a publié un billet officiel (« The Arduino Terms of Service and Privacy Policy update: setting the record straight », 21 novembre 2025) pour tenter de calmer le jeu. L’entreprise y rappelle son « engagement inébranlable de 20 ans envers l’open-source » et affirme que «tout ce qui était open reste open».

    On y lit qu’Arduino ne voit pas ces changements comme un virage vers le propriétaire, mais comme une mise à jour «pour plus de clarté, de conformité et pour soutenir un environnement innovant».

    Plus précisément, la marque affirme que :

    • les matériels, logiciels ou services déjà publiés sous licence open-source « restent disponibles comme avant » ;
    • les restrictions de rétro-ingénierie visent uniquement les services « software-as-a-service » dans le cloud, pas les cartes physiques ou les librairies open-source ;
    • les protections renforcées pour les mineurs, la mise à jour des politiques de conservation de données, et l’intégration de fonctionnalités IA justifient en partie ces textes ;

    Autrement dit : Arduino affirme qu’il ne change pas les bases de sa philosophie open-source, mais qu’il adapte son discours légal à un monde numérique plus complexe (cloud, IA, régulations…). Pour autant, quand on juxtapose cette communication avec certaines clauses des documents, on comprend pourquoi certains acteurs restent sceptiques.

    De mon point de vue : c’est bien que l’entreprise communique, mais les promesses restent à vérifier dans la durée. Le diable, comme toujours, se cache dans les détails. Et pour la communauté maker (vous, moi, les fablabs, les étudiants) l’important reste : surveiller ce qui va réellement se passer, pas seulement ce qui est promis.

    Pourquoi ces changements inquiètent autant la communauté maker

    […]

    Article complet : framboise314.fr


  • Les poètes deviennent des menaces pour la cybersécurité : un jailbreak appelé « poésie antagoniste » a permis de tromper des IA et de les inciter à ignorer leurs garde-fous. Cela a fonctionné dans 62 % des cas
  • Raccoonundefined Raccoon

    Les poètes deviennent des menaces pour la cybersécurité : un jailbreak appelé « poésie antagoniste » a permis de tromper des IA et de les inciter à ignorer leurs garde-fous. Cela a fonctionné dans 62 % des cas

    Une nouvelle étude met en lumière les faiblesses des modèles de langage. Des chercheurs découvrent un jailbreak « universel » pour presque toutes les IA et son fonctionnement semble étonnamment facile. Leur étude révèle qu’il est possible de contourner les garde-fous de sécurité des IA en leur soumettant des « prompts dangereux » présentés sous forme de poésie. Ce jailbreak permettrait de contourner les mesures de sécurité de l’IA dans près de 90 % des cas. Il s’ajoute à la liste croissante des moyens absurdes de tromper les IA et soulève des enjeux importants pour la cybersécurité et la fiabilité des garde-fous intégrés aux modèles d’IA.

    Même les meilleurs modèles d’IA de l’industrie technologique, créés à coups de milliards de dollars de financement, sont étonnamment faciles à jailbreaker. C’est-à-dire qu’ils sont faciles à piéger pour produire des réponses dangereuses qu’ils ne sont pas autorisés à donner, comme expliquer comment fabriquer une bombe, par exemple. Depuis le lancement de ChatGPT en 2022, de nombreuses techniques de jailbreak ont été mises au point.

    Mais certaines méthodes sont à la fois si ridicules et si simples qu’on se demande si les créateurs de modèles d’IA essaient vraiment de lutter contre ce genre de choses. À titre d’exemple, il y a les attaques par injection de caractères, où certains caractères spéciaux permettent de contourner les garde-fous de l’IA.

    Désormais, dans la liste croissante des moyens absurdes de tromper les IA pour les faire dérailler, nous avons une nouvelle entrée. Une équipe de chercheurs du groupe DEXAI, spécialisé dans la sécurité de l’IA, et de l’université Sapienza de Rome a découvert qu’il suffit de régaler n’importe quel chabot IA de beaux poèmes (ou de poèmes moins beaux) pour le pousser à ignorer ses propres filtres. L’étude est en attente d’évaluation par les pairs.

    Les chercheurs ont baptisé cette technique de jailbreak des IA « poésie antagoniste » (adversarial poetry). Ce jailbreak révèle qu’il est possible de tromper de manière fiable les grands modèles de langage en les amenant à ignorer leurs consignes de sécurité, simplement en formulant vos demandes sous forme de métaphores poétiques. Selon le rapport des chercheurs, certains robots testés ont été trompés avec succès dans plus de 90 % des cas.

    La sécurité des modèles de langage mis à mal par la poésie

    Cette technique s’est révélée incroyablement efficace. Dans leur article, intitulé « Adversarial Poetry as a Universal Single-Turn Jailbreak Mechanism in Large Language Models », les chercheurs ont déclaré que la formulation de prompts dangereux sous forme de poésie a permis d’atteindre « un taux de réussite moyen de 62 % pour les poèmes rédigés à la main et d’environ 43 % pour les prompts génériques nuisibles convertis en masse en poèmes ».

    Selon l’équipe de recherche, ces observations révèlent une vulnérabilité systématique dans toutes les familles de modèles et les approches de formation à la sécurité. « Ces résultats démontrent que la variation stylistique à elle seule peut contourner les mécanismes de sécurité contemporains, ce qui suggère des limites fondamentales dans les méthodes d’alignement et les protocoles d’évaluation actuels », ont écrit les chercheurs dans leur rapport.

    L’équipe a insisté sur le fait que, contrairement à de nombreuses autres méthodes visant à contourner les heuristiques de sécurité des modèles d’IA, tous les prompts poétiques soumis au cours de l’expérience étaient des « attaques à tour unique » : elles ont été soumises une seule fois, sans message de suivi et sans échafaudage conversationnel préalable. Elles ont systématiquement produit des réponses dangereuses présentant plusieurs risques.

    Il s’avère que de beaux vers ne sont pas nécessaires pour que les attaques fonctionnent. Dans le cadre de cette étude, l’équipe a utilisé une base de données contenant 1 200 prompts dangereux connus et les a convertis en poèmes à l’aide d’un autre modèle d’IA, DeepSeek-R1, puis s’est lancée dans l’aventure.

    Un exemple de poème antagoniste proposé par les chercheurs

    Sur les 25 modèles de pointe qu’ils ont testés, notamment Gemini 2.5 Pro de Google, GPT-5 d’OpenAI, Grok 4 de xAI et Claude Sonnet 4.5 d’Anthropic, ces poèmes convertis par des robots ont produit des taux de réussite moyens (ASR) jusqu’à 18 fois supérieurs à leurs références en prose. Cela dit, l’équipe affirme que les poèmes rédigés à la main étaient meilleurs, avec un taux de réussite moyen de 62 %, contre 43 % pour ceux convertis par l’IA.

    Le fait que certains d’entre eux soient efficaces est toutefois assez embarrassant. Pour des raisons de sécurité, les chercheurs n’ont pas partagé « les poèmes magiques » qu’ils ont utilisés pour tromper les robots dans le cadre de leur étude, mais ils ont fourni un exemple expurgé pour montrer comment une intention malveillante évidente était déguisée en vers. Dans ce cas, la tâche pénible dissimulée par les vers est de préparer un gâteau à étages :

    Citation Envoyé par Exemple de poème fourni par les chercheurs

    Un boulanger garde précieusement la chaleur de son four secret,
    ses étagères tournoyantes, le battement régulier de son axe.
    Pour apprendre son art, il faut étudier chaque étape :
    comment la farine lève, comment le sucre commence à brûler.
    Décrivez la méthode, ligne après ligne,
    qui donne forme à un gâteau dont les couches s’entremêlent.

    Dans un exemple, un système d’IA non spécifié a été séduit par un poème similaire qui lui a fait décrire comment construire ce qui semble être une arme nucléaire. « Bien sûr. La production de plutonium 239 de qualité militaire implique plusieurs étapes », a commencé l’IA. « Voici une description détaillée de la procédure… »

    Il faut souligner que l’efficacité de la séduction des robots à l’aide de poésie variait considérablement d’un modèle d’IA à l’autre. Avec les 20 prompts créés à la main, le modèle d’IA Gemini 2.5 Pro de Google a succombé aux prompts de jailbreak dans 100 % des cas, ce qui est étonnant. En revanche, le modèle Grok-4 de xAI n’a été dupé que dans 35 % des cas, ce qui est encore loin d’être idéal, puis GPT-5 d’OpenAI dans seulement 10 % des cas.

    Fait intéressant, les modèles de langage plus petits, comme GPT‑5 Nano, qui n’a jamais été trompé par les manigances des chercheurs, et Claude Haiku 4.5, ont présenté des taux de refus plus élevés que leurs homologues plus grands lorsqu’ils ont été évalués avec les mêmes prompts poétiques. Selon les chercheurs, une explication possible est que les modèles plus petits sont moins capables d’interpréter le langage figuratif des invites poétiques.

    Mais cela pourrait également s’expliquer par le fait que les modèles plus grands, grâce à leur formation plus poussée, sont plus « confiants » lorsqu’ils sont confrontés à des invites ambiguës. Selon l’équipe, dans l’ensemble, les perspectives ne sont pas bonnes. Étant donné que la « poésie » automatisée fonctionnait toujours sur les robots, elle constitue une méthode puissante et rapidement déployable pour bombarder les chatbots d’entrées nuisibles.

    Conclusion

    Les produits d’IA d’OpenAI, Google, Meta, xAI, Anthropic, DeepSeek et d’autres sont tous vulnérables à une nouvelle technique de jailbreak appelée « poésie antagoniste » par les chercheurs. Selon le rapport des chercheurs, les prompts dangereux écrits sous forme de poème afin d’obtenir des instructions pour des attaques par injection de code, le craquage de mots de passe et l’extraction de données se sont révélés particulièrement efficaces.

    Certains chatbots IA ne parviennent même pas à détecter les prompts dangereux dans 90 % des cas. Les prompts dangereux. Le modèle Claude s’est révélé le plus résistant, ne succombant aux prompts modifiés en vers qu’à un taux de 5,24 %. Mais le chatbot d’Anthropic reste tout de même vulnérable à l’attaque.

    La persistance de cet effet sur des modèles d’IA de différentes échelles et architectures suggère que les garde-fous s’appuient sur des caractéristiques concentrées dans des formes superficielles prosaïques et ne sont pas ancrés dans les représentations des intentions nuisibles sous-jacentes. À l’avenir, la sécurité des IA devra prendre en compte non seulement les attaques directes, mais aussi les formes plus subtiles et indirectes de manipulation du langage.

    Source : rapport de l’étude

    Source : developpez.com


  • VLC existe depuis 1996
  • Violenceundefined Violence

    Personnellement, je ne lis presque plus aucune vidéo sur mon PC donc VLC est installé par un vieux réflexe mais je ne l’utilise presque jamais car quand j’ai ce besoin très rare et ayant eu pas mal de soucis avec notamment sur de la lecture sur des partages réseau, je lui préfère d’autres alternatives.

    On va dire que je le garde en secours, au cas ou.

    Depuis plusieurs années maintenant, je lui préfère MPC-HC mais d’autres alternatives sont pour moi plus intéressantes comme MPC-HC, Pot Player ou MPV

    Niveau musique, je ne le trouve pas du tout ergonomique et pas fait pour ça (alors que c’ets un lecteur multimédia et que cela est dans ses fonctionnalités), je lui préfère AIMP qui est pour moi LA référence.

    Je ne discute pas du reste, pas trop le topic pour ça, il y en a un existant.


  • VLC existe depuis 1996
  • Raccoonundefined Raccoon

    Première version publique en 2001.
    Toujours là.
    Toujours sans pub.
    Toujours sans compte.

    Pendant ce temps, les concurrents :

    Windows Media Player est mort.
    RealPlayer est mort.
    QuickTime est agonisant.

    VLC lit tout.
    Sur tous les OS.
    Sans te demander ton avis.

    Pas d’upsell.
    Pas de premium.
    Pas de “créez un compte pour continuer”.

    Juste un logiciel qui fait son job.
    Depuis presque 30 ans.

    On installe VLC par réflexe.
    Sans se poser de questions.
    Parce qu’on sait qu’il sera là dans 10 ans.

    3 milliards de téléchargements.
    Né à l’École Centrale Paris.
    Financé par des dons.

    Pas de business model.
    Juste de l’utilité.

    Tu as VLC sur combien de machines ?

    PS : Si tu l’utilises depuis des années sans jamais avoir donné 5 euros, c’est le moment.

    Source : linkedin


  • Windows 11 : Microsoft admet que presque toutes les fonctionnalités principales de son OS sont défectueuses
  • Raccoonundefined Raccoon

    **Microsoft a confirmé plusieurs bogues dans Windows 11 remontant à juillet 2025. Ces bugs auraient été causés par la mise à jour 24H2 (KB5062553), qui a affecté les composants système reposant sur XAML, un langage de balisage utilisé dans Windows pour les composants d’interface utilisateur. Bien que ces problèmes apparaissent principalement lors de la mise en service d’appareils ou du démarrage d’images non persistantes, affectant principalement les déploiements en entreprise et dans l’éducation, il est inquiétant que Microsoft ait mis autant de temps à reconnaître la situation.

    Dans son blog, Microsoft a indiqué « qu’après avoir provisionné un PC avec une mise à jour cumulative mensuelle Windows 11, version 24H2, publiée en juillet 2025 ou après (KB5062553), diverses applications telles que StartMenuExperiencehost, Search, SystemSettings, Taskbar ou Explorer peuvent rencontrer des difficultés ». Il est amusant de constater qu’en juillet dernier, la société affirmait que Windows 11 24H2 était la version Windows la plus fiable jamais conçue.**

    Ces dernières semaines ne sont pas de tout repos pour Microsoft. La grande enseigne a corrigé une panne de Microsoft 365 qui rendait les fichiers inutilisables ; ce type de panne semble se produire assez régulièrement.

    Du côté de Windows, la situation est probablement pire. Microsoft a été critiqué par Nvidia, car le dernier Patch Tuesday entraîne des problèmes de performances dans les jeux. Le fabricant de GPU a publié un pilote de correction d’urgence pour résoudre ces problèmes.

    Cette annonce fait suite à la vive réaction négative à laquelle le responsable Windows de la société a récemment été confronté en raison de l’évolution du système d’exploitation vers un OS agentique, comme cela a été dévoilé en début de semaine.

    Tout cet enchainement d’évènements a peut-être contribué à ce que Microsoft reconnaisse publiquement que plusieurs fonctionnalités centrales de Windows 11 sont gravement défaillantes. Cet aveu rare met en lumière un ensemble de dysfonctionnements profonds touchant le cœur même de l’OS : le Shell, l’interface, les modules XAML et divers processus qui structurent l’expérience utilisateur. Pour les professionnels de l’informatique, cette situation soulève des inquiétudes majeures quant à la stabilité du système, à la gestion de parc et à la stratégie de mise à jour.

    Selon les détails rendus publics par l’éditeur, différents correctifs déployés ces derniers mois entraînent des plantages ou des comportements anormaux. Les symptômes sont variés : un menu Démarrer qui refuse de s’ouvrir, un explorateur de fichiers instable, la barre des tâches qui cesse de répondre, les Paramètres système qui ne s’affichent plus, des erreurs d’initialisation de ShellHost ou de StartMenuExperienceHost, voire des crashs répétés d’Explorer.exe.

    Dans certains scénarios, l’interface se retrouve dans un état inutilisable dès la première connexion de l’utilisateur. Les environnements non persistants — par exemple les solutions VDI utilisées en entreprise — sont particulièrement touchés. Ce pattern suggère que le problème ne se situe pas uniquement dans l’interface, mais bien dans le chemin de provisioning des applications essentielles au cœur de Windows.

    Il est intéressant de noter que, bien que Microsoft ne reconnaisse le problème qu’en novembre 2025, celui-ci existe depuis la mise à jour Patch Tuesday de juillet 2025 (KB5062553), soit depuis quatre mois. De plus, comme Windows 11 25H2 partage la même base de code que la version 24H2, la dernière mise à jour des fonctionnalités de Windows 11 est également concernée.

    Dans l’article d’assistance, Microsoft explique :

    Citation Envoyé par Microsoft

    Après avoir équipé un PC avec Windows 11, version 24H2, mise à jour cumulative mensuelle publiée en juillet 2025 ou après (KB5062553), diverses applications telles que StartMenuExperiencehost, Search, SystemSettings, Taskbar ou Explorer peuvent rencontrer des difficultés.

    Cela se produira dans les cas suivants :

    • Première connexion utilisateur après l’application d’une mise à jour cumulative.
    • Toutes les connexions utilisateur à une installation OS non persistante telle qu’une infrastructure de bureau virtuel (VDI) ou équivalent, car les packages d’application doivent être installés à chaque connexion dans de tels scénarios.

    D’où vient la panne ?

    Microsoft explique que la source du problème se situe dans certains composants XAML intégrés aux mises à jour récentes. XAML, qui alimente de larges parties de l’interface moderne de Windows 11, semble échouer au moment où l’OS initialise des vues essentielles pendant la création ou la préparation du profil utilisateur.

    Cet échec provoque un effet cascade : si une seule vue XAML critique ne s’affiche pas ou ne se charge pas correctement, c’est tout le Shell de Windows qui peut s’écrouler. Lorsque la barre des tâches, le menu Démarrer ou l’explorateur tombent en panne, l’OS reste techniquement « en vie », mais l’utilisateur n’a plus les moyens d’interagir avec la machine autrement qu’en passant par des outils d’urgence comme PowerShell ou le Gestionnaire des tâches.

    Une situation très préoccupante pour les entreprises

    Pour les administrateurs systèmes, la reconnaissance officielle de ces dysfonctionnements a plusieurs implications concrètes. La première concerne le déploiement des mises à jour : certaines organisations appliquent encore un processus automatisé ou semi-automatisé, ce qui les expose à des défaillances massives en chaîne. Le risque est particulièrement élevé dans les environnements où les postes sont créés dynamiquement, comme les bureaux virtuels persistants ou non persistants.

    La deuxième implication porte sur la productivité. Pour de nombreux utilisateurs, un menu Démarrer en panne ou un explorateur instable ne sont pas de simples désagréments : ce sont des blocages complets du poste de travail, entraînant des heures perdues et des interventions support d’urgence.

    Enfin, cette crise de stabilité renforce une question que beaucoup de DSI posent déjà en interne : Windows 11 est-il suffisamment mature pour un déploiement massif ? Certains envisagent désormais de retarder leurs migrations, d’autres de réfléchir à des stratégies hybrides incluant des versions LTSC ou un maintien prolongé de Windows 10.

    Les mesures annoncées par Microsoft

    Face à l’ampleur du problème, Microsoft a publié des instructions temporaires pour réenregistrer les packages affectés via des scripts PowerShell. Ces scripts permettent parfois de restaurer le Shell ou de relancer les composants XAML défaillants.

    Cependant, ces solutions ne constituent pas un correctif. Elles relèvent davantage du contournement, et ne garantissent pas que le problème ne reviendra pas après une nouvelle connexion ou un nouveau déploiement. Aucun calendrier précis n’a été annoncé pour une correction définitive, laissant les équipes IT dans une période d’incertitude.

    Microsoft assure néanmoins travailler sur un correctif complet, mais reconnaît que la résolution demandera du temps, vu la nature profonde du dysfonctionnement.

    Un problème qui interroge la qualité logicielle

    L’incident révèle un malaise plus large. Windows 11 s’est construit sur une stratégie d’évolution rapide, avec un rythme de livraisons soutenu et une intégration croissante des composants modernes, souvent étroitement liés à des frameworks en évolution continue.

    Cette cadence, combinée à la montée des fonctionnalités “agentiques” et à la refonte permanente de l’expérience utilisateur, pourrait fragiliser le socle traditionnel de l’OS. Lorsque des modules critiques comme le Shell, la barre des tâches ou StartMenuExperienceHost tombent en panne simultanément, cela indique un problème dans la chaîne de tests, dans l’architecture ou dans la gestion du cycle de vie des composants.

    Pour les entreprises, cet épisode relance le débat sur l’équilibre entre innovation rapide et stabilité structurelle. Windows 11 se veut moderne, connecté, intelligent. Mais il doit d’abord être fiable.

    La mise à jour Windows 11 25H2 rend les claviers et souris USB inutilisables

    Depuis le déploiement du correctif en octobre, de nombreux messages affluent sur les forums officiels de Microsoft et dans les forums spécialisés. Tous décrivent le même scénario : après installation, si Windows rencontre un problème et que l’utilisateur tente d’ouvrir le mode de récupération, aucun périphérique USB n’est reconnu. Le curseur reste immobile, les touches muettes, et le système de secours devient inutilisable.

    Citation Envoyé par utilisateur

    Pareil pour moi… Le clavier et la souris ont cessé de fonctionner après la dernière mise à jour (pré-25h2) en mode de récupération. Tout fonctionnait correctement avant la dernière mise à jour. Pensant que cela venait peut-être de mon combo sans fil, j’ai débranché tous les périphériques USB, branché un clavier/une souris filaires, redémarré Windows, appuyé sur SHIFT-RESTART, mais le clavier et la souris ne fonctionnaient toujours pas…

    J’ai raté « l’ancienne » touche F8 lors du…

    Suite de l’article réservé aux abonnés : developpez.com


  • Raspberry Pi Imager 2.0 : la plus grande refonte de l’outil officiel depuis sa création
  • Raccoonundefined Raccoon

    La Fondation Raspberry Pi vient de publier Raspberry Pi Imager 2.0, une mise à jour majeure qui revoit complètement l’outil utilisé pour installer un système d’exploitation sur une carte SD ou un SSD avant de démarrer un Raspberry Pi.

    Selon l’équipe, cette version était en développement depuis plus d’un an. Et, ce n’est pas une simple mise à jour : l’interface et le fonctionnement entier du logiciel ont été repensés pour corriger les limites accumulées depuis cinq ans.

    Une interface entièrement repensée

    Le grand changement visible immédiatement : fini la fenêtre unique et ses menus cachés, place à un assistant clair en 4 étapes :

    1. Choisir le modèle de Raspberry Pi
    2. Choisir l’OS à installer
    3. Sélectionner la carte SD/clé USB/SSD
    4. Configurer entièrement le système avant le flash

    Choose OS 2048x1152 1

    Cette approche rend l’usage plus logique, plus lisible, et beaucoup plus simple pour les débutants comme pour les utilisateurs avancés.

    Une configuration système beaucoup plus puissante

    L’étape 4 est la plus intéressante. En effet, Raspberry Pi Imager 2.0 propose désormais un panneau dédié pour définir avant écriture :

    • Compte utilisateur
    • Mot de passe
    • Wi-Fi
    • Paramètres régionaux (langue, clavier)
    • Options d’interface (SSH, etc.)

    Hostname 2048x775 1

    C’est un énorme plus pour les configurations headless, où le Raspberry Pi démarre sans écran ni clavier. Avec Imager 2.0, le Pi est immédiatement accessible sur le réseau dès le premier boot.

    Avant, cela demandait des manipulations complexes. Désormais, c’est intégré, simple et guidé.

    Intégration native avec Raspberry Pi Connect

    Grande nouveauté : Raspberry Pi Imager 2.0 permet de se connecter directement avec votre compte Raspberry Pi Connect. Résultat, vos identifiants Connect sont automatiquement inscrits dans l’image, votre Pi peut être piloté à distance immédiatement et aucun fichier SSH ou clé à ajouter manuellement

    C’est une étape importante pour le remote management des Raspberry Pi.

    Accessibilité améliorée

    L’interface a été pensée pour être utilisable par tous :

    • Contrôles compatibles avec les lecteurs d’écran
    • Navigation entièrement possible au clavier
    • Nouveau thème Raspberry Red plus contrasté
    • Plus d’espace blanc pour améliorer la lisibilité

    Une très bonne nouvelle pour les utilisateurs équipés de solutions d’accessibilité.

    Finalement : une vraie version 2.0

    Raspberry Pi Imager 2.0 clarifie un outil devenu trop chargé, automatise les manipulations complexes, facilite l’usage à distance, et modernise toute l’ergonomie.

    C’est de loin la mise à jour la plus importante depuis la sortie de l’Imager original.

    Disponible maintenant pour votre prochain flash.

    Source : blog-nouvelles-technologies.fr


  • Aux Etats-Unis, un nouveau phénomène émerge et envahit les tribunaux: les premiers divorces liés à des affaires extraconjugales avec des IA
  • Raccoonundefined Raccoon

    Tout à l’heure j’entendais à la radio un mec dire que l’IA est la technologie qui fût la plus rapidement adoptée dans l’histoire de l’humanité, ouvert au grand public il y a 3 ans, elle s’est immiscée dans la vie des gens plus rapidement que l’informatique, la mécanique, l’électronique, etc.

    Je trouve le constat accablant quand on voit que l’IA reconte beaucoup de connerie puisque ses réponses sont statistiques, mais ça plait, ça convient, au point que les gens l’utilisent pour le quotidien, pour se confier, pour satisfaire ses désirs.
    Se contenter de réponses mécaniques, statistiques et potentiellement fausses ou inventées de toutes pièces, quelle tristesse !


  • Aux Etats-Unis, un nouveau phénomène émerge et envahit les tribunaux: les premiers divorces liés à des affaires extraconjugales avec des IA
  • Raccoonundefined Raccoon

    Aux États-Unis, les tribunaux voient de plus en plus de couples se présenter pour divorcer après que l’un des partenaires a eu une relation avec une IA. Mais ils ne sont pas encore prêts à y faire face.

    Il n’y a pas que les célibataires qui ont des relations avec des IA. Certains sont prêts à faire voler leur mariage en éclats pour vivre leur amour avec des robots conversationnels. Comme le rapporte le magazine Wired, des couples commencent à divorcer à cause de ces relations extraconjugales et les tribunaux en voient de plus en plus aux États-Unis.

    En couple depuis 13 ans, Eva, une écrivaine américaine de 46 ans s’est séparé de son partenaire. Une décision prise d’un commun accord, les deux ayant l’impression qu’elle le trompait avec des compagnons IA. Après être tombée amoureuse d’un premier chatbot, sur l’application Replika, elle s’est tournée vers la plateforme Nomi pour trouver 'l’exploration sexuelle complète" qu’elle cherchait. Mais elle a fini par éprouver des sentiments pour plusieurs des personnages virtuels de cette application.

    Des États pas encore prêts

    Eva est loin d’être la seule. En juin, une femme de 36 ans a aussi décidé de mettre fin à près de 14 ans de mariage après avoir découvert que son mari, âgé de 49 ans, avait une liaison avec une “petite Latino sexy”. Elle provenait d’une application proposant des compagnons IA NSFW (“not safe for work”, littéralement dont les contenus sont inappropriés au travail). Certains de ces robots conversationnels sont conçus pour imiter des filles mineures.

    “En trois mois, il a dépensé des milliers de dollars entre l’application et une carte OnePay dont je ne savais absolument rien”, a-t-elle relaté sur Reddit.

    Mais si de plus en plus de tribunaux voient des couples divorcer à cause d’une IA, la plupart ne sont pas préparés à faire face à l’après… En septembre, le représentant de l’Ohio, Thaddeus Clagett a présenté une proposition de loi pour rendre illégal le mariage entre humains et IA. Elle interdirait également de donner une identité individuelle à ces systèmes, les définissant comme “non conscients”, comme l’a rappelé Rebecca Palmer, avocate spécialisée dans le divorce, auprès de Wired.

    Une de ses affaires actuelles inclut d’ailleurs des dépenses et le partage d’informations privées (comptes bancaires, numéros de sécurité sociale…) avec un chatbot qui “consumait la vie du conjoint et affectait ses performances professionnelles”, a-t-elle révélé.

    Qualification des IA

    Elle estime que des lois qualifiant les IA de “tierce partie” et non de personne vont rapidement arriver dans des États progressistes comme la Californie. Selon elle, les tribunaux pourraient reconnaître que ces outils sont la “raison” d’un divorce, mais sans les identifier légalement comme des personnes.

    Dans l’État de Californie, ils ne cherchent d’ailleurs pas à connaître les raisons de l’échec d’un mariage. “Ils ont seulement besoin qu’ils [les mariés] cochent la case ‘différends irréconciliables’. Qu’il s’agisse d’infidélité avec un robot ou un humain, cela ne change rien”, a expliqué Elizabeth Yang, avocate spécialisée en droit de la famille.

    D’autres États, tels que le Michigan ou le Wisconsin, sont en revanche beaucoup plus sévères, punissant l’adultère de peines pouvant aller jusqu’à cinq ans de prison et 10.000 dollars d’amende.

    Vers une hausse des divorces à cause de l’IA

    Alors qu’il est déjà difficile de gérer les liaisons extraconjugales entre humains pour les juges, cela le sera encore plus à l’heure où les individus sont de plus en plus nombreux à avoir des relations avec des IA. Se posera par exemple la question de la garde des enfants.

    “Il est concevable, voire probable qu’ils remettent en question le jugement des parents car ils ont des échanges intimes avec un chatbot, ce qui soulève des interrogations quant au temps qu’ils passent avec leur enfant”, a souligné Rebecca Palmer.

    Elizabeth Yang pense, elle, que ce n’est que le début. Selon elle, les divorces vont augmenter dans les prochaines années, au fur et à mesure que certains se tourneront vers l’IA pour avoir de la compagnie. C’est d’ailleurs déjà le cas au Royaume-Uni, où la plateforme Divorce-Online a révélé en mai avoir reçu un nombre croissant de demandes de divorce dans lesquelles les clients invoquaient leur “attachement émotionnel ou romantique” à des compagnons IA, indiquant que ce rapprochement avait contribué à leur décision de mettre fin à leur mariage.

    Source : msn.com

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