Aux États-Unis, des jeunes rejettent les réseaux sociaux pour préserver leur santé mentale
-
Aux États-Unis, certains jeunes mettent en garde sur les dangers des réseaux sociaux. D’autres laissent tomber leur smartphone, tandis que des parents poursuivent les réseaux sociaux pour atteintes à la santé mentale des jeunes.
Aux États-Unis, les dangers de l’addiction aux réseaux sociaux sont de plus en plus dénoncés par de nombreux parents d’adolescent. Des jeunes eux-mêmes essaient de se passer des réseaux sociaux, pour préserver leur santé mentale.
Il y a ce petit groupe de lycéennes de Brooklyn, à New York. Quand elles avaient 12 ou 13 ans, Aliza, Clémentine, Odile trouvaient les réseaux sociaux tellement cool qu’elles suivaient absolument toutes les tendances. Dorénavant, impossible pour elles d’aller sur Insta, Facebook, Twitter. Elles ont des téléphones à clapet et c’est elles qui l’ont voulu ! Leurs téléphones ne leur servent qu’à téléphoner !
"Quand j’ai eu mon téléphone à clapet, dit Lola dans le New York Times (article en anglais payant), tout a changé. J’ai enfin utilisé mon cerveau."Le mouvement new-yorkais n’est pas le seul à remettre en cause les réseaux sociaux. Emma, une étudiante, témoigne dans la très sérieuse émission
. À 12 ans, elle découvre les réseaux sociaux. Connectée au monde depuis sa ville de Birmingham, en Alabama, elle ouvre un compte Instagram. Très vite, elle évalue son bonheur en fonction du nombre de ses followers et de ses likes. Elle passe des heures sur des photos de corps de femmes parfaits car retouchés. Emma déclare alors des troubles alimentaires graves. Elle a aujourd’hui 19 ans, s’en est sortie mais s’inquiète pour les plus jeunes, les 13-15 ans, en appelle aux élus et réclame un débat parlementaire. “Je ne peux imaginer la crise de santé mentale à laquelle des générations vont devoir faire face”.1 200 familles poursuivent les réseaux sociaux en justice
D’autres ont choisi le terrain judiciaire. Plus de 1 200 familles sont en procès contre les maisons mères de TikTok, Snapchat, YouTube, Roblox, Instagram et Facebook. Ces familles ont pour certaines perdu un enfant, qui s’est suicidé après avoir consulté sur Instagram des tutos montrant comment se pendre. D’autres ont vu leur enfant dépérir. Par exemple les Spence. Leur fille Alexis a eu un téléphone à 11 ans. À 12 ans, elle fait une dépression. Sur Instagram, elle recevait de plus en plus de pubs pour des produits minceur. Puis les algorithmes l’ont poussé vers des sites de mouvements pro-anorexie. Elle a alors développé des troubles du comportement alimentaire graves. Les parents poursuivent en justice Meta, maison mère d’Instagram. Selon des documents secrets internes, des employés ont alerté la direction sur les risques sur la santé mentale des jeunes. L’avocat des parents d’Alexis a lancé le centre de défense des victimes des réseaux sociaux. Selon lui, les géants de la tech ont volontairement rendu les réseaux addictifs. Ce qui rappelle étrangement les méthodes des géants du tabac.
Source : francetvinfo.fr
-
@Raccoon a dit dans Aux États-Unis, des jeunes rejettent les réseaux sociaux pour préserver leur santé mentale :
“Quand j’ai eu mon téléphone à clapet, dit Lola dans le New York Times (article en anglais payant), tout a changé. J’ai enfin utilisé mon cerveau.”
J’espère quand même qu’elle n’est pas blonde, il suffisait juste de supprimer les resoss et mettre de l’utile dans son smartphone
-
Mais au final… PW est un réseau social… non ?
Débranchez moi SVP !!!Plus sérieusement -> Comme certains des gamins dans l’article, pas d’internet sur mon portable car une tite carte prépayée. Du coup, pas d’abonnement qui te coute une fortune pour 3 appels donnés dans le mois et pas de pub dans tes ptits games (sudoku) entre chaque parties que tu fais pépère dans les transports publics.
Juste le wifi à la maison ou là, il y a de la consommation internet mais c’est plus sympa avec clavier/souris. -
@Popaul a dit dans Aux États-Unis, des jeunes rejettent les réseaux sociaux pour préserver leur santé mentale :
Mais au final… PW est un réseau social… non ?
Avec une vingtaine de personnes qui postent, c’est pas vraiment encore tiktok…
@Popaul a dit dans Aux États-Unis, des jeunes rejettent les réseaux sociaux pour préserver leur santé mentale :
Débranchez moi SVP !!!
Chiche ! On peut le faire, il est possible de bannir 1 heure. Ou moins, manuellement
-
@duJambon a dit dans Aux États-Unis, des jeunes rejettent les réseaux sociaux pour préserver leur santé mentale :
Chiche ! On peut le faire, il est possible de bannir 1 heure. Ou moins, manuellement
Queuwa ?!? Des menaces ?!? Inadmissible !!!
Va te faire enschtroumpfer !!!non mais hé !!!
-
@Popaul a dit dans Aux États-Unis, des jeunes rejettent les réseaux sociaux pour préserver leur santé mentale :
PW est un réseau social… non ?
Plus que ça, PW est une institution, ici on s’instruit, on rigole, et en plus charcuterie à volonté!
-
Ha les réseaux sociaux…ce cancer (y’a de tous mazette…narcissisme, harcèlement moral, attaque gratuite, haine en tous genre, révisionnisme, négationisme, fake news ettttttttccccccc).
Internet c’est un outil extraordinaire.
On peut y apprendre des milliards de chose…et si on débrouille bien, avoir les mêmes connaissances qu’un médecin ou un avocat si on est motivé.
Mais résultat des courses, on préfère commenter la photo d’un bouton dans la gueule ou un furoncle au cul d’un inconnu qui a posté sa photo sur Facebook, étaler sa vie de narcissique, sa haine ou son linge sale (tu lis tous ce qu’il y’a de dégueulasse chez l’humain).Auparavant sans ces médias, c’était caché, t’avais quand même de l’espoir en l’espèce humaine mais là même avec ce COVID qui a tué tellement de personnes et d’autres frôler la faucheuse, ça n’a rien changé…bien au contraire (Ha vivement le bouton off lol)
-
@Psyckofox Bin ouai les réseaux sont à notre image, internet c’est comme une bibliothèque, rien n’oblige les gens a se jeter sur un vieux closer.
Grace au net, les discussions d’alcoolos au comptoir du bar du coin ont maintenant une audience mondiale.
Mais quand on y reste sur ses passions et intérêts, on y trouve des perles.