[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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Faisant partie des gens ayant visionné jusqu’au bout la première salve, je viens de tester le pilote. ça me semble pas trop mal et dans la continuité de l’histoire. Le duo Maggie/Negan fonctionne bien.
SYNOPSIS & INFO
Quelques années après les évènements survenus au Commonwealth, Maggie et Negan se rendent dans un Manhattan post-apocalyptique coupé depuis longtemps du continent. La ville en ruine est peuplée de morts et d’habitants qui ont fait de New York, un monde anarchique empli de terreur.
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Je suis au début de la saison 10 depuis belle lurette.
J’étais à donf puis bing, d’un coup saison 10, j’ai tout arrêté donc faudrait que je m’y mette de suite (problème je mate trop de k-drama…Où vais je placer ça dans mon agenda ? merde ) -
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The Glory, je me le suis fait y’a quelques mois et c’est juste excellent.
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à Violence le dernière édition par
@Violence Je télécharge les épisodes pour commencer à regarder la saison une fois complète. J’aime bien l’acteur Jeffrey Dean Morgan avec son perso.
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@Snoubi Isabelle Nanti en mère acariâtre, ça promet du bon, Clavier en fils à maman aussi, j’ai hâte.
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@Tristan-0
Salut l’ami j’espère que tu vas bien ;).
En tous cas merci, je ne connaissais pas et je mets ça de suite dans ma watchlist (et étant un grand fan du pays du soleil levant, un petit dépaysement me ferait le plus grand bien lol) -
Nouvelle bande-annonce de Dune partie 2 !
En VO et en VF.
VO :
VF :
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@Indigostar je valide je l’attends
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SISU (2023)
Mon avis: À part les Allemands qui ne supportent pas d’être découpés en rondelles ou cramés au bbq, le héros, lui, recolle toujours ses morceaux et ça ne le gêne même pas pour courir ou porter des charges.
Sinon, le gore est de toute beauté et j’ai bien cru qu’on n’entendrait jamais la voix de Sisu. A voir pour le spectacle et la vengeance, sinon, Il vaut mieux être bon public. @Violence m’avais mis l’eau à la bouche.
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J’ai maté WOLF PACK (2023) sur PARAMOUNT+
8 épisodes
NUL A CHIER ! ! ! MON DIEU . . .
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tu as pas envie de regarder school spirit peut etre mieux en tout cas ya que sur paramount qu’ ils l’ont
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Snoubi le dernière édition par
@Snoubi a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
school spirit
Maddie, une adolescente coincée dans l’au-delà, décide d’enquêter sur sa mystérieuse disparition avec un groupe d’autres élèves qui sont également coincés dans les limbes de leur lycée.
Non, ca m’a l’air cul cul la praline ^^
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@duJambon a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
A voir pour le spectacle et la vengeance, sinon, Il vaut mieux être bon public. @Violence m’avais mis l’eau à la bouche.
C’est ce qu’on appelle une série B, ce n’est pas à prendre au premier degré
On regarde justement pour ce que tu mentionne, le reste si il y a, c’est éventuellement du bonus.Il aurait eu des supers pouvoirs à la con que ce ne m’aurait même pas étonné Je veux juste dire que le côté réaliste, on s’en branle dans ce genre de prod sinon faut passer son chemin direct.
Merci pour le bon public mais c’est plutôt une question de genre et rien d’autre. A comparer au nombre incalculable de série B de genre, c’est même une très bonne surprise vu le peu de moyen du film.
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@Violence Je t’avais classé coté spectacle et vengeance Moi, j’ai adoré ça même si j’ai été un peu déçu par le coté autoréparation/terminator.
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Rheingold
À ses débuts, Fatih Akin (Golden Glove) affirmait une sensibilité marquée pour l’hybridation et le mélange des genres (de l’orient à l’occident, du documentaire à la fiction), avec un sens visuel fort, des choix musicaux audacieux et une direction d’acteurs assurée. Mais, à la suite d’une récente série de films qu’il faut bien qualifier de décevants, on n’en attendait plus grand-chose. Surprise, non seulement il a trouvé avec Rheingold un sujet qui lui convient parfaitement, mais il en a tiré ce qui est peut-être son meilleur long métrage.
L’histoire s’inspire de l’incroyable autobiographie du rappeur Giwar Hajabi, emprisonné pour divers méfaits dont le braquage d’une cargaison d’or, et qui, depuis sa cellule, a enregistré un CD qui a fait de lui une star du rap. Hajabi avait probablement beaucoup enjolivé les faits, et Akin les a lui-même traités à sa sauce, pour un résultat chargé d’adrénaline et hautement euphorisant qui tient à la fois du parcours initiatique, du film de gangsters, du biopic rocambolesque, avec une part de documentaire historique et de comédie.
Le film débute par une série de flash-backs, pour établir que le personnage principal a connu la prison depuis sa plus tendre enfance. D’abord, en Iran, où ses parents d’origine kurde ont subi l’oppression des islamistes, obligeant la famille à émigrer en Europe. À Bonn, où ils sont installés, le père, chef d’orchestre de réputation internationale, tente d’enseigner le piano à son fils. Pourtant, il s’y prend mal, et la mère a plus de succès en prodiguant des leçons particulières qu’elle finance en faisant des ménages.
Jusqu’ici, le récit est tellement chargé en péripéties qu’il y a suffisamment de matière pour en faire une minisérie (il en a d’ailleurs été question, avant que le projet ne revienne au format du long métrage). L’épisode de la mère, qui a accouché dans des conditions dramatiques avant d’être emprisonnée et torturée par les ayatollahs, fait le portrait d’une femme prête à tous les sacrifices pour défendre ses proches. Son personnage est si impressionnant qu’il détourne presque l’attention de l’essentiel, qui commence vraiment lorsque Giwar, au contact des délinquants de son quartier de Bonn, s’impose par la brutalité (pour laquelle il est prédisposé) et acquiert à cette occasion son surnom de Xatar (danger).
De fil en aiguille, il tente de se faire un nom comme videur de boîte, mais la menace de la pègre locale l’incite à intégrer un gang oriental, jusqu’à ce que les circonstances l’obligent à monter un coup invraisemblable qui consiste à voler une cargaison d’or à des margoulins. L’épopée qui s’ensuit tient autant des pieds nickelés que de la légende, auquel le titre fait référence. Dans les Nibelungen, l’or des Burgondes est jeté dans le Rhin, mais personne ne l’a jamais retrouvé (même les nazis ont essayé). Et comme dans la légende, l’or disparu est le résultat d’une même opération: des voleurs qui ont volé des voleurs. La suite est aussi rocambolesque, et promène le personnage au Moyen-Orient avant de le ramener en Allemagne où l’attend la prison, d’où, dans des conditions encore épiques, il réalisera clandestinement son album à succès.
Après une exposition marquée par un réalisme quasi documentaire, la partie pieds nickelés est plus opératique et trahit ouvertement son inspiration. Par moments, on pense à Bronson, en partie à cause de la ressemblance physique de l’interprète Emilio Sakrava avec Tom Hardy, mais on serait tenté de citer aussi la trilogie Pusher, elle-même inspirée des Sopranos, ce qui nous ramène à la référence primordiale Les affranchis. Et cette influence baigne Rheingold pour le meilleur, tout en laissant au cinéaste la place de développer sa propre voix. Mais, contrairement à la légende, le héros d’Akin ne renonce pas à l’amour, ce qui le place à la fin dans une situation qui contredit tout ce qui a fait ce qu’il est devenu. C’est un mystère qui reste ouvert à l’interprétation.