On ne se moque pas de ces choses là.
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Une femme de ménage vole des lingots d’or d’une valeur de 47.000 euros: “Elle cherche aujourd’hui du travail comme… femme de ménage”
Des bijoux, des lingots d’or et une somme conséquente: une femme de ménage risque aujourd’hui quatre ans d’emprisonnement après avoir abusé de la confiance de deux familles originaires de Grimbergen (Brabant flamand). “Elle parvient toujours à travailler comme femme de ménage malgré ses précédentes condamnations”, a déclaré le parquet.
La prévenue est aujourd’hui bien connue de la justice. Elle a déjà été condamnée à plusieurs reprises et fait un séjour en prison. Elle s’est par la suite envolée vers le Royaume-Uni avant de refaire soudainement surface en Belgique en 2020, où elle a recommencé à travailler en tant que femme de ménage. Tout semblait se dérouler à merveille: la famille, satisfaite du travail effectué, l’a chaleureusement recommandée à une amie.
Bijoux et lingots d’or
En septembre 2022, elle disparaît des radars. Les deux années de "loyaux” services ont finalement coûté cher aux deux familles. La femme de ménage s’est servie sans vergogne dans les bijoux et sommes d’argent d’une de ses victimes, accumulant au passage un petit pactole d’une valeur de 12.000 euros. Elle a également réussi à mettre la main sur des lingots d’or d’une valeur de 47.000 euros, des bijoux et de l’argent qui avaient soigneusement été mis en sécurité dans un coffre-fort.
“La femme a, de manière systématique et horrible, abusé de la confiance des victimes”, a commenté le parquet. “Malgré ses précédentes condamnations, elle parvient toujours à travailler comme femme de ménage. (…) Elle a, durant plusieurs mois, fait du bon travail. Elle en a également profité pour examiner les moindres recoins des domiciles et repérer où se situaient les objets de valeur.”
Le parquet requiert aujourd’hui une peine de quatre ans de prison. La femme de ménage ne s’est pas présentée au tribunal, “mais nous savons qu’elle se trouve encore en Belgique”. “Elle publie régulièrement des annonces sur Facebook, proposant ses services en tant que… femme de ménage.”
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Un youtubeur se fait tirer dessus après une “blague” qui tourne mal, le jury acquitte son agresseur
Une vidéo du YouTubeur américain Tanner Cook a failli très mal tourner. Cet Américain de 21 ans aime se filmer en train de piéger des gens dans la rue. Mais l’une de ses victimes, un livreur nommé Alan Colie, s’est sentie tellement intimidée qu’elle a fini par sortir son arme à feu pour se défendre. La balle, tirée à bout portant, s’est logée dans l’abdomen de Tanner. Un jury populaire a toutefois estimé que le livreur avait agi en état de légitime défense.
Alan Colie venait chercher une commande au centre commercial de Dulles, dans l’État américain de Virginie, lorsqu’il s’est aperçu que Tanner Cook le suivait. Ce dernier s’est ensuite mis à tenir son téléphone portable devant son visage, tandis qu’une application répétait en boucle: “Hé abruti, arrête de regarder mon entre-jambe.”
Après lui avoir demandé de le laisser tranquille à plusieurs reprises, Alan Colie s’est saisi de son arme et a tiré sur le vidéaste. Le jeune homme a été transféré à l’hôpital, où il est resté quelque temps en soins intensifs.
“Mon client s’est senti menacé par cet homme. Son seul but était de provoquer une réaction afin d’attirer plus de spectateurs sur sa chaîne YouTube”, a plaidé l’avocat d’Alan Colie. “Il cherche à troubler les gens et ne se préoccupe absolument pas de savoir s’il leur fait peur ou non.”
Légitime défense
Mais pour le procureur Eden Holmes, il n’était pas question de légitime défense dans cette affaire. “La blague de M. Cook était peut-être un peu bizarre, mais elle ne mettait pas la vie de sa victime en danger. En fin de compte, ce n’était qu’une bête phrase jouée en boucle sur un téléphone portable.”
Après plus de cinq heures de délibérations, les jurés ont toutefois décidé qu’il s’agissait bien de légitime défense. Alan Colie possède d’ailleurs un permis de port d’arme.
Le livreur a été acquitté du chef d’accusation le plus grave, à savoir “coups et blessures volontaires avec circonstances aggravantes”. En revanche, il risque toujours théoriquement 10 ans de prison pour avoir tiré dans un centre commercial.
Tanner Cook n’en était pas à son coup d’essai. Il s’est déjà filmé en train de harceler plusieurs employés dans des magasins ou encore en faisant semblant de vomir sur des chauffeurs Uber. Certaines de ses victimes se sont vraiment en colère à tel point qu’il a parfois fallu faire appel à la police. Malgré cet incident, le vidéaste a déjà annoncé qu’il continuera à réaliser ce genre de vidéos.
Source et vidéo: https://www.7sur7.be/faits-divers/un-youtubeur-se-fait-tirer-dessus-apres-une-blague-qui-tourne-mal-le-jury-acquitte-son-agresseur~a6a42581/
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Des archéologues découvrent d’anciennes sandales enterrées dans une grotte de chauves-souris il y a 6 000 ans
Certaines vanneries du même site sont encore plus anciennes, remontant à 9 500 ans à la période mésolithique.
Maillet en bois et sandales en sparte provenant de la Grotte des Chauves-souris en Espagne datant de la période néolithique, il y a 6 200 ans.Source et plus: https://arstechnica.com/science/2023/09/behold-the-worlds-oldest-sandals-buried-in-a-bat-cave-over-6000-years-ago/
Si les espadrilles ont 6000 ans, pourquoi ne pourrait-il pas y avoir l’électricité dans les pyramides ?
Complotistes, vous avez une heure pour rendre votre devoir.
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Un soldat ukrainien appelle le SAV russe car son char capturé à l’ennemi ne fonctionne pas
Un soldat ukrainien répondant au nom de Kochevnik (à droite sur la photo) s’est amusé à appeler le fabricant russe de chars, Uralvagonzavod, car son T-72B3 (le modèle sur la photo) capturé ne fonctionnait pas. Photo News / DRCapturer un blindé ennemi, c’est bien. Réussir à le faire fonctionner, c’est encore mieux. C’est dans ce contexte qu’un soldat ukrainien s’est amusé à appeler le fabricant d’un char russe pour se plaindre de ses avaries. Un canular téléphonique repéré par Forbes.
L’histoire, à prendre avec des pincettes, ne dit pas où et quand le char en question, un T-72B3, modèle très répandu au sein de l’armée russe, a été capturé. Mais le blindé aurait été endommagé dans l’aventure et les soldats ukrainiens ne seraient pas parvenus à le remettre sur ses chenilles.
Dès lors, un soldat ukrainien répondant au nom de Kochevnik s’est amusé à appeler le fabricant russe de chars, Uralvagonzavod. Kochevnik s’est entretenu au téléphone avec un employé de l’entreprise, Alexander Anatolevitch, pour se plaindre des défaillances de son engin. La scène a été filmée et partagée ensuite sur la chaîne YouTube d’un média ukrainien couvrant le conflit.
“Je suis le commandant d’un groupe blindé et le problème, c’est que nous ne pouvons tout simplement pas faire fonctionner le char”, a expliqué Kochevnik à son interlocuteur de l’entreprise ouralienne, qui n’est autre que le plus grand fabricant de chars de combat au monde. Ne soupçonnant pas qu’il était en train de parler à un soldat ennemi, Alexander Anatolevitch a promis, en employé modèle, de faire remonter la plainte à ses supérieurs.
“Gloire à l’Ukraine”
Un peu plus tard dans la vidéo, Kochevnik affirme avoir ensuite parlé à un cadre d’Uralvagonzavod. Selon la traduction réalisée par Forbes, ce dernier aurait demandé à Kochevnik de lui envoyer par WhatsApp la liste des problèmes rencontrés sur le char.
Kochevnik a alors révélé sa véritable identité. “Écoutez, je suis le commandant du groupe blindé K-2. Il s’agit du deuxième bataillon mécanisé de la 54e brigade mécanisée ukrainienne (…) Essayez de les améliorer pour que les prochaines fois que nous capturerons ces chars, il soit plus facile pour nous de les utiliser. D’accord? Merci beaucoup. Prenez soin de vous. Gloire à l’Ukraine!”, a conclu Kochevnik avant de raccrocher.
550 chars russes capturés
Selon le site néerlandais Oryx, qui compile, au départ de sources ouvertes, les pertes matérielles subies par les deux belligérants, l’Ukraine aurait capturé plus de 500 blindés russes depuis le début de la guerre.
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à duJambon le dernière édition par
@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
l’Ukraine aurait capturé plus de 500 blindés russes depuis le début de la guerre
Je n’ose même pas imaginer le pognon que ça représente.
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puis faut la place pour les garer
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Une habitante de Dordogne se retrouve nez à nez avec un cerf tombé dans son garage
Un cerf s’est retrouvé coincé dans un garage lundi à Saint-Cybranet en Dordogne. L’animal a fait une chute de quatre mètres de haut avant de finir sa course sur la toiture. Les pompiers ont réussi à le remettre dans la nature.
C’est une intervention peu banale qu’ont pratiquée les pompiers de Sarlat ce lundi 2 octobre. Ils ont été appelés par Mireille, une habitante de Saint-Cybranet (Dordogne), qui a découvert un cerf dans son garage. L’animal a fait une chute de quatre mètres de haut avant de traverser la toiture. L’animal apeuré a retourné le garage et s’est retrouvé coincé entre les vélos, la tondeuse et le matériel de bricolage.
“Il saccageait tout !”
Mireille habite juste en contrebas d’une petite falaise sur laquelle des cerfs se retrouvent souvent. “Au-dessus de notre cour, il y a des cerfs qui se sont battus pendant la nuit. C’est la période du brame !” explique Mireille, qui a été réveillé en sursaut "en se battant, il y en a l’un des deux qui est tombé sur mon garage. Il saccageait tout ! On ne pouvait pas ouvrir, on a eu peur " se rappelle la Périgourdine.
Anesthésié et remis en liberté dans la nature
Le cerf, un animal de 150 kilos, était vivant mais ne pouvait pas s’échapper. Les pompiers avec l’aide d’une équipe de l’Office français de la biodiversité sont intervenus pour le dégager. Le cervidé a été anesthésié pour faciliter sa capture. Il a ensuite été transporté dans une remorque et remis en liberté dans la nature.
Le cerf a été anesthésié pour être remis dans la nature - SDIS24Source : francebleu.fr
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faut le rendre au pere noel !
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c’est bô !
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Bientot noel
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Avec ce masque anti-bruit, faites enfin taire vos collègues bruyants
L’entreprise japonaise Shiftall a conçu une innovation qui laisse sans voix… Il s’agit d’un masque doté d’un microphone bluetooth insonorisé grâce auquel l’utilisateur peut parler sans déranger ses voisins.
Ce masque comporte un résonateur de Helmholtz qui réduit la voix des utilisateurs d’au moins 20 décibels. (3 fois moins fort)Un collègue en colère dans l’open-space, un inconnu dans le bus au téléphone, son adolescent, en pleine partie de Call of Duty, qui hurle dans son micro… On connaît tous une personne bruyante que l’on aimerait faire taire. C’est désormais possible et ce, sans trop vexer son interlocuteur. La société japonaise Shiftall a mis au point un dispositif anti-bruit qui se place sur la bouche vendu 199 dollars (près de 190 euros). Il s’agit plus précisément d’un «microphone bluetooth insonorisé» qui réduit le volume de la voix de la personne qui le porte. Le Mutalk, comme il est surnommé, a également la capacité d’empêcher le bruit ambiant de pénétrer dans le microphone pour rendre les conversations en visioconférence plus agréables.
Existe aussi en rose pour ces dames (pas taper !)
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On pourrait y ajouter un casque Meta Quest 2 pour rester dans la couleur et être définitivement ridicule
Je pense que le Monsieur n’a pas compris le concept, sinon pourquoi garde t’il le micro de son casque déployé? -
NewSpace : « Demain, il faudra être capable d’envoyer un plombier dans l’espace »
Ravitailler les stations spatiales, nettoyer les débris spatiaux ou encore organiser la circulation des satellites… Voici les enjeux sur lesquels planchent de nombreuses start-up du « newspace. »
Plusieurs d’entre elles ont posé un pied sur le territoire de la métropole de Bordeaux ces derniers mois. Initié par la région Nouvelle-Aquitaine, Bordeaux Métropole et la ville de Saint-Médard-en-Jalles, ainsi qu’ArianeGroup, Dassault et Thales, le centre d’innovation Way4Space sert précisément à attirer dans la région ces pépites de l’espace, et fédérer ce milieu de l’aérospatial qui ne cesse de grandir.
Way4Space organise jusqu’à vendredi soir une série de rencontres d’experts internationaux, autour des thèmes du travail et de la logistique dans l’espace. 20 Minutes a interrogé son directeur, Philippe Troyas.
Quelles sont les dernières start-up du « newspace » à s’être implantées sur Bordeaux métropole ?
Parmi les nouveaux acteurs qui arrivent, nous avons The Exploration Company, qui porte des projets de cargos spatiaux pour du transport en orbite, Aerospacelab, une jolie entreprise de satellites, HyPrSpace, qui est là depuis quelques années déjà et qui veut faire des fusées à propulsion hybride, ou encore Dark, qui projette d’aller retirer les déchets qui menacent les infrastructures spatiales, et qui a annoncé son intention de s’implanter sur le site de l’aéroport de Bordeaux… Way4Space est contacté régulièrement par ce type d’entreprises pour venir s’installer ici.
Le symposium que vous organisez à Mérignac, traite notamment de la space logistics, comment la définir ?
La space logistics, c’est l’ensemble des moyens qui permettraient de travailler et de produire dans l’espace, comme des stations-service dans l’espace. Ce n’est pas la même chose que la logistique de l’espace, qui regroupe la gestion des flux pour acheminer du matériel. Cette nouvelle économie orbitale que l’on sent possible est arrivée à un stade où beaucoup d’acteurs privés apparaissent, et beaucoup de pays s’intéressent à ce sujet. Dans les activités spatiales porteuses aujourd’hui, il y a l’enlèvement actif de débris, ou encore les opérations de transport et de ravitaillement. A terme, ceux qui sont capables de faire du cargo seront capables de faire du transport humain. Car si cette économie dans l’espace se développe, il faudra bien des hommes pour venir réparer, même s’il faut faire le plus de choses possibles avec des robots dans cet environnement hostile.
Vous pensez qu’un jour on ira travailler dans l’espace, comme on va travailler aujourd’hui à son usine ou à son bureau ?
C’est un peu tôt pour le dire, mais on peut tout à fait l’envisager. Aujourd’hui, on envoie des astronautes qui sont des espèces d’athlètes super-entraînés, super-intelligents, capables de tout faire comme de piloter, mener des expériences scientifiques, manipuler des machines dans l’ISS… Mais demain, si on a de l’activité dans l’espace, il faudra aussi être capable d’envoyer un plombier, un gars qui va raccorder, souder, ce qu’on appelle un « space worker ». Ce qui pose tout un tas de questions d’ailleurs sur les droits et la protection de ces futurs travailleurs de l’espace…
Le job de rêve ?
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@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
« Demain, il faudra être capable d’envoyer un plombier dans l’espace »
C’est déjà fait :
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Un automobiliste américain a été arrêté à Norfolk, dans le Nebraska, alors qu’il était en train de conduire sa voiture avec à ses côtés de près de 1000 kilos
Un simple avertissement pour l’automobiliste
Elle est pas belle la vie…un simple avertissement (ici on aurait juste plus le droit de conduire jusqu’à la mort lol)
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@Psyckofox Dire qu’au Texas ils se content de mettre les cornes sur la calandre, lui il fait pas dans le détail.
Mieux que le side-car, le bull-car.
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Il est kidnappé par sa propre voiture
Un homme de 53 ans a vu sa nouvelle auto électrique se mettre à rouler toute seule, sans possibilité de l’arrêter. Alertée, la police a dû immobiliser le véhicule de force.
C’est dans une MG ZS EV électrique semblable à celle-ci que le malheureux a été piégé.Dimanche, Brian Morrison, 53 ans, rentrait chez lui à Glasgow au volant de sa nouvelle voiture électrique de marque britannique (rachetée par les Chinois), une MG ZS EV électrique à 33’000 francs. «J’ai compris que quelque chose n’allait pas lorsque je suis arrivé à un rond-point et que j’ai décidé de ralentir, mais je n’y suis pas parvenu», a-t-il déclaré.
Il a alors entendu un fort grincement, comme celui de plaquettes de frein et il était en effet incapable de freiner. «J’ai réussi à contourner le rond-point à 48 km/h puis j’ai enchaîné sur un grand bout droit, j’ai supposé que si je n’accélérais pas, la voiture allait s’arrêter», confie-t-il au «Daily Mail». Mais l’automobile a continué à rouler.
«C’est terrifiant»
Le conducteur, ayant des problèmes de mobilité, ne pouvait pas sauter en marche. «J’étais coincé et 48 km/h peut sembler pas si rapide, mais quand vous n’avez aucun contrôle sur la vitesse, c’est terrifiant». Dans un premier temps, il a appelé sa femme et lui a demandé de faire la route vers lui en avertissant les voitures qu’elle voyait que son mari arrivait et ne pouvait s’arrêter.
Réalisant qu’il allait devoir passer par des carrefours avec feux et des ronds-points, le prisonnier de sa propre voiture a alors alerté la police. Trois véhicules de police ont été lancés à sa poursuite tandis que des ingénieurs tentaient de voir s’ils pouvaient résoudre le problème en ligne.
Les policiers ont encerclé le véhicule et un fourgon s’est porté à sa hauteur. L’agent a crié par la fenêtre pour confirmer qu’il s’agissait bien de Brian Morrison et demander s’il allait bien. «J’ai juste crié non, je ne peux pas m’arrêter». Les agents lui ont suggéré plusieurs façons d’éteindre son véhicule, mais même une fois qu’il ait jeté sa clé par la fenêtre, la MG roulait toujours.
Bloqué par le fourgon de police
Tous les voyants du tableau de bord clignotaient avant de ne laisser plus qu’un seul message disant de s’arrêter immédiatement. Ralenti par un rond-point, le véhicule ne roulait plus qu’à 24 km/h lorsque le fourgon de police s’est mis devant lui, a attendu le contact et a freiné pour ralentir la voiture folle. Un policier est parvenu à sauter dedans et est parvenu à faire quelque chose qui a immobilisé la MG.
Une fois tous dehors, le fourgon de police a avancé, mais la MG s’est remise à rouler. Il a fallu la bloquer à nouveau. Plus tard, un diagnostic de la voiture a été fait. Ce dernier a laissé s’afficher de très nombreuses pages de défauts. La personne qui faisait ce contrôle a déclaré ne jamais avoir vu cela auparavant.
Personne n’a été blessé et aucun véhicule n’a été endommagé lors de cet incident.
Source: https://www.lematin.ch/story/ecosse-il-est-kidnappe-par-sa-propre-voiture-852287995873
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Une blonde coincée dans les toilettes avec son smartphone
À votre avis, que peut bien faire-t-elle pour se tirer d’affaire, appeler du secours au téléphone ?
Trop simple, il vaut mieux se filmer pour tikitok:
Voir la vidéo: https://www.7sur7.be/video/production/un-moment-embarrassant-pour-son-premier-jour-de-travail-403588
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Hadès Trolls DDL Pastafariste Rebelle Windowsien PW Addict Membrea répondu à duJambon le dernière édition par
@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Il est kidnappé par sa propre voiture
C’était lui le vendeur ?
normal alors -
lol @hades