[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à Violence le dernière édition par
@Violence Je télécharge les épisodes pour commencer à regarder la saison une fois complète. J’aime bien l’acteur Jeffrey Dean Morgan avec son perso.
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@Snoubi Isabelle Nanti en mère acariâtre, ça promet du bon, Clavier en fils à maman aussi, j’ai hâte.
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@Tristan-0
Salut l’ami j’espère que tu vas bien ;).
En tous cas merci, je ne connaissais pas et je mets ça de suite dans ma watchlist (et étant un grand fan du pays du soleil levant, un petit dépaysement me ferait le plus grand bien lol) -
Nouvelle bande-annonce de Dune partie 2 !
En VO et en VF.
VO :
VF :
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@Indigostar je valide je l’attends
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SISU (2023)
Mon avis: À part les Allemands qui ne supportent pas d’être découpés en rondelles ou cramés au bbq, le héros, lui, recolle toujours ses morceaux et ça ne le gêne même pas pour courir ou porter des charges.
Sinon, le gore est de toute beauté et j’ai bien cru qu’on n’entendrait jamais la voix de Sisu. A voir pour le spectacle et la vengeance, sinon, Il vaut mieux être bon public. @Violence m’avais mis l’eau à la bouche.
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J’ai maté WOLF PACK (2023) sur PARAMOUNT+
8 épisodes
NUL A CHIER ! ! ! MON DIEU . . .
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tu as pas envie de regarder school spirit peut etre mieux en tout cas ya que sur paramount qu’ ils l’ont
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Snoubi le dernière édition par
@Snoubi a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
school spirit
Maddie, une adolescente coincée dans l’au-delà, décide d’enquêter sur sa mystérieuse disparition avec un groupe d’autres élèves qui sont également coincés dans les limbes de leur lycée.
Non, ca m’a l’air cul cul la praline ^^
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@duJambon a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
A voir pour le spectacle et la vengeance, sinon, Il vaut mieux être bon public. @Violence m’avais mis l’eau à la bouche.
C’est ce qu’on appelle une série B, ce n’est pas à prendre au premier degré
On regarde justement pour ce que tu mentionne, le reste si il y a, c’est éventuellement du bonus.Il aurait eu des supers pouvoirs à la con que ce ne m’aurait même pas étonné Je veux juste dire que le côté réaliste, on s’en branle dans ce genre de prod sinon faut passer son chemin direct.
Merci pour le bon public mais c’est plutôt une question de genre et rien d’autre. A comparer au nombre incalculable de série B de genre, c’est même une très bonne surprise vu le peu de moyen du film.
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@Violence Je t’avais classé coté spectacle et vengeance Moi, j’ai adoré ça même si j’ai été un peu déçu par le coté autoréparation/terminator.
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Rheingold
À ses débuts, Fatih Akin (Golden Glove) affirmait une sensibilité marquée pour l’hybridation et le mélange des genres (de l’orient à l’occident, du documentaire à la fiction), avec un sens visuel fort, des choix musicaux audacieux et une direction d’acteurs assurée. Mais, à la suite d’une récente série de films qu’il faut bien qualifier de décevants, on n’en attendait plus grand-chose. Surprise, non seulement il a trouvé avec Rheingold un sujet qui lui convient parfaitement, mais il en a tiré ce qui est peut-être son meilleur long métrage.
L’histoire s’inspire de l’incroyable autobiographie du rappeur Giwar Hajabi, emprisonné pour divers méfaits dont le braquage d’une cargaison d’or, et qui, depuis sa cellule, a enregistré un CD qui a fait de lui une star du rap. Hajabi avait probablement beaucoup enjolivé les faits, et Akin les a lui-même traités à sa sauce, pour un résultat chargé d’adrénaline et hautement euphorisant qui tient à la fois du parcours initiatique, du film de gangsters, du biopic rocambolesque, avec une part de documentaire historique et de comédie.
Le film débute par une série de flash-backs, pour établir que le personnage principal a connu la prison depuis sa plus tendre enfance. D’abord, en Iran, où ses parents d’origine kurde ont subi l’oppression des islamistes, obligeant la famille à émigrer en Europe. À Bonn, où ils sont installés, le père, chef d’orchestre de réputation internationale, tente d’enseigner le piano à son fils. Pourtant, il s’y prend mal, et la mère a plus de succès en prodiguant des leçons particulières qu’elle finance en faisant des ménages.
Jusqu’ici, le récit est tellement chargé en péripéties qu’il y a suffisamment de matière pour en faire une minisérie (il en a d’ailleurs été question, avant que le projet ne revienne au format du long métrage). L’épisode de la mère, qui a accouché dans des conditions dramatiques avant d’être emprisonnée et torturée par les ayatollahs, fait le portrait d’une femme prête à tous les sacrifices pour défendre ses proches. Son personnage est si impressionnant qu’il détourne presque l’attention de l’essentiel, qui commence vraiment lorsque Giwar, au contact des délinquants de son quartier de Bonn, s’impose par la brutalité (pour laquelle il est prédisposé) et acquiert à cette occasion son surnom de Xatar (danger).
De fil en aiguille, il tente de se faire un nom comme videur de boîte, mais la menace de la pègre locale l’incite à intégrer un gang oriental, jusqu’à ce que les circonstances l’obligent à monter un coup invraisemblable qui consiste à voler une cargaison d’or à des margoulins. L’épopée qui s’ensuit tient autant des pieds nickelés que de la légende, auquel le titre fait référence. Dans les Nibelungen, l’or des Burgondes est jeté dans le Rhin, mais personne ne l’a jamais retrouvé (même les nazis ont essayé). Et comme dans la légende, l’or disparu est le résultat d’une même opération: des voleurs qui ont volé des voleurs. La suite est aussi rocambolesque, et promène le personnage au Moyen-Orient avant de le ramener en Allemagne où l’attend la prison, d’où, dans des conditions encore épiques, il réalisera clandestinement son album à succès.
Après une exposition marquée par un réalisme quasi documentaire, la partie pieds nickelés est plus opératique et trahit ouvertement son inspiration. Par moments, on pense à Bronson, en partie à cause de la ressemblance physique de l’interprète Emilio Sakrava avec Tom Hardy, mais on serait tenté de citer aussi la trilogie Pusher, elle-même inspirée des Sopranos, ce qui nous ramène à la référence primordiale Les affranchis. Et cette influence baigne Rheingold pour le meilleur, tout en laissant au cinéaste la place de développer sa propre voix. Mais, contrairement à la légende, le héros d’Akin ne renonce pas à l’amour, ce qui le place à la fin dans une situation qui contredit tout ce qui a fait ce qu’il est devenu. C’est un mystère qui reste ouvert à l’interprétation.
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The Passenger
Seulement quelques mois après nous avoir pondu Swallowed, un huis clos gay et trash, Carter Smith (Les Ruines) revient avec un nouveau film qui s’annonce tout aussi dérangé.
Nommé The Passenger, son petit dernier narre les déboires de Randolph, un type mal dans sa peau qui aime rester discret. Problème, son collègue, Benson, est un sociopathe de la pire espèce, et va plonger la vie des deux hommes dans une spirale de violence…
Intéressant tout ça, d’autant que le méchant en question est campé par le toujours bon Kyle Gallner qu’on avait croisé dans The Shield et le cinquième Scream.
–> Boum Dans Radarr direct
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Coup d’envoi depuis le 30 juin puis jusqu’au 8 juillet pour le NIFFF (Festival International du Film Fantastique de Neuchâtel). Plus de 120 films venus de plus de 40 pays ont été sélectionnés et répartis dans de nombreuses sections (International Competition, Asian Competition, Third Kind, Ultra Movies…), avec entre autres la comédie méta Cobweb, dernier né du Coréen Kim Jee-woon (J’ai rencontré le diable) , du gore italien avec Piove de Paolo Strippoli (A Classic Horror Story), du thriller hongkongais avec Mad Fate de Soi Cheang (Limbo)booo: , de la critique sociale gothique et British avec Raging Grace de Paris Zarcilla, de l’horreur made in USA avec Pearl, deuxième volet de la trilogie de Ti West (préquelle de X et du futur MaXXXine) et Perpetrator de Jennifer Reeder (Knives and Skin), mais aussi de la péloche française avec Acide de Just Philippot (La Nuée), Tropic d’Édouard Salier ou encore Vincent doit mourir de Stéphan Castang.
Les projections thématiques (Female Trouble, Film de Minuit, Ultra Movies…) seront l’occasion de (re)découvrir de nombreuses pépites, allant de La Féline de Jacques Tourneur à L’Ange de la vengeance d’Abel Ferrara en passant par La Sentinelle des maudits de Michael Winner.
Et pour parfaire le tableau, le festival vous permettra de rencontrer, dans le cadre de conférences, l’auteur culte Charles Burns et les cinéastes géniaux John Mctiernan et Katsuhito Ishii, avec focus sur l’œuvre de ces deux derniers – projections de Predator, Die Hard et Last Action Hero pour le premier, Redline, The Taste of Tea ou Party 7, notamment, pour le second. Retrouvez le programme complet par ici :
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Narco-Saints Créée par Sung-hui Kwon, Yoon Jong-bin
Origine : Corée du Sud
Nombre de saison : 1 (saison 2 à venir)
Avec :
Jung-woo Ha
Jung-Min Hwang
Park Hae-Soo
Yoo Yeon-SeokSynopsis :
Un entrepreneur ordinaire se joint à une mission secrète du gouvernement pour capturer un baron de la drogue coréen opérant en Amérique du Sud.
Avis :
Tirée d’une histoire vraie, j’ai passé un bon moment (ou court étant donné que la saison n’a que 6 épisodes).
À voir si aime le genre. -
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@Psyckofox a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
j’ai tous simplement kiffé (une série à voir absolument).
Tu aurais du la mettre ici pour le coup
https://planete-warez.net/topic/499/topic-unique-les-séries-que-vous-avez-aimées-et-adorées/141
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Effectivement tu as raison (j’édite la chose )