On ne se moque pas de ces choses là.
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@Mister158 S’il n’y avait que les jeunes… pour eux c’est du mauvais apprentissage, mais ça se corrige à coup de baignes le plus souvent.
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@Mister158 tu l’as fait comment ton copier-coller ?
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@Raccoon PTDR
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@Pluton9 a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
mais ça se corrige à coup de baignes le plus souvent
Si certains ne portent pas plainte avant lol
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@Psyckofox Je parle des baignes de leurs conquêtes. Une de mes connaissance a rencontré un de ces énergumènes élevé au pornhub dans une soirée. Il l’a prise par les cheveux et dit quelques paroles choisies. Elle lui a mis un grand coup de pied dans les roustons et son sac dans la tronche. Je pense que celui là va aller chercher son inspiration sur Disney+ dorénavant.
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Un boss de la mafia s’évade d’une des prisons les plus sécurisées d’Italie avec des draps de lit
Le patron de la mafia Marco Raduano est devenu l’homme le plus recherché d’Italie après sa spectaculaire évasion vendredi dernier. Sa fugue, filmée par les caméras de surveillance, n’a rien à envier à la célèbre série Prison Break. La vidéo montre l’homme de 39 ans dévaler la pente d’un mur à l’aide de draps noués les uns aux autres, avant de prendre la poudre d’escampette. La prison de Badu ‘e Carros, située dans la ville de Nuoro en Sardaigne, est pourtant connue pour ses mesures de sécurité extrêmes.
Voir la vidéo sur le site: https://www.7sur7.be/faits-divers/un-boss-de-la-mafia-sevade-dune-des-prisons-les-plus-securisees-ditalie-avec-des-draps-de-lit~aac6327f/
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Poutine signe une loi interdisant l’utilisation de mots en langue étrangère
Vladimir Poutine a signé mardi une loi interdisant l’utilisation de mots en langue étrangère, rapportent les agences de presse Tass et Ria Novosti. Seuls les mots qui n’ont pas d’équivalent en russe seront conservés dans la langue russe.
La chambre basse de la Russie, la Douma, avait déjà approuvé cette mesure drastique en décembre. L’intention de la loi est de “protéger la langue et la culture russes”. Plus précisément, la présence de mots et d’expressions en langue étrangère constituerait une “menace”.
What the fuck ?
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Histoire d’être plus précis.
Le président russe Vladimir Poutine a signé ce mardi une loi ayant, entre autres, pour effet d’interdire l’utilisation de mots étrangers quand la langue russe est employée comme langue d’État
C’est-à-dire dans la culture, l’éducation, les médias et les administrations.Perso je n’y vois rien de très choquant.
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@Pollux Moi non, plus d’autant plus qu’ici (en suisse), on parle officiellement 4 langues, alors on a déjà l’embarras du choix… Mais je n’ai pas vu l’info dans l’article de 7 sur 7 (ou je l’ai loupée).
Mais cette mesure visait peut-être l’ukrainien pour les territoires conquis ?
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Avec 208 entrées le jour de sa sortie, le film de BHL “Slava Ukraini” ne trouve pas son public
Le film de Bernard-Henri Lévy et du photographe de guerre Marc Roussel est un carnet de bord qui consigne les “petits et grands événements” du pays en guerre où le philosophe se met en scène.
Dire que le dernier film de Bernard-Henri Lévy “Slava Ukraini” (“Gloire à l’Ukraine”), sorti en salle mercredi 22 février n’est pas un succès commercial, est un euphémisme. Pour son premier jour d’exploitation, il ne se classe que 11e film sur 14 sorties dans les cinémas français.
Il n’enregistre même que 208 entrées pour le jour de sa sortie, ce qui fait très peu au regard des très nombreux entretiens réalisés dans la presse pour présenter son œuvre, coréalisée avec le photographe de guerre Marc Roussel. Loin, très loin des 64 923 entrées de “The Fabelmans”, de Steven Spielberg ou des 38 491 entrées du film d’Eric Besnard “Les Choses simples”.
Des commentaires affligés
Le documentaire très engagé suit Bernard-Henri Lévy dans un périple auprès des militaires qui combattent sur les fronts est et sud et de la population ukrainienne. En casque et gilet pare-balles ou en chemise blanche au col ouvert, le philosophe obtient des témoignages poignants ou dresse des portraits plutôt bien ciselés. Mais pas au goût du public manifestement.
Les rares commentaires du film ne sont pas très encourageants. “Trop loin des lieux de combats”, “une voix off lente, mal interprétée”, “un documentaire ridicule”, un “mauvais reportage sans nuance et partisan”… La plupart des critiques sont très sévères mais une poignée vient évoquer “un chef-d’œuvre”, un “incroyable road-trip” ou encore un “film fort, poignant, qui déroule la tragédie vécue en Ukraine…”
BHL habitué des flops
Mais BHL n’en est pas à son premier mauvais coup. Il est, d’un point de vue cinématographique, un habitué des flops. En 1997, son premier filme “Le jour et la nuit”, qui met notamment en scène sa femme Arielle Dombasle et la légendaire actrice américaine Lauren Bacall n’enregistre que 73 147 entrées dans toute la France. En 2010, un long métrage est l’objet même d’un documentaire réalisé par Carole Mathieu et Thierry Humbert, intitulé “Autopsie d’un massacre”.
Pire, en 2012, BHL réalise un film sur son engagement en Libye pour la chute de Kadhafi. “Le Serment de Tobrouk” est même présenté en sélection officielle lors du festival de Cannes, hors compétition, mais sera très vivement critiqué. Niveau fréquentation, le naufrage est consommé avec 2 450 entrées, selon Allociné. Dans un autre registre, la pièce de théâtre “Hôtel Europe” en 2015 a dû être déprogrammée faute de public…
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C’est sa façon de faire et de se mettre en avant en mode reporter.
Il se la joue du genre “J’étais ici, je suis parti là, j’ai parlé avec ci, j’ai vu ça” en mode mielleux en la jouant pathos.
Il gaze très sérieusement et quand on voit que son film “Le serment de Tobrouk” était une propagande pour la chute de Khadafi et qu’aujourd’hui on sait tous ce qu’il en est de ce pays, qu’il aille au diable lui se prétendant anti guerre (un hypocrite au double discours). -
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En Tunisie, le racisme du président Kaïs Saïed fait fuir ces migrants subsahariens
Depuis les propos racistes du président tunisien, de plus en plus de migrants subsahariens subissent des attaques et tentent de rentrer dans leur pays d’origine.
TUNISIE - « Je ne peux pas rester ici… Après toutes les choses que je vois, j’ai envie de rentrer chez moi. » L’homme qui se désole ainsi s’appelle Moumin Sow, et il est interrogé devant les bureaux de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) à Tunis. Comme lui, de nombreux migrants subsahariens tentent ces jours-ci de quitter la Tunisie en réaction aux propos racistes tenus par le président tunisien Kaïs Saïed, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en haut de l’article.
Le 21 février dernier, lors d’une réunion du Conseil de sécurité national, le chef de l’État tunisien a effectivement prôné la mise en place de « mesures urgentes » contre l’immigration clandestine de ressortissants de pays d’Afrique subsaharienne. Et d’affirmer que leur présence en Tunisie est source de « violence, de crimes et d’actes inacceptables ».
Au cours de cette réunion, il a même soutenu que cette immigration relevait d’une « entreprise criminelle » ayant pour but de « changer la composition démographique de la Tunisie » afin qu’elle soit considérée comme un pays « africain seulement » et ainsi estomper son caractère « arabo-musulman ». Des propos qui ont choqué et qui rejoignent très clairement la théorie complotiste du « grand remplacement », malheureusement trop bien connue des sociétés occidentales.
Car en réalité, les migrants originaires d’Afrique subsaharienne ne représentent qu’une infime portion de la population tunisienne. D’après le Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES), ils ne seraient que 21 000 sur une population de plus de 12 millions d’habitants.
Sauf que depuis le discours de Kaïs Saied, les agressions contre les ressortissants d’Afrique subsaharienne se sont multipliées, au point que ces derniers sont de plus en plus nombreux à se rendre dans l’ambassade de leur pays d’origine pour être rapatriés.
Un grand nombre de ces 21 000 individus, pour la plupart en situation irrégulière, ont perdu du jour au lendemain leur travail (généralement informel) et leur logement depuis le discours. D’autres ont été arrêtés pour des contrôles policiers et certains ont témoigné d’agressions physiques.
« Les bailleurs nous mettent dehors. On nous frappe et on nous maltraite. Pour plus de sécurité, nous préférons venir à notre ambassade pour nous inscrire pour rentrer en Côte d’Ivoire », raconte Wilfrid, un Ivoirien qui souhaite se faire rapatrier.
Une cinquantaine de Guinéens sont déjà arrivés mercredi 1er mars à Conakry. Il s’agit du premier vol de rapatriement organisé depuis le discours du président tunisien. « La situation est très, très difficile en Tunisie. Nous vivons dans l’enfer, on ne sort pas. Même les gens qui ont des papiers ont peur de sortir », raconte Alsény Barry, rentré en Guinée grâce à ce vol de rapatriement.
Plusieurs États d’Afrique subsaharienne ont annoncé des rapatriements pour les volontaires. Mais l’organisation de ces vols retours est retardée par les « pénalités que doivent payer les personnes ayant dépassé les délais de séjour » qui s’élèvent souvent à plus 1 000 euros, a indiqué un diplomate ivoirien.
Il n’en reste pas moins que près de 300 Maliens et Ivoiriens seront rapatriés ce samedi 4 mars. 145 ressortissants ivoiriens prendront notamment place au petit matin sur un vol d’Air Côte d’Ivoire, parmi les plus de 1 100 candidats au retour qui se sont déjà fait connaître. Et 150 Maliens partiront dans la foulée après le chef de la junte au pouvoir au Mali a ordonné d’affréter un appareil pour leur permettre de quitter Tunis.
Vendredi, à proximité de l’ambassade de Tunisie à Paris, plusieurs dizaines de personnes, notamment des ressortissants de pays ouest-africains, ont manifesté pour dénoncer le « racisme » en Tunisie.
« C’est très grave, ce qui se passe en ce moment en Tunisie », a déclaré à l’AFP Ba Demba, de la Coordination des sans-papiers, une des associations organisatrices, aux côtés d’organisations de la société civile tunisienne.
« Kaïs Saïed a-t-il oublié que la Tunisie est en Afrique ? », s’est indignée Charlène Zohona, une Ivoirienne ayant vécu en Tunisie. « J’ai quatre amies là-bas qui sont cloîtrées chez elles et n’osent même plus sortir de peur d’être attaquées », a-t-elle poursuivi, estimant que la « situation déjà difficile » avait « empiré depuis les déclarations » du président tunisien.
Pour preuve, Ange Séri Soka, responsable d’une association de ressortissants ivoiriens en Tunisie, rentré à Abidjan cette semaine, va même jusqu’à parler d’une « prison à ciel ouvert » pour les migrants venus d’Afrique subsaharienne.
Tout ça pour 21000 migrants au total…
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@duJambon ben oui y’en a qui ont de l’argent à perdre … même à jetter par les fenêtres !!!
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@Mister158 a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
même à jetter par les fenêtres !!!
Ou contre les murs
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Écrire en “FALC”, pour que tout le monde comprenne de quoi on parle
L’acronyme pour «facile à lire et à comprendre» est la nouvelle tendance dans les institutions culturelles, également en littérature.
C’était: L’explication en FALC pour les nulls susceptibles…
source: https://www.tdg.ch/ecrire-en-falc-pour-que-tout-le-monde-comprenne-de-quoi-on-parle-369744891736
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What a falc…je sors directos