On ne se moque pas de ces choses là.
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Comment redynamiser une ville ravagée par la crise économique ? En tentant de battre un record de lâcher de ballons multicolores prêts à éclater.
Bonne idée ? Jugez-en plutôt.
Un gigantesque champignon multicolore se déploie dans les airs avant de s’enrouler tel un serpent autour de la Terminal tower sous les bravos de la foule. Ce samedi 27 septembre 1986, le centre-ville de Cleveland est d’humeur festive. Tom Holowach aussi. L’organisateur du Balloon fest compte bien enregistrer un record et redonner son lustre d’antan à la ville. À moins que ce lâcher d’un million et demi de ballons ne tourne au fiasco.

Les images seront exceptionnelles et reprises par les télévisions du monde entier. Cleveland redistribuera les fonds récoltés aux bonnes œuvres de United Way, reviendra dans la course des grandes villes et attirera les investisseurs admiratifs d’une cité qui se donne les moyens. Holowach fait concevoir une structure sur laquelle repose un immense filet d’un seul tenant. Pour répondre aux normes de construction et aux contraintes de taille, de forme et de résistance au vent, il fait appel au fabricant des filets de fret de la navette spatiale. Les écoliers vendent les ballons, quand lycéens et bénévoles s’installent sous l’immense nasse pour les gonfler à l’hélium durant des jours entiers. Le jour J, tout est prêt.
La presse et plus de 100 000 personnes sont réunies sous un bleu du ciel virant au gris. À 13h50, le décompte est lancé jusqu’à l’explosion de couleurs autour de la Terminal tower. Le spectacle est majestueux. Mais très vite, le panache refuse l’ascension, freiné par l’air froid et la pluie. Les ballons redescendent lentement mais sûrement, avant de s’éparpiller sur des kilomètres et de recouvrir la ville et ses environs, jusqu’aux rives canadiennes.
Le déluge de couleurs entraîne accidents de la route, fermeture de l’aéroport et pur-sang blessés. Pis, deux marins naufragés depuis le matin restent introuvables parmi les centaines de milliers de taches colorées échouées sur le lac Erie. Si le Livre Guinness des records enregistre le Balloon fest avec 1 429 643 ballons, c’est à coups d’actions en justice et d’accords à l’amiable que Cleveland retrouve son calme. Les fonds collectés ne suffisent pas à couvrir les frais de justice.
Source et plus: https://www.usinenouvelle.com/podcast/a-cleveland-la-fete-des-ballons-tourne-au-drame,2235198
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“L’espace est devenu un champ de bataille” : la France augmente le budget de la défense spatiale

À l’occasion de l’inauguration des nouvelles installations du Commandement de l’espace, Emmanuel Macron a annoncé une augmentation de 4,2 milliards d’euros pour le développement du spatial militaire.
4,2 milliards pour la défense spatiale d’ici 2030 : Emmanuel Macron a dévoilé la rallonge accordée à la branche espace de l’armée ce mercredi, à l’occasion de l’inauguration des nouveaux locaux, à Toulouse, du Commandement de l’espace.
Source et plus: https://fr.euronews.com/my-europe/2025/11/13/un-champ-de-bataille-emmanuel-macron-augmente-le-budget-de-la-defense-spatiale
J’adore la façon qu’ont les gouvernements de tirer du fric de leur chapeau, comme un lapin, mais seulement pour certaines choses.

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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Club Membrea répondu à duJambon dernière édition par
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@patricelg Ils font déjà tout pour dézinguer l’éducation, tu ne voudrais pas que l’on arrive à se soigner correctement… Des crétins bigleux, c’est très bien comme Chair-à-canon.
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Et puis, ils ne vont peut-être pas envoyer des militaires dans l’espace, pas vu le film “Le grand déplacement” ?


La fin est savoureuse.
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“C’est une blague?”: le nouvel “iPhone Pocket” crée la polémique avec son prix mirobolant
Apple a lancé ce vendredi la commercialisation de son “iPhone Pocket”, une sorte de croisement entre une poche et un sac banane avec une lanière. Une nouveauté qui a laissé les fanas de la tech perplexes, non seulement pour son utilité réelle mais aussi du fait de son prix.
Reste un détail, et pas des moindres: son prix. La version “courte” à attacher à un sac coûte 159,95 euros, tandis que sa “grande sœur” à porter à l’épaule monte à 249,95 euros. Une précision qui a provoqué la consternation en ligne, comme le relèvent plusieurs médias comme le Huffington Post, la VRT, la BBC ou encore Le Figaro.
Les commentaires fusent dans tous les sens sur les réseaux sociaux: “C’est une blague?, “Une [censored] folie”, “Les fans sont prêts à payer une fortune pour n’importe quel produit Apple”, “Je peux le faire moi-même pour 20 dollars”, “À ce prix-là, ça devrait être illégal de proposer ce genre de nouveautés”, etc.
Source et plus: https://www.7sur7.be/tech/cest-une-blague-le-nouvel-iphone-pocket-cree-la-polemique-avec-son-prix-mirobolant~a1a13b6a/
Mettez-vous au tricot ou demandez une faveur à votre compagne, ça coûtera moins cher et ça vous sera bien plus précieux et unique.

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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à duJambon dernière édition par
@duJambon c’est en effet cher pour ce que c’est

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Surtout que ça peut être incitatif de se balader en exposant à l’extérieur son phone… les pickpocket doivent être ravis.
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Il n’y a que moi qui trouve que c’est simplement moche?
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@Ern-Dorr le départ de Steve commence à se faire sentir.

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Même si je suis d’accord avec vous, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas…
C’est surtout con, cher et ça peut se faire sois-même avec un peu de tricot. -
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@michmich a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
@Ern-Dorr le départ de Steve commence à se faire sentir.

@michmich Une fois encore avant son décès. En 1996, c’est Gil Amelio (un homme d’affaires $) qui a été aux commandes, puis ça a été la cata pour la firme à la pomme. Je me souviens de la gamme incohérente des ordis et de son OS instable.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gil_AmelioSteve Jobs alors PDG de NeXT avait été rappelé avec la suite que l’on connait… Bref, le génie visionnaire n’est plus.
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@Aurel Je me souviens de son retour, suivra l’iMac G3, et le succès qu’on connaît, les ordinateurs Apple sont devenus beaux et le sont restés jusqu’en 2021.

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C’est bien la première guerre que je pourrais presque cautionner, à condition que les usa ne tirent pas sur n’importe quoi ou n’importe qui.
J’aime aussi beaucoup l’expression “opération militaire spéciale” qui risque malheureusement de devenir à la mode et de plus en plus fréquente. Bande de faux culs qui n’assument rien ! Le Karcher d’un certain Sarkosi, me semble déjà un peu plus honnête, même si détestable.
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Qu’ils balayent déjà devant leurs portes, ils ont peut-être surement déjà fait plus de victimes rien qu’avec leurs propres soldats, tombés pour un monstre vaniteux.
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Le Louvre, open bar: “C’était risqué”: deux TikTokeurs belges déjouent la sécurité du Louvre pour accrocher… leur tableau

Nouveau coup d’éclat. Neal et Senne avaient déjà fait parler d’eux en assistant à la finale de la Ligue des Champions et en entrant à Rock Werchter sans billet. Cette fois, le duo d’influenceurs belges a déjoué… la sécurité du Louvre.
Neal et Senne sont parvenus à accrocher leur propre œuvre à proximité de la Mona Lisa. Comme d’habitude, ils ont documenté leur aventure sur TikTok. On les voit passer les contrôles avec leur tableau, monter leur cadre en LEGO sur place et accrocher l’œuvre avant de s’éclipser. Le tout sans se faire repérer. Un pari audacieux, alors que les contrôles de sécurité ont été récemment renforcés depuis le cambriolage.
“Neal a un peu de talent artistique, il a peint une toile où nous sommes représentés tous les deux”, explique Senne. Le cadre démontable fabriqué en LEGO était ensuite plus facile à dissimuler. “Avec de grands morceaux, impossible de passer la sécurité”, expliquent-ils.
“Impossible de la mettre sur le mur de la Joconde”“Nous sommes entrés une heure avant la fin, mais les visiteurs devaient déjà quitter la salle une demi-heure plus tard. Nous avons accroché la toile en vitesse. Impossible de la mettre sur le mur de la Joconde, il y a trop de gardes, mais elle est bien dans la même salle”, affirme Senne.
“On savait que c’était risqué. Une fois l’œuvre accrochée, on est partis tout de suite. On ne voulait pas provoquer la sécurité ou attendre leur réaction”, concluent-ils.
