[Dossier] [Critique] Avatar : La voie de l'eau
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Vu hier et bah c’est un navet emballé dans moult effets spéciaux. 13 ans pour en arriver là. C’est le deuxième sur 5, ça promet!
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@Pluton9 La “suprématie” des américains dans l’univers (et même le métavers), n’est pas nouvelle dans l’univers du cinéma, heureusement, il y a le spectacle pour compenser un peu la propagande…
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@duJambon
Ce n’est pas “suprématie” américaine qui me gène là, c’est l’absence totale d’histoire. Ça manque de rythme, ça manque de renouvellement comme si le colonel trucmuche était le seul méchant de la planète, on le ressuscite pour en faire un beauf sans caractère, exit Eywa, la narration trop présente est plan-plan, trop de maori chez le peuple de l’eau. Bref, beaucoup de technique sans imagination, ça donne pas grand chose. -
@Pluton9 a dit dans [Dossier] [Critique] Avatar : La voie de l'eau :
Vu hier et bah c’est un navet emballé dans moult effets spéciaux. 13 ans pour en arriver là. C’est le deuxième sur 5, ça promet!
Ouucch tu es dure quand même, mais pourquoi pas ?
Je respecteIl n’a pas fallu 13 ans de conception, mais quand on voit le défi technique que cela a été de le concevoir et le rendu à l’écran. On comprend mieux le pourquoi du comment.
@Pluton9 a dit dans [Dossier] [Critique] Avatar : La voie de l'eau :
c’est l’absence totale d’histoire
Elle est classique, mais pas absente loin de là (je ne développerais pas tout). Je l’ai trouvée intéressante cette fuite en avant avec la famille au centre de celle-ci. Étant parent, ça m’a bcp parlé, tout en sachant que cette fuite n’est pas la solution. Grâce à elle on voit un autre visage de Pandora avec une nouvelle faune et flore. On découvre dans le deuxième acte, le peuple Metkayina ainsi que leurs usages, une nouvelle vision de leur connexion à Eywa ,etc. Il n’y a presque pas d’action à proprement parlé dans cet acte (milieu du film), mais c’est là que la magie opère, en tout cas de mon point de vue.
@Pluton9 a dit dans [Dossier] [Critique] Avatar : La voie de l'eau :
comme si le colonel trucmuche était le seul méchant de la planète, on le ressuscite pour en faire un beauf sans caractère,
Qui n’est en fait pas le colonel Quaritch
Scénaristiquement parlant, c’est loin d’être déconnant. Cela montre que les humains ont bien fait évoluer leur technologie d’avatar. Niveau SF, c’est là encore classique, mais sympa. Cela renouvelle l’attrait à cette technologie d’avatar qui à mon avis va encore évoluer. C’est un des nombreux points centraux faisant partie de l’histoire. Cette ambiguïté du personnage entre l’avatar et la conscience transféré dans un corps puis contre-balancé avec le personnage de Spider .C’est aussi intéressant. J’imagine que ce sera aussi développé dans les suites.@Pluton9 a dit dans [Dossier] [Critique] Avatar : La voie de l'eau :
exit Eywa,
Eywa est omniprésente tout le long du film comme dans le premier opus et même renouvelée à cette nouvelle faune et flore. Finalement, tout comme une espèce, elle se renouvelle sous plusieurs formes selon son environnement. Cette “connexion” est encore plus développée grâce au personnage de Kiri (qui est à mon sens une très belle surprise de cet opus qui sera aussi développée dans le futur vu les questions restées en suspend), mystérieusement née de l’avatar du Dr Grace, qui était justement fascinée par Eywa et le peuple Omaticaya.
@Pluton9 a dit dans [Dossier] [Critique] Avatar : La voie de l'eau :
la narration trop présente est plan-plan
Cette narration est presque identique au premier film. Sully le faisait via son journal de bord quand il intégrait la tribu Omaticaya. Point de surprise.
@Pluton9 a dit dans [Dossier] [Critique] Avatar : La voie de l'eau :
trop de maori chez le peuple de l’eau.
Je ne suis pas spécialiste, mais je crois que la similitude s’arrête au fait qu’ils arborent des tatouages et que leurs usages se font en harmonie avec la mer.
Ça me rappelle la polémique ou le peuple Omaticaya était assimilé aux Amérindiens pour le premier opus. -
@Violence
Je respecte ton point de vue
Nous en reparlerons quand le DVD sortira avec peut-être une version longue de 4h pour boucher les trous -
Avatar 2 est bien sorti au cinéma en Russie grâce à des moyens, disons, détournés
Le film Avatar 2 suscite la curiosité des spectateurs du monde entier. En Russie, où les blockbusters hollywoodiens ne sont plus disponibles, c’est la méthode débrouille qui prime.
Avatar 2 : la voie de l’eau, est devenu en à peine 15 jours le film le plus vu au cinéma en France, avec 6,87 millions d’entrées. Le (très) long-métrage de James Cameron est un tel phénomène qu’il a fait planter des cinémas japonais, puisqu’il nécessite un dispositif robuste pour sa projection. Du côté de la Russie, où les géants du divertissement ont préféré cesser leurs activités en raison de l’invasion de l’Ukraine, on parvient à contourner ces sanctions pour voir le film.
Des versions d’Avatar 2 partagées à l’aide de torrents non répertoriés
En Russie, la situation est claire : les derniers gros films américains ne peuvent pas y être visionnés, puisque l’industrie cinématographique hollywoodienne a fait le choix de suspendre ses activités dans le pays, sans pour autant se mettre en péril financièrement parlant. Pour le secteur, mais côté russe en revanche, c’est une autre histoire.
L’effet des sanctions sur les cinémas russes est dévastateur, l’association locale des propriétaires de salles obscures allant même jusqu’à prévenir que l’industrie entière pourrait céder et s’effondrer. Alors, certains cinémas ont décidé de passer outre les sanctions et d’utiliser des films piratés pour attirer les spectateurs dans les salles.
Ceux-ci sont alors convertis au format DCP (Digital Cinema Package), un format de fichier numérique spécifique à la projection dans les salles de cinéma. De nombreuses versions DCP sont accompagnées d’un doublage russe. Le site spécialisé Torrent Freak nous explique que les packages « sont parfois partagés entre les salles de cinéma à l’aide de torrents non répertoriés ».
Un contournement indispensable pour la survie de nombreuses salles
Les projections pirates sont aujourd’hui une nécessité absolue pour l’industrie cinématographique russe. L’Association russe des propriétaires de cinéma n’approuve pas nécessairement la pratique, mais sans alternative légale disponible, elle la comprend. « Je ne peux pas blâmer les cinémas qui se lancent maintenant dans les projections torrent », martèle le président de l’organisation, Alexei Voronkov.
Plusieurs cinémas russes diffusent Avatar 2 depuis quelques jours, en vantant la « haute qualité » des copies DCP qui proviendraient de certains pays amis de la Russie, comme le Kazakhstan. Les villes de Saint-Pétersbourg, Iekaterinbourg et Krasnoïarsk ont accueilli des projections non autorisées. On ignore comment les cinémas reçoivent précisément ces copies, même si l’hypothèse des transferts de torrents non répertoriés reste forte.
Certains grands réseaux de cinémas russes refusent de participer à ces projections illégales. En contrepartie, ils doivent respecter un accord et garder le film loin des salles jusqu’au 13 janvier prochain. En attendant, le vrai piratage, lui, ne faiblit pas et vient entraver cette solution de contournement adoptée par les cinémas russes.
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Il me tarde de voir le Making of…
Je sors à l’instant d’une salle Dolby atmos, gros fauteuils inclinables (c’est pas superflu !).
je crois que la derniere fois que j’a vu un film en 3D avec lunettes, c’était pour… Avatar 1
On peut dire que cette technologie qui me semblait balbutiante, avec un confort limité des lunettes a bien (énormément) progressé !
Franchement, une claque visuelle, au service d’un bon Disney un peu naïf et long (mais pas trop).
A voir pour le spectacle. -
ATTENTION AUX YEUX , CA PIQUE (qualité)
Et le 1 (2009)
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Avatar 2 fait planter les salles cinéma au Japon
Si Avatar 2 cartonne au box-office mondial, le succès est plus timide chez nos amis Japonais. Ce n’est pas pour une raison culturelle, mais à cause de problèmes techniques que certaines salles de cinéma nippones rencontrent lors de la diffusion du film.
En effet, Avatar : La Voie de l’eau semble être trop sophistiqué techniquement parlant comme le rapporte le site Bloomberg. Il faut dire que James Cameron s’est appuyé sur de nombreuses technologies inédites pour offrir une expérience ciné unique aux spectateurs. Sauf qu’au Japon, certaines salles ne sont pas encore équipées pour supporter ces technologies.
Pour rappel, tout comme la trilogie Le Hobbit de Peter Jackson, Avatar 2 a recours à la technologie du High Frame Rate (HFR) ) à savoir, une augmentation du défilement d’image grâce à la projection du film à 48 images par seconde contre 24 images seconde normalement. Une technologie qui offre ainsi un meilleur confort lors du visionnage et qui réduit notamment l’effet saccade pour les films en 3D. Mais ce procédé présente aussi un inconvénient : certains spectateurs, par habitude des films en 24 images par seconde, ont subi des effets visuels indésirables que l’on connaît sous le nom de “soap opera effect”.
Pour palier ça, Cameron a décidé d’utiliser la technologie du TrueCut Motion pour alterner entre les deux formats. Ainsi, pour des scènes plus statiques, le format standard est conservé alors que pour des scènes plus dynamiques, il passe par le HFR.
Une production trop gourmande technologiquement
Et c’est là que se pose le problème : toutes les salles ne sont pas équipées pour le HFR. Beaucoup imaginent que le Japon est en avance technologiquement dans le domaine du cinéma. Sauf que l’évolution technique des salles nippones est plus lente qu’en Europe ou au Etats-Unis précise Bloomberg.
Pour l’heure, ni Disney ni les salles japonaises n’ont commenté les problèmes techniques rencontrés avec Avatar 2. Cependant, un cinéma de Nagoya a expliqué que face à ce souci, il a décidé de diffuser le film avec la fréquence d’images normales et non en 48 images par seconde.
Et c’est très certainement cette alternance entre les deux fréquences d’images qui provoque de gros plantages dans les salles obscures japonaises. Pour diffuser ce type de production avec cette technologie, il est essentiel d’être équipé d’un projecteur numérique de seconde génération.
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Voila le genre de film, qui se voit dans un cinéma !
En DVD Bluray 3D, on ne retrouve jamais l’ambiance d’un cinéma.
Il faut le voir au cinéma, c’est le seul moyen de découvrir cet univers.Je n’ai pas vu passer les 3 heures et quelque…
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@Yamaha-L-Ancien Si on aime le bruit, les sonneries de téléphone, les notifications, l’odeur des popcorns
Pourquoi pas.
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Je dirais même plus, il doit se voir en 3d dans une salle de cinéma calé avec le petit plaid au moins la première fois. Techniquement, c’est une vrai expérience qui ne se fait pas tous les jours et certainement pas reproductible dans son salon.
@duBoudin ils sont pas civilisés en Suisse ou quoi ?
J’ai de la chance, dans ma ville, les gens sont relativement respectueux dans les salles et je ne suis jamais embêté…
Les popcorn, m’en fous c’est moi qui les bouffent.
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@Violence a dit dans [Dossier] [Critique] Avatar : La voie de l'eau :
ils sont pas civilisés en Suisse ou quoi ?
Carrément pas, le sol et les fauteuils en fin de séance ressemblent à la première classe d’un avion en fin de vol…
J’ai non seulement vu des cartons de pizza, mais des bouts aussi et des trucs qu’il valait mieux ne pas identifier…
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Violence le dernière édition par
@Violence a dit dans [Dossier] [Critique] Avatar : La voie de l'eau :
Les popcorn, m’en fous c’est moi qui les bouffent.
D’ou le surpoids
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Ha ouai c’est chaud. J’ai jamais vu ce genre de truc au ciné.
@tudikoi c’est pas gentils ça, comment tu sais ça toi ! Tu n’as plus qu’à deviner la taille et les kilos en trop en rapport à l’IMC
En plus je prends le format géant. Pour un film de 3h faut pas déconner, non mais ho.
L’avantage c’est que personne viens m’emmerder. Une calotte et ça vole
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Je ne reviendrais pas sur ce que je pense du film… aller si
C’est un navet dans un papier cadeau technologique, hein?!J’me suis refais le premier hier soir dans mon cinoche à moi sans @Violence pour grignoter une bourriche de popcorn ou papoter sur la jolie baleine. Ça m’a fait oublié le désastre du second volet… Bref, oui @Violence, je vais attendre 4 mois pour le revoir et confirmer mon avis
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Violence le dernière édition par
@Violence , t’emmène Pluton9 ou ? me dit pas à l’abattoir , hein !
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