Cinéma & Séries

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    non ma poule 😉

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    @michmich

    No PB le suisse 😉
    Merci

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    Nocturnal : teaser du nouveau thriller de Kim Jin-hwang avec Ha Jung-woo

    Près de 10 ans après la sortie de son premier film, Kim Jin-hwang se paye la présence de l’excellent Ha Jung-woo pour électriser Nocturnal, son nouveau long métrage. Un thriller doublé d’action comme on en voit des dizaines mais qui semblent assez efficace, tout en citant ouvertement Na Hong-jin.

    On commence à connaître la musique. En Corée, des réalisateurs apparaissent, font leur petit effet – ou non – avec leur premier film, puis disparaissent de la circulation. Et certains réapparaissent au bout d’une dizaine d’années. C’est ici le cas de Kim Jin-hwang, qui avait mis en scène The Boys Who Cried Wolf sorti en 2016, récompensé à Busan pour son esthétique en 2015, et qui avait depuis disparu de la circulation.

    On le retrouve avec Nocturnal, dont le tournage est terminé depuis quelques années, et qui fut un temps attendu sous le titre « Night Trip ». Il s’agit d’un film qu’il a également écrit et qui brille évidemment par son casting avec le formidable Ha Jung-woo, ainsi que Kim Nam-gil et Yoo Da-in. Outre son acteur principal, il y a des plans dans ce court teaser qui rappellent très fort un certain The Murderer de Na Hong-jin, qu’on espère également retrouver au cinéma cette année. Il y a peu de chances que ce Nocturnal révolutionne quoi que ce soit, mais on ne va pas faire la fine bouche s’il réussit déjà à être un bon petit thriller bourré d’action.

    Nocturnal sortira en Corée le 5 février 2025.

    Synopsis

    Bae Min-Tae était membre d’un gang, mais il gagne désormais sa vie en tant qu’ouvrier du bâtiment. Un jour, il apprend que son jeune frère Bae Seok-Tae est décédé et que la femme de ce dernier, Moon-Young, a disparu. En cherchant des indices sur la mort de son frère, Bae Min-Tae découvre qu’un écrivain nommé Kang Ho-Ryeong avait prédit la mort de Seok-Tae dans son roman Nocturnal Trip. Au milieu de cette situation confuse, Min-Tae se lance dans une quête empreinte de colère pour découvrir la vérité sur ce qui s’est passé la nuit où son frère est mort.

    – Source :

    https://furyosa.com/nocturnal-teaser-du-nouveau-thriller-de-kim-jin-hwang-avec-ha-jung-woo/

    –> Perso ça me met plus l’eau à la bouche que Boucle d’Or faisant le mariole 🙂

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    @Violence Pas encore regardé, ça ne devrait pas tarder.

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    @ichbinrodolphe J’adore les films avec des vilaines sorcières mais je vais éviter celui-là. Suis pas du tout comédie musicale.

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    The gentlemen de guy Ritchie, avec Charlie Hunnam et Matthew McConaughey

    Bon film, l’histoire est sympa, ça s’enchaîne bien, quelques rebondissements, des morts débiles

    https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=264538.html

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    Robert Eggers confirme une version longue de Nosferatu avec des scènes inédites

    Robert Eggers, réalisateur de ce Nosferatu, a annoncé qu’une version longue de son film sera prochainement disponible. Cette édition spéciale inclura des scènes inédites, approfondissant l’ambiance et les personnages de cette réinterprétation du classique.

    Eggers, connu pour son souci du détail et son esthétique singulière, promet de satisfaire les amateurs de son travail et les fans du mythe vampirique.

    – Source

    https://www.begeek.fr/robert-eggers-confirme-une-version-longue-de-nosferatu-avec-des-scenes-inedites-409183

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    Franchement il manquait quelqu’un… Vu que ça se passe 16 ans après et que c’est le dernier personnage qu’on voit dans Gladiator, ils auraient du intégrer le personnage de Juba; (Djimon Hounsou)!
    “Maintenant nous sommes libres, et nous nous reverrons. Mais pas encore… pas encore.”
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    Disponible 🙂

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    Disponible 🙂

  • J'ai raté ça ? ou pas ?

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    Merci pour les avis, je teste cette raclette assez vite :lol:

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    Étant un fervent défenseur d’A24 ici (et ailleurs) depuis toujours, je ne peux que plussoyer.
    Même si ça commence un peu à changer par rapport à leur genre de prédilection (Elevated-horror) , ils ne se sont (pas encore) trop perdu…

    Je croise les doigts pour l’avenir.

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    @Mister158 a dit dans «Squid Game» : un 1, 2, 3 soleil sur les Champs-Elysées le 1er décembre :

    squirt game ???

    va falloir éponger alors !

    Qui à dit Squirt ???

  • Betaseries

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    @Eisy ah oui c’est vrai qu’ils ont ajouté une mini section films avec bcp moins d’options ( certains la demandaient).
    mais perso je ne m’en sers pas du tout, je suis à 0 film haha:p

    oui plusieurs favoris, six feet under aussi, the wire, Urgences, Bron, faudrait d’ailleurs que je mette un peu à jour cette liste tiens, genre avec Severance, Babylon Berlin…

    l’avantage c’est que tu peux paramétrer vraiment plein de choses, en fonction de tes envies.

    Quand tu ajoutes des séries, surtout quand tu débutes, tu peux aussi mettre toute une saison ou toute une série vue d’un coup, et heureusement.
    J’espère que tu trouveras quelques trucs sympas à mater!:)

    ps: ajouté aussi:)

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    les plateformes pour moi ya que canal + :smile:

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    Sinister Un des derniers bon film d’horreur 👍

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    Quand un salon devient l’épicentre d’une fabuleuse odyssée temporelle

    Un plan pour tous, tous les plans pour un. C’est l’histoire d’un voyage unique à travers le temps — on voit même des dinosaures! L’histoire de familles dont les peines, les joies et les moments de doutes se font écho à travers les générations.

    Maudits soient les films. Coutumier des expérimentations visuelles dans les œuvres les plus récentes de sa filmographie, Robert Zemeckis en dévoile un grossissement dramaturgique audacieux et ludique avec Here, adapté de la bande dessinée Ici de Richard McGuire. Lequel est rythmé par un dispositif à cases qui capte plusieurs instants de vie, sur différentes époques de l’Histoire, avec différents personnages, depuis le point de vue d’un seul et même angle, et dont hérite ici la mise en scène de ce film. D’une route menant à un manoir en passant par un salon aménagé maintes et maintes fois jusqu’ une forêt ravagée par le feu de l’ère jurassique„. Mais c’est par petites touches numériques que le film va se révéler davantage, imbriquant des cases les unes sur les autres pour mieux faire transparaitre l’hybridité de cette véritable machine à explorer le temps, telle une captation en direct par effet du filmage. Un live des Beatles à la télévision peut alors rencontrer une période plus ancienne, un dégât des eaux présage la perte des eaux dune mère prête à accueillir son nouveau-né, et un fauteuil convertible révolutionnaire va occuper le même espace qu’un canapé en coin.

    La multiplication par l’effet d’unicité, un rapport aux images et à leurs croisements synonymes d’exploration, où la simple faculté de regarder ne cantonne plus le spectateur à son seul rôle d’observateur, mais le pousse à devenir acteur de son propre regard. Une case apparaît et une autre peut autant se suspendre sur ou en dessous delle, greffant la bande dessinée et le cinéma par d’étonnants effets de relief et, surtout, de miroitements entre les différentes situations, époques et histoires. Le film devient de plus en plus proliférant par la substance multiple accordée par la mise en scène, et parvient sans difficulté à raconter à la fois une histoire du temps, mais aussi une histoire de famille gangrénée par la malchance et l’abandon d’ambitions personnelles et familiales. Plus bouleversant encore, le film distille à mesure qu’il avance une esthétique de l’oubli, où la maladie d’Alzheimer qui frappe le personnage joué par Robin Wright croise des images témoins et référentes d’une autre époque, notamment un rocher sur le coin inférieur droit qui fait référence à une période préhistorique. Une fabrique de trajets allers-retours des images qui bouleverse, aussi par l’importance accordée à des références à une période ou même à un simple repère dans le cadre.

    L’exploration temporelle n’est alors qu’une vaste exploration esthétique, où même la question du déplacement des personnages ou des objets au sein même de cet angle de prise de vue porte avec elle son lot d’occurrences et la raison d’un flux ininterrompu. L’exemple parfait est celui du canapé. Dans toutes les époques, tous les personnages sont, à un moment donné, assis et allongés sur un support. Et cette assise du temps sur l’image, de l’angle unique sur la mise en scène, vient puiser sa transformation et l’émotion de son histoire en ce fameux point de passage, propre à tout flux d’images: le canapé, donc.

    Le fauteuil amovible inventeur plein aux as devient le fauteuil placé en face de la télé. Le fauteuil devient aussi canapé, qu’il faut à tout prix changer, car témoin temps passé. Celui-ci aurait pu être le rocher sur lequel les premiers hommes ont pu s’accoupler, ou le coussin d’une calèche où l’on parle d’ambitions politiques. Le canapé devient classy et moderne, possiblement divisible en plusieurs fauteuils par ailleurs. Avant que deux canapés bien blancs et bien propres ne soient placés l’un face à l’autre, dans l’époque la plus proche de la nôtre. Le canapé est convertissable, il est aussi le lieu de consignes d’un père afro-américain à son fils pour bien se comporter face à un policier en cas de contrôle, le lieu de la première relation sexuelle du couple principal du film…

    Ce sont aussi deux chaises simples et mornes, placés au cœur pièce vidée de toute substance, théâtre du départ et de l’arrivée de cette exploration visuelle, et qui vont donner vie au tout dernier mouvement du film: autant au sens propre que figuré, puisque la caméra, à son tour, cherchera à remplir le vide de l’existence par quelques larmes placées sur les joues du souvenir d’un visage bercé par le bonheur. Encore une fois, l’idée de remplir cet a priori du vide par une multitude de sens amovibles en tout temps, comme lorsqu’on monte un puzzle, reproduit son regard sur une toile peinte, montre une première imagerie à un enfant. Ou tout simplement lorsqu’on est permis, un tant soit peu, de se souvenir.

    – Source : https://www.chaosreign.fr/here-les-plus-belles-annees-de-notre-vie-critique-film-robert-zemeckis-quand-un-salon-devient-lepicentre-dune-fabuleuse-odyssee-temporelle/

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    @Violence a dit dans [Critique] Mad Fate & City Of Darkness (Soi Cheang) :

    Maté hier soir en vosten.

    Pas mal ce Mad Fate 😉

    Rematé en vostfr. J’aimes toujours autant 😉

  • Pères-Noël tueurs (Films)

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    Pareil, dès que j’ai vu les commentaires sur une google trad faite, j’ai préféré m’abstenir.