On ne se moque pas de ces choses là.
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Ce jean “pré-rempli de pipi” inonde littéralement Internet et on se dit que la mode peut vraiment nous faire acheter n’importe quoi.
Ce n’est pas un accident, c’est un fashion statement !
Oui, c’est dur, mais avouons-le une bonne fois pour toutes, la mode peut nous faire aimer n’importe quoi. Des sacs en forme de paquets de chips, des rubans pour cheveux en forme de pâtes, des sabots de fermier des montagnes, des lunettes vagues, des chaussures gigantesques… et aujourd’hui, c’est ce jean, qui semble bien mouillé à l’entrejambe et qui coûte quand même 500 livres sterling, qui se retrouve sold-out.
Sommes-nous tous de simples moutons dans la grande bergerie du fashion system ? Dites “beeeeeh” après moi parce que croyez bien que ce pantalon passe sans doute une journée plus excitante (et mouillée) que nous. Et pour cause, toutes les girlies et autres fashion blogs ne parlent que de ça depuis 48 heures. Et même si le “denim tacheté de pipi” – comme l’ont surnommé les internautes – a fait sa première sortie publique pendant le défilé JordanLuca de la Fashion Week automne-hiver 2023 de Milan, ce n’est que maintenant que la grande Toile a décidé de le rendre viral. Pourquoi aujourd’hui et pas avant ? Ne me le demandez pas parce que je ne saurais pas quoi vous répondre. C’est l’un des grands secrets (et côtés cool) d’Internet. Ça devient viral quand il le décide lui et pas quand on le veut nous. Ce point me rappelle le moment gênant où Jennifer Lopez a voulu lancer le challenge “Love Don’t Cost a Thing” et que tout le monde s’est tenu la main pour lui dire un grand “non, merci”.
Tout ça pour dire que nous vivons encore un jour où le statement de Paola Locatelli, “Tu critiques mais tu cliques”, est vrai. Et les créateurs Jordan Bowen et Luca Marchetto peuvent, eux, dire merci aux doux haters du dimanche et autres personnes facilement outrées parce que tous les “c’est trop stupide” et “mais qui va porter ça, sérieux ?” ont réussi à mettre (ou remettre) en lumière leur marque JordanLuca. Un label très cool à suivre de très près et qui veut clairement défier l’aesthetic du mainstream et du politiquement correct. En tout cas, s’ils sortent le jean patte d’eph tacheté de sang à l’entrejambe arrière, je suis presque (et j’insiste sur le presque) prête à débourser les 500 livres sterling rien que pour faire un joli doigt d’honneur (et en denim) à tous ceux qui shament encore les règles. Parce que oui, n’ayons pas peur de le dire, les fuites urinaires ou autres, c’est naturel ! Et fashion maintenant, askip.J’attends avec impatience le jean avec “traces de pneus”
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à BahBwah le dernière édition par
@BahBwah Plus qu’à se trimballer comme Maurice Risch dans Gros dégueulasse 1985, ce sera plus simple
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Un second lanceur d’alerte qui accusait Boeing de négligences est décédé, après une maladie foudroyante
Joshua Dean avait témoigné contre les pratiques dangereuses au sein d’un des fournisseurs du géant de l’aviation Boeing. Il est soudainement tombé gravement malade, et a fini par succomber à de graves complications respiratoires après deux semaines d’agonie. Une mort étrange qui en rappelle une autre.
Joshua Dean avait été un des premiers à accuser son ancien employeur de négligence sur l’assemblage des avions 737 MAX de chez Boeing. Il avait également déposé une plainte auprès de la Federal Aviation Administration (FAA) alléguant “des comportements graves et répréhensibles de la part de la direction qualité senior de la ligne de production du 737 chez Spirit”. Dean avait été licencié en avril de l’année dernière.
Pas le premier à mourir
Étrange série noire: il est le second parmi ceux qui ont rendu publiques les carences en sécurité de l’avionneur à soudainement décéder. En mars dernier, c’était John Barnett qui avait été retrouvé mort, vraisemblablement après s’est tiré une balle dans la tête.
Barnett, ancien responsable de qualité pour l’avionneur, avait, lui aussi, révélé les manquements qui avaient lieu en usine. Il avait déclaré à la BBC que des pièces de qualité inférieure étaient utilisées par le groupe afin de ne pas retarder la production. L’assemblage était, selon lui, effectué à la hâte et dans des conditions dangereuses. Il dénonçait également des anomalies au niveau des masques à oxygène.
Il parait que Poutine aurait fait une offre pour la souche du virus…
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Il truque un test de paternité pour ne pas payer de pension
Ayant mis enceinte une femme lors d’une aventure d’une nuit, il envoie un ami donner son ADN à sa place.
La supercherie n’a toutefois pas fonctionné et la police est allée arrêter William Boswarva, qui a alors reconnu une relation sexuelle avec la mère de l’enfant, mais nier être le père. Il a en revanche refusé un test de paternité.
Onze délits à son actif
L’homme de 29 ans est passé devant un tribunal et a été enfermé en prison pour 12 mois mardi dernier, relate la BBC. Il a été reconnu coupable de complot en vue de commettre une fraude. L’individu, déjà condamné pour 11 autres délits, était en sursis lors de ce dernier procès. N’ayant aucun revenu, il ne pourra pas payer une pension à la mère de l’enfant, mais sera tenu responsable en tant que père biologique jusqu’aux 16 ans de sa progéniture.
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Neuf îles paradisiaques où il ne faut surtout pas aller!
- Ni’ihau, Hawaii (USA)
L’île de Ni’ihau à Hawaï reste un secret pour la majeure partie du monde. L’accès est réservé aux personnes invitées. Les 200 âmes de l’île vivent de la chasse et de la cueillette – un paradis à l’abri des regards. Mais pour les passionnés de chasse, une petite fenêtre s’ouvre depuis les années 1990: des tours de chasse à des prix exorbitants. Pour le reste, les garde-côtes veillent et interdisent l’entrée à toute personne non autorisée.
- Île North Sentinel, Andaman (Inde)
En 2020, une tragédie s’y est produite: un Américain qui voulait s’approcher des Sentinelles isolées dans l’océan Indien a été mortellement touché par des flèches. Le jeune Américain voulait faire du prosélytisme. La récupération de son corps est impossible, l’accès à l’île étant strictement interdit par les autorités indiennes.
- Queimada Grande (Brésil)
Au large de São Paulo se trouve Queimada Grande, un paradis mortel parsemé de la plus forte densité de trigonocéphales insulaires (Bothrops Insularis). Ces serpents de la famille des vipères ont banni toute présence humaine de l’île. Toute personne mordue meurt peu de temps après. Les autorités ont donc strictement interdit l’accès à «l’île la plus mortelle du monde».
- Plum Island, New York (États-Unis)
C’est une île mystérieuse. Sur Plum Island, une île de seulement 7 kilomètres carrés située dans l’État de New York aux États-Unis, les scientifiques faisaient autrefois des recherches sur les maladies dangereuses du règne animal comme la fièvre aphteuse. Aujourd’hui, ce laboratoire de haute sécurité abrite des agents pathogènes vivants qui menacent les hommes et les animaux. Seuls des chercheurs triés sur le volet y ont accès.
- North Brother Island, New York (États-Unis)
Encore une île mystérieuse dans l’État de New York. «L’île des lépreux», autrefois station de quarantaine pour les patients atteints de variole ou de fièvre typhoïde et plus tard centre de désintoxication, est aujourd’hui interdite aux visiteurs. L’île de 5,3 kilomètres de long sur la rivière Hudson reste une zone interdite, malgré sa belle vue sur Manhattan.
- Riems (Allemagne)
Il y a plus d’un siècle, Friedrich Loeffler, un élève du célèbre Robert Koch, a fondé le premier institut de recherche sur les virus au monde sur l’île de Riems, dans le Bodden. L’île, située au large de Greifswald dans le Mecklembourg-Poméranie occidentale, a également servi autrefois aux nazis pour la recherche sur les armes biologiques. Aujourd’hui, les experts de l’Institut Friedrich Löffler continuent de se consacrer à la recherche sur les maladies dangereuses, à l’abri du monde extérieur.
- Îles Farallon (États-Unis)
Au large de San Francisco, les îles Farallon cachent un danger invisible. Irradiées et déclarées zone interdite, elles abritent des déchets radioactifs qui ont été immergés entre 1946 et 1970. Près de 50’000 conteneurs dangereux reposent au fond de la mer. Un sauvetage est trop risqué, préviennent les experts.
- Île de Gruinard (Écosse)
Cette île écossaise, située à seulement dix minutes en bateau du continent, est restée longtemps inaccessible. La raison en était les tests à l’anthrax sur les moutons pendant la Seconde Guerre mondiale.
- Poveglia (Italie)
La dernière «île interdite» de Venise, maudite par les expériences cruelles d’un médecin dans ce qui était autrefois un hôpital psychiatrique, est en friche. Depuis un demi-siècle, les gens évitent cet endroit. Les bâtiments risquent de s’effondrer et plus personne n’a le droit de pénétrer dans Poveglia.
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Qui dit moins ? “140 doses de cocaïne retrouvées” : un trafiquant de drogue présumé âgé de 12 ans arrêté a Marseille
Sept ballots de cocaïne ont été retrouvés à proximité du pré-adolescent, contrôlé en plein centre-ville en compagnie de son complice présumé.
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Libérés de prison, un cannibale et un meurtrier russe sanguinaire font un selfie sur le front ukrainien
Deux des criminels les plus brutaux de Russie ont été envoyés sur le front en Ukraine. Il s’agit d’un meurtrier cannibale et d’un assassin ayant démembré deux jeunes femmes. Sur des images, on peut les voir faire un selfie, tout sourire. Ces deux “compagnons” possèdent un passé marqué par des actes répugnants. Ils ont été libérés de prison afin de participer aux combats en Ukraine. S’ils parviennent à survivre à la guerre, ils seront autorisés à rentrer chez eux en tant qu’hommes libres.
Un selfie troublant de deux criminels russes en Ukraine circule et suscite une vive émotion. Ces hommes, auteurs de crimes horrifiants, posent pour la photo avec une désinvolture qui a de quoi interpeller. À gauche, on trouve Dmitry Malyshev, âgé de 36 ans. En 2015, il a été condamné à 25 ans de prison pour le meurtre d’un migrant tadjik de 46 ans. Dmitry Malyshev avait non seulement assassiné sa victime, mais s’était également filmé en train de cuisiner et de consommer le cœur et d’autres organes de celle-ci. Dans une vidéo glaçante qu’il a lui-même enregistrée, il déclarait: “Nous faisons frire de la chair humaine. Voici le cœur. J’y ai déjà ajouté de l’oignon.”
L’homme à côté de Dmitry Malyshev est Alexander Maslennikov, 38 ans. Condamné en 2017 à 23 ans de réclusion, Alexander Maslennikov a assassiné deux jeunes femmes russes et a morcelé leurs corps dans des circonstances particulièrement macabres. Il avait rencontré ses victimes dans une boîte de nuit avant de les inviter à son appartement sous prétexte de manger une pizza. Selon ses aveux à la police, après avoir eu un rapport sexuel avec Daria Labutina, âgée de 29 ans, il l’a tuée dans sa salle de bains. Il a ensuite étranglé Olga Shaposhnikova, 28 ans, qui avait refusé de partager son lit, et, alors qu’elle était déjà morte, il l’a poignardée à de multiples reprises. Les corps ont été ensuite dépecés à l’aide d’une hache et d’un hachoir à viande. Maslennikov aurait même donné des morceaux des dépouilles à ses chiens.
Plusieurs mois en UkraineLes diplomates ukrainiens Olexander Scherba et Igor Sushko, directeurs du groupe de recherche américain “Wind of Change”, sont à l’origine de la diffusion de la photo des deux criminels. Dmitry Malyshev a lui-même confirmé, lors d’un échange téléphonique avec le média russe V1.ru, que lui et Alexander Maslennikov avaient signé un contrat avec le ministère russe de la Défense en octobre 2023. Cet accord leur a permis de quitter la prison et d’aller en Ukraine, où ils sont désormais installés depuis plusieurs mois.
Les deux criminels font partie de l’unité “Storm V”, une unité militaire composée de violeurs et de meurtriers condamnés. Dmitry Malyshev, actuellement hospitalisé pour une mâchoire cassée et des blessures causées par des éclats d’obus, soutient que lui et Alexander Maslennikov se distinguent des autres criminels ayant choisi de combattre en Ukraine. “J’ai connu des personnes qui venaient du camp pénitentiaire pour changer d’air. En général, ils disparaissent rapidement. Moi, j’ai compris pourquoi je partais et où j’allais”, a déclaré le cannibale, ajoutant se battre pour ses “convictions personnelles” et les “valeurs traditionnelles” de la Russie.
Des crimes payés par le sangLorsque feu le patron de Wagner, Evgeny Prigozhin, a commencé à recruter des détenus russes en 2022 - ce qui était illégal à l’époque - les contrats ne prévoyaient que six mois de service pour être gracié. Depuis, les criminels recrutés signent des contrats d’un an, que le ministère russe de la Défense peut prolonger unilatéralement. D’autre part, les criminels n’ont plus besoin d’une grâce présidentielle après leur retour: pour tous ceux qui ont combattu en Ukraine, toutes les peines en cours sont automatiquement converties en peines suspendues.
“Les personnes condamnées, y compris pour des crimes graves, paient leur crime par le sang sur le champ de bataille”, avait déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à propos de cette pratique.
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Et ce n’est toujours pas un article du Gorafi.
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@duJambon Les Storm V c’est de la chair à canon, ils servent à localiser l’ennemi qui leur tire dessus, ou à déminer en gambadant sur le terrain, ils vont pas faire vieux les deux cannibales.
Si l’un survit à l’autre il pourra toujours le bouffer!
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Une grand-mère confond de l’eau et du vin blanc en préparant le biberon de son petit-fils : le nourrisson fait un coma éthylique
Une grand-mère s’est trompée en remplissant le biberon de son petit-fils. Celle-ci a remplacé l’eau par du vin blanc, provoquant un coma éthylique chez le bébé. Admis en réanimation, le nourrisson serait entre la vie et la mort.
Une erreur d’attention qui coûte cher. Lundi 4 mai en Italie, un bébé de 4 mois a fait un coma éthylique.
Sa grand-mère a confondu eau et vin blanc au moment de remplir son biberon, rapporte le média italien La Repubblica.Après avoir remarqué son erreur, la grand-mère a immédiatement conduit le bambin à l’hôpital Perrino de Brindisi, où ce dernier a été pris en charge par le service de pédiatrie.
Le bébé était tombé dans un coma éthylique dû à son jeune âge.Après un lavage gastrique, le poupon a été intubé et transféré à l’hôpital pour enfants Giovanni XXIII de Bari, où il se trouve actuellement dans l’unité de soins intensifs.
Si son état se serait stabilisé et que les médecins évoquent une légère amélioration, l’éventualité d’un danger de mort n’est pour le moment pas écarté.Une enquête ouverte
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de cet accident.
D’après le média italien, la grand-mère mise en cause aurait dilué le lait en poudre avec du vin contenu dans une bouteille opaque, ce qui explique en partie son erreur.
Elle aurait ensuite tendu le biberon au nourrisson qui en aurait bu une partie avant de refuser de continuer. Suffisant cependant pour dégrader rapidement son état de santé. L’enquête se poursuit.Source :
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@Psyckofox a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Une grand-mère confond de l’eau et du vin blanc en préparant le biberon de son petit-fils : le nourrisson fait un coma éthylique
Faut la faire interner mamie
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Violence au bowling : des joueuses se lancent des boules à la tête.
Plus tôt cette semaine, une brutale altercation impliquant au moins sept personnes est survenue au Lucky Strike Miami, un salon de quilles de la Floride situé dans un quartier prisé.La querelle s’est rapidement envenimée lorsqu’une des femmes en colère a décidé d’en agresser une autre avec ce qu’elle avait sous la main… Une grosse et pesante boule de bowling.
La victime a été atteinte à la tête. Elle est tombée comme une brique, sonnée.
D’autres projectiles à trois trous se sont alors mis à voler dans tous les sens. La scène est encore plus apocalyptique au ralenti.
Moi qui pensais qu’il n’y avait pas territoire plus pacifique et sécuritaire qu’une allée de bowling. Je ne tournerai plus jamais le dos à mes partenaires de jeu, surtout les mauvais perdants.
Ce qu’on veut savoir, c’est si la pauvre s’en est sortie.
Les autorités ont déclaré que la principale assaillante et la victime avaient quitté les lieux lorsque la police s’est présentée. J’espère pour l’une des deux que c’était pour se rendre à l’hôpital.
Des accusations pourraient être portées, sous toutes réserves.
Source et video ici : https://www.rds.ca/balle-courbe/violence-au-bowling-des-joueuses-se-lancent-des-boules-a-la-tete-1.18586243
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@BahBwah Strike !
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à duJambon le dernière édition par
@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Île North Sentinel, Andaman (Inde)
C’est l’île où quand tu débarques, c’est toi le “Panou Panou”
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En voyant le ralenti, je crois bien que c’est un spare
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Les Nord-Coréens doivent voler le caca de leurs voisins pour survivre
En Corée du Nord, chaque année, durant l’hiver, d’étranges tensions émergent entre les habitants de villages voisins. Et l’objet de la discorde est un bien étrange butin: les excréments des camarades. Oui, vous avez bien lu. Et c’est même pire que ce que vous pensez.
Pour le régime de Kim Jong-Un, les légumes qui poussent grâce aux déjections humaines sont «particulièrement délicieux».C’est l’histoire du pays le plus fermé de la planète et de ses excréments. La Corée du Nord, ce «glorieux paradis communiste», est auto-suffisant en termes d’agriculture. Pour atteindre ses objectifs, et sur les ordres de Kim Jong-Un, le brave petit peuple se dévoue pour produire chaque année 300 kilos de fumier par personne — en recyclant ses propres matières fécales. Wait, what?
Bouse humaine
La Corée du Nord n’échange avec ses voisins ni nourriture, ni engrais ou fumier. Leur importation est interdite à cause des sanctions internationales, appliquées à cause de son programme nucléaire. Même la Chine les respecte.
Mais le pays a faim. Plusieurs famines ont déjà frappé, dont la plus funeste a duré plusieurs années au milieu de la décennie 1990. Résultat: pas loin d’un million de morts.
En 2014, le régime communiste tout-puissant a pioché dans sa boîte à idées une solution bien pratique: recycler toute la masse excrémentielle disponible dans le pays pour en faire du fumier. Elle a d’abord commencé par réquisitionner celui issu du bétail. Mais ce n’était pas suffisant. Le régime s’est alors tourné vers l’autre solution: les déjections humaines.
Quotas de crottin
Et pour bien appliquer ce principe, des quotas sont mis en place. Chaque citoyen a la responsabilité de fournir près de 300 kilos de fumier humain à la ferme coopérative — tenue par le gouvernement — la plus proche. Seuls les écoliers et les retraités sont exempts de cette «taxe à l’étron», qui voit des files de citoyens déposer leur «contribution» à l’Etat, munis de grands sacs, de seaux et de brouettes.
La somme semble irréalisable. Et encore: celle-ci a été adaptée en 2022. Avant cela, les citoyens nord-coréens devaient fournir 100 kilos de fumier par jour. Oui, par jour. Soit 3 tonnes par mois. Un chiffre physiologiquement impossible à atteindre, que le régime utilisait pour appliquer des amendes générales et racketter la population tout en récoltant un maximum de crottin humain.
Mais pour le régime communiste, qui n’est pas avare en métaphores marxistes permettant les meilleures ingéniosités, la réquisition est vendue au peuple comme un effort collectif en vue du bien commun:
«Les adultes comme les enfants doivent participer à la “bataille pour la production de fumier”»
Selon la propagande en place, il s’agit d’ailleurs du «meilleur fertilisant possible» et les «légumes qui poussent grâce à lui sont considérés comme particulièrement délicieux».
«Bataille pour les déjections humaines»
Les officiers qui vérifient la quantité de fumier offerte au régime en profitent pour être grassement soudoyés, notamment sur la composition: contre une bonne somme, ils acceptent du fumier de mauvaise qualité, composé de beaucoup plus de terre que de rebut physiologique. Les Nord-Coréens les plus riches préfèrent payer les amendes et ne pas fournir la moindre quantité de fumier.
La situation est d’autant plus catastrophique que, le pays produisant peu de nourriture, les plus pauvres ne mangent pas à leur faim et vont donc peu aux selles. Ce qui ne fait qu’aggraver le terrible cercle vicieux. Ce petit peuple au ventre creux doit redoubler d’ingéniosité pour ne pas subir les foudres de la répression de l’Etat — on rappelle que le pays maintient des camps de travail dignes du goulag soviétique.
Depuis 2022, cette taxe bien particulière est prélevée annuellement, au mois de mars. Résultat: les Nord-Coréens les plus pauvres se déchirent durant les semaines qui précèdent la date fatidique pour amasser assez de fumier. C’est une véritable «bataille pour les déjections humaines», qui a lieu, selon Radio Free Asia.
Guerres de gang pour les étrons
Dans la nuit ou quand les voisins sont aux champs, on se faufile dans les toilettes de fortune en bois situées à l’extérieur, pour dérober les défécations précieuses. Les toilettes publiques sont prises d’assaut pour récupérer ce qui peut l’être. Une situation d’autant plus terrible qu’elle a souvent lieu en janvier et en février, alors que les températures sont glaciales et que la terre est gelée.
Avec le temps, les citoyens se sont organisés. Résultat? Des groupes entiers se mobilisent pour protéger leurs fèces ou alors tenter de voler celles des autres. Des familles organisent des gardes, la nuit, devant les toilettes publiques et les écoles de leurs quartiers pour empêcher le vol. Ce grand jeu de «capture du drapeau» fécal dérape parfois en véritables batailles de gangs, notamment entre habitants de quartiers ou de villages.
«Il y avait fréquemment des bagarres entre villages chaque année en janvier»
Rongé par les balles et les vers
Mais la fertilisation des sols par de la fange humaine n’est de loin pas recommandée, car elle favorise la propagation des parasites. Les Nord-Coréens se retrouvent donc à ingérer des aliments abritant des organismes parasitaires, ce qui empire encore leur santé.
En 2017, on a ainsi retrouvé une très haute quantité de parasites dans le corps d’un soldat nord-coréen qui a choisi la défection. Blessé au cours de sa fuite, il est amené à l’hôpital en Corée du Sud et opéré en urgence.
Mais les chirurgiens ne s’attendaient pas à pareilles sueurs froides: alors qu’ils ouvrent son corps pour retirer les balles, ils trouvent une quantité impressionnante de parasites qui lui rongent les entrailles. Pas moins de 30 genres de vers différents sont ainsi retrouvés.
Une partie d’entre eux lui dévoraient l’estomac et les intestins. Lorsqu’il est amené en soins, l’homme est autant traité pour ses blessures par balles que pour éliminer les parasites.
Cet homme-là devrait connaître une vie meilleure. Mais qu’en est-il des 26 millions de Nord-Coréens qui continuent de manger de la soupe aux choux pleine de parasites? On leur souhaite que Kim Jong-Un demande de l’engrais à Poutine en échange de ses munitions envoyées en Ukraine.
Une agriculture maigre et une industrie mourante: bienvenue en Corée du Nord. -
@michmich a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
@duJambon Les Storm V c’est de la chair à canon, ils servent à localiser l’ennemi qui leur tire dessus, ou à déminer en gambadant sur le terrain, ils vont pas faire vieux les deux cannibales.
Si l’un survit à l’autre il pourra toujours le bouffer!
Espérons le … des types comme ça lâches dans la nature ça fait froid dans le dos
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Le couteau Suisse, bientôt sans lame
Évolution du marché: Victorinox envisage un modèle sans lame
En raison de l’augmentation des interdictions de cet objet dans le monde, le producteur du couteau de poche suisse souhaite se réinventer.
Depuis les attentats du 11 septembre 2001, le chiffre d’affaires des couteaux de poche avait chuté de plus de 30%.«Dans certains marchés, la lame est associée à une image d’arme», relève lundi dans une interview publiée dans le Blick Carl Elsener, le directeur de l’entreprise basée à Ibach (SZ). La société possède aussi un site de fabrication à Delémont.
Ainsi en Grande-Bretagne et dans certains pays asiatiques, seules les personnes qui en ont besoin pour leur travail ou pour des activités dans la nature peuvent encore porter un couteau sur elles. Dans les villes, le port de couteaux de poche est fortement limité. Carl Elsener imagine un outil multifonctionnel que les cyclistes, par exemple, pourraient utiliser.
Ce n’est pas la première fois que l’entreprise est confrontée au fait que la lame du couteau de poche soit considérée comme une arme potentielle. Après les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, le chiffre d’affaires des couteaux de poche a chuté de plus de 30% du jour au lendemain, a rappelé le patron de Victorinox. «Le 11 septembre nous a douloureusement montré que nous ne devions pas dépendre d’un seul secteur d’activité», a-t-il relevé.
9% d’augmentation des prix
L’entreprise exporte 80% des couteaux de poche, des couteaux de cuisine, des couteaux professionnels et des montres fabriqués en Suisse. Le reste est vendu dans le pays. Pour compenser la force du franc, l’entreprise devra à l’avenir continuer à automatiser et à rationaliser, souligne son patron.
Victorinox a augmenté les prix de ses couteaux de poche de 9%, précise encore Carl Elsener. La concurrence plus faible par rapport à son autre pilier, les couteaux professionnels, a permis cette augmentation des prix. Les couteaux professionnels du fabricant suisse sont 25% plus chers que ceux des autres producteurs. Dans ce domaine, l’entreprise doit faire face à la concurrence de fabricants allemands ou américains, a-t-il ajouté.
Source: https://www.tdg.ch/victorinox-un-modele-de-couteau-de-poche-suisse-sans-lame-412825400686
J’adore notre époque, c’est le 1er avril tous les jours, même pas besoin de fumette pour rigoler.