@ALRBP
navré, je ne cherchais pas à établir une comparaison mais simplement à souligner que notre choix peut facilement nous être retiré par autrui quel que soit le cas de figure, il est donc important à mes yeux de définir un cadre auprès de notre entourage car même la rédaction de directives anticipés perd toute valeur en France au delà d’un délai qui me semble assez court.
Dans le cas de Vincent Lambert ce choix pourtant affirmé auprès de sa compagne lui a été retiré par sa propre mère et certains tribunaux.
Dans le cas du soldat (au bénéfice du doute pour le médecin) n’avait il pas exprimé auprès de sa famille voir même ce qui serait logique en circonstance de guerre sous forme d’une directive rangé sur sa personne des souhaits spécifiques)?
Je retombe donc simplement sur l’idée que pour tous il est important de définir ce cadre, ses directives, avec le soutien de qui de droit.
Cela ne traite pas simplement de l’euthanasie qui n’est pas prêt de se voir retiré du champ des tabous quoi que l’on dise mais aussi de l’acharnement médical.