Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
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Super Bowl 2024 : Jason Momoa parodie « Flashdance », et c’est très drôle
CHORÉGRAPHIE
•L’interprète d’Aquaman se déhanche dans une publicité au son de « What a Feeling » aux côtés de deux acteurs de la série « Scrubs »Chaque année, le Super Bowl est l’occasion de découvrir des publicités inédites ou encore des bandes-annonces de films en avant-première. La finale de la National Football League (NFL), qui se tiendra dans la nuit de dimanche à lundi à Las Vegas (Etats-Unis), ne déroge pas à la règle. Pour l’édition 2024, les téléspectateurs auront notamment droit à une publicité hilarante mettant en scène l’acteur Jason Momoa, révèle CNN.
L’interprète d’Aquaman a en effet accepté de tourner dans un spot pour l’opérateur T-Mobile aux côtés de deux comédiens de la série Scrubs, Zach Braff et Donald Faison. Dans le clip, la star américaine pousse la chansonnette et reprend la chorégraphie du film culte des années 1980, Flashdance.
Au son de la bande originale What a Feeling, Jason Momoa se déhanche et a même droit à l’incontournable douche. A la toute fin du spot, on découvre que le jet d’eau reçu par le comédien provient de sa voisine… incarnée par Jennifer Beals, l’actrice originale de Flashdance. « Je me suis éclatée, a confié cette dernière à CNN. Jason Momoa était tellement gentil, drôle et professionnel. C’était une journée de rêve ».
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@RussianFighter C’est le WE prochain le SuperBowl, enfin de dimanche à lundi les Chiefs vs 49th… je suis pour San Francisco
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@Pluton9 oui c’est bien ce que dit l’article.
“La finale de la National Football League (NFL), qui se tiendra dans la nuit de dimanche à lundi à Las Vegas”.
J’imagine que la pub est tournée et qu’elle sera diffusée officiellement ce jour là
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@RussianFighter À chaque SuperBowl, il y a une dizaine de pubs faites uniquement pour ce jour là. C’est le meilleur et le pire de ce que les États Unis peuvent proposer en spectacle. Ça va être au top si le match est bon.
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Ha la NFL (ainsi que la NBA) je matais ça gamin au temps ou ça passait à Canal + quand mister George Eddy commentait ces matchs.
Maintenant je me contente à mater juste le superbowl et le show sur Bein et me concentre + sur la NBA (non parce que plus les années passent et + je trouve la NFL barbant à mater).
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Ça se comprend @Psyckofox, ça peut être long et fastidieux. J’y ai joué un bon moment dans ma jeunesse et j’ai toujours le même plaisir à regarder les tactiques employées et les stratégies. Le show est un plus.
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@nlancien a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Sans dec’?
Cela me fait penser à feu l’excellent ratemypoo.com (2001-2019) qui maintenant redirige vers quelque chose de plus “ciblé”
Lors de sa fermeture en 2019 toutes les pages étaient redirigées vers une image de l’ancien président Donald Trump. Sous la photo de l’ancien président, la légende « La plus grosse merde » était écrite -
Que la création de ce genre de site puisse être du second degré je peux encore l’admettre.
Son succès, lui me laisse songeur. Je dois devenir un vieux con d’avant fessebook.Trompettes de la renommée vous êtes bien mal embouchées chantait Brassens
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À quand un site pour les occlusions intestinale
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Quand je lis ce genre de témoignage
« Je suis très décomplexée sur le sujet du transit, mais j’ai toujours un peu peur de mettre les gens mal à l’aise si j’en parle » explique Pauline*, 33 ans. Alors, quand une amie lui parle de l’application, elle est ravie de la télécharger aussi. Désormais, à chaque grosse commission, elle enregistre le lieu et l’heure sur Poop map. Comme le permet l’application, elle donne ensuite une note sur 5 étoiles à ses selles, les décrit avec plus ou moins de détails en commentaire, et a même la possibilité d’y ajouter une photo.
Et puisque la joie se partage, les amis qui la suivent sur l’application reçoivent une notification à chaque post, les prévenant de son passage aux toilettes. « Ça me fait mourir de rire de me dire qu’ils sont mis au courant à chaque fois », sourit Pauline.
Je me demande jusqu’à quel point il ne s’agit pas d’un racontar juste pour vendre le soi-disant fun de l’application.
Qu’on puisse parler à l’occasion de son transit, ça arrive, mais de là partager des infos dessus au quotidien voire une photo, j’ai du mal à y croire.
Je me demande aussi à quoi correspond la note sur 5 étoiles ? Une étoile c’est quand les selles sont liquides, ou au contraire l’étron bien dur ? Cinq étoiles c’est quand la dilatation de l’anus est optimale, ça glisse tout seul voire ça donne une seconde de plaisir ? J’aimerais bien qu’on m’explique. -
@Raccoon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Qu’on puisse parler à l’occasion de son transit, ça arrive, mais de là partager des infos dessus au quotidien voire une photo, j’ai du mal à y croire.
Plus grand chose ne m’étonne. Au resto les gens qui photographient et partagent ce qu’ils bouffent…
Les couples au resto qui ne se regardent qu’a travers du filtre de leur portable. etc…Tu as peut être raison, en tout cas de moins point de vue il faudrait l’espérer.
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@nlancien
Tiens, j’ai encore mieux
et le dernier juste pour rire !
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Des voleurs revendent sa Porsche, la police est impuissante
Des malfaiteurs ont revendu en Allemagne un véhicule qu’ils avaient loué à un garagiste Suisse. Ce dernier ne pourra sans doute jamais le récupérer.
L’arnaque est audacieuse et elle semble ne pas avoir de faille. Depuis plusieurs mois, Freddy*, garagiste en Valais, tente de récupérer un véhicule qu’on lui a volé. Mais rien n’y fait, ni la justice suisse, ni la justice allemande, qui a pourtant mis la main sur le véhicule dérobé, ne semblent pouvoir l’aider.
Le hic: la voiture en question, une Porsche d’une valeur d’environ 60’000 euros que le Valaisan avait louée à deux clients, a été revendue en Allemagne. Or, en vertu du code civil allemand, un bien, même volé, revient de droit à quiconque l’a payé, tant que l’acheteur est de bonne foi. Rien n’est moins sûr, selon Freddy, mais il ne peut rien y faire sans risquer gros: «Je suis persuadé que la personne qui a racheté la Porsche faisait partie de l’entourloupe. Mais les frais de procédure pour le prouver s’élèveraient à plus de 50’000 francs, et j’aurais de très faibles chances d’obtenir gain de cause.»
Un mode opératoire «extrêmement rare»
Contactée, la police cantonale valaisanne a confirmé qu’elle n’avait aucun moyen d’agir sur la restitution du véhicule à son propriétaire initial. Il y a, certes, sans doute eu un abus de confiance en Valais. Mais «le fait de revendre la voiture, c’est une autre infraction sur un autre territoire. On ne peut donc pas intervenir», a expliqué Gaëtan Lathion, porte-parole de la police cantonale.
Justice ? Où ça ? Vous avez le mode d’emploi gratuitement, en plus…
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@Clostrida a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
@RussianFighter @alain06 @Pluton9 @Popaul @duJambon
Il faut prendre en compte le langage qu’elle a entendu chez elle, dans son quartier, etc.
Y’a pas qu’elle qui craint, d’ailleurs, comme artiste, franchement…
Elle, comme elle le dit, elle essaie de se dem et si ça marche et tant que ça marche?Ouai enfin pour faire un certain type de message maybe (je cherche toujours) mais la, personne n’ose lui dire le délire.
Il y a rien artistiquement. Faut arrêter le massacre…
Ça me fait penser à Amandine du 38 ou le rappeur du 92
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Nouvel édito du Pavé que je trouve génial, allez hop je partage!:)
"Chaque culture a ses rites de passage à l’âge adulte, son moment fondateur au terme duquel l’enfant est accepté dans le monde des adultes, parfois anodin (Seijin shiki, bar-mitsvah), parfois violent et dangereux (partir chasser en solitaire dans la jungle, trouver une place en fac sur Parcoursup). De nos jours, ce qui distingue l’homme du garçonnet est le moment où il cesse d’acheter des cartes graphiques nVidia et choisit plutôt d’investir dans des actions nVidia. Au terme de la cérémonie, il ressort blindé de thunes car, poussée par la course à l’IA et la demande monstrueuse de processeurs H100, la valeur des actions du fabricant de GPU a plus que doublé en un an, la capitalisation boursière de l’entreprise dépassant désormais le billon de dollars.
Ça vous semble beaucoup ? Vous n’avez encore rien vu. Sam Altman, le toujours raisonnable président d’OpenAI, a annoncé récemment rechercher non pas un, ni deux, ni trois mais « entre cinq et sept » billions de dollars (je l’écris en chiffres pour vous aider à réaliser : 7 000 000 000 000 dollars) d’investissement pour venir à bout de la pénurie de composants qui (avec la consommation énergétique hors de contrôle) ralentit le développement de l’IA. Sa solution : bâtir toute une infrastructure de production et de déploiement de processeurs destinés à la cause, ce qui bien sûr coûterait un pognon de dingue, voire de frappadingue.
Comme l’ont fait remarquer les persifleurs qui traînent en nombre sur les réseaux sociaux, le montant demandé par Altman (rappelons qu’on parle d’investissement et pas de capitalisation) permettrait, inflation prise en compte, la réalisation de 260 fois le projet Manhattan, la construction de 70 stations spatiales internationales ou encore 22 fois la totalité du programme Apollo. Ce qui signifie ou bien qu’Altman a perdu contact avec la réalité et que jamais personne n’acceptera de lui filer autant d’argent, ou bien — et ce serait encore plus inquiétant — que la folie collective autour de l’IA a atteint un tel niveau qu’on est prêt à lui sacrifier l’équivalent de deux à trois ans du PIB français. Or je vous le dis : une civilisation qui claque une somme pareille dans des chatbots 2.0 alors qu’elle pourrait l’utiliser pour concevoir 260 armes de destruction massive est une civilisation qui a perdu le sens des priorités."
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@Zabal L’homme a une propension a financer et mettre en œuvre lui même sa destruction, si j’étais un alien en mal de chlorophylle ou de nouveaux territoires, je ne me donnerais même pas la peine d’attaquer, j’attendrais tranquillou dans mon vaisseau une bière à la main, que sa nouvelle invention fasse le travail à ma place.
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Une femme de ménage licenciée pour avoir mangé les restes d’un sandwich dans un cabinet d’avocats
Au Royaume-Uni, une femme de ménage a perdu son emploi en décembre 2023. La cause ? Elle aurait mangé un sandwich au thon laissé sur la table de réunion d’un prestigieux cabinet d’avocats situé à Londres. Un syndicat de travailleurs est monté au créneau pour défendre cette mère célibataire de 39 ans.
Licenciée pour un reste de sandwich au thon. En décembre 2023, une femme de ménage d’origine équatorienne, Gabriela Rodriguez, a été brutalement remerciée par son employeur, l’entreprise de nettoyage Total Clean, pour avoir terminé un sandwich au thon abandonné sur une table de réunion dans un prestigieux cabinet d’avocats londonien, rapporte Business Insider . Valeur du sandwich : 2 €.
Le cabinet d’avocat dément
Une fois le méfait constaté, le cabinet juridique nommé Devonshires Solicitors aurait formulé une plainte informelle à Total Clean, qui a alors décidé de licencier son employée à quelques jours de Noël. D’après nos confrères, cette mère célibataire de 39 ans nettoyait les bureaux du cabinet depuis deux ans.
Cependant, le cabinet Devonshires Solicitors a nié avoir officiellement déposé une plainte. Interrogé par le RollOnFriday , il assure ne pas avoir demandé à Total Clean que des mesures soient prises à son encontre. Un porte-parole du cabinet a souligné que c’était une « affaire privée » entre l’entreprise de nettoyage et la femme de ménage. Le cabinet a par ailleurs ouvert la porte à un retour de la femme de ménage dans ses locaux si Total Clean reconsidérait sa décision.
Des accusations de racisme
De son côté, le syndicat de travailleurs immigrés United Voices of the World a estimé que ce licenciement n’aurait jamais été prononcé si l’employée n’avait pas été d’origine latine avec une maîtrise limitée de l’anglais, relate The Guardian . Le syndicat a décidé de porter l’affaire devant les tribunaux, accusant Total Clean de « licenciement abusif et discrimination raciale directe » et le cabinet Devonshires Solicitors de « discrimination raciale directe et/ou indirecte ».
Petros Elia, secrétaire général de l’UVW, a souligné que les travailleurs étaient souvent licenciés pour des raisons insignifiantes et discriminatoires, dénonçant ainsi la situation précaire des agents d’entretien au Royaume-Uni. « Beaucoup décrivent se sentir traités “comme la saleté qu’ils nettoient”, et Gabriela est l’une d’entre elles », a-t-il martelé. L’affaire est désormais entre les mains de la justice.
Source : ouest-france.fr