Arrêter la clope(où autre addiction), c’est facile… Ce qui est difficile, c’est de ne pas recommencer.
Content d’avoir réussi à arrêter (à ne pas recommencer) vu le merdier que c’est 
Ils surfent sur les vagues magnétiques du partage et naviguent à travers les flots du P2P, toujours à la recherche du ratio parfait. Leur devise : "Un bon torrent ne meurt jamais, il se partage à l’infini"
Arrêter la clope(où autre addiction), c’est facile… Ce qui est difficile, c’est de ne pas recommencer.
Content d’avoir réussi à arrêter (à ne pas recommencer) vu le merdier que c’est 

L’enjeu de l’utilisation des terres rares est crucial : industriel, technologique, géopolitique, économique, environnemental et sanitaire. Le CNRS a lancé une initiative pour établir l’état des connaissances scientifiques sur leur utilisation, les possibilités d’usages plus sobres, leur recyclage ainsi que de l’amélioration de leurs modes d’extraction.
Les « éléments de terres rares » (ETR), ou plus couramment nommés terres rares, sont quasiment partout dans nos appareils technologiques, du smartphone aux avions en passant par les voitures électriques mais surtout les éoliennes offshore.
Plus précisément, on les retrouve dans les aimants permanents des écouteurs intra-auriculaires, des véhicules électriques et des éoliennes offshore ou dans les poudres de polissage pour les verres optiques (lentilles, écrans plats, smartphones, etc.) ou les semi-conducteurs. Mais aussi dans les anodes des batteries NiMH utilisées dans les voitures hybrides ou les matériaux luminescents utilisés pour les LED de lumières blanches. D’autres usages existent aussi, même s’ils sont plus faibles : dans certains verres, dans les agents de contraste pour l’imagerie médicale ou comme catalyseurs dans l’industrie chimique.
L’accès à ces matériaux est rendu de plus en plus compliqué par les tensions géopolitiques, les enjeux commerciaux internationaux et même des négociations en temps de guerre.
Le CNRS a décidé de lancer une initiative pour faire le tour des connaissances scientifiques sur ces matériaux, de leurs usages, des éventuelles façons de s’en passer ou du moins de les utiliser en quantité réduite ou de les recycler. Le centre de recherche publie ainsi un document de 84 pages sur le sujet [PDF] mobilisant une équipe de 14 expertes et experts principaux aussi bien chimistes que géologues, écotoxicologues, philosophes, sociologues, juristes ou physiciens.
Ils y rappellent d’abord que ces 17 éléments chimiques sont des matériaux stratégiques et critiques, mais la plupart sont relativement abondants dans la croûte terrestre. Seul le scandium ne se trouve pas avec les autres ETR dans les environnements géologiques. « Il représente donc des ressources et des marchés distincts », expliquent les chercheurs qui l’ont exclu de leur étude.
« En 2017, les ressources mondiales en ETR sont estimées à 478,14 millions de tonnes (Mt) “d’oxydes d’ETR équivalents” ». On parle en « oxydes d’ETR équivalents » de façon standardisée même si les ressources ne contiennent pas d’oxydes d’ETR réellement produits. Mais, sur ces 478,14 millions de tonnes, en 2025, environ 100 millions de tonnes sont des ressources réellement exploitables (appelées réserves en géologie).
Elles sont réparties inéquitablement sur le globe avec deux pays qui concentrent les réserves : la Chine (44 %) et le Brésil (21 %) :

D’où les capacités importantes de la Chine à imposer des restrictions mais aussi de drastiquement augmenter sa production comme depuis 2019 :

Les chercheurs expliquent que nos besoins en ressources « ne peuvent être assurés uniquement par une relance de l’extraction sur le territoire national » et proposent donc « des usages plus responsables, qui réduisent notre dépendance à des approvisionnements étrangers », avec trois pistes : réduire, recycler, extraire autrement.
Concernant la réduction de leur utilisation, les chercheurs remarquent que les terres rares ne sont souvent pas indispensables pour le fonctionnement du produit dans lequel ils sont utilisés. Elles peuvent « faire l’objet d’une substitution dans la plupart des usages mais souvent au prix de compromis sur les performances des matériaux et dispositifs ».
[…]
Suite réservée aux abonnés : next.ink
L’abonnement dans nos pays occidentaux ne cesse de monter, là ça leur fera un vrai argument, pour une fois ils auront un vrai argument. 
Autant je suis contre la démultiplication des offres de streaming légales, qui reviennent bien plus cher que l’époque où on louait des DVD (et K7 évidemment) pour accéder à “tout” le contenu, autant je suis contre les (presque) monopoles et là ça en prend quand même bien le chemin…
HBO et Disney font encore la nique à Netfix mais pour combien de temps ? Je doute que Disney conserve encore des années son service de streaming en l’état vu le peu d’intérêt, malgré sa main mise sur SW et Marvel.
Y’a Amazon en embuscade, qui a et aura toujours les reins solides pour acheter n’importe lequel. Ça pourrait finir en 1v1…
Je comprends pas pourquoi tu ne souhaites pas tester ultra.cc, seedhost.eu, feralhosting.com, bytesized-hosting.com etc mais si tu veux louer du serveur ou VPS, vu qu’il semble que tu saches installer ça c’est mieux, alors je te recommande hetzner.com, qui est moins cher via les auctions ou oneprovider.com, broker scaleway.com (nouveau nom d’Online).
@BahBwah ensuite n’oubliez pas de connecter vos caméras de toilettes Dekoda de chez Kohler. 
@duJambon Je le dis tout net, mais qui est assez fou pour acheter cette

Alors que l’Australie s’apprête à exclure massivement les mineurs des réseaux sociaux, Meta et YouTube alertent sur les limites et les paradoxes d’une mesure inédite à l’échelle mondiale.
Le géant technologique américain Meta a annoncé, jeudi 4 décembre, commencer à supprimer les comptes des utilisateurs australiens de moins de 16 ans sur Instagram, Threads et Facebook, devançant leur exclusion généralisée des réseaux sociaux le 10 décembre − une première mondiale voulue par Canberra pour les protéger des algorithmes « prédateurs ».
« Nous mettons tout en œuvre pour supprimer tous les comptes des utilisateurs que nous estimons être âgés de moins de 16 ans d’ici au 10 décembre, mais la mise en conformité avec la loi sera un processus continu en plusieurs étapes », a déclaré un porte-parole du groupe.
Il a précisé que ces mêmes utilisateurs peuvent toujours enregistrer et télécharger leur historique en ligne. Et, « avant vos 16 ans, nous vous informerons que vous serez bientôt autorisés à retrouver l’accès à ces plateformes, et vos contenus seront rétablis exactement tels que vous les aviez laissés », a-t-il ajouté.
Le géant technologique américain Meta a annoncé, jeudi 4 décembre, commencer à supprimer les comptes des utilisateurs australiens de moins de 16 ans sur Instagram, Threads et Facebook, devançant leur exclusion généralisée des réseaux sociaux le 10 décembre − une première mondiale voulue par Canberra pour les protéger des algorithmes « prédateurs ».
« Nous mettons tout en œuvre pour supprimer tous les comptes des utilisateurs que nous estimons être âgés de moins de 16 ans d’ici au 10 décembre, mais la mise en conformité avec la loi sera un processus continu en plusieurs étapes », a déclaré un porte-parole du groupe.
Il a précisé que ces mêmes utilisateurs peuvent toujours enregistrer et télécharger leur historique en ligne. Et, « avant vos 16 ans, nous vous informerons que vous serez bientôt autorisés à retrouver l’accès à ces plateformes, et vos contenus seront rétablis exactement tels que vous les aviez laissés », a-t-il ajouté.
Le gouvernement australien a reconnu que l’interdiction serait loin d’être parfaite au début et que certains jeunes Australiens passeraient entre les mailles du filet avant que le système ne soit amélioré. Le premier ministre australien, Anthony Albanese, a qualifié les réseaux sociaux de « plateformes de pression sociale, vectrices d’anxiété, un outil pour les arnaqueurs et, pire que tout, pour les prédateurs en ligne ».
Les opérateurs en infraction s’exposeront à des amendes de près de 28 millions d’euros sans « avancées raisonnables » pour se mettre en conformité. Cependant, ce concept n’a pas été clairement expliqué par les autorités.
La ministre des communications australienne, Anika Wells, a qualifié la position de l’entreprise de « franchement étrange ». « Si YouTube nous rappelle à tous qu’il n’est pas sûr et qu’il contient des contenus inappropriés pour les utilisateurs soumis à une restriction d’âge, c’est un problème que YouTube doit résoudre », a-t-elle déclaré. Pour M<sup>me</sup> Wells, « cette loi en particulier ne résoudra pas tous les problèmes liés à Internet, mais elle permettra aux enfants de devenir plus facilement une meilleure version d’eux-mêmes ».
Source : lemonde.fr
De qualité ou suffisant pour des gens ne parlent pas anglais et ne cherchent pas autre chose (c’est exactement la même que pour des commerces IRL). Ce ne sont pas les hébergeurs de seedboxes qui manquent, qu’ils soient chers et peu modernes ou l’inverse.
Bonne continuation.
@Ern-Dorr il y avait pourtant des signes avant-coureur. 
@Ern-Dorr a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
“labellisation” de l’information.
ça c’est en train de lui revenir en pleine gueule, et je pense que certains ont du le lui dire, mais vu que le poudré est plus intelligent que tout le monde, il n’en a pas tenu compte.
Quand à la commission sur l’audio visuel publique, elle est en train de déterrer certains travers et cachotteries des plus savoureux.