Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
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Vaucluse : Un commando ouvre le feu à la fin d’un mariage, deux morts dont la mariée et trois blessés graves
Des tirs survenus dans la nuit de samedi à dimanche à la fin d’un mariage à Goult (Luberon) ont fait deux morts et trois blessés graves
Le mariage s’est terminé dans un bain de sang à Goult, un petit village du Vaucluse dans le Luberon. Deux personnes sont mortes - dont la mariée - et trois autres ont été grièvement blessées après des tirs lors de la noce, rapportent l’AFP et La Provence. Un groupe d’hommes encagoulés et armés a fait feu vers 4h30 du matin, alors que le mariage tirait à sa fin dans ce petit village qui compte un millier d’habitants.
Les faits se sont produits devant la salle des fêtes. Les mariés étaient sur le départ, à bord d’une voiture, lorsqu’ils se sont retrouvés pris pour cibles par les tirs de plusieurs assaillants, arrivés à bord d’un véhicule. La mariée est morte après avoir été touchée par les tirs, et l’autre personne décédée, l’un des agresseurs, a été écrasée par la voiture des époux alors que ceux-ci tentaient de s’échapper.
D’après une autre source proche du dossier, un enfant d’une dizaine d’années figurerait parmi les trois blessés graves, sans qu’il soit encore précisé comment ceux-ci ont été touchés, par les balles des tireurs ou lors de la manœuvre du véhicule des mariés.
Selon le maire de la commune, Didier Perello, la salle des fêtes avait été réservée par le couple depuis le mois de mars. La jeune femme est originaire d’Apt et le marié de Cavaillon, a-t-il précisé à l’AFP. Selon la gendarmerie Provence-Alpes-Côte d’Azur, vingt-huit personnes au total ont été « impliquées » dans ce drame, soit le nombre de personnes encore présentes lors des faits dans la salle des fêtes.
Source et suite : 20minutes.fr
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En lien avec le trafic de drogue, semble-t-il.
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Oui l’article parle d’un règlement de compte. Si le marié est concerné par ce règlement, les autres sont ont plus que réussi leur vengeance.
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Grand-père brûlé vif par sa petite-fille: la famille fait bloc derrière l’accusée
“C’est mal, mais elle l’a fait par amour”: les parents d’une jeune femme, qui a tué son grand-père grabataire de 95 ans en mettant le feu à son lit, ont fait bloc derrière elle au premier jour de son procès en appel, lundi, à Bourg-en-Bresse.
Emilie G, 33 ans, condamnée à cinq ans de sursis en première instance, a agi pour “abréger les souffrances” d’un homme “en fin de vie” dont elle était très proche et qui demandait à “partir”, a affirmé en choeur sa famille.
“Si ma fille a fait ça, c’est parce qu’elle l’aimait plus que moi”, a expliqué, sanglotant, son père, gendre de la victime, dont il s’occupait au quotidien.
C’est lui qui l’avait trouvé, en août 2020, mort brûlé et asphyxié dans son lit médicalisé, à leur domicile à Saint-Laurent-de-Mure (Rhône).
Placée en garde à vue deux mois après les faits, Emilie G. avait d’abord nié toute responsabilité, espérant que la thèse de l’accident soit retenue, avant d’avouer avoir déclenché l’incendie, confondue par les traces de carburant sur la literie et les caméras de surveillance de la ville.
Lors de son premier procès, en octobre devant les assises du Rhône, l’avocat général avait fustigé un “acte cruel et égoïste” de la part d’une femme qui cherchait selon lui à “exorciser sa frustration, ses échecs multiples”.
Il avait demandé aux jurés de la condamner à quinze ans de prison mais ces derniers avaient choisi la clémence, prenant en compte “l’altération du discernement” et les “difficultés” de la petite-fille.
Le parquet a fait appel du verdict, renvoyant Emilie G. devant la cour d’assises de l’Ain. Jugée jusqu’à mercredi pour assassinat, elle risque la prison à perpétuité.
-“Déversement minutieux”-
Sur le banc, l’accusée fond régulièrement en larmes à l’évocation de ce grand-père, auquel elle était très attachée. Repliée sur elle-même, elle refuse de regarder les terribles images du maigre cadavre à moitié carbonisé, allongé en position foetale dans un lit noirci, projetées pour les jurés.
Selon un expert en incendie entendu comme témoin, elle avait effectué “un déversement minutieux, précis” de carburant sur ce lit, et ne pouvait ignorer les conséquences de ses actes: "le feu est systématiquement utilisé pour détruire, pour faire disparaître”.
“Vous concevez que c’est mal ?” demande l’avocat général, Eric Mazaud, au père de l’accusée. “Oui, c’est mal”, répond l’homme, “mais elle l’a fait par amour”. Sa famille “fait bloc” assure-t-il, avant de supplier les jurés de faire à nouveau preuve de clémence envers sa fille, qui “en a beaucoup bavé”.
Au moment des faits, la jeune femme souffrait de “difficultés psychologiques”: manque d’autorité avec ses enfants, adultère de son conjoint, échecs au Capes, le concours professoral, auxquels s’ajoute l’état “dégradé” de son grand-père, souligne pour sa part une enquêtrice de personnalité.
L’accusée avait réduit ses visites à son aïeul l’été des faits après l’avoir un jour trouvé dans un état “déplorable” chez ses parents, très maigre et la couche souillée. “La dignité de son grand-père n’était pas respectée, ça avait été un moment fort pour elle”, explique l’enquêtrice.
-“Marre”-
Le vieil homme alité, équipé d’une sonde urinaire, ne s’alimentait plus, refusait les douches et “en avait marre, clairement”, décrit à la barre une de ses anciennes auxiliaires de vie.
Il demandait que le “bon Dieu” vienne le chercher, assurent les parents et la sœur de l’accusée. Son père rappelle les “yeux vitreux” de la victime et ses “excréments récurrents”; sa mère choisit le silence face aux questions de la cour sur les mensonges de sa fille et les incohérences des premières auditions.
C’est un “cas d’euthanasie d’une famille qui a fait comme elle pouvait face à une situation désespérée, avec pas forcément les bonnes solutions”, a insisté avant l’audience Me Thibaud Claus, avocat de l’accusée.
Alors que le parlement débat d’une nouvelle législation sur l’aide à mourir, “on n’est absolument pas dans une position militante aujourd’hui”, a-t-il ajouté.
Mais “s’il y avait eu la loi de la fin de vie, on n’en serait pas là", dit à la barre la soeur de l’accusée: "ça aurait été moins brutal, moins vif, moins dur.”
Source : actu.orange.fr
Qu’est-ce qui est le pire ?
- Laisser souffrir un vieillard qui demande à en finir.
- Mettre le feu à un vieillard souffrant qui demande à en finir ?
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@Raccoon Waou… Le vieux, condamné au bûché pour limité ses souffrances? Franchement, j’enquêterai aussi sur la famille, vue leur réaction. N’y aurait il pas d’autres membres qui manqueraient?
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Pour mettre fin à ses souffrances y’a quand même plusieurs possibilités plus “douces” que de le cramer façon merguez ^^
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Dans cette famille, t’a pas intérêt d’avoir un ongle incarné…
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Dans le principe je peux comprendre, mais la manière est horrible et humaine
comme souligné plus haut, plein de solutions soft (ex : médicament en surdose)
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Club Membrea répondu à Raccoon dernière édition par
@Raccoon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Placée en garde à vue deux mois après les faits, Emilie G. avait d’abord nié toute responsabilité, espérant que la thèse de l’accident soit retenue, avant d’avouer avoir déclenché l’incendie, confondue par les traces de carburant sur la literie et les caméras de surveillance de la ville.
C’est quand même un crime prémédité dans d’affreuses souffrances pour la victime.
Prison ferme, pas de sursis. -
Non mais faire brûler vif même un malade c’est un Finish him façon Fatility et non une mort douce ^^
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Oui, il existe plusieurs manières de le faire partir en douceur.
Je me demande ce qui a pu conduire sa petite-fille à un tel geste ?
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À part être en état d’ébriété en prenant avec du Lexomil, du Xanax et du valium…je vois pas comment tu peux pondre un plan pareil ^^
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@Raccoon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Qu’est-ce qui est le pire ?
Laisser souffrir un vieillard qui demande à en finir. Mettre le feu à un vieillard souffrant qui demande à en finir ?
Je suis pas contre le fond, mais tu avoueras que la forme…
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@michmich ca doit laisser quelques odeurs dans la pièce.
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Avec une petite sauce aux morilles… pourquoi pas ?
Plus sérieusement, j’ai eu le droit d’être aux côtés de ma grand-mère qui approchait les huitante-dix ans lorsqu’elle était dans cet état mental de vouloir que tout s’arrête.
C’est compréhensible et euh… ya pas moyen pour la famille d’envoyer pépé faire un ptit tour à l’hosto ou une maison de retraite ?
Même si c’est pas directement chez lui que ça se passe, tu va lui rendre visite pour l’accompagner dans ces derniers moments.
Les médicos savent s’y prendre sans faire cramer l’établissement.