On ne se moque pas de ces choses là.
-
Alsace : Arrêté à 192 km/h sur une départementale, il justifie sa vitesse par le port d’un bracelet électronique
Le combo gagnant. Intercepté à 192 km/h dans le Bas-Rhin sur la RD 1340 limitée à 110 km/h, un automobiliste au permis probatoire obtenu il y a tout juste un mois, a expliqué sa vitesse… par les horaires stricts que lui impose un bracelet électronique porté à sa cheville, rapportent les Dernières Nouvelles d’Alsace.
Testé positif à la cocaïne et au cannabis, il a également justifié cette prise de stupéfiants afin de pouvoir supporter les variations de la vie conjugale depuis que sa compagne est à nouveau enceinte, ou bien encore le départ à l’étranger de sa mère au chevet de ses grands-parents mourants. Avec déjà sept mentions au casier judiciaire, ce père d’un bébé de 7 mois a finalement écopé d’un an de prison sans mandat de dépôt, la perte de six points, ce qui implique l’annulation de son tout jeune permis de conduire. Il devra aussi payer une amende de 500 euros.
Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir…
-
Heurts avec la police suite à la découverte d’un tunnel secret sous une synagogue à New York
Un groupe de juifs hassidiques a creusé illégalement un tunnel sous une synagogue historique de Brooklyn, aux États-Unis. La situation a néanmoins rapidement dégénéré suite à la découverte du passage souterrain.
Une histoire rocambolesque, digne des plus grands films. Un groupe de jeunes juifs hassidiques a creusé un tunnel se situant sous le siège de la communauté Habad-Loubavitch, entre la synagogue et un bâtiment abritant d’anciens bains pour femmes. Le motif reste flou. Selon des informations rapportées par AP, les instigateurs auraient voulu mettre en œuvre un plan imaginé par l’ancien chef du mouvement Habad, le rabbin Menachem Mendel Scheerson: “agrandir” la synagogue.
DécouverteSelon Motti Seligson, directeur des médias chez Chabad.org, “un groupe d’étudiants extrémistes” a commencé à creuser le tunnel dans le sous-sol d’un immeuble vide qui se situe derrière le siège, créant ainsi un passage serpentant sous une série de bureaux et de salles de conférences qui mène à la synagogue.
Selon le site d’informations locales Crown Heights Info, un voisin aurait entendu des bruits suspects durant la nuit depuis son domicile. À la même période, des ouvriers réalisant des travaux de plomberie dans le voisinage sont soudainement tombés sur le passage en question.
ProtestationSuite à cette découverte, le rabbin Braun a décidé de reboucher le tunnel, rapporte le Parisien. Une initiative qui n’était néanmoins pas du goût des fervents défenseurs du tunnel. À l’arrivée des ouvriers censés mener à bien l’opération, plusieurs personnes se sont interposées. Les manifestants ont entrepris d’arracher le bardage en bois de la synagogue et de rouvrir l’entrée du passage à coups de marteaux. Certains se sont installés à l’intérieur, refusant de sortir. Face à cette scène chaotique, la police a été obligée d’intervenir.
Une bagarre a ensuite éclaté dans le bâtiment aux alentours de 19h00 heure locale. Neuf personnes - âgées de 19 à 22 ans - ont été arrêtées pour de nombreux chefs d’accusation, tels que méfait criminel, mise en danger imprudente d’autrui et obstruction à l’administration, selon la police. Trois autres personnes, inculpées de troubles à l’ordre public, ont reçu une citation à comparaître, rapporte AP.
Source et vidéo: https://www.7sur7.be/monde/heurts-avec-la-police-suite-a-la-decouverte-dun-tunnel-secret-sous-une-synagogue-a-new-york~a52751a5/
Probablement une vieille coutume en provenance de la bande de Gaza
-
Le fabricant de la porte arrachée sur un vol Alaska Airlines a déjà été poursuivi pour “défauts de qualité” en 2023
Des investisseurs de Spirit AeroSystems, le fabricant de la porte soufflé lors d’un vol Alaska Airlines, ont intenté une action en justice contre l’entreprise pour “défauts de qualité généralisés” en mai de l’année dernière.
Attachez vos ceintures, la suite est gratinée:
Plainte d’investisseurs
La qualité des produits de Spirit AeroSystems est depuis longtemps remise en question, surtout après les crashs de deux Boeings 737 Max en octobre 2018 et en mars 2019, des tragédies dans lesquelles tous les passagers ont trouvé la mort.
Des investisseurs ont intenté une action en justice contre Spirit AeroSystems à New York en mai dernier lorsqu’ils ont découvert qu’un employé avait reçu l’ordre de falsifier des documents et de sous-déclarer le nombre de défauts détectés. “Spirit a caché aux investisseurs que la société souffrait de défauts de qualité généralisés et persistants”, peut-on lire dans la plainte.
Quels défauts détectés?
Il est également indiqué que Spirit AeroSystems, qui est l’un des principaux fournisseurs de pièces pour Boeing, a pour tâche très importante de fabriquer les fuselages du Boeing 737, sans préciser que les portes en font également partie.
Les défauts pointés du doigt dans la plainte sont notamment “la présence habituelle de corps étrangers” dans les produits, des fixations manquantes et une peinture écaillée, indique NBC News. Boeing a mis le sous-traitant en probation entre 2018 et 2021 en raison des problèmes persistants.
L’argent avant la qualité
Les défaillances en matière de qualité seraient le résultat d’une culture d’entreprise qui donnait la priorité aux chiffres de production et aux résultats financiers à court terme plutôt qu’à la qualité.
Les plaignants ont reproché à l’entreprise américaine d’avoir provoqué la chute des actions de Spirit AeroSystems en raison des “déclarations fausses et/ou trompeuses et/ou des omissions matérielles” de la société. Par conséquent, cela a causé “des pertes et des dommages significatifs” pour les investisseurs.
Qui est responsable?
Dans l’affaire contre Alaska Airlines, les enquêteurs examineront si le panneau de porte explosé est le résultat du processus de fabrication de Spirit AeroSystems ou de la chaîne d’assemblage de Boeing.
Ce qui de toutes façons n’a apparement pas géné Boeing de continuer à travailler avec une société de mauvaise réputation, mais au meilleurs prix. De toute façon, “c’est pas moi, c’est eux”.
-
@duJambon Tu viens de rationaliser ma peur de l’avion je me sens moins bête du coup.
Si tu as quelque chose sur Airbus, n’hésite pas.
-
@michmich Je pourrai te répondre dans un mois, si je ne meurs pas en route
-
Derrière le succès de l’Apéricube, les machines ultra-secrètes à haute vitesse du fromager Bel
Le fromager Bel conserve jalousement le secret de ses machines Apéricubes, capable de produire à la cadence infernale de 12 cubes à la seconde. Un savoir-faire technique que l’entreprise peaufine depuis les années 1960.
Les cubes sont assortis et rangés dans des boites de 48 pour la plupart.C’est un tourbillon de machines, une succession de rotations qui rappellent le tutu des ballerines, qu’on demande à faire ralentir pour entrevoir ce qu’elles trament. Nom de code : CCC. Photos interdites. Mais au milieu des fracas métalliques on gratte quelques explications sur la «chaîne cinématique continue». La ligne et ses neuf comparses est abritée par les murs de l’usine de Dole (Jura) de Bel, 3,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2022. Elle débite des Apéricubes à la cadence infernale de 12 cubes à la seconde. Environ un milliard de ces petits carrés fromagers sont ainsi produits sur le site chaque année.
La machine apéricube, un secret bien gardé
Source pour abonné: https://www.usinenouvelle.com/article/derriere-le-succes-de-l-apericube-les-machines-ultra-secretes-a-haute-vitesse-du-fromager-bel.N2206184
Ça reste quand même une hérésie environnementale et écologique…
-
Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à duJambon le dernière édition par
@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Ça reste quand même une hérésie environnementale et écologique…
Tu m’étonnes John ! Je suis sûr qu’il y a plus lourd de d’emballage et donc à la fin de déchets que de fromage à manger. Je pense que si ce fromage n’était pas en petits cubes personne n’en mangerait.
-
Ah, bon? il y a du fromage à manger? Je pensais que c’était juste un support pour lire des questions…
-
@Raccoon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Je pense que si ce fromage n’était pas en petits cubes personne n’en mangerait.
Bonne, idée, la prochaine fois que j’ai l’occasion d’en manger (je ne vais tout de même pas acheter ça), je tenterais de faire un plus gros cube ou une boulette avec les mêmes “parfums”, pour tenter d’en connaitre le goût
-
@duJambon Au jambon c’est bon…
-
Maubeuge : Un détenu de la prison ne choisit pas le bon endroit pour cacher son portable et termine à l’hôpital
Un détenu de la prison de Maubeuge a récemment suscité l’étonnement des surveillants pénitentiaires en revenant du parloir fin décembre avec un téléphone portable dissimulé dans son rectum. Les faits remontent au 27 décembre, lorsque le détenu, âgé d’une trentaine d’années, est rentré de sa rencontre avec sa compagne au parloir. Sa démarche particulière et l’odeur d’alcool ont immédiatement alerté le personnel pénitentiaire.
Malgré les demandes de fouille au corps, le détenu a refusé de coopérer, invoquant la dignité humaine. Comme le relate La Voix-du-Nord, face à cette situation, la direction de la prison a obtenu une commission rogatoire du parquet d’Avesnes-sur-Helpe pour emmener le détenu à l’hôpital. Bien que l’obtention des accords pour une prise de sang afin de vérifier son taux d’alcoolémie ait été difficile, la certitude persistait quant à la dissimulation d’un objet.
Les images du scanner à l’hôpital de Maubeuge ont confirmé la présence d’un téléphone portable à l’intérieur du rectum du détenu, éliminant ainsi le besoin d’une intervention chirurgicale. À son retour en prison le soir même, le détenu a été placé dans le quartier disciplinaire et privé de tous ses appareils électroniques.
Selon une source syndicale, il pourrait faire l’objet de sanctions de la commission disciplinaire du centre pénitentiaire, entraînant également un retrait des crédits de réduction de peine en raison de sa tentative d’introduction d’un téléphone en cellule et de son refus d’obtempérer. Le parquet pourrait également décider de prendre des mesures à l’encontre de l’individu.
Malgré ces événements, le représentant du syndicat Force ouvrière, bien que considérant les faits comme peu extraordinaires, souligne l’exceptionnalité de l’obtention des accords hiérarchiques pour lancer la procédure administrative liée à un téléphone portable. Selon lui, cela souligne la réalité persistante de l’introduction de téléphones en cellule, de différentes manières.
-
27 millions de pièces à refaire: l’énorme bourde de la Monnaie de Paris
Fondée en… 864, la Monnaie de Paris est l’une des plus vieilles institutions françaises encore en activité. Elle est notamment chargée de frapper, comme son nom l’indique, la monnaie courante, soit les pièces d’euros nationales en circulation, et vient de commettre l’une des plus grandes bourdes de sa longue histoire.
La Monnaie de Paris a fait frapper en novembre dernier 27 millions de pièces, de 10, 20 et 50 centimes d’euro, dotées d’un nouveau design. Or, dans l’empressement, son PDG Marc Schwartz n’a pas attendu la validation européenne pour lancer l’opération. Selon les informations de La Lettre, il souhaitait en effet que ces nouvelles pièces soient présentées le 7 décembre au ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire. La direction avait même sérieusement accéléré son rendement de production pour coïncider avec la visite ministérielle.
Une prise de risque en pleine conscience? Un oubli? Toujours est-il que Marc Schwartz n’a pas respecté le délai obligatoire de sept jours pour obtenir le feu vert officiel de la Commission européenne. Et, forcément, ce qui devait arriver arriva. Le 1ᵉʳ décembre, la DG ECFIN, instance compétente, a évidemment refusé le nouveau design français en raison de la discrétion trop marquée du symbole européen: ses étoiles. Conséquence inévitable, la Monnaie de Paris a été contrainte de détruire les 27 millions de pièces déjà frappées, de les refondre et de tout recommencer à zéro. Un recyclage du métal, certes, mais qui devrait coûter “entre 700.000 et 1,2 million d’euros”, souligne Capital.
Le PDG s’est malgré tout dédouané de cette erreur monumentale, a évoqué un report indépendant de sa volonté et rejeté la responsabilité sur “l’État français”. Le ministère de l’Économie a de son côté annoncé l’ouverture d’une évaluation pour identifier les causes de cette embarrassante affaire. L’autorité relativise néanmoins la gravité de l’incident en raison de la faible proportion de pièces concernées, à peine 2%, sur le volume total produit chaque année par l’institution régalienne. En outre, le surcoût de la bourde ne devrait pas être à la charge du contribuable. En revanche, il affectera bel et bien les résultats financiers annuels de l’entreprise millénaire.
-
@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Le PDG s’est malgré tout dédouané de cette erreur monumentale, a évoqué un report indépendant de sa volonté et rejeté la responsabilité sur “l’État français”.
Ben voyons, c’est devenu un sport national de ne plus assumer ses erreurs…
C’est pas moi c’est lui m’dame…
On est dans un jardin d’enfants à 1 millions d’euros quand même… -
“Bienvenue au monastère”, la nouvelle émission de C8 qui pose question.
Quand la télé-réalité s’invite au couvent. C’est le principe de la nouvelle émission “Bienvenue au monastère”, diffusée dès ce vendredi sur C8. Une émission dont le cadre et certains intervenants suscitent des interrogations.
Ce vendredi 12 janvier, C8 lance une toute nouvelle téléréalité, baptisée «Bienvenue au monastère». Une reprise du programme de télévision néerlandais “In Search of God”. Le principe : l’émission, centrée sur la spiritualité, réunit 6 personnalités au couvent catholique de Corbara, en Corse.
On y retrouve la comédienne Fabienne Carat, l’ancienne actrice de X Clara Morgane, l’animatrice télé Delphine Wespiser, le champion de jeux Paul El Kharrat, le candidat de télé-réalité Simon Castaldi et le danseur Jean-Marc Généreux. Durant une semaine, ces 6 « stars » sont plongées dans la peau d’un moine, pour une retraite sans téléphone portable et dans le silence.
Une émission qui semble vouloir afficher une image idyllique du christianisme. Mais qui occulte, comme le soulèvent nos confrères de Libération dans une enquête publiée ce jeudi 11 janvier, le «lourd passé de dérives sectaires et de violences sexuelles des communautés mises en avant».
Les participants sont en effet encadrés par deux guides spirituels, soeur Catherine Thiercelin et frère Baudouin Ardillier. Ce dernier est membre de la congrégation Saint-Jean, pointée du doigt par l’association Sentinelle, qui regroupe des victimes d’abus spirituels et sexuels. Soeur Catherine Thiercelin est de son côté membre de la communauté des Béatitudes, secouée depuis ces dernières années par des scandales d’abus sexuels.
Le lieu du tournage, le couvent Corbara, rattaché à Saint-Jean, pose, lui aussi, question. Selon les informations de Libération, il hébergerait un religieux condamné en 2023 à de multiples interdictions, par le tribunal ecclésiastique de Paris, pour des agressions sexuelles.
Des critiques balayées par la productrice Chantal Barry, fondatrice du groupe chrétien Zewatchers et réputée proche de Vincent Bolloré. Dans les colonnes du quotidien français, elle assure que l’émission n’a pas pour but de mettre en avant une institution «mais une proposition spirituelle». Baudouin Ardillier se défend également, en évoquant la publication, en juin dernier d’un rapport interne de Saint-Jean qui dénombrait une quarantaine de prédateurs sexuels dans ses rangs. Le religieux se dit même fier de ce que sa communauté « a engagé sur cette question ».
Toujours est-il que la diffusion de l’émission, à une heure de grande écoute, passe mal auprès des victimes et de leurs proches. Plusieurs font part, à Libération, du choc ressenti et de leurs dégoûts. La présidente de la Conférence des religieux et religieuses de France y dénonce notamment « une douleur inutile infligée aux victimes ».
En cas de deuxième saison, la productrice Chantal Barry envisagerait déjà un autre lieu de tournage. -
@BahBwah a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
En cas de deuxième saison, la productrice Chantal Barry…
Elle pense sérieusement que cette chose va survivre à sa première saison!
-
Le premier gros handicap, c’est “Télé-réalité”, le reste, de toute façon, que ce soit les parisiens à Marseille, la voix qui tue ou le raté divorce…
-
Après une injection pour perdre du poids, elle perd… des dents!
Les plaignantes auraient toutes développé une gastroparésie après l’utilisation de la seringue. Il s’agit d’une maladie de l’estomac qui fait digérer les aliments plus lentement que la normale.
Dans un cas, la maladie aurait eu des conséquences particulièrement graves, selon le journal: une femme a dû subir une opération d’urgence de huit heures après avoir utilisé de l’Ozempic. Il est probable qu’elle souffre de diarrhée pour le reste de sa vie, selon ses médecins, qui ont annoncé à cette femme de 47 ans qu’elle n’aurait «plus jamais de selles solides».
Elle aurait utilisé la seringue pendant environ trois mois pour perdre du poids avant de ressentir de fortes douleurs abdominales. La plaignante reproche à Novo Nordisk de ne pas l’avoir suffisamment mise en garde contre les risques liés à l’utilisation d’Ozempic.
Direction les soins intensifs
Brea Hand fait également partie des utilisatrices du médicament qui ont porté plainte. Cette femme de l’Oklahoma aurait souffert de nausées, de vomissements et de constipation après s’être vu prescrire de l’Ozempic pour le traitement du prédiabète. Lors de sa cinquième visite à l’hôpital, elle se serait même retrouvée en soins intensifs.
«Ils ont dit que mon corps était tellement acidifié que je n’aurais pas survécu si j’avais attendu un jour de plus», indique la jeune femme de 23 ans dans sa plainte. «Je n’ai jamais connu ce genre de douleur de toute ma vie et je ne veux plus jamais revivre ça».
Ozempic et Wegovy ont été initialement autorisés comme médicaments pour les diabétiques de type 2. Comme ils diminuent également l’appétit et aident ainsi les gens à perdre du poids, un engouement s’est créé autour de ces injections.
Quelques dents de moins
Au moins dix plaintes auraient également été déposées contre Eli Lilly, le fabricant de Mounjaro, un médicament contre le diabète qui agit de manière similaire à Ozempic et Wegovy.
Une femme rapporte entre autres qu’après avoir utilisé Mounjaro et Ozempic, on lui a diagnostiqué une gastroparésie qui lui a fait perdre quelques dents à force de vomir.
Selon un avocat américain, des milliers d’autres patients se sont manifestés et affirment souffrir des effets secondaires des médicaments. Il est donc fort possible que de nombreux autres malheureux se joignent à la plainte collective.
-
“27 millions de pièces à refaire: l’énorme bourde de la Monnaie de Paris”
@duJambon Heureusement l’Europe veille. Tout cela est tellement plus grave que tout le reste!
La machine a se marcher sur les couilles sort une fois de plus victorieuse d’une des pires menace qui la guettait.
OUF, merci l’Europe de veiller à notre bien-être, d’être une fois de plus le saillant de notre survie et de notre bonheur à tous. Un grand merci, on sait dorénavant qu’on peut dormir tranquille, la grande Europe est plus forte que jamais, le monde n’a qu’a bien se tenir.
-
«Encore une cinglée qui s’est crue à Disney» : l’Américaine en voyage à Lyon, se prend une volée de bois vert après avoir dit qu’elle n’aimait pas la France
La blogueuse culinaire RealPhDFoodie s’est fendue d’une vidéo sur TikTok pour exprimer sa déception lors de son séjour à LyonLa vidéo d’une influenceuse américaine en voyage à Lyon fait le buzz depuis le 5 janvier dernier sur les réseaux sociaux. On l’y voit en larmes face caméra, affirmant s’être sentie très seule lors de son séjour et déconseillant cette destination à sa communauté.
«La France m’a fait pleurer.» Depuis plusieurs jours, la vidéo d’une influenceuse américaine dans la capitale des Gaules, béret rose sur la tête, suscite de nombreuses réactions sur la toile. En voyage à Lyon en pleines fêtes de Noël, la blogueuse culinaire RealPhDFoodie, très active sur Tik Tok, a documenté sa déception lors de son passage dans la ville, créant le buzz avec une séquence publiée le 5 janvier. Face caméra, marchant le long du pont Bonaparte qui traverse la cité des Gones, elle regrette son séjour, expliquant se sentir «très seule» et «très isolée». La jeune femme, qui y avait fait escale après un tour de l’Italie, comprenant Milan, Venise, Florence, et de l’Allemagne, a déconseillé à sa communauté de choisir cette destination. «Cela me fait sentir bête d’avoir voulu voyager ici», a-t-elle argué, les larmes aux yeux, devant son téléphone.
Solo traveling in France is such an isolating experience. Do not recommend for solo travelers and people who do not speak French.#france #lyon #lyonfrance #lyonfrance #solotraveler #solofemaletraveler #solotravelwoman #frenchculture #frenchcultureshock #fyp #fyp
Celle qui avait imaginé une ville accueillante n’a pas caché sa désillusion. «Les gens semblent vraiment indifférents. (…) Je n’ai pas de problème pour rencontrer des personnes, comme je l’ai déjà fait en Italie ou en Allemagne… Je suis une personne très sociable, mais en France l’expérience est très différente». Et de poursuivre : «Ici, les gens vous font sentir mal de ne pas connaître leur culture et leur langage. Je n’ai rencontré personne alors que je suis là depuis cinq ou six jours».
S’il manque son hashtag, cette vidéo s’inscrit dans un phénomène qui a gangrené TikTok à l’été 2023. Depuis juillet, l’inscription «Eurosummer» s’affichait près de 700.000 fois en quelques mois, sous des clips de touristes documentant leur passage en Europe et leur désillusion. En cause : le manque de climatisation, des mauvaises conditions de transport ou encore des rues piétonnes inaccessibles en voiture. Là encore, certains ne manquaient pas d’égratigner l’image d’Épinal de la France, avec son béret et sa baguette de pain. «J’adore quand les filles américaines planifient leur garde-robe des mois à l’avance et parlent d’à quel point les hommes sont sophistiqués à Paris…», plaisantait une touriste avant de tourner son téléphone vers en homme en claquette-chaussette. Là encore les vidéos avaient fait le buzz et provoqué la colère de nombreux internautes, regrettant qu’on écorche à l’international l’image de leur pays.
Avec sa nouvelle vidéo, la blogueuse culinaire «RealPhDFoodie» n’y échappe pas. Si quelques-uns se sont dits désolés pour elle, regrettant qu’elle ait passé un mauvais séjour à Lyon, d’autres se sont érigés contre le fantasme puéril des Américains envers la France, créé par la pop culture. «Elle a pris Emily in Paris pour une réalité», a souligné un abonné. Et un autre, un peu plus virulent, d’ajouter sur X - ancien Twitter : «Encore une cinglée qui s’est cru à Walt Disney». Car si les Lyonnais semblent avoir mauvaise réputation sur leur capacité d’accueil, beaucoup ont pointé du doigt la naïveté de la jeune femme, de vouloir se faire des amis, en quelques jours seulement et sans parler la langue. «Genre il y a des pays où tu débarques et tu te fais des potes en 4 jours ?», demande ainsi une utilisatrice.
Un fantasme puéril
D’autres se sont également dits exaspérés par ces critiques. Celles d’Américains débarquant en ville sans parler la langue, ni se soumettre à la culture de celle-ci. «C’est vraiment une culture en France, les gens ne viennent pas te déranger quand t’es dans ton coin en vacances, (…) j’ai l’impression que les Américains s’attendent à ce qu’on vienne les chercher», a commenté un tiktokeur. Et un autre de lui répondre : «Elle a pris Emily in Paris pour une réalité. C’est ridicule de partir seule en espérant que les gens viennent te voir».
Face à la viralité de la vidéo, la ville de Lyon s’est exprimée sur l’expérience de sa touriste. «Nous sommes navrés qu’Angela Foodie n’ait pas apprécié sa venue, ce type de situation nous attriste toujours. Il serait dommage de s’arrêter à une mauvaise expérience, nous l’invitons à prendre contact avec l’Office pour programmer une nouvelle visite. Nous serions ravis de lui faire (re)découvrir, ainsi qu’à l’ensemble des visiteurs outre-Atlantique, les trésors de Lyon !», a déclaré l’Office de tourisme. Peut-être «RealPhDFoodie» laissera à la ville une seconde chance, après Emily in Paris… Angela in Lyon ?