Incidents chez Boeing : un deuxième lanceur d’alerte est mort, après une infection subite
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Bloqués jusqu’en 2025
Mais tout fonctionne bien hein
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J’espere qu’ils ont assez de PQ
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Un nouveau rapport révèle que les fusées de Boeing sont construites avec une main-d’œuvre non qualifiée
(c’est surement pareil pour les avions)
La NASA refuse de pénaliser Boeing pour ces manquements.
Le programme de la NASA visant à développer un nouvel étage supérieur pour la fusée Space Launch System a sept ans de retard et dépasse largement le budget, selon un nouveau rapport de l’inspecteur général de l’agence spatiale. Cependant, au-delà de ces gros titres, il existe également des informations révélatrices sur le maître d’œuvre du projet, Boeing, et ses mauvaises pratiques de contrôle qualité.
Le nouvel étage supérieur d’exploration, un deuxième étage plus puissant pour la fusée SLS qui a fait ses débuts fin 2022, est considéré par la NASA comme un élément clé de son programme Artemis visant à ramener les humains sur la Lune. Le plan actuel prévoit l’utilisation de ce nouvel étage supérieur à partir du deuxième alunissage, la mission Artemis IV, actuellement prévue pour 2028. Dans le langage de la NASA, la version améliorée de la fusée SLS est connue sous le nom de Block 1B.
Cependant, pour de nombreuses raisons, notamment l’état de préparation des atterrisseurs lunaires, le matériel Lunar Gateway, une nouvelle tour de lancement mobile, etc., il est peu probable que la NASA respecte cette date. Désormais, sur la base des informations contenues dans ce nouveau rapport, nous pouvons probablement ajouter l’étage supérieur d’exploration à la liste.
“Nous avons découvert toute une série de problèmes qui pourraient entraver la préparation du bloc SLS 1B pour Artemis IV, notamment le système de gestion de la qualité inadéquat de Boeing, l’escalade des coûts et des calendriers, et une visibilité insuffisante sur les coûts projetés du bloc 1B”, indique le rapport, signé par l’inspecteur général adjoint de la NASA. , George A. Scott.
Le contrôle qualité est une préoccupation
Le rapport contient des détails surprenants sur les pratiques de contrôle qualité de Boeing à l’usine d’assemblage de Michoud, dans le sud de la Louisiane, où l’étage supérieur d’exploration est fabriqué. Les observateurs fédéraux ont émis un nombre impressionnant de « demandes d’actions correctives » à Boeing.
“Selon les responsables de la sécurité et de l’assurance de mission de la NASA et les responsables de la DCMA de Michoud, les problèmes de contrôle qualité de Boeing sont en grande partie dus au manque d’expérience de sa main-d’œuvre en matière de production aérospatiale”, indique le rapport. “Le manque de main-d’œuvre formée et qualifiée augmente le risque que l’entrepreneur continue à fabriquer des pièces et des composants qui ne respectent pas les exigences de la NASA et les normes de l’industrie.”
Ce manque de main-d’œuvre qualifiée a entraîné des retards importants dans les programmes et une augmentation des coûts. Selon le nouveau rapport, des opérations de soudage « insatisfaisantes » ont abouti à des réservoirs de carburant non conformes aux spécifications, ce qui a directement entraîné un retard de sept mois dans le programme.
L’inspecteur général de la NASA était suffisamment préoccupé par le contrôle de la qualité pour recommander que l’agence spatiale institue des sanctions financières en cas de non-conformité de Boeing. Cependant, en réponse au rapport, l’administratrice associée adjointe de la NASA, Catherine Koerner, a refusé de le faire. “La NASA interprète cette recommandation comme ordonnant à la NASA d’instituer des sanctions en dehors des limites du contrat”, a-t-elle répondu. “Il existe déjà des autorisations dans le contrat, telles que des dispositions sur les frais d’attribution, qui permettent des conséquences financières en cas de non-conformité aux normes de contrôle qualité.”
Le manque d’enthousiasme de la NASA à pénaliser Boeing pour ces problèmes ne contribuera pas à donner l’impression que l’agence traite certains de ses sous-traitants avec des gants.
Sept ans de retard
Le nouveau rapport prévoit que les coûts de développement du bloc 1B atteindront 5,7 milliards de dollars avant son lancement final, soit déjà 700 millions de dollars de plus que l’estimation des coûts établie officiellement par la NASA en décembre dernier.
Quant à l’étage supérieur lui-même, la NASA avait initialement prévu que les coûts de développement s’élèveraient à 962 millions de dollars en 2017. Cependant, le nouveau rapport prédit que l’étage supérieur d’exploration coûtera en réalité 2,8 milliards de dollars, soit trois fois l’estimation initiale. (Pour ce que ça vaut, Ars a utilisé un simple outil d’estimation en 2019 pour prédire que le coût de développement de l’étape supérieure d’exploration serait de 2,5 milliards de dollars. Ce n’est donc pas comme si c’était un énorme secret que la NASA et Boeing allaient exploser le budget ici).
Les retards dans le développement de l’étape supérieure d’exploration sont presque d’année en année.(il faut toujours faire les plannings sur papier avec des punaises et des élastiques, c’est bien connu. Et dans certains cas, avec une échelle logarithmique).
Cependant, l’augmentation des coûts profitera à Boeing, puisqu’il s’agit d’un contrat à prix coûtant majoré qui paie toutes les dépenses de Boeing, plus des frais. Cela peut expliquer pourquoi un programme de développement qui devait initialement être achevé en 2021 ne le sera probablement pas avant 2028 au plus tôt.
Et pour quoi faire ? Le système de lancement spatial fonctionne très bien tel quel. Il existe des étages supérieurs beaucoup, beaucoup moins chers qui pourraient être utilisés pour la fonction principale de la fusée, à savoir lancer le vaisseau spatial Orion en orbite lunaire, y compris l’étage supérieur fiable (et prêt) Centaur V de United Launch Alliance. Avec Starship et New Glenn, la NASA disposera également bientôt de deux fusées commerciales très puissantes et très lourdes sur lesquelles s’appuyer.
Plus c’est gros, plus ça passe.
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@Ashura Pigeon vole ! C’est bien connu
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Inspection ordonnée pour les sièges de pilotes de Boeing 787
Les sièges des pilotes de centaines de Boeing 787 vont devoir être inspectés après un incident lors duquel l’avion avait soudainement perdu de l’altitude, a annoncé lundi le régulateur américain. Propulsés au plafond, une cinquantaine de passagers avaient été blessés.
L’incident était survenu en mars sur un vol de la compagnie chilienne Latam, après une série de dysfonctionnements sur des appareils Boeing, qui ont soulevé des doutes sur les contrôles qualité de l’avionneur américain.
Les passagers dont la ceinture de sécurité n’était pas bouclée avaient été propulsés au plafond après une soudaine perte d’altitude de l’avion. Le Boeing 787 Dreamliner, opéré par la compagnie chilienne Latam, reliait Sydney, en Australie, à Auckland, en Nouvelle-Zélande.
Le régulateur américain de l’aviation civile (FAA) a demandé ces inspections après un rapport ayant fait état d’un “mouvement vers l’avant non maîtrisé du siège du capitaine qui a entraîné une descente rapide”, selon un communiqué.
Depuis l’incident, quatre autres occurrences de “mouvements horizontaux non maîtrisés” des sièges de pilotes ou copilotes ont été rapportées par Boeing à la FAA, précise cette dernière. Pour trois de ces cas, les leviers d’ajustement sur le siège étaient trop “lâches”.
Source: https://www.radiolac.ch/politique/inspection-ordonnee-pour-les-sieges-de-pilotes-de-boeing-787/
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C’est à se demander comment leurs avions font pour voler depuis des années. J’aurais plus confiance dans ce modèle là
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Ça va finir qu’ils ont être interdit de voler, le conçurent doit se frotter les mains
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Boeing suspend les vols-tests du 777X après une défaillance
Le Boeing 777X a vocation à être le plus grand biréacteur opérationnel au monde (archives). ( KEYSTONE/EPA/ALI HAIDER)L’avionneur américain Boeing a suspendu les tests en vol de son nouveau gros porteur 777X après avoir constaté la défaillance d’une pièce reliant le moteur au corps de l’appareil. Ce bicouloir a vocation à être le plus grand biréacteur opérationnel au monde.
“Durant une opération de maintenance, nous avons identifié qu’un composant ne s’était pas comporté comme prévu”, a indiqué mardi le constructeur américain, précisant que la pièce allait être remplacée.
Les équipes de Boeing étudient actuellement cet élément “et reprendront les vols-tests quand elles y seront prêtes”, selon l’entreprise.
La pièce incriminée concerne le modèle 777-9 et relie le moteur à la structure de l’avion. Les trois autres 777-9 qui sont utilisés pour des tests sont actuellement en cours d’inspection suite à l’incident, selon Boeing.
Le programme du gros porteur 777X de Boeing, présenté en novembre 2013, est le dernier-né de la famille du 777. Il a déjà été vendu à plus de 500 exemplaires, mais il n’est toujours pas entré en exploitation commerciale. Il existe en trois versions, 777-8, 777-9 et 777-8 cargo.
Son entrée en service était prévue à l’origine en 2020, mais, à cause de problèmes pendant le processus de certification, elle est désormais anticipée pour 2025. Il n’a toujours pas reçu le feu du régulateur américain de l’aviation civile (FAA).
Après avoir procédé préalablement à de très nombreux vols d’essai, Boeing a obtenu de démarrer, en juillet, des tests du 777-9 avec, à bord, des représentants de la FAA, une étape considérée comme importante.
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Les astronautes de Starliner rentreront sur terre en taxi Space X
Deux astronautes acheminés par Boeing jusqu’à la Station spatiale internationale (ISS) début juin ne pourront pas rentrer avec le vaisseau de cette entreprise qui a rencontré plusieurs problèmes en vol. Ils devront à la place revenir sur Terre avec un vaisseau de SpaceX, a annoncé la Nasa samedi.
Les difficultés en série rencontrées sur le Starliner ont conduit à cette lourde décision de ne pas utiliser ce vaisseau pour ramener Butch Wilmore et Suni Williams sur Terre. Un camouflet pour Boeing, déjà embourbé dans des déboires à répétition sur ses avions de ligne.
Initialement partis pour une mission de huit jours, ils resteront donc finalement environ huit mois dans la Station spatiale (ISS) et prendront place en février à bord d’une mission de SpaceX qui doit les ramener sur Terre.
“La NASA a décidé que Butch et Suni reviendraient avec l’équipage Crew-9 en février prochain, et que Starliner reviendrait sans équipage”, a déclaré le patron de la Nasa Bill Nelson lors d’une conférence de presse à l’issue d’un comité décisionnel samedi.
Secourus par SpaceX
En estimant que le vaisseau n’est pas assez sûr, la Nasa le condamne à rentrer sur Terre à vide.
Une mission régulière de SpaceX, nommée Crew-9, devrait donc décoller fin septembre en n’emportant que deux astronautes au lieu de quatre. Elle resterait amarrée à l’ISS jusqu’à son retour sur Terre prévu en février. Et ramènerait alors les deux naufragés de Boeing en plus des deux astronautes de Crew-9.
Boeing assurait encore au début du mois être “confiant” dans la capacité de Starliner “à revenir en toute sécurité avec l’équipage”. Mais la Nasa, extrêmement prudente depuis les accidents meurtriers des navettes spatiales Challenger et Columbia, a persisté à réclamer des analyses supplémentaires.
Coup dur pour Boeing
Cette décision écorne encore un peu plus l’image de Boeing, par ailleurs dans la tourmente après une série de dysfonctionnements sur ses avions.
La Nasa a commandé il y a dix ans à Boeing et SpaceX un nouveau vaisseau chacun pour acheminer ses astronautes vers l’ISS. Avec deux véhicules, elle souhaite ne pas se retrouver sans solution en cas de problème sur l’un ou l’autre.
Mais l’entreprise d’Elon Musk a largement battu Boeing et joue seule le rôle de taxi spatial américain depuis déjà quatre ans.
Ce premier vol de Starliner avec équipage, réalisé avec des années de retard à cause de déconvenues au cours de son développement, devait être le dernier test avant de commencer ses opérations régulières.
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à duJambon le dernière édition par patricelg
@duJambon Elon Musk doit avoir une trique d’enfer avec ce sauvetage… Et naufrage surtout de Boeing.
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Elon Musk a la trique rien qu’en voyant son reflet dans un miroir ^^ (il se baiserait lui même le bougre si c’était possible )
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@Psyckofox a dit dans Incidents chez Boeing : un deuxième lanceur d’alerte est mort, après une infection subite :
Elon Musk a la trique rien qu’en voyant son reflet dans un miroir ^^ (il se baiserait lui même le bougre si c’était possible )
Ha ha c’est tellement vrai
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SpaceX reporte une mission à cause d’une fuite d’hélium
L’entreprise SpaceX a annoncé lundi le report du lancement d’une mission spatiale, prévoyant la première sortie extra-véhiculaire privée, à cause d’une fuite d’hélium. (eux aussi)
L’entreprise SpaceX a annoncé lundi le report d’au moins 24 heures du lancement de la première mission spatiale privée prévoyant une sortie extra-véhiculaire, qui devait décoller mardi de Floride, en raison d’une «fuite d’hélium».
Quelqu’un d’autre pour récupérer les astronautes ?
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Boeing tentera de ramener sa capsule Starliner en difficulté sur Terre la semaine prochaine
Les deux astronautes qui se sont lancés sur Starliner resteront sur la Station spatiale internationale.
La NASA et Boeing procèdent aux derniers préparatifs pour désamarrer le vaisseau spatial Starliner de la Station spatiale internationale le vendredi 6 septembre prochain, en direction de l’atterrissage au port spatial de White Sands, dans le sud du Nouveau-Mexique.
Les astronautes Butch Wilmore et Suni Williams, qui étaient censés revenir sur Terre à bord du Starliner, resteront sur la station spatiale après que la NASA a décidé la semaine dernière de conclure le vol d’essai du Boeing sans son équipage à bord. Les responsables de la NASA ont décidé qu’il était trop risqué de placer les astronautes à bord du Starliner après que le vaisseau spatial ait subi des pannes de propulseur lors de son vol vers la station spatiale début juin.
Au lieu de cela, Wilmore et Williams rentreront chez eux à bord d’une capsule SpaceX Dragon au plus tôt en février, prolongeant ainsi leur séjour prévu sur la station spatiale de huit jours à huit mois. Volant en pilote automatique, le vaisseau spatial Starliner devrait quitter la station vers 18 h 04 HAE (22 h 04 UTC) le 6 septembre. La capsule allumera ses moteurs pour sortir de son orbite et cibler un atterrissage assisté par parachute à New York. Mexique à 00h03 HAE (04h03 UTC) le 7 septembre, a annoncé jeudi la NASA dans un communiqué.
Les responsables de la NASA ont terminé jeudi la deuxième partie d’un examen de préparation au vol de deux jours pour autoriser le vaisseau spatial Starliner à se désamarrer et à atterrir. Cependant, il existe des règles météorologiques strictes pour l’atterrissage d’un vaisseau spatial Starliner, de sorte que les responsables de la NASA et de Boeing décideront la semaine prochaine s’ils doivent procéder au retour vendredi soir prochain ou attendre de meilleures conditions sur la zone d’atterrissage de White Sands.
Au cours des derniers jours, les contrôleurs de vol ont mis à jour les paramètres du logiciel de Starliner pour gérer un retour sur Terre entièrement autonome sans intervention des astronautes volant dans le cockpit, a indiqué la NASA. Boeing a effectué deux vols d’essai non pilotés du Starliner en utilisant le même type d’opérations de rentrée et d’atterrissage autonomes. Cette mission, appelée Crew Flight Test (CFT), était la première fois que des astronautes étaient lancés en orbite à l’intérieur d’un vaisseau spatial Starliner et devait ouvrir la voie à de futures missions opérationnelles visant à faire tourner des équipages de quatre personnes vers et depuis la station spatiale.
Le vaisseau spatial Starliner n’ayant pas pu terminer son vol d’essai comme prévu, des questions fondamentales se posent quant à l’avenir du programme d’équipage commercial de Boeing . L’administrateur de la NASA, Bill Nelson, a déclaré la semaine dernière que le nouveau PDG de Boeing, Kelly Ortberg, lui avait dit que la société aérospatiale restait attachée à Starliner. Cependant, Boeing devra payer le coût de la résolution des problèmes de surchauffe des propulseurs et de fuites d’hélium qui ont paralysé la mission CFT. Boeing n’a fait aucune déclaration publique sur l’avenir à long terme du programme Starliner depuis que la NASA a décidé de retirer ses astronautes du vaisseau spatial pour son retour sur Terre.
Se préparer à une éventualité
La NASA est clairement plus à l’aise avec le retour de Wilmore et Williams sur Terre à l’intérieur de la capsule Dragon de SpaceX, mais le changement perturbe les opérations de l’équipage à la station spatiale. Cette semaine, les astronautes ont reconfiguré l’intérieur d’un vaisseau spatial Dragon actuellement amarré à l’avant-poste pour soutenir six membres d’équipage en cas d’évacuation d’urgence.
Avec Starliner quittant la station spatiale la semaine prochaine, Dragon deviendra le canot de sauvetage de Wilmore et Williams. Si un incendie, une collision avec un débris spatial, une urgence médicale ou autre oblige l’équipage à quitter le complexe, les astronautes de Starliner rentreront chez eux sur des sièges de fortune placés sous les quatre sièges ordinaires à l’intérieur de Dragon, où les équipages déposent généralement leur chargement pendant le lancement. et atterrissage.
Au moins un des astronautes de Starliner devrait rentrer chez lui sans combinaison spatiale pour le protéger si la cabine du vaisseau spatial Dragon se dépressurisait lors de la descente. Cela ne s’est jamais produit lors d’une mission Dragon auparavant, mais les astronautes portent des combinaisons pressurisées fabriquées par SpaceX pour atténuer le risque. Les quatre astronautes qui se sont lancés sur Dragon ont leurs combinaisons, et les responsables de la NASA ont déclaré qu’une combinaison SpaceX de rechange déjà sur la station spatiale convenait à l’un des astronautes de Starliner, mais ils n’ont pas identifié laquelle.
Une combinaison pressurisée pour l’autre membre de l’équipage du Starliner sera lancée sur le prochain vaisseau spatial Dragon – dans le cadre de la mission Crew-9 – dont le décollage est prévu sur une fusée SpaceX Falcon 9 au plus tôt le 24 septembre. Les problèmes du Starliner ont également perturbé les plans du Crew-9. mission.
Vendredi, la NASA a annoncé qu’elle retirerait deux astronautes de la mission Crew-9, dont son commandant, Zena Cardman, qui est une recrue dans les vols spatiaux. L’astronaute vétéran Nick Hague quittera le siège du pilote pour prendre la relève en tant que commandant de l’équipage-9. Le cosmonaute russe Alexandre Gorbounov le rejoindra.
La NASA et l’agence spatiale russe Roscosmos ont conclu un accord pour lancer des cosmonautes russes sur des missions Dragon et des astronautes américains sur des vols russes Soyouz vers la station. En échange du transport de Gorbunov par la NASA, l’astronaute de la NASA Don Pettit se rendra à la station spatiale à bord d’un vaisseau spatial Soyouz le mois prochain.
L’arrangement dit « d’échange de sièges » garantit que, même si Dragon ou Soyouz étaient cloués au sol, il y aura toujours au moins un astronaute américain et un cosmonaute russe sur la station, supervisant le segment de l’avant-poste de chaque partenaire, assurant la propulsion, la production d’énergie, le pointage. contrôle, contrôle thermique et autres capacités critiques pour maintenir le laboratoire opérationnel.
Je ne vous dit pas ce qu’on peut lire dans les commentaires
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@duJambon a dit dans Incidents chez Boeing : un deuxième lanceur d’alerte est mort, après une infection subite :
Je ne vous dit pas ce qu’on peut lire dans les commentaires
C’est certain! De nombreux posts ne manquent pas d’humour - noir parfois
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La Nasa retire deux de ses astronautes du prochain vol vers l’ISS
La Nasa a annoncé vendredi que deux de ses astronautes ne participeraient pas comme prévu au prochain lancement vers la station spatiale internationale (ISS) afin de permettre le retour de deux autres astronautes qui y sont bloqués depuis le mois de juin, à cause de problèmes avec le vaisseau Starliner de Boeing.
L’agence spatiale américaine a annoncé que les astronautes Zena Cardman et Stephanie Wilson ne voleront pas vers l’ISS à bord de la capsule de SpaceX Dragon avec les astronautes américain Nick Hague et russe Aleksandr Gorbunov comme annoncé précédemment.
Le lancement doit avoir lieu le 24 septembre prochain. Cette nouvelle composition de l’équipage suit la décision de la NASA de faire revenir un vol sans équipage et de lancer le Crew-9 avec deux sièges inoccupés.
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Qu’est-ce que c’est que ce bruit terrifiant venu de Starliner? La NASA n’en sait rien, alors que le vaisseau doit revenir sur Terre
Le Starliner est-il maudit? Le vaisseau spatial, amarré à l’ISS, devrait revenir sur Terre ce vendredi, sans ses passagers - le danger serait trop grand pour eux, au vu des problèmes techniques rencontrés. Ça n’est déjà pas une mince affaire de le faire revenir à vide. Mais en plus, les résidents de la station spatiale s’alarment des bruits étranges qui proviennent du vaisseau.
“Il y a un bruit étrange…”
Ils ont d’ailleurs contacté le centre spatial de Houston pour faire entendre ce bruit aux ingénieurs de la NASA, dans ce qui deviendra sans doute un des enregistrements emblématiques de l’histoire spatiale. Dans cette séquence, dont l’extrait a été rendu public et peut s’écouter ci-dessous, on peut entendre l’astronaute Butch Wilmore, qui est arrivé sur l’ISS à bord du vaisseau: “Il y a un bruit étrange qui sort du haut-parleur… Je ne sais pas ce qui le produit.”
Et après quelques manipulations, il fait entendre au personnel de Houston ce son étrange qui résonne, métallique et régulier, comme si quelque chose ou quelqu’un frappait sur des tuyaux, mais avec une précision mécanique. L’expérience est digne d’un jeu vidéo horrifique, et pourtant l’affaire est bien réelle.
Pour l’heure, ce phénomène demeure inexpliqué. “Nous allons transmettre ça à l’équipe, et nous vous communiquerons ce que nous découvrirons”, répond le centre de contrôle à l’astronaute. De quoi susciter bien des craintes et des fantasmes, mais il est probable que l’explication soit bien plus prosaïque qu’un passager clandestin ou qu’un vaisseau qui se révèlerait hanté. Mais dans l’espace, rien n’est anodin. D’autant plus que Starliner est censé revenir sur Terre fin de semaine.
Un vaisseau pas conçu pour revenir seul
Or, ça n’est pas une manœuvre simple, car le vaisseau n’a pas été conçu pour un désamarrage et un retour sans équipage vers notre planète. La NASA doit reconfigurer toute l’informatique et télécharger des mises à jour de l’ordinateur de bord pour un vol automatique. Et ce, à distance.
Starliner devrait se désamarrer de l’ISS ce vendredi 6 septembre, si tout est prêt. Mais l’agence spatiale américaine craint que le vaisseau conçu par Boeing se désaccouple mal, ou pire, qu’il abime le sas de la station.
Et il faudra encore le ramener sur Terre, sans qu’il brûle dans l’atmosphère suite à une descente trop rapide ou sous le mauvais angle. Puis il faudra qu’il se pose sans trop de dégâts et à un endroit où il sera récupérable. Et ensuite seulement, les ingénieurs pourront tenter de comprendre ce qui ne va pas avec cet engin conçu par Boeing. Quant à Butch Wilmore et Suni Williams, qui devaient passer une semaine dans l’espace, ils ne rentreront qu’en février 2025, après presque huit mois dans l’espace, et à bord d’un vaisseau de SpaceX.
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