Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
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@michmich *vu
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@Mister158
Ca existe depuis longtemps et ça revient de temps en temps sur le devant de l’actu…
C’est comme avec les armes, on en parle et rien ne change… -
@Mister158 a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
c’est juste inhumain
Depuis quand l’humain a un quelconque intérêt aux États-Unis? Tout est motif à spéculation pécunière…
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Tiens, en parlant des USA de pognon, et des hopitaux:
Il tue sa femme parce qu’il ne peut payer ses soins
Un homme de 75 ans a étranglé son épouse sur son lit d’hôpital, son traitement coutant trop cher.
Ronnie Wiggs a avoué avoir déjà tenté de tuer sa femme auparavant.Vendredi 3 mai, le personnel de l’hôpital d’Independence, dans le Missouri, a reçu une alerte provenant de la chambre dans laquelle une femme était en attente d’une dialyse. Elle ne répondait plus et, bien qu’ils aient récupéré son pouls, ils n’ont pu que la déclarer en état de mort cérébrale.
Ronnie Wiggs, son mari, qui était présent à l’hôpital, est ensuite rentré chez lui. Le samedi, la femme est décédée et le mari est revenu avec leur fils. C’est alors que le personnel de l’hôpital l’a entendu dire: «Je l’ai fait, je l’ai tuée, je l’ai étranglée», selon abcNews.
Alertée, la police a arrêté cet homme de 75 ans, qui a expliqué qu’il avait tué sa femme parce qu’il ne pouvait plus payer le lourd traitement qu’elle suivait. Il a dit qu’il lui avait bouché le nez et la bouche pour l’empêcher de crier.
Elle lui avait dit de ne pas recommencer
Il a précisé qu’il avait déjà essayé de la tuer une autre fois, alors qu’elle était dans un centre de réadaptation et qu’elle dormait, mais qu’elle s’était réveillée et lui avait dit de ne plus recommencer. Il ne l’a pas écoutée, visiblement.
Ronnie Wiggs a comparu lundi devant un tribunal pour meurtre au deuxième degré et sa caution a été fixée à 250 000 dollars.
Source: https://www.lematin.ch/story/etats-unis-il-tue-sa-femme-parce-quil-ne-peut-payer-ses-soins-103099524
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Après avoir ressuscité des chiens, on cherche des cobayes humains
“Les tabloïds ont crié gare à la ‘Nuit des chiens vivants’ quand des scientifiques ont réussi à ressusciter des chiens au Centre Safar de recherche sur la résurrection, en Pennsylvanie, au Etats-Unis”, rapporte The Independent.
Grâce à une version élaborée de l’hypothermie, les scientifiques du Safar ont réussi à maintenir des chiens en état de mort clinique pendant trois heures, avant de les faire revenir à la vie. “Le procédé consiste à vider l’animal de son sang puis de remplir ses veines avec une solution saline et froide, qui abaisse la température du corps à 7 °C”, explique le quotidien britannique. Trois heures plus tard, le sang du chien est réinjecté, et l’animal est ramené à la vie par un léger choc électrique. Selon le journal, les chercheurs du Safar espèrent commencer les expériences sur les humains d’ici un an.
Selon le Dr Samuel Tisherman, directeur associé du Centre Safar, l’objectif est de “gagner du temps chez les blessés qui ont perdu trop de sang à la suite d’accidents ou de blessures par balle”. Le Dr Howard Champion, chirurgien britannique installé aux Etats-Unis, explique que “le principe de cette technique vise à accroître les chances de survie du patient pendant son acheminement à l’hôpital”. A l’avenir, “si un appareil de refroidissement était présent dans les ambulances, cela permettrait de réduire le métabolisme des patients”, commente Mark Voelker, scientifique chez Bio Time Inc, en Californie. Selon lui, “la notion de mort dépend des technologies dont on dispose pour réanimer un patient. Finalement, la mort, c’est quand le médecin dit : ‘Je ne peux plus rien faire’.”
La “résurrection” fait peur et pose des questions éthiques et spirituelles, note The Independent. Au Centre Safar, certains chiens ont souffert de problèmes physiques et comportementaux graves une fois réanimés. Ross Heaven, auteur du livre Shaman Vaudou, fait un rapprochement entre l’hypothermie et les pratiques vaudous sur les êtres humains à Haïti. Selon elle, une fois la cérémonie terminée, “les hommes ne sont plus jamais entiers, et on les qualifie de zombies parce qu’ils n’ont plus d’âme”. L’Eglise anglicane, elle, estime que “si l’on peut être réanimé, c’est qu’on n’était pas vraiment mort”, rapporte le quotidien. Elle voit les technologies médicales comme “une extension des soins de Dieu”. Enfin, Susan Blackmore, écrivaine et professeur d’université, estime qu’il s’agit simplement d’une question d’équilibre entre les nutriments et l’oxygène” dans l’organisme et qu’il n’y a “pas de raison d’invoquer la notion d’âme”.
Selon The Independent, les scientifiques du Safar sont exaspérés par les spéculations spirituelles des uns et des autres. “Mais on peut parier que s’ils commencent à ressusciter les êtres humains, on risque d’entendre parler de zombies pendant longtemps”, conclut le journal.
Source : courrierinternational.com
Je ne sais pas si c’est le fait de vieillir mais ce genre d’article me fait dire qu’on est de plus en plus perché et qu’on va droit vers le grand n’importe quoi.
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oh putain on y est !!!
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Se faire “refroidir” pendant x années en espérant qu’on ne t’oublie pas pour un réveil. Histoire d’attendre qu’un remède soit là pour te soigner d’une schtroumpferie qui te ronge… pourquoi pas ?
Après, c’est évident que pas impossible que ça soit mal utilisé… Nous sommes humain ^^
Sinon, pour ceux qui sont outrés par l’idée parce que, dans notre civilisation, on s’apprend c’est mal de s’approcher aussi près d’une divinité quelconque (ou bêtise vaudou du genre).
Jsais pas… il y a tellement d’exemples de trucs qu’on fait qui nous semblent totalement normaux mais qui pourraient être outrageux : se foutre de la peau de vache autour du pied (après avoir bu son lait, évidement) -> chaussure.
Bref, c’est juste une question d’habitude ^^ -
USA: Elle a poignardé son amie 484 fois: «Kim s’est bien défendue»
Une trentenaire a été condamnée à 55 ans de prison pour le meurtre de sa meilleure amie, perpétré en avril 2022 dans le Maine.
Kim Neptune a été tuée par Kailie Brackett le soir du 20 avril 2022, dans la réserve indienne de Pleasant Point (ça ne s’invente pas)«Nous sommes soulagés que justice soit faite. Et demain et les jours suivants, nous allons commencer à chercher des manières de guérir ensemble en tant que communauté, tous unis». Ces mots sont ceux d’Adam Newell, représentant de la tribu des Passamaquoddys, dont faisait partie Kim Neptune. En avril 2022, cette femme de 43 ans a été retrouvée morte chez elle, dans la réserve de Pleasant Point (Maine). Son corps, qui avait été emballé dans une couverture, présentait 484 blessures par arme blanche.
Vendredi, celle qui se présentait comme sa meilleure amie a été condamnée à 55 ans de prison pour meurtre, rapporte WABI 5. Kailie Brackett, 39 ans, continue de clamer son innocence et affirme que les auteurs de ce crime courent toujours. En décembre dernier, un homme nommé Donnell Dana était également jugé pour ce meurtre. Mais le jury ne parvenant pas à se mettre d’accord, il s’en est sorti. L’individu a ensuite plaidé coupable d’avoir éliminé des preuves pouvant mener à la condamnation de Kailie Brackett, qui est la mère de son enfant. Donnell Dana a, par ailleurs, vécu quelques années avec la victime avant 2021.
«Elle le racontait à qui voulait bien l’entendre»
La trentenaire affirme que le soir du crime, elle a déposé son fils chez la mère de Donnell Dana et qu’elle était chez elle au moment du meurtre. Or, selon la police, les deux trentenaires ont confié à plusieurs personnes avoir poignardé Kim Neptune. «Kailie Brackett le racontait à qui voulait bien l’entendre», peut-on lire dans le rapport de la police d’État du Maine, cité par le «Portland Press Herald». D’après les autorités, les deux acolytes avaient prévu de voler des médicaments, dont du Xanax, à la victime.
Après le meurtre, Donnell Dana aurait confié à une connaissance que le cambriolage avait mal tourné. Kailie Brackett, elle, aurait assuré à cette même personne que «Kim s’est bien battue». Durant une audience forte en émotions, vendredi, les proches de Kim Neptune l’ont décrite comme une personne «gentille», «attentionnée» et toujours prête à aider son prochain. Le neveu et la nièce de la victime, respectivement âgés de 12 et 14 ans, ont promis de faire perdurer la mémoire de leur tante. Kailia Brackett, elle, a répété qu’elle n’avait pas tué sa meilleure amie.
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bonjour le tartare
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Histoire folle : disparu depuis 26 ans, il est retrouvé séquestré chez son voisin
Un Algérien porté disparu depuis 26 ans a été retrouvé séquestré chez son voisin dans un village du centre de l’Algérie, ont annoncé les autorités mardi.
L’homme, âgé de 45 ans, disparu mystérieusement sans laisser de trace en 1998, a été retrouvé dans la maison d’un voisin perquisitionnée par les gendarmes à la suite d’une dénonciation publiée sur les réseaux sociaux, a indiqué dans un communiqué le bureau du procureur du gouvernorat de Djelfa, à 300 km d’Alger, où ces rocambolesques évènements ont eu lieu.
Selon les médias locaux, l’homme était retenu dans l’enclos de bétail de son voisin, dans le village d’El-Guédid. Des proches, cités par des médias, ont affirmé que l’homme pouvait pendant sa captivité voir et entendre les membres de sa famille à travers une ouverture dans l’enclos «mais était incapable de crier ou de fuir à cause d’un sort que son ravisseur lui avait jeté».
Le parquet a précisé que le suspect, un employé municipal local de 61 qui vivait comme si de rien n’était pendant toutes ces années, a été arrêté et sera jugé à l’issue de son interrogatoire.
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Un collier lui brûle le cou puis s’enfonce dans son matelas
Rayce Ogdahl, une Américaine de 16 ans, souffre de brûlures au troisième degré autour du cou. En cause: son collier.
Les cris déchirants de son fils Rayce ont brutalement tiré Danielle Davis de son sommeil. Lorsque la mère s’est précipitée vers son fils, le choc est immense: son cou était brûlé: «La puanteur était terrible», a-t-elle raconté aux médias américains. Selon elle, toute la maison sentait la peau et les cheveux brûlés.
L’incident s’est produit dans l’État américain de l’Oklahoma. Apparemment, l’adolescent était dans son lit et portait autour du cou une lourde chaîne métallique qui est entrée en contact avec une rallonge électrique. «Le courant électrique a fait le tour de son cou comme une bobine chauffée à blanc», décrit la mère.
Après que Rayce a arraché de son cou la chaîne avec un pendentif en forme de croix, celle-ci s’est également incrustée dans son matelas sur plusieurs centimètres de profondeur. «Il a dit qu’il avait clairement vu des étincelles sur de son cou», raconte la mère.
Le jeune homme est immédiatement amené à l’hôpital. Selon les médecins américains, il souffre de brûlures au troisième degré. Rayce aurait même pu mourir. Depuis son rythme cardiaque est surveillée pendant plusieurs jours. Les traces de la chaîne sont encore visibles sur la peau de l’adolescent et plusieurs cicatrices balafrent son cou. Les médecins ont suggéré une greffe de peau, mais Rayce refuse.
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à duJambon le dernière édition par
@duJambon ça a le mérite d’être originale et unique comme décoration corporelle.
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à Raccoon le dernière édition par
@Raccoon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
@duJambon ça a le mérite d’être originale et unique comme décoration corporelle.
Mieux que la scarification sur le cou pour le coup
Quelle idée de dormir avec ses chaines près d’une prise de courant aussi… -
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Traduction automatique des sites anglais : l’IA de google n’est-elle pas complètement conne parfois ??
Exemple : Texte en anglais :
et la traduction en français :
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Inspecteur Gadget
En français, il y a aussi des mots qui changent de sens selon le contexte, par exemple “note”, une note de musique, un petit mot en bas de page ou sur un post-it, voire un nombre pour évaluer la qualité d’un devoir.
Dans l’exemple au-dessus, c’est le cas de “arms”, qui peut signifier: bras, branche, arme, manche, armes, blason.
Le traducteur automatique est censé tenir compte du contexte, en l’occurrence, “stay stable” est, lui aussi, douteux, on pourrait lire qu’il faut tenir la position quitte à employer des armes
Même la photo semble montrer des jambes (legs) plutôt que des bras supplémentaires, bref, l’auteur de l’article n’est pas forcément innocent à cette confusion
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- le professeur envoya l’élève chez le proviseur parce qu’il voulait le voir
- le professeur envoya l’élève chez le proviseur parce qu’il faisait du bruit
- le professeur envoya l’élève chez le proviseur parce qu’il voulait avoir la paix
Demandez à une IA à qui “il” fait référence: je parie sur 33% de succès…
Une IA n’a rien de I finalement. Ce n’est “qu’un” programme sophistiqué, qui s’exécute comme il a été programmé pour le faire. Concernant les programmes traitant du langage, les programmeurs ne sont pas entrés dans le détail de l’analyse sémantique. La reconnaissance du vocabulaire ? Oui. La gestion du genre et du nombre ? Oui. L’implémentation de règles de grammaire ? Oui. L’analyse sémantique ? Non… dans le futur probablement.
On a déjà fait beaucoup de progrès dans ces programmes ces dernières décennies, faut bien avouer. Beaucoup d’efforts ont aussi été faits dans le domaine de l’analyse sémantique pour comprendre les questions posées par des humains dans les programmes tels que les chatbots. Malgré tout, quand on voit le résultat, cela paraît juste encore archaïque. On se dit qu’on n’en est encore qu’aux balbutiements! -
Un stage de drag-queen organisé pour les enfants dès 11 ans fait polémique près de Bordeaux
«Un stage drag qui casse les codes», organisé à destination des enfants par une MJC de Mérignac pendant les vacances scolaires, fait l’objet d’une pétition depuis lundi. Cette dernière rassemble déjà plus de 5034 signatures.
Dans des locaux prêtés par la ville de Mérignac et grâce à des bénévoles et des financements publics versés par la CAF, le département de la Gironde et la mairie (296.226 euros en 2022, NDLR), la MJC CLAL, une des «Maison des jeunes et de la culture» de Mérignac, organise régulièrement des activités à destination du jeune public. Pour les prochaines vacances scolaires de février, entre un atelier robot et une animation cirque, l’organisation à visée «d’éducation populaire» a aussi décidé de proposer aux jeunes, dès 11 ans, «un stage drag qui casse les codes», animé par le centre LGBTI+ de Bordeaux, Le Girofard.
En tant que parent concerné, je suis profondément troublé par ce stage qui ne semble pas être dans l’intérêt des enfants
Rémi de Corbier, président des AFC Bordeaux Nord GirondeObjectif de la semaine : créer son personnage de drag-queen en choisissant «un nom de drag, un genre et un code», partager des temps de réflexion «sur le genre, les codes, les stéréotypes et comment en jouer», apprendre à défiler en talons avec le regard et l’expression appropriés ou encore se mettre en scène dans une performance drag. «Pour l’instant, il y a quatre enfants inscrits et quatre en attente», affirme au Figaro une source proche du dossier, qui évoque «une lubie de la direction». Âgés de 11 à 15 ans selon nos sources, ces jeunes pourraient encore voir leurs rangs grossir, car les inscriptions au stage sont toujours ouvertes.
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Sources et suite :
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Un satellite russe déployé sur l’orbite d’un satellite américain
Le Pentagone accuse Moscou d’avoir lancé un engin capable de détruire des satellites. Moscou ne commente pas.
Le Pentagone a accusé Moscou d’avoir lancé une arme spatiale et de l’avoir déployée sur la même orbite qu’un satellite du gouvernement américain, a-t-il annoncé.
«La Russie a lancé en orbite terrestre basse un satellite que nous estimons être une arme spatiale capable d’attaquer d’autres satellites en orbite terrestre basse», a déclaré le porte-parole du Pentagone, le général Pat Ryder, lors d’une conférence de presse mardi en fin de journée.
L’arme spatiale russe lancée le 16 mai a été déployée «sur la même orbite qu’un satellite du gouvernement américain», a-t-il encore affirmé. Washington, qui se tient prêt à protéger ses intérêts, continuera à surveiller la situation, a ajouté Pat Ryder. «Nous avons la responsabilité d’être prêts à protéger et à défendre le domaine, le domaine spatial», a-t-il déclaré.
«Nous ne violons rien»
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a refusé de commenter les informations selon lesquelles Moscou aurait lancé une arme spatiale. «Je ne peux faire aucun commentaire à ce sujet. Nous agissons en parfaite conformité avec le droit international, nous ne violons rien et nous avons à maintes reprises plaidé en faveur de l’interdiction de toute arme dans l’espace», a-t-il déclaré lors d’un point de presse régulier à Moscou. «Malheureusement, nos initiatives ont été rejetées, y compris par les États-Unis», a-t-il affirmé.
Plus tôt mardi, Moscou a accusé les États-Unis de chercher à placer des armes dans l’espace après que Washington a opposé son veto à une motion russe sur la non-prolifération aux Nations Unies. «Ils ont à nouveau démontré que leurs véritables priorités dans le domaine de l’espace extra-atmosphérique ne visent pas à préserver l’espace de tout armement, mais à placer des armes dans l’espace et à en faire une arène de confrontation militaire», a déclaré la porte-parole du ministère russe des affaires étrangères, Maria Zakharova, dans un communiqué.
Ces derniers mois, les deux superpuissances se sont mutuellement accusées de vouloir armer l’espace. Dans ce cadre, Washington et Moscou ont proposé des motions de non-prolifération rivales aux Nations unies.
La Russie a opposé son veto à l’initiative américaine le mois dernier, tandis que la proposition de Moscou a été bloquée par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France lors d’un vote lundi.
Une diversion de Moscou
L’ambassadeur américain adjoint, Robert Wood, a déclaré que la proposition de la Russie, qui appelait tous les pays à «prendre des mesures urgentes pour empêcher à tout jamais le placement d’armes dans l’espace extra-atmosphérique», visait à faire diversion et a accusé Moscou de faire de la «manipulation diplomatique».
Selon lui, le lancement russe du 16 mai succède à d’autres «lancements de satellites russes susceptibles d’être équipés de systèmes antisatellite en orbite basse, en 2019 et 2022». En février, la Maison-Blanche avait assuré que la Russie développait une arme antisatellite.
Ces tensions entre Moscou et Washington, sur fond de guerre en Ukraine, ressuscitent le risque, datant de la Guerre froide, d’une militarisation de l’espace malgré l’existence depuis 1967 d’un traité appelant à «ne pas développer d’armes nucléaires, ou toute autre arme de destruction massive, conçues spécifiquement pour être placées en orbite».