On ne se moque pas de ces choses là.
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Un quadragénaire puni pour avoir fait caca sur la banquette d’une camionnette
La surprise a dû être grande… Un homme a retrouvé des matières fécales sur la banquette arrière de sa camionnette. Fin janvier, une ordonnance pénale a été rendue à l’encontre d’un quadragénaire. Reconnu coupable de dommages à la propriété, l’homme a été condamné à 80 jours-amende à 50 € (4000 au total) pour avoir fait caca dans ledit véhicule la nuit du 1er au 2 août 2019. Son ADN a été trouvé sur place.
Entendu par la police l’an dernier, l’accusé a expliqué ne plus se souvenir des événements survenus durant cette nuit, niant toutefois avoir fait ses besoins. Ses dénégations n’ont pas convaincu le Ministère public. Cet ouvrier d’origine brésilienne a également été puni pour avoir séjourné illégalement sur le territoire suisse et travaillé sans les autorisations nécessaires. Déjà connu de la justice, le Parquet lui a aussi infligé un avertissement formel et le paiement des frais de procédure, soit 520 €. Le quadragénaire a déposé un recours contre cette condamnation.
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Et maintenant, tout ce que vous avez toujours voulu savoir sans jamais oser le demander:
Pourquoi les petites culottes ont-elles un nœud cousu sur le devant?
Avez-vous déjà remarqué que la plupart des culottes sont ornées d’un petit nœud sur l’avant? Cet élément décoratif est un vestige des temps anciens, mais il remplit, aujourd’hui encore, une fonction pratique.
Autrefois, lorsque les tailles de confection, les fibres et les matières extensibles n’existaient pas encore, le petit nœud avait une fonction élémentaire: il servait de fermeture. Pour éviter que les sous-vêtements, en particulier la culotte, ne glissent vers le bas, il fallait un laçage adaptable. Un lacet et de petits œillets permettaient de resserrer la culotte et de la fermer sur l’avant.
Aujourd’hui, ce minuscule ruban est principalement décoratif. Néanmoins, il remplit toujours une fonction pratique en servant de repère. Lors de l’enfilage, le nœud permet de distinguer du premier coup d’œil l’avant de l’arrière.
Pourquoi la culotte est-elle doublée?
Le gousset, cette petite pièce de tissu située à l’intérieur des culottes féminines, est généralement en coton, en soie ou en microfibre et a un but bien précis. Ces matières absorbent la sueur et les sécrétions. Leur séchage rapide réduit le risque de mycoses ou d’infections urinaires et les fibres perméables améliorent la circulation de l’air. De plus, le gousset empêche les frottements désagréables.
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L’inventeur de la chaussure à orteils est décédé
Robert Fliri, grand amoureux de la montagne et inventeur des FiveFingers, les chaussures à orteils.Si le nom de cet Italien qui avait 48 ans n’est pas connu du grand public, son invention est par contre célèbre. C’est lui avait imaginé la chaussure à orteils. Parfois aussi appelées «gants de pied» et d’abord commercialisées sous les noms FiveFingers ou 5doigts, ces chaussures permettant aux cinq orteils d’être indépendants étaient inspirées des gants.
Robert Fliri avait imaginé ces chaussures révolutionnaires en 1999, pour se déplacer dans la nature avec des sensations proches des pieds nus. Elles avaient été commercialisées en 2006 par Vibram, puis de nombreuses marques avaient proposé des déclinaisons autour de cette innovation.
L’idée de l’Italien était née du plaisir de marcher pieds nus, même en montagne, raconte «La Repubblica». Il avait conçu la chaussure à orteils alors qu’il était étudiant en design à l’université de Bolzano. Robert Fliri avait reçu de nombreux prix pour sa création, par ailleurs saluée parmi les inventions de l’année par le magazine américain «Time», en 2007.
Source et plus: https://www.lematin.ch/story/italie-l-inventeur-de-la-chaussure-a-orteils-a-perdu-la-vie-en-montagne-103296872
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Ecolo ou cracra ? Pourquoi se mettre (ou non) au papier toilette lavable ?
Le secteur du papier toilette lavable s’est développé pendant et après la pandémie du Covid, s’inscrivant dans une démarche de consommation durable et écoresponsable
Souvenez-vous, il y a cinq ans, le monde entier basculait dans le silence et la peur. Une mystérieuse maladie, le Coronavirus (à l’époque on disait encore ça), se propageait de pays en pays, nous obligeant à expérimenter les affres du tout premier confinement.
A ce moment-là, qui se serait douté que l’une des grosses sources d’angoisse se cacherait dans la pénurie de PQ dans les supermarchés ? Une crainte qui aurait pu être évitée avec l’adoption d’un produit déroutant : le papier toilette lavable.
Ce secteur s’est développé de façon notable pendant et après la pandémie du Covid, s’inscrivant dans une démarche de consommation durable et écoresponsable. Encore très discret, on en croise parfois au détour d’un post Instagram, vanté par des influenceurs soucieux de notre bien-être fessier. Mais du PQ réutilisable, ce n’est pas un peu cracra ? Ce produit intime est-il facile à adopter au quotidien ?
C’est quoi du papier toilette lavable ?
Alternative aux rouleaux de papier classiques, le papier toilette lavable est présenté comme un produit zéro déchet, dans la lignée des cotons réutilisables ou des couches lavables pour bébés. « C’est une tendance encore assez douce parce que c’est un produit d’hygiène qui touche à l’intimité des individus. Il y a des freins très importants qui ralentissent l’adoption de cette innovation », explique Amélie Clauzel, professeure des universités à l’université Paris-Saclay et experte en consommation.
En forme de feuilles végétales, de carrés ou de rectangles classiques – certains peuvent être aussi dotés de boutons-pressions pour les attacher les uns aux autres –, ces produits sont réalisés en tissus (avec ou sans motifs), en coton ou tissu-éponge.
Le prix ? Sur les sites en lignes de marques françaises, cela peut varier entre 1,7 et 5 euros le feuillet selon les dimensions et les spécificités. Certaines entreprises vendent aussi des kits complets comprenant notamment un sac imperméable pour y mettre le produit après utilisation.
C’est hygiénique ?
C’est bien évidemment la question que tout le monde se pose. D’un point de vue pratique, pas besoin de vous faire un dessin, le produit lavable s’utilise comme du papier classique. Mais c’est ensuite que ça se corse. Les feuilles ne vont pas se retrouver dans la cuvette des toilettes mais doivent être stockées dans un sac ou une panière jusqu’au lavage. Et soyons clairs : a-t-on vraiment envie de laver le PQ usager de notre conjoint, de nos amis quand ils viennent chez nous, voire de notre belle-famille ?
Face à ce problème de taille, les marques tentent de dédiaboliser leurs produits en promouvant un usage mixte, c’est-à-dire en réservant le papier lavable pour la petite commission, tout en conservant un rouleau de papier jetable pour le reste et les invités.
« Il n’y a rien de mieux pour dégoûter les gens que de les mettre à 100 %, reconnaît la créatrice de l’enseigne La feuille. Ils ont envie de faire des efforts, de réduire leurs déchets et de faire des économies, mais ils ne veulent pas non plus avoir toutes les contraintes. »
C’est vraiment bon pour la planète et notre porte-monnaie ?
Selon les enseignes qui le commercialisent, le papier toilette lavable se conserve de nombreuses années et a donc l’avantage d’être économique – plus besoin d’acheter sans cesse du PQ – et plus écologique. L’équivalent de 27.000 arbres est abattu tous les jours pour fabriquer du papier toilette classique, alertait WWF en 2019, et 168 litres d’eau sont nécessaires pour la fabrication d’un seul rouleau, rapportait Libération. Sans oublier les composants chlorés, les substances chimiques et même des « polluants éternels » nichés dans le papier.
Le papier lavable est-il donc la solution idéale ? « A long terme, et en masse, écologiquement c’est quand même intéressant, estime l’experte en consommation Amélie Clauzel. Dans les études qui sont sorties, il y a une différence d’un tiers de moins d’eau utilisée pour les objets lavables. » Ce produit serait également plutôt favorable sur le plan économique même si les études se font encore assez rares sur le sujet.
Source et plus: https://www.20minutes.fr/tempo/4140951-20250310-ecolo-cracra-pourquoi-mettre-non-papier-toilette-lavable
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Mouais, bof, sans moi…
Par contre en revenir aux langes lavables, oui…
Et inutile de me faire le coup du patriarcat qui voudrait faire revenir les femmes un siècle en arrière, maintenant on peut connecter son lave linge à son smartphone… -
Incident en plein vol : Une passagère se dénude et sème le chaos
Un vol de la compagnie Southwest Airlines reliant Houston à Phoenix a dû faire demi-tour peu après son départ en raison du comportement troublant d’une passagère. Selon plusieurs témoins, une femme s’est soudainement déshabillée intégralement et s’est mise à hurler au milieu des passagers, provoquant stupeur et incompréhension.
Source et plus: https://actuforcesdelordre.fr/2025/03/10/incident-en-plein-vol-une-passagere-se-denude-et-seme-le-chaos/
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@duJambon
Hmmmm faudrait voir…A envisager la chose, ce qui littéralement “m’emmerderait” c’est justement de mélanger ça avec le linge dans la machine.
On est d’accord qu’hygiéniquement, un sous-vêtement n’est pas ce qui est le plus clean dans la machine… mais bon, foutre une semaine de ces lingettes usées d’une bonne riclette avec tes pulls, t-shirt et autres -> dur dur (où justement, pas dur) -
@Popaul Au point de vue consommation d’eau, ça ne doit pas être gagnant, non plus…
À moins de laver les slips avec de l’urine recyclée
Je crois qu’on appelle-ça un circuit court.
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@duJambon Pour Le papier Q et en répondant à la question, c’est “cracra” bien-sûr. On pourrait peut-être penser au coté économique, mais écolo surement pas. Faut être équipé de toilette japonaise autrement.
Pour l’avion, rien ne m’étonne chez les US, sauf peut-être… Ce n’est pas Snoop Dogg qui est en bas à gauche?
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@Pluton9 a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Ce n’est pas Snoop Dogg qui est en bas à gauche?
C’est bien Snoop Doggy Dog ^^.
Sinon pour ma part, tous mes proches ont les chiottes equipés d’un “rince cul”…mes chiottes aussi d’ailleurs ^^ -
@Pluton9 a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Ecolo surement pas. Faut être équipé de toilette japonaise autrement
Un karcher dans le fion, ça consomme de l’eau aussi
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Pour ceux qui n’ont pas un “rince cul” comme @Psyckofox et pour être écolo avec ce PQ lavable, il faudrait une certaine logistique. Un récupérateur d’eau des douches avec filtre microbiote (suffisant puisque l’individu ne se sert que de produits naturels), un récupérateur d’eau en sortie de lave-linge pour servir aux toilettes et une grille escamotable sur les toilettes pour éviter que le chat n’aille boire dans la cuvette.
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Je plussoie @Psyckofox
Les toilettes japonaises sont pour moi un poil trop cher mais je prévoie l’achat d’un Boku quand il y aura une nouvelle promofion
Tu consommes trs un peu d’eau mais largement moins que l’eau utilisé pour la fabrication du PQ.
En attendant, depuis des années, je met une bouteille en plastique dans la chasse d’eau, j’économise une moitié de la cuve à chaque tirage… -
Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à Violence dernière édition par
@Violence je me demande si le nom de l’appareil a été choisi sciemment ?
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@Raccoon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
@Violence je me demande si le nom de l’appareil a été choisi sciemment ?
Oui, bien sur.
C’est leur marque de fabrique et stratégie commerciale
Il suffit de voir leur logo et leurs pub pour s’en rendre compte.
L’industrie du PQ les fait bien chier aussi
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@Raccoon Carrément.
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Avec le “rince cul”, un trou du uc propre…une sorte de fraicheur anal ^^ (avec ça, plus de trou de balle qui gratte
).
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Je préfère la marque nikakani pipi à boku, gage de meilleure qualité…
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@Violence J’aime bien l’abattant Boku, mais j’ai un doute quant à la fraicheur de l’eau. Si c’est celle de mon arrivée d’eau froide, je vais me geler les parties et là, d’un coup l’intérêt m’échappe
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@Pluton9 a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
@Violence J’aime bien l’abattant Boku, mais j’ai un doute quant à la fraicheur de l’eau. Si c’est celle de mon arrivée d’eau froide, je vais me geler les parties et là, d’un coup l’intérêt m’échappe
Non pour avoir déjà essayé, pas tant que ça…
Perso, je préfère quelque Centilitres d’un peu d’eau fraiche et mon cul bien propre que de la merde collée au scrotum et aux poils du cul avec des litres d’eau potable consommés pour rien
(je ne compte pas non plus les Litres utilisés à la confection du PQ lui même.
Là est l’intérêt.
C’est un choix. La plupart de la population s’en branle de l’écologie et des ressources en eau et passé un certain âge, le changement fait peur et les sales (dégueulasses) habitudes ont la vie dure.