

Ils pensent différemment… mais surtout plus cher. Ils traversent le forum avec élégance, laissant derrière eux une traînée de design épuré et de câbles propriétaires. Convaincus que l’univers est mieux en Retina Display.


La meilleure solution c’est de réinitialiser le mot de passe à l’aide d’outils fournis dans Medicat.
Ca demande quelques manipulations, la plus compliquée (mais loin d’être insurmontable) étant d’arriver à démarrer sur la clé USB créée pour Medicat.
@azurette a dit dans [aide] windows 11 nous fait des caprices.............. :
depuis un rachat d’un pc portable msi vector 17
Je pensais aussi à de l’occasion.
C’est un PC acheté d’occasion ?
@Aurel a dit dans Comment activer le nouveau menu Démarrer de Windows 11 ? :
Windows ! Mais pourquoi faire compliqué quant on peut faire simple ?
C’est ce que j’ai toujours dit, une usine à gaz !

Bonjour @azurette, est-ce que tu as le fameux mot de passe administrateur ?
Si oui, alors tape la commande netplwiz dans le champ de recherche de la barre des tâches, authentifie-toi avec le compte administrateur. Tu vas alors arriver sur la console de gestion des comptes utilisateurs. Sélectionne le nom d’utilisateur que tu utilises quotidiennement, clique sur Propriétés et dans la nouvelle fenêtre qui apparait coche l’option pour qu’il devienne administrateur du PC. Redémarre alors ce dernier.

Si tu ne l’as pas, alors il va falloir utiliser un logiciel pour changer ce mot de passe administrateur.
Voilà un exposé clair, net et argumenté. Merci du partage.
Microsoft met fin à KMS38, la méthode qui exploitait la licence numérique pour activer Windows jusqu’en 2038. Découvrez ce qui a changé et pourquoi cette technique ne fonctionne plus.
Depuis des années, KMS2038 était devenu l’un des moyens les plus répandus pour contourner l’activation de Windows grâce à un fonctionnement interne que Microsoft n’avait jamais totalement verrouillé. Cette méthode permettait d’obtenir une activation prolongée jusqu’en 2038 sans les limites du KMS classique. Mais les mises à jour récentes de Windows changent la donne. Microsoft a enfin mis fin à cette parenthèse technique en bloquant définitivement le mécanisme utilisé par KMS38.
KMS38 désigne une méthode d’activation non officielle qui détournait la logique du système de licences de Windows pour obtenir une activation prolongée jusqu’en 2038. Contrairement au KMS classique, qui repose sur un serveur d’activation utilisé légitimement dans les environnements professionnels et dont la durée est limitée à cent quatre-vingts jours, KMS38 ne nécessitait ni serveur ni renouvellement. Il s’appuyait sur une manipulation interne de la licence numérique afin de pousser artificiellement sa date d’expiration très loin dans le temps.
| Élément | KMS | KMS38 |
|---|---|---|
| Type | Méthode officielle d’activation volume | Exploit non officiel |
| Durée | 180 jours renouvelables | Activation jusqu’en 2038 |
| Renouvellement | Obligatoire (tous les 180 jours) | Aucun renouvellement |
| Serveur requis | Serveur KMS | Non |
| Cadre légal | Autorisé en entreprise | Non autorisé |
Cette absence de renouvellement et l’utilisation d’un comportement interne non documenté ont rapidement conduit la communauté à considérer KMS38 comme un véritable exploit. Le KMS officiel s’inscrit dans un cadre d’activation strictement encadré et pensé pour les organisations, alors que KMS38 reposait sur une faille conceptuelle qui transformait une activation temporaire en une activation durable qui dépassait largement les limites du protocole standard.
Le nom KMS38 fait directement référence à l’année 2038, date à laquelle expirait l’activation générée par cette approche. Cette longévité exceptionnelle, combinée à l’absence totale de dépendance à un serveur d’activation, explique la popularité considérable de cette méthode dans la scène du cracking Windows. Pendant des années, KMS38 a été intégré aux scripts les plus utilisés et s’est imposé comme l’un des procédés privilégiés par ceux qui souhaitaient activer Windows en dehors des canaux légitimes.
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Le fonctionnement de KMS38 reposait sur une utilisation détournée de l’outil gatherosstate.exe, un composant destiné à générer un ticket d’activation lors des migrations ou des réinstallations de Windows. En modifiant la façon dont ce ticket était interprété, KMS38 parvenait à inscrire dans le système une licence numérique reconnue comme valide sans avoir à contacter un serveur KMS.
Contrairement au KMS traditionnel qui impose une vérification régulière et un renouvellement tous les cent quatre-vingts jours, KMS38 ne nécessitait aucune communication ni mise à jour. Une fois le ticket injecté, la machine restait activée pendant des décennies, sans aucune interaction supplémentaire avec les services d’activation.
Les mises à jour déployées ces dernières années ont progressivement resserré l’étau autour de KMS38 en modifiant les fondations mêmes sur lesquelles reposait cette méthode. Microsoft a d’abord initié ce mouvement en retirant gatherosstate des ISO les plus récentes, privant ainsi les outils non officiels de l’élément clé permettant de générer un ticket d’activation détourné. Parallèlement, les mécanismes de migration de licence ont été renforcés, rendant le système beaucoup moins permissif face aux manipulations qui prolongeaient artificiellement la validité de la licence numérique.

Échec KMS38 sur Windows 11 après la mise à jour de novembre 2025.
Le basculement décisif est intervenu avec les mises à jour de la fin de l’année 2025, qui ont profondément revu la manière dont Windows interprète et conserve ses informations d’activation. Ces correctifs ont définitivement éliminé le comportement interne dont KMS38 tirait parti, empêchant toute tentative de recréer une licence prolongée jusqu’en 2038. À partir de ce moment, les systèmes à jour ont cessé de reconnaître les tickets issus de cet exploit, actant la disparition d’une technique qui avait longtemps défié les mécanismes officiels d’activation.
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L’abandon définitif de KMS38 ne signifie pas pour autant la disparition de toutes les méthodes d’activation non officielles. Il est essentiel de rappeler que KMS38 reposait sur une particularité interne du système de licence numérique, particularité que Microsoft a désormais colmatée. Cette méthode tirait parti d’un comportement devenu obsolète, ce qui explique pourquoi elle s’est écroulée dès que les mécanismes profonds de validation ont été modifiés.
Les approches fondées sur le protocole KMS traditionnel continuent de fonctionner. Elles s’appuient sur une logique différente, et étroitement liée au modèle d’activation en volume déployé dans les entreprises. En reproduisant le comportement d’un serveur KMS, ces méthodes s’alignent sur ce que Windows attend dans un contexte professionnel. Microsoft ne peut pas les neutraliser sans toucher à la structure même des licences en volume, un terrain extrêmement sensible pour les infrastructures d’entreprise. Tant que ce socle reste inchangé, ces activations demeurent naturellement plus résilientes.
| Méthode | Nature du mécanisme | Dépendance |
|---|---|---|
| KMS38 | Détournement du ticket gatherosstate | Hors ligne, sans serveur |
| KMS (émulation) | Simulation d’un serveur KMS identique à l’activation en volume Microsoft | Nécessite l’équivalent d’un hôte KMS local |
| HWID | Attribution d’une licence numérique liée au matériel | Basée sur la Digital Entitlement |
| TSForge | Manipulation du système de tickets internes de Windows | Interagit avec certains composants du store de licences |
Il existe des méthodes qui ne relèvent pas du tout de la famille KMS comme celles basées sur la génération d’une licence numérique liée au matériel. Elles exploitent un autre pan du système d’activation, indépendant du protocole KMS et moins exposé aux évolutions visant ce dernier. Leur fonctionnement repose sur la manière dont Windows attribue, migre ou valide une licence numérique à partir d’un identifiant matériel, ce qui les place dans une catégorie à part avec leurs propres limites et dépendances techniques.
Source : assistouest.fr
Comme disait Napoléon, « faut pas croire tout ce qu’on lit sur Internet »

N’ayons pas peur des mots, nous sommes dans une « merdification » importante de l’information. Le phénomène n’est pas nouveau, mais il prend de l’importance sur les réseaux sociaux et avec l’IA générative. La balle est dans le camp des internautes.
Enshittification ou merdification a été élu mot de l’année 2024 par le dictionnaire d’anglais australien Macquarie. Sa définition : « détérioration progressive d’un service ou d’un produit, en particulier d’une plateforme en ligne, provoquée par une réduction de la qualité du service fourni résultant de la recherche de profit ».
Ce terme s’applique parfaitement à l’information en ligne. Le phénomène n’est pas nouveau, mais il est de plus en plus inquiétant. Un bon terreau de cette merdification est la course à l’information. Il ne faut pas confondre vitesse et précipitation ; les exemples sont malheureusement nombreux et la situation se répète inlassablement.
Sur Internet, cette course à l’information va (malheureusement) de pair avec celle de l’audience. La raison est simple : la publicité, dont les revenus sont directement liés au nombre de visiteurs (les fameux visiteurs uniques ou VU dans le jargon du métier) ou de pages vues. D’une information claire et objective, on dérive depuis longtemps vers des titres putaclicks, des fake news et, de plus en plus, un mélange des deux.
Avec la merdification de l’information, le phénomène va plus loin. Les gens (et pas uniquement les jeunes) s’abreuvent maintenant sur les réseaux sociaux et s’informent par le prisme de certains influenceurs. Pour reprendre les inconnus : « y’a le mauvais chasseur [d’information] : y voit un truc qui bouge, y tire. Le bon chasseur : y voit un truc, y tire… ».
Dans l’information, c’est presque pareil, sauf que ceux qui racontent n’importe quoi sont les premiers à tirer, ceux qui enquêtent tirent plus tard. La course à l’audimat pousse une grande partie des médias à tirer le plus vite possible. L’information est fausse ? Pas « grave », une seconde sera publiée s’il y a de quoi (re)faire de l’audience, sinon elle sera limite laissée de côté.
Nous avons déjà longuement parlé de la loi de Brandolini ou « principe d’asymétrie des idioties » pour les sciences, mais cela touche désormais toutes les catégories d’information. Ne pas oublier que ceux qui racontent des idioties (pour rester poli) ne prennent pas de pincettes et foncent tête baissée, là où les chercheurs et scientifiques pèsent les conséquences et la portée de leurs mots. Deux discours, une même cible, mais pas les mêmes règles du jeu.
Combien de fois des informations ont fait les gros titres lors d’une condamnation alors que le jugement cassé en appel n’est quasiment pas évoqué ? Beaucoup trop… Combien de fois de fausses vidéos sont relayées sans jamais corriger le tir ? Beaucoup trop… Combien de fois des fuites de données inexistantes font les gros titres (et font le jeu des pirates) ? Beaucoup trop… Vous avez compris l’idée.
La situation évolue, mais pas dans le bon sens. Aujourd’hui, personnalités publiques et influenceurs ont un vrai pouvoir sur les gens et le moindre geste peut déplacer des foules. Un exemple récent avec un t-shirt vintage d’un aquarium porté par Taylor Swift. Des fans voulaient le même, l’aquarium en fait une réédition et le propose en « cadeau » pour un don à la protection des loutres. Montant de l’opération : plus de 2 millions de dollars. Rien de grave ici, au contraire, mais cela montre à quel point une idole peut faire bouger les choses.
Le problème étant que certains influenceurs poussent parfois à leur communauté des produits illégaux et/ou dangereux, au mépris des lois. L’année dernière, la DGCCRF dressait un triste bilan : sur 310 influenceurs contrôlés, 151 étaient « en anomalies ».
Les marques ont bien compris le potentiel des influenceurs et l’océan (plus ou moins grand) de poissons à attraper. Rappel : vous êtes le poisson. Pour vous attraper, marques et/ou influenceurs passent parfois la ligne rouge puisque la mention d’un partenariat commercial n’est pas toujours indiquée.
De l’information consommée par certains sur les réseaux sociaux, on se retrouve à avoir des messages publicitaires, que ce soit pour des produits ou des idées (politiques). Les influenceurs s’invitent aussi dans la vie politique et vice-versa, cela soulève d’autres questions sur l’information politique diversifiée. Si la télévision et la radio sont dans le viseur de l’Arcom, le web et les réseaux sociaux sont encore laissés de côté.
Le sujet de la régulation ne bouge pas vraiment alors qu’en mars prochain auront lieu les élections municipales, puis les présidentielles en 2027. Il y a de quoi être inquiet, d’autant que la génération des enfants nés dans la seconde moitié des années 2000, qui ont donc grandi avec les réseaux sociaux, sont désormais en âge de voter.
L’IA générative est aussi un problème, qui fait des dégâts dans les médias. Dernier exemple en date, ce qui était présenté comme le projet « sky stadium » de l’Arabie saoudite. Une vidéo montrant ce que devait être un stade à 350 mètres d’altitude était fausse, comme l’indique l’AFP Factuel.
[…]
Article complet : next.ink
@Aurel Je me souviens de son retour, suivra l’iMac G3, et le succès qu’on connaît, les ordinateurs Apple sont devenus beaux et le sont restés jusqu’en 2021. 