Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Club Membrea répondu à Raccoon le dernière édition par
@Raccoon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Placée en garde à vue deux mois après les faits, Emilie G. avait d’abord nié toute responsabilité, espérant que la thèse de l’accident soit retenue, avant d’avouer avoir déclenché l’incendie, confondue par les traces de carburant sur la literie et les caméras de surveillance de la ville.
C’est quand même un crime prémédité dans d’affreuses souffrances pour la victime.
Prison ferme, pas de sursis. -
Non mais faire brûler vif même un malade c’est un Finish him façon Fatility et non une mort douce ^^
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Oui, il existe plusieurs manières de le faire partir en douceur.
Je me demande ce qui a pu conduire sa petite-fille à un tel geste ?
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À part être en état d’ébriété en prenant avec du Lexomil, du Xanax et du valium…je vois pas comment tu peux pondre un plan pareil ^^
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@Raccoon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Qu’est-ce qui est le pire ?
Laisser souffrir un vieillard qui demande à en finir. Mettre le feu à un vieillard souffrant qui demande à en finir ?
Je suis pas contre le fond, mais tu avoueras que la forme…
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à michmich le dernière édition par Raccoon
@michmich ca doit laisser quelques odeurs dans la pièce.
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Avec une petite sauce aux morilles… pourquoi pas ?
Plus sérieusement, j’ai eu le droit d’être aux côtés de ma grand-mère qui approchait les huitante-dix ans lorsqu’elle était dans cet état mental de vouloir que tout s’arrête.
C’est compréhensible et euh… ya pas moyen pour la famille d’envoyer pépé faire un ptit tour à l’hosto ou une maison de retraite ?
Même si c’est pas directement chez lui que ça se passe, tu va lui rendre visite pour l’accompagner dans ces derniers moments.
Les médicos savent s’y prendre sans faire cramer l’établissement. -
L’univers James Bond est menacé par un magnat de l’immobilier
Les propriétaires de la franchise James Bond dénoncent une attaque « sans précédent » contre leur héros culte. En cause, une bataille juridique engagée par un magnat de l’immobilier, bien décidé à faire main basse sur le nom 007.
Son nom est Bond. James Bond. Enfin… pour combien de temps encore ? C’est peut être l’un des affrontements les plus inattendus de l’univers Bond. Un duel juridique entre les détenteurs de la franchise et un promoteur immobilier autrichien bien décidé à lui arracher son identité. Josef Kleindienst, fondateur du Kleindienst Group – actuellement en train de bâtir un complexe touristique pharaonique sur des îles artificielles au large de Dubaï – a en effet lancé une série de recours pour non-utilisation contre plusieurs marques déposées autour de James Bond.
En ligne de mire, des intitulés aussi emblématiques que les intitulés « James Bond », « 007 », « James Bond Agent Spécial 007» ou encore l’incontournable réplique « Bond, James Bond ». Selon le droit britannique et européen, si une marque n’est pas exploitée commercialement pendant cinq ans dans les catégories pour lesquelles elle est enregistrée, elle peut faire l’objet d’une procédure de révocation.C’est dans ce contexte que les avocats de Danjaq, la société américaine détenant les droits mondiaux du merchandising Bond avec la société britannique Eon, ont réagi avec fermeté. « Les marques James Bond font partie des plus renommées dans l’Union européenne », a souligné Rudolf Böckenholt du cabinet Boehmert & Boehmert, représentant de Danjaq (dirigée par la famille d’Albert R. Broccoli, coproducteur originel des films), dans une déclaration relayée par The Guardian. « Elles sont sous licence pour de nombreux produits de consommation, allant d’articles de luxe à des biens du quotidien. » Selon lui, les revendications de Kleindienst constituent une « attaque sans précédent ». Car loin de se limiter à une simple opération symbolique, la tentative de Kleindienst est massive. Elle concerne des classes de produits allant des voitures miniatures aux publications numériques (comics, ebooks…) en passant par les cosmétiques, voir les restaurants et autres bar à cocktails. Le promoteur ne s’est pas arrêté là, il a également déposé une demande de marque James Bond auprès de l’Office de la propriété intellectuelle de l’Union européenne. S’il a choisi de ne pas faire de même au Royaume-Uni, c’est peut-être parce que « le test d’intention d’utilisation » y est plus strictement appliqué.
Le contexte rend l’affaire d’autant plus délicate. Depuis la sortie de Mourir peut attendre en 2021, la franchise est en sommeil. Aucun acteur n’a encore été annoncé pour succéder à Daniel Craig, et le prochain film n’a toujours pas de date de sortie. La période d’inactivité approche dangereusement la plus longue jamais enregistrée entre deux volets (six ans et quatre mois). Une aubaine pour qui voudrait plaider la « non-exploitation commerciale » de la marque.
Mais le spectre d’un James Bond relégué au musée n’est qu’un leurre. La franchise, épaulée par Amazon, prépare apparemment la suite et la succession. Et ce, depuis le rachat controversé de MGM pour quelque 8,5 milliards de dollars par la compagnie de Jeff Bezos. En mars, la firme a confirmé que le prochain film serait développé par Amy Pascal (ex-présidente de Sony Pictures) et David Heyman, le poids lourd derrière Harry Potter, Barbie ou encore Paddington. Si les spéculations quant à celui qui revêtira le costume du plus célèbre espion du monde vont bon train, l’équipe de production, elle, semble bien en place.Josef Kleindienst, de son côté, maintient qu’il a des projets « prochains » pour la marque, sans entrer dans les détails. Ses intentions pourraient aller de l’exploitation sur des produits dérivés à des lieux de divertissement. Et s’il parvient à faire annuler certaines protections, rien ne l’empêcherait de lancer, disons, un bar à Martini sous licence James Bond… sans même demander la permission. La holding Danjaq a demandé un délai supplémentaire pour sa défense devant l’office européen de la propriété intellectuelle (EUIPO). Elle aura jusqu’à la mi-juin pour riposter – une extension qui, selon les règles, ne sera prolongée que dans des « circonstances exceptionnelles ». En attendant que 007 ressorte de l’ombre au cinéma, son plus grand combat pourrait bien être juridique.
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Le détenu évadé de prison dans le sac de son co-détenu libérable a été arrêté.
https://www.20minutes.fr/faits_divers/4163546-20250714-lyon-detenu-evade-prison-sac-arrete
Possible de nous montrer une reconstitution des faits pour comprendre ???
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Los Angeles: Le conducteur de la voiture folle a été inculpé
L’homme, accusé d’avoir foncé en voiture sur des badauds à Los Angeles samedi matin, blessant 30 personnes, a été inculpé pour violences volontaires avec arme.
Une voiture a foncé samedi sur un groupe de personnes rassemblées devant une boîte de nuit à Los Angeles, faisant au moins 30 blessés, et le conducteur, blessé par balle dans la confusion qui a suivi, a été inculpé pour violences volontaires, selon la police.
Le conducteur a été identifié par la police de Los Angeles (LAPD) comme s’appelant Fernando Ramirez, 29 ans, et se trouve dans un état stable à l’hôpital, où il a subi une intervention chirurgicale. Il est pour le moment inculpé de violences volontaires avec une arme potentiellement mortelle, a déclaré la porte-parole du LAPD Rosario Cervantes.
Selon des médias américains, il s’était vu refuser l’entrée dans la boîte de nuit, située à East Hollywood, juste avant les faits. L’examen d’images vidéo a établi qu’il s’agit d’«un acte intentionnel», a déclaré le capitaine du LAPD Ben Fernandes, cité par le «Los Angeles Times».
Source et plus: https://www.tdg.ch/los-angeles-le-conducteur-de-la-voiture-folle-a-ete-inculpe-274849653663
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J’espère qu’ils sont nombreux ces enquêteurs.
C’est un policier de l’Ofmin, un service d’enquête spécialisé dans la lutte des violences faites aux mineurs, qui a démasqué le pédophile en infiltrant des forums spécialisés sur le darkweb. En se faisant passer pour un potentiel complice, l’enquêteur a pu assister à toutes les discussions entre le suspect et d’autres pédophiles. Et l’homme ne cachait pas ses intentions, au contraire. Il souhaitait enlever la fille de ses voisins, âgée de 10 ans, à la sortie de l’école. Il entendait ensuite la séquestrer quelques jours pendant lesquels il comptait la violer. Il expliquait ensuite qu’il allait la tuer et se débarrasser du corps en l’enterrant.
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Putain y’a de ces ordures.
Celui là je l’aurai bien cramé au chalumeau sans aucune pitié. -
@Psyckofox un truc à la Dobermann
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Lui j’espère qu’il finira sa vie au trou sodomiser comme il se doit pas ses “compagnons” de zonzon.
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@Raccoon y’a pas à dire @Psyckofox toi et moi on est des vrais poètes
J’ose pas imaginer l’état de stress de cet infiltré quand il a compris ce qui se tramait, j’espère qu’ils vont s’occuper de ses camarades déviants également.
Un pote de la maison poulaga m’avait expliqué qu’en Suisse on pratique aussi ce genre de surveillance.
Ça m’a traversé l’esprit aussi, mais non en fait, ils le foutront à l’isolement, mais il va falloir quand même qu’il rase les murs.
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Ce déchet humain est directement emmené en isolement étant donné que les autorités savent très bien qu’il ne finirai même pas sa première heure de prison (comme on le sait tous, là bas les pédophiles et les pointeurs ne feraient pas long feu si ils étaient en cellule avec les autres détenus)
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Repérée avec ses deux tortues dans son soutien-gorge
«Bon les amis, s’il vous plait, et nous ne le soulignerons jamais assez, cessez de cacher dans des endroits étranges de votre corps des animaux de compagnie pour tenter de passer en douce un point de sécurité. Non, vraiment», implore la Transport Service Administration (TSA) dans un post Facebook publié le 24 juillet dernier.
Le service met en avant un cas douloureux, celui d’une femme à l’aéroport de Miami qui ne voulait absolument pas se séparer de ses animaux favoris. Cette dernière a tenté de passer un point de contrôle avec ses deux tortues dissimulées dans son soutien-gorge. Pour cela, elles les avaient emballées dans de la gaze et un film plastique. Non seulement, elle a été repérée, mais encore sa tentative s’est terminée par un drame, une des deux tortures n’a pas survécu, probablement asphyxiée. L’autre a été remise à une société de protection des animaux.
Le TSA a précisé que la passagère n’avait pas besoin d’en arriver à une telle extrémité, en soulignant que l’administration du secteur aérien américain autorise les voyageurs à transporter leurs animaux de compagnie, y compris les tortues. Il aurait cependant fallu qu’elle s’adresse au service approprié.
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Un enfant de trois ans meurt de chaleur après avoir oublié dans une voiture par une employée de la protection de l’enfance
Un enfant de trois ans est mort mardi 22 juillet 2025, oublié dans une voiture chaude à Birmingham, aux États-Unis. Il était sous la garde d’une employée d’une entreprise sous contrat avec le Département des ressources humaines de l’Alabama, l’agence de protection de l’enfance de l’État.
La femme était venue chercher le petit Ke’Torrius, dit “K.J.”, à la garderie vers 9 heures pour une visite surveillée avec son père, raconte la chaîne américaine CNN. Cette rencontre s’inscrivait dans le cadre d’une procédure judiciaire pour la garde de l’enfant.
L’enfant a été laissé cinq heures dans la voiture
L’employée est rentrée chez elle à 12 h 30, laissant l’enfant “attaché à l’intérieur du véhicule, toutes vitres relevées et moteur éteint” pendant plus de cinq heures devant son domicile, a précisé l’avocate. Il faisait entre 34 et 35 degrés.
La garderie a finalement contacté l’employée, lui demandant pourquoi K.J. n’était pas revenu dans leur enceinte. Elle a alors réalisé que le jeune garçon était toujours dans la voiture. Les secours ont été appelés, mais à leur arrivée, K.J. était décédé. “Il a connu une mort brutale”, a regretté Courtney French.
La visite s’est terminée vers 11 h 30. Or, “plutôt que de ramener K.J. immédiatement à la garderie, l’employée a fait de nombreuses courses personnelles avec K.J. attachée dans un siège auto à l’arrière de sa voiture”, a déclaré Courtney French, l’avocate de la famille, à CNN.
L’employée a été licenciée suite au drame. Selon l’organisation Kids and Car Safety, au moins 16 enfants sont morts oubliés dans une voiture chaude aux États-Unis en 2025.