Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
-
Méga-camions : l’Union européenne a dit oui, la France peut-elle dire non?
L’Union européenne a approuvé ce mardi la facilitation de la généralisation des “méga-camions” de 60 tonnes sur les routes européennes. Cela veut-il dire qu’il faut s’attendre à voir ces monstres de plus de 25 mètres de long débarquer sur nos autoroutes? Pas tout à fait…
La décision du Parlement européen était très scrutée. Attendue par les uns, redoutée par les autres, la généralisation des méga camions a été validée par les eurodéputés mardi 12 mars, mais cela ne signifie pas qu’ils sont désormais autorisés dans tous les pays de l’Union européenne. Pour être mise en place, cette décision doit être actée par le Conseil européen, et ce dernier ne fera pas savoir sa position avant le mois de juin. Le texte sera ensuite de nouveau présenté aux élus européens pour des négociations en vue d’une finalisation du texte. L’autorisation sera enfin soumise à l’approbation de chaque État membre.
Entre-temps, les pays opposés au projet de loi entendent bien inverser la vapeur. En France, où ce genre de camions est interdit, le gouvernement a redit son refus "d’une libéralisation de la circulation internationale des camions de 44 tonnes et des ‘méga trucks’, a-t-il fait savoir par la voix de son ministre des Transports, Patrice Vergriete.
Les eurodéputés écologistes comptent également profiter de ce délai pour parler des risques environnementaux de ces camions géants. Karima Delli a ainsi appelé la France à “dire clairement qu’elle n’en veut pas” et à l’inscrire dans sa loi nationale.
Il faut savoir qu’actuellement, les méga camions sont interdits en France, mais autorisés en Espagne et aux Pays-Bas, des pays frontaliers de la France par laquelle transitent beaucoup de poids lourds. Il est aujourd’hui stipulé que les méga-camions peuvent traverser une frontière à la condition que les deux pays concernés aient signé un accord. Un changement législatif pourrait assouplir les règles et cela expose la France au passage des méga camions espagnols et néerlandais.
Au-delà de l’aspect écologique, l’arrivée de ces mega trucks pose des questions quant à la sécurité et aux infrastructures routières. “Dans les pays nordiques [où ils sont aujourd’hui autorisés], il y a de grandes lignes droites, et beaucoup moins de ronds-points qu’en France. La distance de freinage de ces camions est plus longue et ces méga camions useraient aussi beaucoup plus vite les routes, pas forcément adaptées à ce genre d’engins”, détaille franceinfo.
Inspirez… Expirez
-
Bon, ben là, ça ne rigole plus:
La France, l’Allemagne et la Pologne “déterminées” à “ne jamais laisser gagner la Russie”
-
-
Elle part 10 jours en vacances, laissant son bébé mourir de faim
Kristel Candelario passera le restant de ses jours derrière les barreaux. Ainsi en a décidé lundi Brendan Sheehan, juge du comté de Cuyahoga (Ohio): «Tout comme vous n’avez pas laissé Jailyn sortir de son enfermement, vous allez passer le reste de votre vie dans une cellule qui vous privera de liberté. La seule différence, c’est que la prison vous fournira au moins la nourriture et la boisson que vous lui avez refusées», a déclaré le magistrat, évoquant une «trahison ultime».
L’Américaine de 32 ans avait plaidé coupable le mois dernier de meurtre aggravé et de mise en danger d’un enfant. Elle était accusée d’avoir laissé sa fille de 16 mois seule à la maison pendant dix jours pour s’offrir des vacances à Détroit puis Porto Rico, en juin 2023. À son retour, Kristel a retrouvé son bébé inanimé dans son parc et appelé les urgences. Les ambulanciers ont alors constaté que la petite fille était «extrêmement déshydratée» et ont prononcé son décès.
Il a été déterminé lors d’une autopsie que Jailyn, qui ne pesait que 5,8 kilos, était morte de faim et de soif. «L’idée de partir 10 jours en vacances et de laisser son enfant dépérir dans son parc… On a touché le fond en matière de soins parentaux», a réagi le procureur Michael C. O’Malley. Selon ABC News, Kristel Candelario souffre de troubles mentaux et de dépression. «Je souffre terriblement après tout ce qui s’est passé. Je n’essaie pas de justifier mes actes, mais personne ne savait à quel point j’étais mal et ce que je traversais… Dieu et ma fille m’ont pardonné», a-t-elle déclaré.
-
Encore un édito du Pavé numérique qui m’a bien fait rire, je vous le partage!:)
« Le crime ne paie pas ». C’est en tout cas ce qu’on répète aux petits enfants pour les encourager à travailler dur à l’école afin d’avoir la chance de passer quarante ans dans une tour de la Défense, alors qu’ils pourraient se contenter de siphonner l’essence des voitures du quartier pour la revendre, ce qui est à la fois plus rigolo et plus rentable — surtout quand on prend en compte les tensions géopolitiques actuelles autour des hydrocarbures, que les enfants, on le sait, suivent avec attention.
La vérité, c’est que non seulement le crime paie, mais qu’il paie même plusieurs fois. J’en veux pour preuve l’incroyable double arnaque à laquelle s’est livrée Incognito Market, l’une des plus grosses plateformes de vente de drogues du darkweb. Tout a commencé par un bête exit scam, similaire à celui que pratiquent depuis longtemps les plateformes de cryptomonnaies lorsque leurs fondateurs réalisent qu’il existe des moyens plus rapides que la spéculation pour s’enrichir avec des bitcoins. En gros, Incognito a dit à ses vendeurs et ses clients quelque chose comme « tchao les cons » avant de partir avec tous les fonds qui étaient encore en transit sur la plateforme, soit une somme de plusieurs millions de dollars en cryptomonnaies.
Enfin, ajoutant l’insulte à l’injure, et c’est là que ça devient prodigieux, alors que les malheureux trafiquants et consommateurs pleuraient leurs thunes perdues, Incognito est revenu à la charge pour les faire chanter, intimant à ses anciens clients l’ordre de verser des dizaines de milliers de dollars, sans quoi la totalité de leur historique de transactions et de conversations serait remis aux forces de l’ordre. « Vous seriez surpris d’apprendre combien de gens ont fait confiance à notre soi-disant fonction de “chiffrage automatique” et ont cru que les messages étaient vraiment effacés de nos serveurs après leur date d’expiration », ont-ils pris soin de préciser, alors qu’un émoji pigeon aurait suffi.
Que retenir de tout cela pour les gens normaux que nous sommes, qui ne commandons pas de fentanyl sur le darknet, ou alors seulement de façon occasionnelle, pour pimenter un dîner entre deux verres de Gigondas ? Que, même si on peut supposer les GAFAM et autres réseaux de messagerie plus rigoureux sur l’éthique que le cybercriminel moyen (sauf ceux dirigés par Elon Musk), les promesses de confidentialité et de non-conservation des données n’engagent que ceux qui y croient et qu’il est toujours bon de garder à l’esprit que tout ce qu’on fait sur Internet peut, un jour ou l’autre, devenir public.
-
Trois «petites canailles» braquent une banque et se font pincer
Trois garçons âgés de 11, 12 et 16 ans, surnommés «Les petites canailles» par le FBI, ont été arrêtés après avoir braqué une banque au Texas. Les trois mineurs ont été inculpés de «vol avec menace» et ont été placés en détention mardi, a annoncé le bureau de la police fédérale (FBI) de Houston, au sud des Etats-Unis, sur le réseau social X.
Les jeunes texans avaient transmis un «petit mot menaçant» à un employé de la banque et s’étaient ensuite enfuis à pied avec une somme d’argent dont le montant n’a pas été précisé, selon la chaîne de télévision locale KTRK qui cite le bureau du shérif local.
«Reconnaissez vous ces «petites canailles»? Croyez le ou non, mais ils viennent juste de braquer (la banque de) Wells Fargo,» avaient écrit les agents du FBI dans un appel à témoin publié la semaine précédente, à la suite du cambriolage survenu le 14 mars.
Deux des garçons avaient été reconnus et dénoncés par leurs parents.
Le surnom fait sans doute référence à une série du milieu du 20e siècle, «Les Petites Canailles», «The Little Rascals» en anglais.
Toujours sur X, le FBI a annoncé leur arrestation.
-
Les gérants d’un bar russe incarcérés pour «extrémisme» LGBT+
Le directeur artistique et l’administrateur de l’établissement risquent jusqu’à dix ans de prison.
«Il s’agit de la première affaire pénale de ce type en Russie après la décision de la Cour suprême de classer (sous l’étiquette) extrémiste le mouvement LGBT», s’est félicitée Ekaterina Mizoulina, une militante défendant les «valeurs traditionnelles» prônées par Vladimir Poutine.
Famille et religion
Le président russe, qui vient d’être reconduit à la tête de son pays pour six ans, promeut de longue date «la famille» et la religion face à un Occident décrit comme «décadent», voire «sataniste».
Et depuis l’attaque de grande ampleur contre l’Ukraine, déclenchée fin février 2022, les autorités russes répriment parallèlement de plus en plus fortement les minorités sexuelles.
En novembre 2023, dans ce contexte, la Cour suprême russe a banni le «mouvement international LGBT» pour «extrémisme», une formulation floue mais ouvrant la porte à de lourdes peines de prison.
Descentes et intimidations
Les descentes de police et les intimidations dans des bars et des clubs ouverts aux LGBT+ se sont par la suite multipliées en Russie, ces dernières semaines, après cette décision de la Cour suprême.
C’est sur la base de cette interdiction qu’un tribunal d’Orenbourg a placé mercredi en détention provisoire pour deux mois le directeur artistique et l’administratrice du bar «Pose», dans cette même ville de l’Oural.
Selon l’accusation, citée dans un communiqué du tribunal, ces «personnes ayant une orientation sexuelle non traditionnelle, (…) soutiennent également les opinions et les activités de l’association publique internationale LGBT interdite dans notre pays».
Descente musclée
Le 9 mars, des policiers ont effectué en pleine nuit une descente dans le bar «Pose», a affirmé le média indépendant Mediazona, qui a relayé une vidéo de la scène montrant des personnes allongées sur le sol, face contre terre, les mains sur la tête, entourées de policiers.
Sur les réseaux sociaux, cet établissement d’Orenbourg, près de la frontière avec le Kazakhstan, dit accueillir «une programmation avec des spectacles», sans donner plus de détails.
Mardi, évoquant cette affaire, la cheffe de la branche russe de l’ONG Amnesty International, Natalia Zviaguina, a dénoncé l’ouverture en Russie de «la première enquête pour “extrémisme”» en lien avec la communauté LGBT+.
«Ce que les personnes LGBTI et les défenseurs des droits humains craignaient depuis la fin de l’année dernière s’est finalement concrétisé», a-t-elle déploré dans un communiqué.
Droits radicalement limités
Ces dernières années, les droits des minorités sexuelles ont été radicalement limités sous l’impulsion de Vladimir Poutine, qui, avec l’Église orthodoxe, assure vouloir éliminer de la sphère publique des comportements jugés importés d’Occident.
Plusieurs Russes ont été condamnés ces dernières semaines à des amendes pour avoir par exemple mis en ligne des photos comportant des drapeaux arc-en-ciel ou encore, dans le cas de deux femmes, d’avoir diffusé en ligne une vidéo de leur baiser.
Depuis 2013, une loi en Russie interdit la «propagande» de «relations sexuelles non traditionnelles» à l’adresse des mineurs.
Dans la foulée d’un tour de vis général dans la société après l’assaut russe contre l’Ukraine, cette législation a été considérablement élargie fin 2022 pour interdire désormais toute forme de «propagande» LGBT+ dans les médias, sur internet, dans les livres et dans les films.
En juillet 2023, les députés russes avaient également voté une loi interdisant notamment aux personnes transgenres les opérations chirurgicales et les thérapies hormonales.
Source: https://www.lematin.ch/story/oural-les-gerants-dun-bar-incarceres-pour-extremisme-lgbt-103068034
-
La vie ne vaut même pas 5000 Euro
Attentat de Moscou : “On m’a promis 5 000 euros”, les Russes diffusent l’interrogatoire d’un terroriste
Onze personnes ont été arrêtées, dont les quatre assaillants armés suspectés d’avoir perpétré la fusillade et mis le feu à la salle de concert du Crocus City Hall vendredi soir.
Ce samedi après-midi, l’agence de presse TASS, relais de la propagande russe, affirme que l’interrogatoire de l’un des hommes arrêtés a été publié sur les réseaux sociaux, notamment sur le compte X de la rédactrice en chef de Russia Today (Margarita Simonyan).
A man detained on suspicion of involvement in the Crocus City Hall attack has said he was promised a reward of 500,000 rubles ($5,400), according to a video posted on RT Editor-in-Chief Margarita Simonyan’s Telegram channel:https://t.co/DvaBJCk9hP pic.twitter.com/nrh3j9lzDi
— TASS (@tassagency_en) March 23, 2024Sur cette vidéo, l’homme dit qu’on lui a promis une récompense en argent : “J’ai abattu des gens au Crocus pour de l’argent, on m’a promis 500 000 roubles (environ 5 000 euros)”. Toujours selon l’individu, la moitié de l’argent avait déjà été virée sur “sa carte”, l’autre moitié lui a été promise plus tard. Il aurait même perdu cette carte “alors qu’il tentait d’échapper aux forces de l’ordre”.
Tellement idiot qu’il pensait encore pouvoir en profiter tranquillement après le massacre.
Au lieu de tuer, la prochaine fois, ramassez plutôt les portemonnaies -
Un nouveau-né serait mort d’une overdose de cocaïne
Près de La Rochelle, une femme toxicomane aurait intoxiqué son bébé en l’allaitant.
Un nourrisson de trois semaines est mort soudainement le 6 mars dans la ville de Rochefort, près de La Rochelle, en Charente-Maritime. Après les premiers examens, il s’avère qu’il avait de la cocaïne dans le sang. Il pourrait être mort d’une overdose.
Suite à la terrible découverte début mars, des analyses de sang ont en effet été réalisées. Elles ont révélé la présence de cocaïne.
La mère du bébé, qui a cinq autres enfants, est depuis suspectée. Cette femme de 38 ans est en effet connue pour des problèmes de toxicomanie.
La justice semble pour l’instant écarter tout acte malveillant, par exemple une prise forcée de drogue, relate «Sud Ouest». Elle ne croit pas non plus que le nouveau-né, à la motricité encore très limitée, puisse avoir accidentellement eu accès à des stupéfiants.
Par contre, il semble en l’état vraisemblable que l’overdose a été provoquée par l’allaitement.
Des tests salivaires comme sanguins ont été menés auprès de la mère. Une analyse de son lait maternel est également en cours. Les résultats devraient être connus en fin de semaine.
Une enquête pour «homicide involontaire aggravé» a été ouverte, a indiqué Arnaud Laraize, procureur de la République de La Rochelle. La mère a été entendue.
Source: https://www.lematin.ch/story/france-un-nouveau-ne-serait-mort-dune-overdose-de-cocaine-103066633
Pas de doute qu’il y aurait des adultes pour payer cher la tétée.
-
Cet hôtel au-dessus d’un lagon est la dernière folie de l’Arabie saoudite dans le cadre du projet de mégalopole Neom
Les porteurs du projet de mégalopole Neom, en Arabie saoudite, ont présenté mercredi 20 mars Treyam, un luxueux complexe hôtelier qui s’étendra en longueur au-dessus d’un lagon situé à l’extrémité sud du golfe d’Aqaba. Il constitue un énième projet architectural démesuré où seuls les touristes les plus fortunés pourront séjourner…
Sont prévues au total 250 chambres au sol et au plafond partiellement vitrés.Le moins que l’on puisse dire, c’est que Treyam est en ligne avec… The Line. Ce projet de complexe hôtelier de luxe tout en longueur dévoilé mercredi 20 mars prendra la forme d’un pont de 450 mètres de long qui reliera deux rives au cœur d’un lagon saoudien situé à l’extrémité sud du golfe d’Aqaba. Tout comme la ville linéaire The Line ou encore le complexe hôtelier Leyja, Treyam fait partie de Neom, un projet de mégalopole futuriste, située dans le nord-ouest du royaume, à plusieurs centaines de milliards de dollars.
Conçu pour contribuer à sortir l’Arabie saoudite de sa dépendance au pétrole, Neom essuie de nombreuses critiques sur son coût financier, écologique (artificialisation, projet de station de ski au milieu du désert) et humain (les ONG de défense des droits humains dénoncent des expulsions et des condamnations à mort d’opposants). La récente présentation de Treyam, un nouveau projet démesuré au milieu d’une région jusqu’ici préservée, ne devrait pas arranger les affaires des porteurs du projet…
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Treyam est en ligne avec… The Line. Ce projet de complexe hôtelier de luxe tout en longueur dévoilé mercredi 20 mars prendra la forme d’un pont de 450 mètres de long qui reliera deux rives au cœur d’un lagon saoudien situé à l’extrémité sud du golfe d’Aqaba. Tout comme la ville linéaire The Line ou encore le complexe hôtelier Leyja, Treyam fait partie de Neom, un projet de mégalopole futuriste, située dans le nord-ouest du royaume, à plusieurs centaines de milliards de dollars.
Une piscine à débordement de 450 mètres de long
L’immense pont à l’intérieur duquel les touristes fortunés séjourneront comprendra sur son toit, à 36 mètres au-dessus de la mer, une gigantesque piscine à débordement qui s’étalera sur toute la longueur du bâtiment ! Sont prévues au total 250 chambres au sol et au plafond partiellement vitrés et une longue liste de divertissements sur chaque rive (sports nautiques, équipements sportifs, spa, restaurants…) pour occuper les journées des visiteurs.
Outre ce complexe hôtelier et The Line, dont le chantier a commencé, Neom comprendra une ville flottante baptisée Oxagon, une île artificielle nommée Sindalah et dédiée, là encore, au tourisme de luxe, ainsi que d’autres projets hôteliers à l’architecture futuriste.
-
Saint-Etienne : Un enfant de 8 ans armé de deux couteaux menace de poignarder sa maîtresse et les policiers
Un enfant de 8 ans a semé la consternation à Saint-Étienne en menaçant sa maîtresse ainsi que des policiers avec un couteau, vendredi 22 mars.
Ces événements troublants se sont déroulés au sein de l’école élémentaire privée Saint-Charles, où le jeune garçon, scolarisé en CE2, a été pris en flagrant délit avec deux couteaux à steak dans son cartable, comme l’a révélé une source policière au Figaro.
Les autorités ont été alertées par l’enseignante, informée par des élèves, et la directrice de l’école s’est rapidement rendue sur les lieux pour prendre en charge la situation.
L’enfant, déjà sous traitement pour des comportements violents antérieurs, a été exclu de l’établissement et ses parents ont été convoqués par les forces de l’ordre, selon une source proche de l’affaire. La directrice de l’école a ensuite déposé plainte dans la soirée.
Le procureur de la République de Saint-Étienne, David Charmatz, a souligné que malgré les dénégations de l’enfant, âgé de seulement 8 ans, aucune poursuite judiciaire n’est envisageable en raison de son jeune âge. Cependant, les autorités examineront les faits à la lumière d’expertises psychologiques et psychiatriques à venir.
Cette décision de ne pas engager de poursuites à l’encontre des enfants de moins de 13 ans découle de la présomption de non-discernement, édictée par le ministère de la Justice pour protéger les plus jeunes qui, selon la justice, ne sont pas en mesure de mesurer pleinement la portée de leurs actes. (il serait temps de leur apprendre avant qu’il soit trop tard)
Qui dit moins ?
-
Privé de récré !
-
-
À 12 ans, il poignarde une femme avec qui il s’était disputé
Après une embrouille avec une voisine, un gamin est revenu se venger, accompagné de son frère de 7 ans.
Les deux enfants filmés par une caméra de surveillance.Samedi après-midi, à April Valley Court, près de Houston, au Texas, une femme de 59 ans s’est disputée verbalement avec un enfant de 12 ans et son frère de 7 ans. Selon le bureau du shérif du comté de Harris, elle souffrirait de troubles mentaux.
Les deux gamins sont ensuite repartis à vélo, mais sont revenus de la même manière une dizaine de minutes plus tard. Là, l’aîné aurait poignardé la femme à plusieurs reprises au niveau de l’abdomen, la laissant couchée dans son sang. Dimanche, elle était dans un état critique.
Le garçon de 12 ans a été arrêté et est en garde à vue, tandis que le plus jeune n’a pas été inculpé. La mère des deux enfants a déclaré à la chaîne Click2Houston que son fils souffrait également de problèmes mentaux, ce qui pourrait expliquer son geste. «Je suis désolée envers la famille de cette femme. Je suis vraiment désolée que mon fils ait commis cet incident. Et je prie pour votre santé, pour votre bien-être», a-t-elle dit.
Un monde de fous
-
Un homme arrêté après avoir récupéré et mangé la jambe d’une victime percutée mortellement par un train
Un événement horrifiant a eu lieu à Wasco, en Californie (États-Unis), où Resendo Tellez, 27 ans, a été arrêté après avoir été surpris en train de manipuler et de semble-t-il manger la jambe d’une victime qui venait d’être mortellement percutée par un train.
En Californie (États-Unis), un événement choquant s’est produit vendredi 22 mars dans la ville de Wasco, au nord-ouest de Bakersfield.
Les médias locaux, dont le Bakersfield Now et le San Joaquin Sun, ont rapporté ces faits macabres qui ont ensuite été évoqués par des médias du monde entier.Cette scène effrayante est visible dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux. Sur ces images, on aperçoit un homme en possession de ce qui semble être la partie inférieure d’une jambe humaine, qu’il a ensuite portée à son visage. Selon des témoins, l’homme semblait manger une partie de ces restes humains tout en se déplaçant de manière étrange à proximité de l’endroit où l’accident mortel venait de se produire.
La police, accompagnée par la police ferroviaire, est intervenu dans la matinée suite à un appel indiquant qu’un piéton avait été percuté par un train à la station Amtrak. La collision a été fatale pour la victime, qui a eu une jambe sectionnée. Le suspect, Resendo Tellez, âgé de 27 ans, a été rapidement interpellé par les forces de l’ordre notamment pour le vol d’une preuve matérielle sur les lieux de l’accident.
JUST IN: California man arrested for allegedly eating a severed leg that he took from a pedestrian who was struck by a train.
The incident happened in Wasco, California.
According to police, 27-year-old Resendo Tellez removed a leg from an Amtrak Station.
Tellez was seen… pic.twitter.com/Wv0npYZUmP
— Collin Rugg (@CollinRugg) March 23, 2024
L’homme fait désormais l’objet de poursuites pour “retrait ou mutilation de restes humains”. Le bureau du shérif du comté de Kern continue d’enquêter sur cette affaire choquante.
-
En provenance du pavé numérique, encore une nouvelle surréaliste!:
“Les élèves du lycée de Fresno (Californie) doivent composer avec un nouveau système informatisé de gestion des toilettes qui semble sorti du genre de nouvelles qu’aurait écrites Michel Foucault s’il ne s’était pas tourné vers la philosophie mais avait plutôt choisi d’écrire des textes de science-fiction en sniffant de la colle.
Les malheureux qui désirent faire pipi (ou pire !) doivent désormais entrer leur identifiant unique dans une appli qui, si moins de 25 étudiants sont actuellement aux gogues, leur indique qu’ils peuvent y aller et lance un compte à rebours.
L’élève, dont on espère le transit irréprochable, dispose alors de sept minutes ( max 2 par jour) pour faire sa petite affaire, trajet depuis la salle de classe compris. S’il n’est pas revenu en cours avant la fin de la minuterie, il risque de perdre son « privilège toilettes ».
L’appli est très appréciée de la direction de l’établissement, qui lui a permis de réaliser que non seulement les élèves, ces petits feignants, mettaient jusque-là plus de sept minutes à déféquer, mais qu’en plus certains professeurs un peu trop généreux accordaient davantage de pauses toilettes que les autres durant leurs cours. Gageons qu’une mise à jour de l’application proposera qu’on les fusille.” -
Loi du plus fort: L’expulsion d’un militant kurde dégénère en bagarre générale à l’aéroport de Roissy
De graves incidents ont éclaté ce mercredi après-midi à l’aéroport parisien de Roissy-Charles-de-Gaulle lors de l’expulsion d’un militant kurde, relate Europe 1.
Selon la radio française, le militant kurde Firaz Kokmaz, 24 ans, en situation irrégulière en France depuis 4 ans, faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire (OQTF) et devait être escorté par l’Unité nationale d’éloignement (Unesi) jusqu’à son vol vers Istanbul, en Turquie, quand une vingtaine de personnes ont fait irruption dans l’aéroport pour tenter d’empêcher cette expulsion. Parmi eux, des proches, des sympathisants à la cause kurde, des représentants du Conseil démocratique kurde en France et “quatre élus communistes: deux sénateurs et deux conseillères de la Ville de Paris”, précise “24h Pujadas” (voir tweet ci-dessous).
Bagarre générale
La résistance a dégénéré en violente bagarre générale, comme en témoignent les images largement relayées sur les réseaux sociaux. L’incident a éclaté près du local des policiers préposés avant de se propager à l’aérogare. Ces affrontements ont mis aux prises les militants et le personnel civil de l’aéroport. Les militaires du dispositif Sentinelle ont finalement dû intervenir pour ramener la situation au calme. Le mouvement de soutien contestait cette expulsion en raison des risques de torture et d’emprisonnement auxquels le militant allait être confronté à son retour. Il a finalement été conduit de force à bord et a en effet été incarcéré dès son arrivée sur le sol turc, selon le Conseil démocratique kurde en France (suite ci-dessous).
24h Pujadas @24hPujadas
️<a href=“https://twitter.com/hashtag/Paris?src=hash&ref_src=twsrc^tfw”>#Paris</a> - Bataille rangée : Que se passe-t-il à Roissy ?<br><br>Analyses et décryptages de <a href=“https://twitter.com/q_berichel?ref_src=twsrc^tfw”>@q_berichel</a> dans Les Indispensables <a href=“https://twitter.com/hashtag/24hPujadas?src=hash&ref_src=twsrc^tfw”>#24hPujadas</a> <a href=“https://twitter.com/hashtag/LCI?src=hash&ref_src=twsrc^tfw”>#LCI</a> <a href=“https://twitter.com/hashtag/La26?src=hash&ref_src=twsrc^tfw”>#La26</a> <a href=“https://t.co/sc2EZI7Npi”>pic.twitter.com/sc2EZI7Npi</a>Le syndicat SGP Police a déploré les incidents et regretté que le militant ait disposé d’un téléphone portable lors de son placement en centre de rétention, lui permettant d’organiser le blocage: “Cela pose des questions de sécurité pour les policiers en charge de ces convois”, a indiqué Julien Adubeiro, secrétaire régional du syndicat policier, qui redoute que ces actes se multiplient à l’avenir et qu’ils ne viennent perturber le dispositif sécuritaire pendant les JO de Paris et d’autres opérations prioritaires.
-
Analyse des eaux usées, mais pas forcément pour les pesticides
En matière de consommation de cocaïne, Genève figure dans le top 10 des villes européennes. C’est ce que montre la dernière analyse de l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies réalisée à partir des eaux usées, publiée le 20 mars et relayée par Léman Bleu.
En 2023, le taux relevé de cocaïne dans les eaux usées genevoises s’élevait ainsi à 912 mg de substance par jour pour 1000 habitants. Un chiffre qui a plus que doublé en une dizaine d’années. En Suisse, seul Zurich consomme encore davantage de poudre blanche.
En revanche, pour ce qui est du cannabis, Genève demeure la ville la plus consommatrice de Suisse. Et la huitième d’Europe. Mais les Genevois fument moins. Le taux est passé de 217 mg en 2019 à 150 mg en 2023, selon cet observatoire.
Source: https://www.tdg.ch/drogues-la-consommation-de-cocaine-progresse-encore-a-geneve-123764785816
Je crois que je vais aller pisser dehors dorénavant
-
Il claque 3000 balles pour quand même perdre son permis
Un automobiliste ayant percuté une femme en trottinette électrique est allé jusqu’au Tribunal fédéral pour contester un retrait de permis d’un mois. Il a perdu, car il s’y est mal pris dès le début.
Quand on s’est engagé sur la mauvaise voie, parfois mieux vaut ne pas s’acharner. C’est une leçon qu’aura chèrement apprise un automobiliste vaudois. Cet homme s’est retrouvé impliqué dans un accident, en décembre 2021, alors qu’il dépassait une trottinette électrique à Montreux (VD). Le femme au guidon du deux-roues est tombée et s’est légèrement blessée, en particulier au visage et aux genoux.
Après avoir analysé la scène et entendu l’automobiliste et la victime, la police a conclu que le conducteur n’avait pas laissé assez de place à la trottinette lors du dépassement. Le rétroviseur de la voiture avait alors heurté la femme, provoquant sa chute et ses blessures. Un mois plus tard, l’automobiliste a été condamné par ordonnance pénale pour ces faits. Mais il n’a pas contesté l’amende de 400 francs. Dès cet instant, la partie était perdue d’avance.
Il s’est rebellé trop tard
Ce n’est en effet que plus tard, en apprenant que son permis allait lui être retiré un mois, qu’il a contesté la version des autorités. Or cette deuxième décision se fondait sur la première, qui, n’étant pas contestée, était, par conséquent, admise. L’automobiliste aura eu beau expliquer à toutes les instances de recours qu’il n’avait pas provoqué l’accident, il a systématiquement été débouté.
Têtu, il est allé jusqu’à porter l’affaire devant le Tribunal fédéral. Bons princes, les juges ont accepté de rouvrir le dossier de l’automobiliste… pour en arriver à la même conclusion: «La personne impliquée savait ou aurait dû prévoir, en raison de la gravité des faits qui lui étaient reprochés, qu’il y aurait également une procédure de retrait de permis.» Il lui en aura donc coûté 3000 francs pour qu’on lui redise que c’est l’ordonnance pénale qu’il aurait dû contester. Tout le reste n’est que garniture.
Retrait de permis voiture pour un accident de trottinette ? Justice ? Tolérence zéro, nul n’est censé ignorer la loi, (un pavé plus grand que l’ancien testament et le nouveau réuni et aussi imbitable)… Connards va !
-
Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à duJambon le dernière édition par Raccoon
@duJambon je vais aller faire s’évaporer l’eau, visiblement il y a pas mal de résidus intéressants.