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⚙️ Les engrenages cosmiques qui font tourner l’univers. Ce sont les architectes du forum, veillant à ce que tout fonctionne sans accroc. Leur devise : "Dans l’ombre du code, nous illuminons le forum"

Privé

Messages


    [Aide] BUG Déconnexion
  • Violenceundefined Violence

    @snerwal a dit dans [Aide] BUG Déconnexion :

    @duJambon Justement, je veux dire qu’en cliquant sur déconnexion, il ne se passe rien, sinon que le menu disparait.
    Même en rafraichissant la page cela ne fonctionne pas.
    J’ai réussi à trouver en faisant mon pseudo > paramètres > sessions des connexions, mais c’est un peu fastidieux et ça ne marche pasà chaque fois…

    Aucun soucis avec 2 comptes différents.

    –> Problème sur ta machine et/ou ton navigateur.

    • Cache DNS
    • Cookies de connexion
    • Extensions ou bloqueurs de scripts
    • etc…

  • Une femme se fait acclamer dans le métro pour avoir brisé les lunettes intelligentes Meta d'un autre passager
  • Raccoonundefined Raccoon

    Les gens veulent-ils réellement des lunettes connectées dotées d’intelligence artificielle ? La question divise quand on sait qu’il y a des possesseurs de tels gadgets et des gens qui montrent sans détour leur désaccord avec leur disponibilité sur les lieux publics. C’est en tout cas ce que laisse filtrer une récente vidéo dans laquelle on peut voir une femme se faire acclamer comme une héroïne pour avoir brisé les lunettes intelligentes Meta d’un autre passager. Le tableau ravive le débat sur les avantages et les inconvénients des lunettes dites intelligentes.

    Deux étudiants de Harvard ont créé une démonstration inquiétante de la façon dont les lunettes connectées peuvent faire appel à la reconnaissance faciale pour obtenir instantanément l’identité, le numéro de téléphone et l’adresse d’une personne.

    Deux étudiants de l’université de Harvard ont modifié un ensemble de lunettes connectées Ray-Ban de Meta pour y ajouter une technologie de reconnaissance faciale basée sur l’IA. Le résultat est un dispositif portable capable d’identifier les personnes en temps réel et de fournir leur adresse, leur numéro de téléphone, etc. Baptisée « I-XRAY », cette technologie utilise la capacité des lunettes connectées de Meta à diffuser des vidéos en direct sur Instagram.

    Un programme informatique surveille alors ce flux et utilise l’IA pour identifier les visages. Ces photos sont ensuite introduites dans des bases de données publiques pour trouver des noms, des adresses, des numéros de téléphone et même des membres de la famille. Ces informations sont ensuite renvoyées via une application mobile. AnhPhu Nguyen et Caine Ardayfio, les auteurs de cette modification, ont fait des démonstrations de la technologie en public.

    Caine Ardayfio s’est approché d’une inconnue, a scanné son visage, a obtenu son nom et ses affiliations, puis a prétendu qu’il la connaissait grâce à l’une des organisations apparues lors d’une recherche à son sujet. Dans une deuxième démonstration, son collègue AnhPhu Nguyen a identifié un homme au hasard et a entamé une conversation en prétendant avoir lu son travail sur la base des informations personnelles fournies par ses lunettes connectées.

    Des dizaines d’étudiants de Harvard ont été identifiés et n’ont jamais su que des scanners faciaux avaient été utilisés pour découvrir leur nom et des informations les concernant. Selon AnhPhu Nguyen, cela met en évidence ce qu’il est possible de faire avec la technologie grand public actuelle, les moteurs de recherche de visages, les grands modèles de langage (LLM) et les bases de données publiques. Tout ceci pourrait être utilisé à mauvais escient.

    Ce rappel de la manière dont ces lunettes peuvent être utilisées à mauvais escient donne à réfléchir, mais les gens peuvent prendre quelques précautions. Les étudiants ont énuméré les bases de données de recherche inversée de visages et de personnes qui permettent de se désengager. Mais il faut garder à l’esprit qu’il est pratiquement impossible de supprimer totalement sa présence en ligne ; l’on peut seulement rendre ses informations moins accessibles.

    Are we ready for a world where our data is exposed at a glance? @CaineArdayfio and I offer an answer to protect yourself here:https://t.co/LhxModhDpk pic.twitter.com/Oo35TxBNtD

    — AnhPhu Nguyen (@AnhPhuNguyen1)

    Des gadgets de ce type peuvent néanmoins trouver des applications dans la filière de la santé, notamment, chez les personnes déficientes

    En effet, un projet similaire d’étudiants de Standford a fait l’objet de lancement au deuxième trimestre de l’année 2023 mais semble avoir été abandonné. Il s’agissait aussi de lunettes intelligentes qui indiquent aux utilisateurs ce qu’il faut dire lors de rendez-vous galants. Elles reposaient sur un dispositif ressemblant à un monocle qui peut être fixé sur pratiquement n’importe quelle paire de lunettes.

    Le dispositif était doté d’une caméra, d’un microphone et d’un écran haute résolution capable d’afficher le texte généré par GPT-4. Le logiciel de reconnaissance vocale d’OpenAI, Whisper, permettait aux lunettes de transmettre directement la parole au chatbot, qui se chargeait ensuite de répondre en quelques secondes à son utilisateur. « L’appareil écoute votre conversation et vous dit exactement ce qu’il faut dire ensuite », avait indiqué Bryan Hau-Ping Chiang.

    Source : developpez.com


  • Fâché de sa condamnation, X ferme le compte publicitaire de la Commission européenne
  • Raccoonundefined Raccoon

    Elon Musk réclame une dissolution de l’UE après l’amende infligée à X : si Bruxelles évoque des pratiques trompeuses

    Musk et l’écosystème Trump prétendent qu’il s’agit d’une question de liberté d’expression

    **Elon Musk réclame désormais la dissolution de l’Union européenne, car celle-ci lui a infligé une amende de 120 millions d’euros pour avoir enfreint une loi qu’il avait autrefois qualifiée de « parfaitement alignée » sur sa vision de (ce qui s’appelait alors) Twitter.

    Et pour ce faire, il ment sur la raison réelle de cette amende.

    L’UE a infligé une amende de 120 millions d’euros à X la semaine dernière pour avoir enfreint la loi sur les services numériques (DSA). Les violations, connues depuis plus d’un an, n’ont rien à voir avec la modération des contenus. L’amende concerne trois manquements spécifiques en matière de transparence : tromper les utilisateurs lorsque Elon a remplacé la vérification réelle par « payer 8 dollars pour obtenir une coche », maintenir un répertoire publicitaire défectueux et refuser de partager les données requises avec les chercheurs.**

    En juillet 2024, l’Union européenne a porté des accusations contre X, anciennement connu sous le nom de Twitter, concernant ses badges bleus. Ces marques de vérification, qui étaient autrefois réservées aux célébrités et aux personnalités influentes, sont désormais accessibles à tous moyennant un abonnement mensuel de 8 $. Cependant, selon la Commission européenne, cette pratique constitue un « dark pattern » et ne respecte pas les meilleures pratiques de l’industrie.

    Dans son communiqué de presse, l’UE indique que les modifications apportées au système de vérification bleue de X, qui permet à tout utilisateur de payer pour être « vérifié », empêchent les utilisateurs de déterminer l’authenticité des autres comptes avec lesquels ils interagissent. Il existe également des preuves que des acteurs malveillants abusent du système pour tromper intentionnellement les utilisateurs, selon les conclusions de l’UE. Enfin, l’UE a averti X que son système de vérification par coche bleue violait les règles de la loi sur les services numériques (DSA).

    En tout, la Commission estime que l’entreprise a commis trois infractions distinctes aux règles de transparence de la DSA :

    1. Les régulateurs ont déclaré que les badges de vérification payants de X enfreignaient la loi en raison d’une « conception trompeuse » qui risquait d’exposer les utilisateurs à des escroqueries et à des manipulations. La plateforme n’a pas non plus respecté les normes de transparence relatives à son répertoire publicitaire.
    2. En vertu de la DSA, les plateformes doivent tenir à jour une base de données accessible au public contenant toutes les publicités diffusées sur leurs services, y compris des informations sur les personnes qui ont payé pour ces publicités et le public visé. La Commission a déclaré que la base de données de X était affaiblie par des défauts de conception structurels et des obstacles à l’accès, notamment des « retards excessifs dans le traitement ».
    3. Les régulateurs ont en outre accusé X de créer des « obstacles inutiles » pour les chercheurs indépendants qui cherchent à accéder aux données de la plateforme. « Tromper les utilisateurs avec des coches bleues, dissimuler des informations sur les publicités et exclure les chercheurs n’ont pas leur place en ligne dans l’UE. La DSA protège les utilisateurs », a déclaré Henna Virkunnen, vice-présidente exécutive de l’UE chargée de la souveraineté technologique, de la sécurité et de la démocratie.

    Le cœur du dossier : des pratiques trompeuses et un manque de transparence

    L’amende vise en particulier la confusion volontaire autour des « blue checkmarks ». Depuis la réforme initiée par Musk, le badge bleu est devenu un avantage payant, tout en conservant une apparence associée historiquement à la vérification de l’identité. Pour Bruxelles, le problème n’est pas idéologique : la confusion entre authentification et abonnement porte atteinte à la clarté nécessaire pour l’utilisateur européen. Les régulateurs ont documenté plusieurs manquements, notamment l’absence d’informations claires, la mise en avant trompeuse de certains contenus sponsorisés et un système d’abonnement jugé opaque.

    Contrairement au discours tenu par Musk, le dossier n’a pas pour objet la modération de contenus politiques ou la gestion des discours controversés. Techdirt souligne que Musk tente de cadrer cette affaire comme une lutte contre la « censure », alors que l’amende ne concerne ni la suppression de publications ni la liberté d’expression. Pour les autorités européennes, c’est une question de conformité commerciale, similaire à celles imposées à Amazon, Meta ou Booking dans le passé.

    Le soutien actif de l’entourage de Donald Trump : l’internationalisation du conflit

    La prise de position de Musk a rapidement trouvé un écho dans l’écosystème trumpiste, aujourd’hui en reconstruction politique et stratégique.

    Elon Musk prétend qu’il s’agit d’une question de liberté d’expression, et ses amis de longue date au sein de l’administration Trump soutiennent cette fausse affirmation.

    Par exemple, avant qu’elle ne soit prononcée, JD Vance, le Vice-Président américain, a déclaré sur X : « Des rumeurs circulent selon lesquelles la Commission européenne infligerait une amende de plusieurs centaines de millions de dollars pour non-respect de la censure. L’UE devrait soutenir la liberté d’expression au lieu d’attaquer les entreprises américaines pour des futilités. » Ce à quoi Elon Musk a répondu en disant qu’il appréciait.

    De son côté, le Secrétaire d’État Marco Rubio a renchéri en disant : « L’amende de 140 millions de dollars infligée par la Commission européenne n’est pas seulement une attaque contre @X, c’est une attaque contre toutes les plateformes technologiques américaines et le peuple américain par des gouvernements étrangers. L’époque de la censure des Américains en ligne est révolue. »

    Elon Musk ne décolère pas : « l’UE devrait être abolie »

    Samedi, Elon Musk a riposté en déclarant à ses 230 millions d’abonnés en ligne que l’UE devrait être « abolie » : « L’UE devrait être abolie et la souveraineté restituée à chaque pays, afin que les gouvernements puissent mieux représenter leur population. »

    Lorsqu’un utilisateur a republié le commentaire de Musk, celui-ci a répondu : « Je suis sérieux. Je ne plaisante pas. »

    « J’adore l’Europe, mais pas le monstre bureaucratique qu’est l’UE », a-t-il ajouté dans un autre message.

    Dans un autre cas, il a soutenu l’appel en faveur de référendums contraignants sur le maintien des pays dans l’Union, qualifiant cette idée de « bonne idée ». Il a également partagé un mème comparant l’Union au régime nazi, auquel il a répondu : « À peu près ».

    Musk a réitéré ses critiques de longue date à l’égard de la réglementation européenne, partageant une vidéo dans laquelle il décrit le siège de l’UE comme une « gigantesque cathédrale de la bureaucratie » et avertit que le continent exerce une « lente strangulation par la surréglementation », affirmant que l’innovation étouffe sous les règles de Bruxelles.

    « La bureaucratie de l’UE étouffe lentement l’Europe », a-t-il écrit dans un autre message.

    La déclaration de Musk affirmant que l’UE « devrait être abolie » marque un saut qualitatif dans la confrontation. Elle dépasse largement une critique contre le DSA ou contre la bureaucratie bruxelloise. Pour un dirigeant dont les entreprises opèrent dans tous les États membres, remettre en cause l’existence même de l’Union est un pas spectaculaire, mais également un aveu de la gêne profonde que représente ce cadre réglementaire pour X.

    Le Monde rappelle que l’Europe est historiquement le marché le plus strict en matière de protection des consommateurs et de régulation numérique. Depuis le RGPD, Bruxelles défend une vision où la technologie doit s’adapter aux droits fondamentaux, et non l’inverse. L’intervention de Musk s’inscrit donc dans une confrontation structurelle : celle entre un entrepreneur prônant une liberté quasi absolue de conception, et une région du monde qui incarne l’approche juridique la plus exigeante.

    Une plateforme déjà sous pression : fuite des annonceurs, instabilité interne, risques juridiques

    X subit depuis deux ans des turbulences majeures. La fuite des annonceurs, la baisse des revenus publicitaires, l’augmentation des litiges en Europe et aux États-Unis, ainsi que la perte de repères pour les utilisateurs transforment la plateforme en un terrain mouvant. L’amende européenne, bien que significative, n’est pas la menace la plus critique, mais elle ajoute une nouvelle couche d’incertitude juridique et financière.

    D’ailleurs, Bruxelles pourrait aller plus loin en cas de non-conformité persistante. En cas de non-conformité persistante au Digital Services Act (DSA), la Commission européenne dispose d’un arsenal de mesures graduées, mais extrêmement puissantes. Le DSA a été conçu pour donner à Bruxelles un pouvoir direct, exécutoire, et dissuasif sur les grandes plateformes et, dans certains cas, sur n’importe quel prestataire de services numériques opérant dans l’UE.

    Voici ce que peut faire Bruxelles en cas de violation répétée ou d’absence de conformité :

    Exiger des mesures correctives immédiates

    Suite de l’article réservée aux abonnés : developpez.com


  • [Dossier] Master Boot Record & Keygen Church : deux cultes du code, un seul fondateur (Vittorio D’Amore)
  • Violenceundefined Violence

    @michmich a dit dans [Dossier] Master Boot Record/Keygen Church/Razor1911 : deux cultes du code, un seul fondateur (Vittorio D’Amore) :

    Pareil, mais j’arrive jamais à me rappeler le nom et l’auteur de ces œuvres, ce qui est peu pratique pour les retrouver!

    C’est clair :mouhaha:
    Genre concerto en Ré mineur, Fa dièse majeur et tout le bordel !

    À ce stade, c’est plus des titres de musique, c’est des captchas !!


  • [Dossier] Master Boot Record & Keygen Church : deux cultes du code, un seul fondateur (Vittorio D’Amore)
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    De l’aveu de Vittorio, essentiellement Back en l’occurrence.
    J’aime aussi certaines œuvres de classiques et les orchestres symphoniques


  • [Dossier] Master Boot Record & Keygen Church : deux cultes du code, un seul fondateur (Vittorio D’Amore)
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    En tt cas testez aussi Keygen Church.
    C’est une tuerie comme MBR


  • [Dossier] Master Boot Record & Keygen Church : deux cultes du code, un seul fondateur (Vittorio D’Amore)
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    @Popaul a dit dans [Dossier] Master Boot Record/Keygen Church/Razor1911 : deux cultes du code, un seul fondateur (Vittorio D’Amore) :

    Haaaaa mais c’est toi qui m’avait fait découvrir Master Boot Record… T’en avais déjà parlé dans un autre topic me semble.

    En effet 🤪
    Le lien est en début d’article.

    Par contre, Electric Callboy, ce n’ est pas moi !


  • [Dossier] Master Boot Record & Keygen Church : deux cultes du code, un seul fondateur (Vittorio D’Amore)
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    Moi aussi.

    Masterpiece ces 2 groupes.

    Je suis MBR depuis l’EP Floppy Disk Overdrive (2017) et Keygen Church depuis son existence 🤪

    Les envolées d’orgues et de piano mélangées à cette guitare.

    C’est magique!!
    Je suis fasciné à chaque écoute.


  • [Dossier] Master Boot Record & Keygen Church : deux cultes du code, un seul fondateur (Vittorio D’Amore)
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    « 100% Synthesized. 100% Dehumanized. »

    Hello,

    J’avais déjà causé ici de Master Boot Record mais je n’avais pas parlé de Keygen Church car je pensais que certains feraient leurs propres recherches 😉

    Ces 2 “formations/Projets” vaut bien un topic dédié, tellement l’univers est riche, l’artiste hyper talentueux et son lien avec la Scene Warez & Razor1911 présents.

    C’est donc tout indiqué sur le forum, c’est parti !

    Sommaire

    • Introduction
    • L’auteur commun : Victor Love (Vittorio D’Amore)
    • Concepts
    • Historique des projets
      • Master Boot Record
      • Keygen Church
    • Technique & fabrication
      • Une composition ultra-écrite et très classique
      • Des synthés utilisés comme des guitares et des orchestres
      • Une architecture informatique dans la musique
      • Collaboration Dubmood & lien avec Razor1911 : L’influence directe de la keygen music
      • Le pack Warez (reprises de classiques de jeu vidéo)
      • Une productivité “informatique", sonorité
      • Composition & structure
    • Univers, concept & esthétique : plus qu’un simple style musical
      • Pourquoi c’est important ?
    • Discographie
    • Conclusion

    Introduction

    Master Boot Record (MBR) et Keygen Church sont deux projets musicaux distincts, mais étroitement liés de par le même auteur, la même obsession pour l’informatique rétro, le chiptune, le métal synthétique et une esthétique “cyber-gothique / baroque”.

    Ces deux entités incarnent une démarche artistique singulière : fusionner le code, le hardware, la nostalgie des années 80–90, et la puissance du métal / orchestral, pour créer un univers sonore unique.

    Et il le fait d’une fort belle manière 🙂

    L’auteur commun : Victor Love (Vittorio D’Amore)

    Les deux projets sont l’œuvre d’un seul homme : l’italien Victor Love, (Vittorio D’Amore*).

    Il décrit lui-même son approche comme « 100% Synthesized, 100% Dehumanized », c’est-à-dire que tout est généré par ordinateur : synthétiseurs, samples, batterie, guitares, nappes, chœurs…

    Aucune instrumentation “réelle” traditionnelle.

    Son background mêle informatique, hardware/logiciel et musique.

    Ce mélange d’influences (démoscène, jeux vidéo, métal, musique baroque) donne naissance à l’identité esthétique forte de ses projets jusqu’aux moindres détails, nom des albums, des pistes, de son site web, etc.

    Concepts

    Master Boot Record est présenté comme un programme informatique auto-génératif, une “IA pirate” qui composerait depuis un PC 486DX équipé de DOS et de disques durs infectés par des virus rétro.

    – Tout l’univers tourne autour :

    • De l’esthétique du BIOS
    • De l’hexadécimal
    • De l’art ASCII
    • Des messages techniques d’erreurs ou d’infections
    • De la nostalgie PC des années 80–90
    • Des intros de cracks (cracktros)
    • De la demoscene
    • Des groupes Warez comme Razor1911
    • De la musique “keygen” qu’on entendait en lançant un crack
    • Etc.

    – Musicalement, il fusionne :

    • Chiptune
    • Synthwave
    • Metal néoclassique & symphonique
    • Thrash et death metal (mais joué aux synthés)
    • OST de jeux vidéo rétro
    • Prog metal, version numérique

    – La devise du projet :

    « 100% Synthesized. 100% Dehumanized. »

    –> Le projet est donc 100 % instrumental et essentiellement 100 % synthétique. (à la base)


    Keygen Church est quant à lui présenté comme le pendant spirituel, liturgique et mystique de Master Boot Record, une sorte de religion numérique vouée au culte du code, des cracks et des keygens. (SPREAD THE CODE) 😉

    L’artiste décrit le projet comme une église électronique où les orgues baroques se mêlent aux synthés 8-bit et à l’esthétique sacrée réinterprétée à travers la culture Warez.

    – Tout l’univers tourne autour :

    • De l’esthétique religieuse baroque (vitraux, cathédrales, orgues majestueux)
    • Du sacré transposé dans le langage du code
    • D’un imaginaire mystique appliqué aux activateurs, serial keys et keygens
    • D’un mélange entre iconographie gothique et graphismes ASCII / retro PC
    • D’une vision quasi sacramentelle du piratage informatique
    • D’un hommage explicite aux groupes Warez comme Razor1911

    – Musicalement, Keygen Church fusionne :

    • Orgue baroque (influence directe de JS Bach)
    • Clavecins numériques
    • Chœurs synthétiques liturgiques
    • Synthwave gothique
    • Chiptune 8-bit façon keygen / cracktro
    • Harmonies baroques
    • Textures électroniques sombres
    • Esthétique demoscene revisitant la “keygen music”

    Le projet est lui aussi 100 % instrumental, mais il se distingue par une orientation sacrée, plus théâtrale, plus émotive, comme si les musiques de keygens de la scene Warez étaient intégrées dans une messe numérique !

    C’est une œuvre “sacrée”, mais dédiée… au piratage, aux activators, aux keygens, aux cracktros, et aux groupes warez.

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    Historique des projets

    Master Boot Record

    Master Boot Record naît autour de 2016, publié anonymement sur Bandcamp, présenté comme un projet solo mystérieux d’un compositeur anonyme se présentant comme une intelligence artificielle pirate écrivant de la musique depuis un vieux PC 486DX.

    Le personnage, volontairement cryptique, se met en scène sous l’esthétique d’un ordinateur rétro qui « boote », « scanne » ou « infecte » les systèmes à travers sa musique.

    Très vite, l’identité visuelle (hexadécimal, BIOS, ASCII art, secteurs de disques durs) devient indissociable du projet.

    Le projet s’inscrit dans un héritage délibéré de la scène “demoscene”, de la culture Warez et des intros de cracks du début des années 2000. On retrouve l’esprit des groupes comme Razor1911, la « keygen music », les .nfo et l’iconographie PC rétro poussée à l’extrême.

    Entre 2016 et 2018, MBR sort une avalanche d’albums entièrement autoproduits, souvent gratuits, à un rythme surhumain qui démontrent une productivité quasi cybernétique :

    C:\>FIXMBR, C:\>EDIT CONFIG.SYS, C:\>EDIT AUTOEXEC.BAT, C:\>CHKDSK /F, C:\>COPY . A: /V, INTERRUPT REQUEST, 486DX, WAREZ, DIRECT MEMORY ACCESS, VIRUS.DOS, INTERNET PROTOCOL

    Son style hybride, mélange improbable de chiptune, synthwave, metal néoclassique, thrash, prog, et musique de jeu vidéo, devient immédiatement identifiable.

    La signature est là : une musique virtuose, nerveuse, ultra-programmée, avec des riffs de metal joués exclusivement via synthétiseurs.

    En 2018, l’artiste signe sur le label Metal Blade Records, marqué par l’album VIRTUAVERSE OST (L’OST du jeu du même nom) puis FLOPPY DISK OVERDRIVE (2020). À partir de là, la production devient un peu moins frénétique mais plus maîtrisée techniquement, avec des compositions de plus en plus longues, élaborées et orchestrées.

    Le projet évolue ensuite vers une forme plus « organique » notamment sur leur dernier album HARDWAREZ : intégration ponctuelle de vraies guitares, batterie programmée plus sophistiquée, couches de synthés toujours plus complexes (parfois jusqu’à 150–200 pistes par chanson, selon certaines interviews).


    Keygen Church

    Projet secondaire initié en 2018, dont l’ambition est le “métal baroque numérique”, un croisement entre musique liturgique (orgue, piano, chœurs), chiptune et métal. Il se présente comme un “culte du code / culte du disque sacré”, mêlant gothique, doom/black metal numérique, référence aux cracktros, aesthetic rétro-informatique.

    Keygen Church émerge, alors que MBR commence à explorer de nouveaux horizons avec un peu plus de vrais instruments tout en gardant l’esprit.

    Vittorio D’Amore décide de créer ce projet parallèle pour exprimer quelque chose de plus mystique, tandis que MBR reste le volet “système”.

    Les premières sorties publiées sur Bandcamp [░ ▒ ▓ █ (2018), █ ▓ (2019), ░█░█░░█░█░█░ (2021)] posent les bases du style. Ces premiers albums montrent une approche encore expérimentale, mais déjà très marquée : une sorte de messe électronique dédiée au code et aux serials, une liturgie rétro-digitalisée.

    Avec le temps, l’univers se structure et se renforce :
    Keygen Church se veut le “côté spirituel” de Master Boot Record, comme si MBR représentait le système, la machine, et Keygen Church l’âme numérique, la foi dans le code.

    Lorsque Nel Nome del Codice sort en 2024, on pourrait définir cet album comme une synthèse plus aboutie du concept :
    baroque électronique, atmosphère gothique (ajout des chœurs), orgue monumental, chiptune sacré et imagerie de culte dédié aux groupes warez comme Razor1911, influencé explicitement, comme le compositeur l’a confirmé lors d’interviews.

    Le projet en profite à ce moment-là pour signer avec le label, Metal Blade Records, ce qui lui offre une visibilité internationale et permettra au concept ainsi que MBR de s’étendre avec d’autres sorties plus ambitieuses et des tournées internationales notamment en 2024 et 2025 chez nous en France.

    Keygen Church devient alors le sanctuaire numérique de la “keygen music élevée au rang d’art sacré”, affirmant une identité désormais pleinement assumée.

    Technique & fabrication

    La musique de MBR et Keygen Church repose sur une démarche purement numérique et artistique.

    100 % synthétisé, comme le revendique l’artiste. Aucune guitare acoustique, batterie organique, ou instrument traditionnel : tout est généré via des synthétiseurs, samples, VST, etc.

    Du moins à l’origine. (voir plus haut)

    Une composition ultra-écrite et très classique

    – Le créateur le confirme dans plusieurs interviews, il compose comme un musicien classique, en utilisant des notions de :

    • Contrepoint
    • Fugue
    • Harmonie baroque
    • Développement thématique
    • Variations progressives

    – Ses influences principales sont :

    • J.S. Bach
    • Le métal néoclassique (Yngwie Malmsteen, Jason Becker)
    • Les OST de jeux PC des années 90
    • La demoscene Amiga et PC

    Chaque morceau peut comporter entre 100 et 200 pistes, toutes programmées à la main.

    Des synthés utilisés comme des guitares et des orchestres

    – Un principe fondamental de MBR :

    Tout est synthétique. Pas de guitare réelle ( à l’origine, sauf sur le dernier album comme mentionné plus haut).

    – La plupart des guitares métal sont en réalité :

    • Des synthés à ondes carrées modifiés
    • Empilés dans plusieurs couches
    • passées dans des filtres pour simuler la distorsion

    – Les orgues de Keygen Church sont :

    • Des émulations d’orgues baroques
    • Mélangées à des synthés 8-bit
    • Parfois doublées par des chœurs synthétique façon église gothique

    Une architecture informatique dans la musique

    – Les morceaux suivent souvent une structure inspirée :

    • Du boot sequence
    • Du chargement de programme
    • De la mémoire tampon
    • De l’allocation de ressources

    – Certaines pistes sont même nommées en référence directe :

    • CHKDSK /F
    • FLOPPY DISK OVERDRIVE
    • VIRUS.DOS
    • DIRECTORY

    Collaboration Dubmood & lien avec Razor1911 : L’influence directe de la keygen music

    Le compositeur le reconnaît : il doit beaucoup à la musique des cracks de jeux vidéo.

    – Notamment :

    • Dubmood
    • Les mod/chiptunes des groupes Warez
    • Razor1911
    • Fairlight
    • Paradox

    Keygen Church est même pensé comme une église dédiée à cette musique.

    Dubmood & MBR : il existe sur YouTube un installer soundtrack intitulé « Dubmood & MASTER BOOT RECORD - Comply (Razor 1911 installer soundtrack) ».

    Cela atteste d’une collaboration ou d’un placement dans l’écosystème cracktro/warez. La présence dans des vidéos Razor1911 souligne l’ancrage dans cette culture.

    https://www.instagram.com/p/DItzJFLiBor/

    Contexte : dans les années 90–2000, les groupes warez/crack (Razor1911, SkidRow, Fairlight…) accompagnaient leurs releases de petites démos (cracktros) avec musiques chiptune/ tracker, le style de MBR reprend et modernise cette tradition, d’où la cohérence culturelle de ces collaborations.

    Le pack Warez (reprises de classiques de jeu vidéo)

    MBR propose un pack téléchargeable gratuit contenant de nombreuses reprises de musiques de jeux vidéo classiques (warez.zip).

    C’est un geste rappelant l’esprit « partage / archives » de la scène retro/gamer. L’artiste l’annonce lui-même sur ses comptes. Ce pack est cité et référencé sur MusicBrainz et posts officiels.

    – Disponible en téléchargement légal sur leur site web ici :

    https://mbrserver.com/warez.zip

    Une productivité “informatique", sonorité

    MBR a sorti des dizaines d’albums en quelques années.

    – La raison :

    • Tout est composé en MIDI
    • Tout est programmé numériquement
    • La chaîne de production semble ultra-optimisée

    MBR dit dans une interview qu’il compose à la vitesse où il pense, car le processus ne dépend pas d’un instrument physique.

    On y trouve des sons inspirés des puces sonores 8-/16-bit (typique de la chiptune), pour l’esthétique “retro-gaming / cracktro /

    En même temps, des nappes orchestrales numériques (chœurs, orgue, piano, cordes synthétiques), des riffs “métal” (guitares ou leads synthétiques), des percussions “simulateurs de batterie”, pour recréer la densité et la puissance du métal ou de la musique symphonique.

    L’équilibre entre “rétro / digital / métal / classique” crée une texture unique : nostalgie + puissance + atmosphère gothique.

    Composition & structure :

    Les morceaux ne sont pas de simples “loops”, ce sont de véritables compositions, avec introduction, montée en intensité, breaks, climax, introspection, transitions, parfois des ambiances dramatiques, des crescendos, des mélodies mémorables…

    Selon le projet, cela peut tendre vers le “metal instrumental symphonique” (MBR) ou le “metal gothique / baroque instrumental” (Keygen Church).

    Usage de DAW (Digital Audio Workstation) + banques de sons VST (synthés FM, wavetable, orgues virtuels, pianos, samples), tracking / programmation batterie & percussions, mix & mastering numérique, parfois des éléments visuels (ASCII, pixel art) pour la dimension “graphique / conceptuelle”.

    Philosophie “code & musique” : l’idée est de “numériser” la musique, de faire du métal, de l’orchestre, de la liturgie… mais via le prisme de l’informatique, de la démoscene, du rétro-gaming. Selon les mots des critiques, Keygen Church sonne comme “Bach fan de métal extrême et de retro-gaming” dans une cathédrale numérique.

    Univers, concept & esthétique : plus qu’un simple style musical

    Victor Love puise dans l’héritage de la démoscène, des cracktros / warez / keygen des années 90–2000 : l’idée du “code comme art”, du “crack / keygen comme rituel”, du “PC comme totem”.

    MBR et Keygen Church transposent cette culture en musique, en image, en symboles.

    Keygen Church joue la carte de la messe numérique / culte du disque / culte du code : orgue, piano, choeurs, atmosphères gothiques ou baroques, tout en restant synthétique. La fusion de l’ancien et du futur, du sacré et du digital.

    MBR rappelle lui, la nostalgie des jeux vidéo, du hardware, de l’époque où le PC, les disquettes, les commandes DOS étaient “magiques”, transposés en “metal du futur”.

    L’aspect “100% digital / 100% déshumanisé” ne signifie pas absence d’âme, bien au contraire : l’artiste revendique un univers “cyber-mythique”, presque métaphysique, faisant de la machine un instrument, un médium, un symbole.

    Pourquoi c’est important ?

    MBR et Keygen Church montrent qu’on peut fusionner nostalgie rétro-informatique, heavy metal, musique symphonique et esthétique gothique / baroque. Un mix rare, audacieux, intelligent.

    Ils offrent une alternative à la musique mainstream : un “cyber-métal”, un “metal des geeks”, une “messe numérique”, adressée à un public à la fois gamer, nerd, fan de métal ou d’électro.

    C’est un pont culturel entre plusieurs univers, rétro & moderne, informatique & musique, métal & électronique, ce qui en fait des projets emblématiques pour toute une scène underground alternative.

    En tant qu’auteur solo, Vittorio D’Amore prouve qu’un seul homme, avec les bons outils et une vision forte, peut créer des albums puissants, cohérents, marquants.

    📀 Discographie

    Master Boot Record

    Année Album / Sortie
    2016 C:\>FIXMBR
    2016 C:\>EDIT CONFIG.SYS
    2016 C:\>EDIT AUTOEXEC.BAT
    2016 C:\>CHKDSK /F
    2017 C:\>COPY . A: /V
    2017 INTERRUPT REQUEST
    2017 486DX
    2017 WAREZ (compilation 44 titres, gratuite)
    2018 DIRECT MEMORY ACCESS
    2018 VIRUS.DOS
    2019 INTERNET PROTOCOL
    2020 VIRTUAVERSE.OST
    2020 FLOPPY DISK OVERDRIVE
    2020 C:\>DEFRAG
    2022 PERSONAL COMPUTER
    2024 HARDWAREZ

    Keygen Church

    Année Album / Sortie
    2018 I ░ ▒ ▓ █
    2019 █ ▓
    2021 ░█░█░░█░█░█░
    2022 Tenebre Rosso Sangue
    2024 Nel Nome Del Codice

    Conclusion

    Master Boot Record et Keygen Church ne sont pas de simples “groupes” ou “projets”, ce sont des manifestes artistiques. À travers le code, le hardware, les samples, les synthétiseurs, les nappes d’orgues, les percussions numériques, Victor Love trace un pont entre l’ère des disquettes et l’époque du streaming, entre les cracktros des années 90 et les salles de concert contemporaines.

    Si tu cherches de la musique qui parle à la fois à ton côté “geek / nostalgique”, “metalleux” et “amateur de textures sonores originales”, ces 2 projets valent plus qu’un simple détour : ils valent qu’on les explore en profondeur et qu’on s’y perde rien qu’un peu, dans les circuits, les codes, les machines… pour le plaisir

    SPREAD THE CODE


    – Sources :

    – Site / page Bandcamp - Master Boot Record (albums, bio, discographie)

    – Site / page Bandcamp — Keygen Church (albums, bio, discographie)

    – Page Metal Blade Records – Master Boot Record official

    – Page Metal Blade Records – Keygen Church official (sortie Nel Nome Del Codice)

    – Article & chronique VerdamMnis sur MBR & Keygen Church

    – Interview / présentations de Victor Love — explications de l’approche “synthétisé / déshumanisé / cyber-metal / baroque numérique”

    – Présentation keygen-church-nel-nome-del-codice

    – Présentation master-boot-record-personal-computer/

    – https://www.coreandco.fr/chroniques/keygen-church-nel-nome-del-codice-10017.html)

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  • [Dossier] Telegram : du mythe libertaire à l’influence du Kremlin
  • Violenceundefined Violence

    @Papawaan a dit dans [Dossier] Telegram : du mythe libertaire à l’influence du Kremlin :

    Super bien documenté, merci du partage @Violence.
    Je renverrai vers cet article quand on me dira “bah pourquoi t’utilise pas telegram ?”


    Merci pour l’effort de lecture 👍

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