Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
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@duJambon a dit dans Le monde est fou (vers l’infini et au delà) :
Pour être woke, il faut être “positif”
Ah ben ouais, je débute dans le wokisme, veuillez pardonner mon manque de vocabulaire…
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Hadès Trolls DDL Pastafariste Rebelle Windowsien PW Addict Membrea répondu à BahBwah le dernière édition par
@BahBwah pour t’aider
This is a wok
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Quand l’IA fait parler le petit Gregory et Estelle Mouzin… sur leur propre mort
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@Ashura Quelle horreur !
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putain je ne regarde même pas
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@Mister158 L’IA mériterait de porter le nom de “Alain Décence”
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@Squale de toutes façons, ça ne m’intéresse pas ce genre de truc, c’est comme pour ceux qui aiment regarder des gens entrain de crever, ça me dégoute
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Insolite : un étudiant sud-coréen mange une œuvre d’art estimée à 120 000 dollars
Parce qu’il avait faim, un étudiant sud-coréen a mangé une banane présentée comme une œuvre d’art ce lundi 1er mai. Le fruit était scotché au mur par l’artiste Maurizio Cattelan au Leeum Museum of Art de Séoul. Elle était estimée à l’équivalent de 110 000 euros.
En visite au Leeum Museum of Art de Séoul, un étudiant sud-coréen a saisi une banane scotchée au mur comme une oeuvre d’art et l’a mangé, selon la BBC le 1er mai. Elle avait été scotchée au mur par l’artiste italien Maurizio Cattelon pour une exposition.
Une vidéo prise par l’un de ses amis montre le jeune homme en train de la détacher, la manger et rescotcher la peau au mur. Interrogé par le musée d’exposition, le jeune s’est justifié sur sa faim. À la chaîne de télévision KBS, il a ajouté : qu’endommager une œuvre d’art moderne pouvait également être interprété comme une œuvre d’art”, selon The Guardian. Sous couvert d’une blague, il a remis la peau à l’endroit initial. “N’est-ce pas scotché là pour être mangé ?”, a-t-il questionné. L’artiste concerné ne se serait pas formalisé. D’ailleurs, un autre artiste, David Datuna, aurait fait la même chose que l’étudiant en 2019, lors d’une première exposition de l’oeuvre à Miami Art Basel. La BBC ajoute par ailleurs que la banane exposée serait renouvelée tous les deux à trois jours. -
Apeuré par des “ombres” dans son jardin, il ouvre le feu: des enfants jouaient à cache-cache, une fille touchée à la tête
Le fléau des armes à feu a causé une nouvelle tragédie aux États-Unis. Une fille de 14 ans a été grièvement blessée par balle lors d’une partie de cache-cache en Louisiane, rapporte CBS News.
Les faits ont eu lieu ce dimanche 7 mai à Calcasieu, dans l’extrême ouest de la Louisiane, relatent la chaîne de télévision locale KPLCTV et la presse américaine. Lors d’une partie de cache-cache, plusieurs enfants du quartier se sont retrouvés innocemment dans le jardin d’une propriété privée. Un jeu qui a viré au drame.
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je pense que les parents de la fillette doivent etre condamné …
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Un homme condamné pour avoir tué sa mère à coups de marteau dans un Ehpad
À Nevers, une nonagénaire a été tuée par son propre fils, membre d’une association pour une fin de vie digne. Jugé pour meurtre, il a écopé de huit ans de prison ferme. Il risquait la réclusion criminelle à perpétuité.
«Il voulait abréger ses souffrances»
Terrible drame familial dans la Nièvre. Depuis ce mercredi 10 mai, un homme âgé de 63 ans était jugé par la cour d’assises à Bourges pour avoir tué sa mère âgée de 93 ans et résidente dans un Ehpad. En termes juridiques, on parle de «meurtre sur ascendant». Lui évoque un «acharnement thérapeutique».
Alors qu’il risquait la réclusion criminelle à perpétuité, l’homme a écopé de huit ans de prison avec mandat de dépôt - autrement dit, il dort ce soir en prison - avec interdiction des droits civiques, civils et de famille pendant dix ans et interdiction de détention d’arme pendant quinze ans. Une condamnation en deçà des réquisitions du parquet, qui avait réclamé dix ans d’emprisonnement. «Mais en prenant en compte les différentes remises de peine, il pourra sortir de prison dans environ trois ans», nous glisse une source judiciaire.
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Une pelle ou un truelle aurait été tout aussi efficace qu’un marteau pour abréger ses souffrances dans la douleur.
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Une Américaine tue ses enfants qu’elle prenait pour des «zombies»
Une Américaine, versée dans des théories de fin du monde, a été reconnue coupable vendredi dans l’Idaho de l’assassinat de ses enfants et de complicité dans l’assassinat de l’ex-femme de son nouveau mari. Elle prenait ses enfants de 7 et 16 ans pour des «zombies».
Adepte de théories de la réincarnation, l’accusée, Lori Vallow était poursuivie avec son nouveau mari, Chad Daybell, auteur de livres ésotériques, pour ce triple assassinat et pour fraudes, le couple ayant notamment continué à recevoir des allocations familiales après la disparition de ses enfants.
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@duJambon
Michonne, sort de ce corps… -
Ajaccio : Il utilise un taser pour «calmer» sa compagne lors d’une dispute, l’homme interpellé
Les policiers sont intervenus au domicile d’un couple d’Ajaccio (Corse), rue des Cannes, ce lundi matin vers 7 heures a appris Actu17. Un différend familial venait d’éclater.
Sur place, les forces de l’ordre ont découvert que l’homme, âgé de 23 ans, avait utilisé un shocker électrique pour “calmer” sa compagne de 21 ans. Il s’agit d’un boitier qui envoie des impulsions électriques à travers des électrodes, provoquant des douleurs, pouvant aller jusqu’à “neutraliser” un muscle sur le moment.
L’homme a été interpellé et placé en garde à vue dans les locaux de la sûreté départementale. Il aurait reconnu les faits durant ses auditions.
Au terme de 48 heures de garde à vue, il a été remis en liberté et sera jugé en octobre prochain devant la justice, dans le cadre d’une procédure de reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), parfois dite “plaider-coupable”.
N’y pensez même pas
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Hadès Trolls DDL Pastafariste Rebelle Windowsien PW Addict Membrea répondu à duJambon le dernière édition par
@duJambon Il a juste eu un coup de foudre pour sa compagne
Jugé en octobre ça lui laissera le temps de recommencer… bref monde a la con
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au grand mot les grand moyen
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Voyage en Absurdie
Écriture non-binaire à l’université de Lyon : eun enseignantx militantx, des étudiantx déroutæs et un ridicule achevé.
Une nouvelle polémique à l’université, cette fois, cela se passe à l’Université Lumière - Lyon 2. Un examen de Licence 1 en droit de la famille suscite un tollé. Le texte sur lequel les étudiants devaient plancher était écrit en écriture inclusive.
Les étudiants du syndicat UNI qui ont soulevé le lièvre, l’histoire a été vérifiée et racontée dans l’édition dominicale du Progrès, le quotidien lyonnais.
Mercredi dernier, les étudiants de droit de L1, c’est-à-dire le premier niveau de la FAC, ont passé un examen de droit de la famille. Ils ont planché sur un cas fictif de divorce au sein d’un couple non binaire, c’est-à-dire dont aucun des protagonistes (Arti et Maki) ne se définit par son genre. Là n’est pas le problème, après tout, un cas alambiqué est un exercice de droit qui se justifie.
Ce qui a fait bondir les étudiants de l’UNI, c’est le texte écrit en écriture inclusive qui sert de base à la dissertation.
Une forme particulièrement complexe d’écriture inclusive. On connaît la forme d’écriture inclusive à point médianqui consiste à dire, plutôt qu’étudiants et étudiantes : les étudiant.e.s. Compliqué, lourdingue, mais ça fait chic, il paraît. Pas pour l’Académie française qui y voit un danger pour notre langue. La langue utilisée dans l’examen était une forme encore plus raffinée. Une forme non binaire, sans genre, dite parfois «trans inclusive». Ca donne un texte ou les marques de genre sont gommées, remplacées par des x, des z ou des æ, des mots inventés. Un enfant est donc non appelé ou appelée, mais «appelæ et reconnux par des parents touz deux de nationalité allemande». On peut lire des phrases comme « al a jugé qu’al ne pouvait plus vivre avec al. Æl se sont concertéx pour divorcer ». On parle de «professionnæls de santé, de personnes décédæs et assassinæs». Un sabir ridicule, pénible à lire, source de quiproquos, traduit avec des astérisques.
On comprend bien que l’enjeu est de ne donner aucun indice sur le genre ou sexe des protagonistes, mais l’utilisation de mots épicènes (dont la forme ne varie pas selon le genre) comme personne, protagoniste, bénéficiaire, partenaire ou parent réglait l’affaire de la non-binarité.On a le droit d’utiliser ce genre de fantaisies langagières à la fac, selon Lyon 2. Le Progrès rappelle qu’Edouard Philippe a banni ces coquetteries de l’administration il y a cinq ans, que Jean-Michel Blanquer en a fait autant de l’éducation nationale en 2021. Mais pour l’université, ça relève de la liberté académique. Un professeur est libre de faire ce qu’il veut du moment que les sujets ne dénigrent pas une personne ou n’enfreignent pas les lois sur le racisme. Le professeur qui ne s’est pas encore exprimé, y est allé fort, puisqu’il a incité les étudiantx à utiliser dans leur copie le français standard, ou inclusif, ou avec la forme d’inclusivité qu’ils maîtrisent ( ou inventent, puisque tout cela est totalement informel). Autrement dit, le grand n’importe quoi. Comme si la forme en droit ne visait pas à trouver un consensus et à être compris de tous. Chacun peut faire la petite cuisine qui lui plait.
Les étudiants de l’Uni ont dénoncé une propagande wokiste. C’est se tromper de procès. le texte de l’examen est tellement outrancier, que c’est plutôt une contre publicité pour ce genre de minauderies des nouvelleaux précieux.se.s ridiculx.
Mais il y a plusieurs autres problèmes à souligner. D’abord, à quoi et à qui cela sert-il ? Il n’y a personne à ménager dans un texte parlant de personnes fictives. Ensuite, c’est extrêmement excluant pour tous les étudiants dyslexiques, stressés, étrangers, pour qui la confrontation au texte, à la langue française est déjà difficile. Et puisc C’est particulièrement mal venu dans une matière ou on cherche la langue commune du droit. Et enfin… En fac de droit, 31% des étudiants inscrits abandonnent en première année, 13% en deuxième. Est-ce qu’il n’y a pas d’autres priorités pour les enseignants que de se faire plaisir avec ces simagrées totalement mièvres ? Ca n’est pas sérieux, et les étudiants en droit ne sont pas destinés à être des cobayes de ce genre d’expériences snob et pédantes.
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Piéton tué par un chauffard à Lyon : un policier mis en examen et écroué
Un policier âgé de 22 ans a été mis en examen et écroué ce dimanche à Lyon, au terme de sa garde à vue. Il est poursuivi pour avoir mortellement renversé un piéton à Lyon, en fin de semaine dernière, alors qu’il était en repos, et d’avoir pris la fuite.
La nuit du drame, il se trouvait avec quatre autres personnes à bord de sa voiture, une Volkswagen Golf. Après avoir percuté la victime âgée de 24 ans, le suspect a pris la fuite, laissant ses passagers sur place. Un témoin a indiqué qu’il était arrivé à pleine vitesse au moment du choc mortel.
Le fonctionnaire s’était finalement rendu au commissariat de la rue Marius-Berliet dans le 8e arrondissement, quelques heures plus tard, avant d’être placé en garde à vue. Ce policier stagiaire est affecté au commissariat du Gier à Saint-Chamond (Loire). Une information judiciaire a été ouverte.