On ne se moque pas de ces choses là.
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@Psyckofox Bon, heureusement c’était pas une amputation, il aurait fini cul de jatte…
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@Psyckofox Il lui reste Lisieux pour pleurer…
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@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Kim Jong-un est furieux
C’est la bonne nouvelle du jour, vivement le prochain fail.
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Club Membrea répondu à duJambon dernière édition par
@duJambon J’aimerai bien avoir le sommeil profond comme ça
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L’avenir s’annonce merveilleux:
Il faut absolument croitre et densifier.
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À votre bunker messieurs-dames !!!
https://www.20minutes.fr/economie/4154152-20250523-comment-construire-abri-souterrain-jardin
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Alors… euh…
J’ai pas souvenir que… euh…
Euh…
Alors je n’ai pas de compte rendu… euuuuh… parce que j’ai sans doute pris des notes sur un papier… comme ça…
Euh… euh…
Je ne peux pas vous l’expliquer. Je ne sais pas…
Euh… -
Après les morts à la guerre, la «panique démographique» pousse Poutine à cacher ces chiffres
L’agence russe de statistiques Rosstat restreint depuis peu la publication de données démographiques essentielles, vraisemblablement pour dissimuler la chute dramatique du taux de natalité.
L’évolution démographique de la Russie constitue un véritable cauchemar pour Vladimir Poutine. Depuis 2015, le pays est confronté à une baisse continue du taux de natalité. D’après les données de la Banque mondiale, seules 1,41 naissance par femme ont été enregistrées en 2023. Entre 2016 et 2024, la population russe a diminué de près de deux millions de personnes: une tendance accentuée par les pertes humaines liées à la guerre en Ukraine et par l’exode de jeunes réfractaires à l’idée de combattre.
Pour promouvoir les valeurs familiales traditionnelles et, à terme, relancer la natalité, les plus hautes autorités russes ont proclamé 2024 «l’année de la famille». Des mères ayant donné naissance à plus de dix enfants ont été honorées en tant que «mères héroïques». Par ailleurs, les parents d’au moins trois enfants bénéficient d’un soutien accru de l’Etat.
Mais le projet a échoué: selon les données des Nations unies, la Russie a enregistré l’an dernier 600 000 décès de plus que de naissances. Et cette tendance semble se poursuivre au début de l’année 2025. D’après l’agence fédérale de statistiques Rosstat, 195 400 enfants sont nés en Russie entre janvier et février 2025, soit une baisse de 3% par rapport à la même période en 2024.
Rosstat manipulerait les données
Pour le mois de mars, Rosstat n’a soudainement plus publié de données démographiques détaillées. A la place, seule une version très simplifiée couvrant l’ensemble du premier trimestre est disponible. Pour le démographe russe Alexey Raksha, qui a lui-même travaillé pour l’agence, c’est le signe évident que la «panique démographique» gagne les plus hauts niveaux du pouvoir. Il évoque sur Telegram une situation devenue, selon lui, «d’ampleur épique».
Les chiffres seraient par ailleurs manipulés. Selon Alexey Raksha, Rosstat a annoncé pour le mois de mars une hausse de 3,2% des naissances par rapport à février — sans préciser que mars comptait 10,7% de jours en plus. En réalité, le nombre de naissances quotidiennes a donc baissé. Sur la base des données les plus récentes, Raksha affirme que la Russie enregistre actuellement ses niveaux de natalité les plus bas depuis la fin du 18e siècle.
La population bientôt au niveau de 1897
Le taux de natalité en baisse depuis des années, aggravé par la guerre en Ukraine et les incertitudes qui en découlent, représente un défi majeur pour la Russie. A long terme, une chute démographique dramatique pourrait freiner la croissance économique, réduire la main-d’œuvre disponible et alourdir considérablement la pression sur le système de santé ainsi que sur les caisses de retraite.
Source et plus: https://www.watson.ch/fr/international/russie/960863278-la-population-russe-baisse-la-russie-enjolive-sa-natalite
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Curieuse statistique en Suisse de pornhub
Le célèbre site porno a analysé le trafic en Suisse pendant la finale de l’Eurovision, qui s’est déroulée samedi dernier à Bâle. Voici ce qui ressort de cette analyse.
En Suisse, le nombre d’internautes sur Pornhub a commencé à baisser vers 17 heures, avant de chuter de manière spectaculaire autour de 21 heures, quand la finale a commencé. Le pic négatif a été enregistré à 22 heures. A ce moment-là, le trafic était inférieur de 16,8% par rapport à un jour moyen. Impossible de savoir si tous ces gens étaient en train de regarder l’Eurovision, mais cette variation mérite d’être soulignée.
Gros pic à une heure du mat’
La fréquentation est restée plus faible que d’habitude jusqu’à 23 heures, avant de remonter très rapidement. A une heure du matin, soit au moment où l’on apprenait la victoire du jeune chanteur autrichien JJ, le site a enregistré une hausse du trafic de 17%. Il semblerait donc que, si les deux événements étaient vraiment liés, l’appel de Pornhub a été plus fort que l’envie de suivre l’interminable décompte des voix.
Il est finalement intéressant de remarquer que le trafic en Europe a suivi la même trajectoire, mais les écarts ont été moins importants. Ainsi, on comptait 8,5% moins d’utilisateurs à 22h, alors que le pic positif, à une heure du matin, n’a atteint que 5,2%.
Les Helvètes ont-ils plébiscité «leur» Eurovision? Ce qui est sûr, c’est que la finale de cette année a été nettement plus suivie que celle de l’édition 2024, du moins en Suisse. L’an dernier, environ 225 000 Romands ont regardé l’événement sur RTS 1. Le trafic sur Pornhub avait baissé de 14% à cette occasion, contre près de 17% samedi dernier. Coïncidence? (asi)
Une chose est sure, entre l’eurovision et prnhub, y’a pas photo
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Ben c’est évident Pornhub…Bâle…trou…troudBâle
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Trump: Pas d’étranger à l’université d’Harward
Dehors, les rois, les princes et les princesses, bouh les villains !
Quand on se fiche des parfois lourdes conséquences de ses décisions…
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“C’était quoi ce bruit?”: une vidéo montre la réaction de l’épouse du PDG d’OceanGate quand le Titan implose
La garde côtière américaine a publié de nouvelles images du moment où le sous-marin Titan a implosé. Un drame qui s’est produit le 18 juin 2023, lors d’une plongée vers l’épave du Titanic. Wendy Rush — l’épouse du PDG d’OceanGate, l’entreprise ayant organisé l’expédition — se trouve alors dans le centre de commandement à bord du navire mère du submersible, quand elle entend soudainement un bruit étrange. À ce moment-là, personne ne soupçonne encore ce qui s’est passé, et qu’il est déjà trop tard.
Les images ont été enregistrées par une caméra d’OceanGate. À côté de Wendy Rush se trouve Gary Foss, également membre de l’équipe qui suivait l’expédition et maintenait le contact avec le sous-marin depuis le navire-mère Polar Prince.
On les voit discuter de la profondeur à laquelle le sous-marin est descendu. Selon Rush, il resterait environ 500 mètres avant d’atteindre l’épave du Titanic. Soudain, un bruit se fait entendre, semblable à celui d’une porte qui claque.
Des regards inquiets
Rush s’interrompt au milieu d’une phrase, reste figée quelques secondes, puis se tourne vers Foss avec un regard inquiet: “C’était quoi ce bruit sourd ?”, lui demande-t-elle avec un rire nerveux.
Juste après, elle remarque quelque chose sur l’ordinateur qu’elle utilise pour communiquer avec le Titan. Il s’agit d’un message texte envoyé par le sous-marin, indiquant qu’il “largue deux poids”. Rush ne semble pas se rendre compte que ce message — probablement envoyé juste avant le drame — a mis plus de temps à parvenir au navire-mère que le son de l’implosion.
Perte de contact
Rassurés, à tort, Rush et Foss poursuivent leur conversation et reportent leur attention sur les écrans. À la toute fin de la vidéo — environ deux minutes après le bruit — on entend Foss dire: “Nous avons perdu le contact.”
Selon la garde côtière, le bruit entendu par Rush et Foss était “le son de l’implosion du Titan atteignant la surface de l’océan”.
“Ce n’est que plus tard que le lien a été fait avec la perte de communication et de suivi”, ajoutent les garde-côtes. Le Titan a implosé environ 90 minutes après le début de sa plongée vers l’épave du Titanic, située à une profondeur de 3.800 mètres dans l’océan Atlantique.
Des débris du sous-marin ont ensuite été retrouvés. Les cinq occupants — le PDG d’OceanGate Stockton Rush, l’aventurier britannique Hamish Harding, l’expert français en exploration sous-marine et spécialiste du Titanic Paul-Henri Nargeolet, ainsi que l’homme d’affaires pakistano-britannique Shahzada Dawood et son fils de 19 ans, Suleman — ont tous perdu la vie.
L’enquête sur l’accident est toujours en cours. Il semblerait que des signaux d’alerte concernant l’état du Titan aient été ignorés avant la plongée fatale, et que les règles de sécurité aient été appliquées de manière laxiste.
Un rapport final de la garde côtière est attendu plus tard dans l’année.
Crouïc !