On ne se moque pas de ces choses là.
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Il se trompe sur le prénom de sa femme en réservant un vol : la compagnie l’oblige à racheter un billet à 2 800 euros
Un couple d’Australiens souhaitait s’offrir un voyage en Europe. Lors de la réservation des billets, l’homme n’a pas inscrit le prénom correct de sa femme et l’a payé cher.
Mieux vaut bien vérifier les prénoms et noms sur les passeports avant de réserver un billet d’avion. Un couple d’Australiens de Brisbane ne fera plus cette erreur.
Dans une émission d’actualité australienne A Current affair, diffusée ce jeudi 11 janvier 2024, le couple a raconté ses déboires, à cause d’une bévue qui a amputé leur budget vacances.
En juillet dernier, l’homme, Phil, aurait réservé des billets aller-retour pour aller jusqu’à Londres avec sa compagne, au prix de 2 400 dollars australiens chacun.
“Kate” au lieu de “Katherine”
Il inscrit “Kate” pour le prénom de sa femme, sans s’apercevoir que le passeport la présente comme “Katherine”.
Quand il réalise son erreur, reprennent notamment Le journal de Québec et Cnews, Phil tente de la corriger sur Internet. Il apprend alors qu’il doit annuler le billet de Kate, avec un remboursement partiel, et racheter un nouveau billet, vendu cette fois au prix de 4 700 dollars australiens soit 2 800 euros environ.
Ils doivent prendre un nouveau billet
“Leur raisonnement, c’était qu’ils n’avaient pas le temps de modifier le nom du billet, mais ils avaient le temps de nous vendre un nouveau billet. Ils ont simplement profité de la situation dans son ensemble, en particulier de la haute saison des voyages, et du temps qui presse”, a ajouté Phil à l’émission A Current Affair.
L’émission a averti sur l’importance de vérifier que le nom sur le passeport corresponde à celui des billets, pour des raisons de sécurité mais aussi pour la communication intergouvernementale et les visas.
“Si vous recherchez les tarifs aériens les moins chers, vous avez très peu de marge de manœuvre. S’il y a une erreur, vous devrez payer”, a averti, Quentin Long, expert spécialisé en voyages, dans l’émission australienne, cité par Cnews.
Source : midilibre.fr
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États-Unis : un chien mange 4000 dollars, ses maîtres lessivent les billets pour récupérer leur argent
Cécil est un gros gourmand. Le chien a dévoré 4000 dollars en petites coupures qu’il a trouvé dans la cuisine de ses maîtres.
Cécil est un bon chien. Cécil, un goldendoodle de 7 ans, a grandi en Pennsylvanie (États-Unis) avec ses maîtres Clayton et Carrie Law. Il n’avait jamais fait la moindre bêtise jusqu’à début décembre, où il a grignoté 4.000 dollars en liquide que ses maîtres venaient de retirer de la banque.
C’est l’incroyable histoire que rapporte le Washington Post. Clayton et Carrie avaient retiré 4.000 dollars de leur compte en banque pour payer des ouvriers afin d’installer une clôture pour leur maison. Ils sont rentrés à la maison avec une enveloppe fermée, remplie de billets de 50 et de 100 dollars, qu’ils ont déposés sur le comptoir de la cuisine et laissés sans surveillance.
Mais trente minutes plus tard, c’est la douche froide. Clayton trouve, éparpillés sur le sol, des petits bouts de billets grignotés. “J’ai cru que j’allais avoir une crise cardiaque”, témoigne Carrie, la compagne de Clayton, à nos confrères du Washington Post.
“Cécil est un petit gars rigolo, mais particulièrement exigent : vous pourriez laisser un steak sur la table, il n’y toucherait pas. Il n’est tout simplement pas motivé par la nourriture”, explique sa maîtresse. “Mais apparemment, il est très attiré par l’argent”.
Les billets récupérés dans les déjections du chien
Le gros glouton s’en tire bien : après un rapide appel au vétérinaire, ce dernier leur signale que le chien s’en sortira bien. Reste à récupérer ce qui peut être sauvé : la banque, contactée, leur a signalé qu’elle reprenait les billets dont le numéro de série était entier et lisible.
Les maîtres de Cécil ont donc trié les morceaux de billets dans le vomi et dans les déjections du chien, et rafistolé les billets. Le couple raconte, sur leurs réseaux sociaux, la chasse au trésor pour retrouver les précieux bouts de papier dans les… productions digestives de l’animal.
Les billets ont ensuite été soigneusement triés, lavés et rapportés à la banque. “Je n’aurais jamais pensé que j’allais un jour blanchir de l’argent”, sourit Carrie. “Mais visiblement, il y a une première fois à tout”. Le couple a finalement pu récupérer 3.550 dollars sur les 4.000 soigneusement dégustés par Cécil.
Source : rtl.fr
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Il est déclaré mort, ses cendres remises à ses parents… mais réapparaît bien vivant plusieurs mois plus tard
Tyler Chase est bien vivant.Un jeune homme de 23 ans avait été déclaré mort par les autorités. Il a causé la stupeur en réapparaissant bien vivant des mois plus tard.
Déclaré mort d’une overdose le 11 septembre 2023, Tyler Chase avait été incinéré et ses cendres remises à ses parents par les autorités de l’Oregon (Etats-Unis).
Une mort qui n’avait, malheureusement, pas trop surpris son entourage. Âgé de 23 ans, Tyler avait sombré dans la drogue et vivait dans la rue. Il n’avait plus de contact avec ses parents depuis des mois.
Les dernières nouvelles le concernant évoquaient un programme de réadaptation dans lequel il avait été intégré. Mais, pour ses parents, à l’annonce de sa mort, il semblait bien que cette ultime démarche se soit conclue par un échec.
Mais loin d’imaginer ce qui avait secoué sa famille, Tyler Chase, justement, était sur la bonne voie et semblait reprendre pied dans la société. C’est en réclamant une aide sociale qu’il ne percevait plus depuis le mois d’octobre qu’il a appris sa mort.
Le défunt avait volé son portefeuille
Confus, c’est un fonctionnaire du Département des Services sociaux qui lui a indiqué que, selon son dossier informatisé, il était déclaré décédé. Après avoir confirmé son identité, les autorités ont lancé une enquête pour comprendre ce qu’il s’était passé.
Tyler Chase a appris, fin décembre, que ses parents avaient été informés de sa mort et avaient reçu une urne pleine de cendres d’un autre homme. Lors de sa mort, le défunt avait sur lui les papiers d’identité volés à Tyler Chase et notamment un permis de conduire provisoire.
Visiblement, personne n’avait cherché à vérifier les documents d’identité du défunt entraînant une terrible méprise.
Ainsi, les autorités ont précisé à Fox 12 que, désormais, “toutes les personnes trouvées avec une pièce d’identité temporaire délivrée par l’État devront également soumettre leurs empreintes digitales pour une identification positive, afin de garantir que cela ne se reproduise plus jamais”.
Source : lindependant.fr
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@Raccoon On sait qui est dans l’urne ? va pas être simple l’analyse ADN! avec un peu de chance elle est sur le porte monnaie.
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à michmich le dernière édition par
@michmich a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
On sait qui est dans l’urne ?
Je ne crois pas. En tout cas je n’ai rien lu l’indiquant.
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@Pluton9 a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Si on continue sur cette voie @michmich, on pourrait dire que si on avait pas été là, ces baltringues auraient encore un roi.
C’est vrai qu’a une connerie près les EU seraient encore européens. (Lafayette au bûcher)
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Le chanteur espagnol Julio Iglesias arrêté avec 42 kg de nourriture dans ses bagages
- Was ist das Herr Kapelmeister ? Marché noir ?
- Pas du tout, c’est parce que j’ai toujours une petite faim à l’entracte…
Le chanteur espagnol s’est vu confisquer son énorme chargement de nourriture par les autorités de la République dominicaine après un contrôle à son arrivée à l’aéroport de Punta Cana.
Le légendaire chanteur espagnol Julio Iglesias a été brièvement arrêté cette semaine à l’aéroport de Punta Cana, en République dominicaine, pour avoir transporté une énorme quantité de nourriture dans ses valises.
Selon les médias espagnols, Julio Iglesias transportait 42 kg de fruits, de légumes et de viande dans ses bagages, parmi lesquels des fraises, des cerises, des tomates, et des champignons.
Le quotidien espagnol La Vanguardia rapporte que le chanteur, âgé de 80 ans, voyage régulièrement avec d’abondantes quantités de nourriture dans ses bagages.
Il aurait atterri dans la capitale dominicaine le 10 janvier, en provenance des Bahamas.
La nourriture a été confisquée et le chanteur n’a été retenu que brièvement.
Source et plus: https://fr.euronews.com/culture/2024/01/22/le-chanteur-espagnol-julio-iglesias-arrete-avec-42-kg-de-nourriture-dans-ses-bagages
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@mekas Je n’ose comprendre
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Magnifiques @duJambon … J’adore ces vieilles machines!
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Toulouse (31) : pour fidéliser leur clientèle, des trafiquants de drogue offrent à leurs acheteurs des tickets à gratter pour gagner 10 grammes de haschich
Les trafiquants de drogue toulousains rivalisent d’inventivité afin de fidéliser leur clientèle. Dernière innovation en date, des tickets à gratter en tout point semblables aux billets émis par la Française des Jeux.
Le ticket coloré propose de jouer au “Hash d’or”, en référence au haschich. “
Gagnez jusqu’à 10 grammes”. La règle est simple : “Si vous découvrez 3 abeilles sur une même ligne horizontale, vous remportez. Bonne chance!”Source: [link removed]/2024/01/23/toulouse-31-pour-fideliser-leur-clientele-des-trafiquants-de-drogue-offrent-a-leurs-acheteurs-des-tickets-a-gratter-pour-gagner-10-grammes-de-haschich/
J’ai les abeilles
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Qui est « Fleximan », star mystère en Italie, qui détruit à la meuleuse les radars depuis huit mois ?
Au cours des huit derniers mois, au moins dix radars ont été intentionnellement endommagés dans le nord de l’Italie par un individu dont l’identité demeure inconnue. La presse italienne l’a surnommé “Fleximan”.
Ces dernières semaines, “Fleximan” est devenu omniprésent sur les réseaux sociaux, acclamé comme le nouveau héros des Italiens. En l’espace de huit mois, cet individu, dont l’identité demeure un mystère, a réussi à détruire dix radars dans le nord de l’Italie.
Comme le relate Le Parisien, sa méthode opératoire demeure inchangée : chaque soir, il scie la base des radars avec précaution, évitant les câbles électriques, à l’aide d’une meuleuse, connue sous le nom de “flessibile” en italien, d’où le surnom “Fleximan” attribué par la presse italienne.
🇮🇹 Fleximan est devenu la star mystère en Italie. Il coupe des radars à vitesse pour motos et voitures à la meuleuse. Une action qui agite des milliers de fans sur les réseaux. pic.twitter.com/eLZhJuvcbA
franceinfo (@franceinfo) January 24, 2024
Actuellement, la véritable identité de ce “justicier” masqué demeure inconnue, et il n’est pas clair s’il agit seul ou en groupe. Les autorités policières locales condamnent fermement ces actes de destruction de radars en série, bien que ceux-ci soient largement célébrés à travers l’Italie. Les réseaux sociaux regorgent de “fan art” le représentant en tant que super-héros masqué, maniant sa meuleuse désormais célèbre.
Nuovo supereroe #fleximan pic.twitter.com/8CQTZGFcoq
Mario (@Mario24782775) January 16, 2024Certains vont jusqu’à lui envoyer des messages, l’invitant à “passer chez eux” pour détruire d’autres radars. En Italie, une contestation s’élève dans tout le pays, critiquant le nombre excessif de radars et les amendes jugées trop élevées. Pour un excès de vitesse compris entre 10 et 40 km/h, les amendes varient entre 168 et 674 euros, atteignant même 898 euros après 22 heures.
En comparaison, cela représente 135 euros en France. Cependant, les maires des communes soulignent que la destruction des radars n’est pas la solution, car ils seront remplacés par des modèles plus résistants.
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Alaska Airlines : Le Boeing 737 MAX 9 a été parmi les avions plus suivis au monde sur un site de tracking
La compagnie aérienne américaine Alaska Airlines a remis vendredi 26 janvier en service l’un de ses Boeing 737 MAX 9, l’un des appareils les plus suivis au monde sur le site de suivi des vols ces derniers mois. Il était même davantage scruté que l’un des avions de la famille royale saoudienne.
Et pour cause : personne ne voulait se retrouver dans l’un d’entre eux. Les Boeing 737 Max 9 ont été suspendus de vol par le régulateur américain après un incident sur l’un de ses avions le 5 janvier. Ce jour-là, une porte-bouchon de la carlingue d’un de ses appareils reliant Portland (Oregon) à Ontario (Californie) s’était décrochée en vol.
Vendredi, l’appareil reliant Seattle à San Diego a décollé avec environ une heure de retard, atterrissant à sa destination, dans le sud de la Californie, peu après 3h (heure de Paris). Selon CNN, Constance von Muehlen, directrice des opérations d’Alaska Airlines, était dans le vol et s’est assise sur le siège à côté de la porte-bouchon, déclarant qu’elle avait pleinement confiance dans l’avion.
La compagnie avait annoncé sur internet dans la matinée que son vol 1146 lancerait la remise en service progressive de sa flotte de 65 avions 737 MAX 9. Il devait partir à 14H40 locales de Seattle (22H40 GMT, État de Washington) pour se poser à San Diego (Californie) à 17H05 (01H05 GMT), parcourant ainsi la côte Ouest des États-Unis du nord au sud. Selon les sites de l’aéroport de Seattle et de Flightradar24, l’avion s’est finalement envolé à 15H51 locales et s’est posé juste après 18H00.
Ben Minicucci, patron d’Alaska Airlines, avait précisé jeudi, lors d’une audioconférence avec des analystes consacrée aux résultats de 2023, qu’il anticipait une reprise de ces vols à partir de vendredi. Le retour en exploitation de la flotte doit s’étaler jusqu’à début février.
Le régulateur a annoncé mercredi soir avoir établi un « vaste » programme de maintenance et d’inspections pour permettre à ces avions de reprendre les airs. Ce n’est qu’une fois achevé le plan établi, « que l’avion sera en mesure de reprendre du service », a affirmé la FAA, sans donner de date.
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Pour éviter les frais de transport, elle roule 120 km avec le cadavre de sa mère sur le siège passager
• Une femme a transporté le cadavre de sa mère dans sa voiture depuis l’Eure jusqu’à Paris pour éviter de payer des frais de transport funéraire
Une femme a transporté le cadavre de sa mère dans sa voiture depuis l’Eure jusqu’à Paris, révèle Le Parisien. Pas pour utiliser les voies de covoiturages, mais pour éviter de payer des frais de transport funéraire. La défunte, âgée de 93 ans, serait décédée en Normandie dans la résidence secondaire familiale le 25 janvier dernier. Mais, au lieu de contacter les services des pompes funèbres comme cela doit se faire, la fille de la victime a décidé de s’occuper du corps elle-même, pour le rapatrier à Paris, avant de téléphoner à la police pour lui signaler le décès de sa mère, une fois arrivée à destination.
Selon nos confrères, elle aurait expliqué à des policiers médusés, qu’elle avait d’abord nettoyé les lieux où elle est morte avant d’installer sa mère « sur le siège passager pour éviter les frais de transport. » Une pratique bien entendue formellement interdite et qui lui a valu, ainsi qu’à son petit-fils, d’être entendue en qualité de témoins par les services de police. En complément, la maison familiale où a eu lieu de décès a été inspectée par les gendarmes et le corps de la victime transféré à l’institut médico-légal de Paris pour un examen approfondi.
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La perruque pubienne, l’accessoire phare du défilé Maison Margiela
Normalement, je me fout éperdument de la mode et de ses dérivés (et dérives), mais impossible de passer à côté de ça, le côté “je te tiens, tu me tiens par la barbichette”, m’a tout de suite séduit.
Défilé Maison Margiela haute couture printemps-été 2024Un détail du défilé Maison Margiela a fait une grande percée virale, en clôture de la semaine de la haute couture à Paris. La perruque pubienne, dite «Merkin», s’est en effet illustrée comme l’accessoire phare du défilé.
Ce soir-là, jeudi 25 janvier, c’était pleine lune. La première de l’année. John Galliano a fait date avec son défilé haute couture Maison Margiela, venu clôturer quatre jours de shows à Paris. À la fin, les invités, installés sous le pont Alexandre III à Paris, étaient bouleversés. En plus d’applaudir avec intensité, certains pleuraient, d’autres tapaient du pied suffisamment fort pour faire trembler le plancher de bois. Qu’ont-ils vu pour qu’un tel (et si rare) émoi soit déclenché lors d’un défilé de mode ? Des silhouettes masculines et féminines au teint de porcelaine, presque plus vrai que nature, rappelant le maquillage bien fardé des années victoriennes. La plupart des mannequins était enserrées dans des corsets, se réclamant de l’esthétique des courtisanes de Toulouse Lautrec.
Source et reportage sonore: https://madame.lefigaro.fr/style/news/la-perruque-pubienne-l-accessoire-phare-du-defile-maison-margiela-20240130
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À quand la perruque de derche ?
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Boeing retire son offre d’exemption de sécurité alors que des détails sur les boulons manquants apparaissent
Les employés de Boeing n’ont apparemment pas réussi à remplacer les boulons après avoir réinstallé le bouchon de porte.
Boeing retire une demande d’exemption de sécurité liée à son avion 737 Max 7 alors que de plus amples détails apparaissent sur la cause d’une quasi-catastrophe impliquant un avion 737 Max 9 utilisé par Alaska Airlines.
Alors que les premières inspections de la flotte de Boeing 737 Max 9 d’Alaska Airlines ont révélé « de nombreux » boulons desserrés , un rapport du Wall Street Journal a déclaré hier qu’il semble désormais que « les boulons nécessaires pour sécuriser une partie d’un avion d’Alaska Airlines qui a explosé en plein vol semblent avaient disparu lorsque l’avion a quitté l’usine Boeing."
“Boeing et d’autres responsables de l’industrie pensent de plus en plus que les employés de l’avionneur n’ont pas réussi à remettre les boulons lorsqu’ils ont réinstallé un [bouchon de porte] d’un 737 Max 9 après l’avoir ouvert ou retiré pendant la production, selon des personnes proches du dossier”, indique l’article.
Lors de l’ incident du 5 janvier , un Boeing 737 Max 9 a perdu un bouchon de porte passager en vol, provoquant une décompression de la cabine passagers et forçant un atterrissage d’urgence (un bouchon de porte est utilisé à la place d’une porte de sortie de secours dans certains avions). La Federal Aviation Administration a par la suite immobilisé 171 avions Boeing et a informé Boeing que l’agence “n’accordera aucune expansion de la production du Max, y compris du 737-9 Max”.
Alors que l’enquête sur le 737 Max 9 se poursuit, Boeing a confirmé cette semaine avoir retiré une demande d’exemption de sécurité pour le 737 Max 7. Boeing faisait face à la pression de la sénatrice américaine Tammy Duckworth (Démocrate-Illinois), qui préside un sous-comité sur l’aviation. la sécurité et les opérations. Duckworth a exhorté la semaine dernière la FAA à rejeter la demande de Boeing visant à “une exemption aux normes de sécurité pour permettre prématurément au 737 Max 7 d’entrer en service commercial”.“L’exemption demandée par Boeing concerne un système anti-givre qui peut surchauffer et provoquer la rupture et la chute de la nacelle du moteur”, a écrit Duckworth. “Cela pourrait générer des débris pénétrant dans le fuselage, ce qui pourrait mettre en danger les passagers assis dans les sièges hublots derrière l’aile et/ou entraîner une perte de contrôle de l’avion.”
Même si une solution permanente n’est pas attendue avant 2026, Boeing “demande à la FAA d’autoriser le Max 7 à voler avec un simple avertissement aux équipages de conduite pour qu’ils n’oublient pas d’éteindre manuellement le système d’antigivrage lorsque l’avion sort de conditions glaciales”, " a écrit Duckworth. “Il s’agit d’une demande adressée à la FAA pour certifier un avion commercial avec un point de défaillance unique sujet à une erreur humaine avec des conséquences potentiellement catastrophiques.”
Dans une déclaration fournie à Ars et à d’autres médias, Boeing a déclaré qu’il retirait sa demande d’exemption. “Nous avons informé la FAA que nous retirons notre demande d’exemption d’une durée limitée concernant le système de dégivrage de l’entrée moteur du 737-7”, a déclaré Boeing. « Même si nous sommes convaincus que l’exemption proposée pour une durée limitée pour ce système suit les processus établis de la FAA pour garantir un fonctionnement sûr, nous intégrerons plutôt une solution d’ingénierie qui sera complétée au cours du processus de certification.
“Comme toujours, la FAA déterminera le calendrier de certification et nous suivrons son exemple à chaque étape du processus”, a ajouté Boeing. “Nous nous engageons à être transparents, à écouter toutes nos parties prenantes et à prendre des mesures pour renforcer la sécurité et la qualité chez Boeing.”
Duckworth a également rencontré jeudi le PDG de Boeing, Dave Calhoun . “Après cette tentative audacieuse de faire passer les profits avant la sécurité du public voyageur avec le Max 7 et l’horrible incident d’Alaska Airlines à bord du Max 9 ce mois-ci, je suis plus que jamais déterminé à faire tout ce que je peux pour garantir que les avions Boeing répondent à toutes les exigences. normes de sécurité - et je l’ai dit clairement lors de la réunion d’aujourd’hui”, a déclaré Duckworth.
Les détails suggèrent des boulons manquants sur Max 9
Le rapport du Wall Street Journal sur l’enquête sur Max 9 indique qu’une “absence apparente de marquages” sur le bouchon de porte est un facteur suggérant que des boulons manquaient lorsque l’avion a quitté l’usine Boeing. Le WSJ a déclaré que ses sources “ont également souligné des problèmes de paperasse et de processus à l’usine Boeing de Renton, dans l’État de Washington”.
“Le National Transportation Safety Board a procédé à une analyse métallurgique du [bouchon de porte] mais n’a pas publié les résultats des tests. Des tests en laboratoire pourraient montrer si les boulons étaient en place ou pas du tout”, indique l’article.
Contacté par Ars aujourd’hui, le NTSB a déclaré que le rapport préliminaire de l’agence devrait être publié mercredi et “inclura toutes les informations factuelles que nous avons développées à ce stade de l’enquête”. ( Mise à jour à 15 h 38 HE : Le NTSB indique désormais que le rapport ne sera pas publié mercredi et qu’une nouvelle date pour sa publication n’a pas été fixée.)
Boeing a déclaré qu’il n’était pas en mesure de commenter l’enquête car “seul le National Transportation Safety Board des États-Unis peut divulguer des informations sur l’enquête”.
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Une horloge rimée alimentée par l’IA ment parfois sur l’heure et invente des mots
Kickstarter recherche 103 000 $ pour une horloge amusante alimentée par ChatGPT qui pourrait “halluciner” (les hallucinations d’A.I. sont tout simplement des choses qui n’existent pas) l’heure.
Mardi, le développeur de produits Matt Webb a lancé un Kickstarter pour une horloge électronique fantaisiste appelée “Poem/1” qui indique l’heure actuelle à l’aide de l’IA et de la poésie rimée. Il est alimenté par l’API ChatGPT, et Webb dit que parfois ChatGPT ment sur l’heure ou invente des mots pour faire fonctionner les rimes.
“Hé, j’ai fait une horloge. Elle indique l’heure avec un tout nouveau poème chaque minute, composé par ChatGPT. C’est parfois profond, parfois étrange, et parfois il ment sur l’heure réelle pour faire fonctionner une rime”, Webb écrit sur sa page Kickstarter.
L’horloge à 126 $ est le produit de Acts Not Facts , qu’il présente comme « un nouveau studio pour la technologie et l’invention de produits via l’exploration et la fabrication ». Malgré l’aspect service connecté de l’horloge, Webb affirme qu’elle ne nécessitera pas d’abonnement pour fonctionner. (combien de temps avant de devoir payer pour l’accès à l’I.A. et combien de temps avant que ce service ne meure ?)
Une journée dure 1 440 minutes. Poème/1 doit donc afficher 1 440 poèmes uniques pour fonctionner. L’horloge est dotée d’un écran de papier électronique monochrome et extrait ses rimes poétiques via Wi-Fi à partir d’un serveur central géré par la société Webb. Pour économiser de l’argent, ce serveur extrait les poèmes de l’API de ChatGPT et les partagera simultanément avec plusieurs horloges Poem/1. Cela évite des frais d’API coûteux qui s’accumuleraient si votre horloge interrogeait les serveurs d’OpenAI 1 440 fois par jour, sans interruption, pour toujours. “Je réserve un % du prix de détail de chaque horloge sur un compte bancaire pour couvrir les coûts de l’IA et du serveur pendant 5 ans”, écrit Webb.
Pour les pirates, Webb indique que vous pourrez modifier l’URL du serveur principal de Poem/1 par défaut à celle de votre choix, afin qu’il puisse afficher un texte personnalisé à chaque minute de la journée. Webb dit qu’il documentera et publiera l’API lorsque Poem/1 sera expédié.
Compte tenu du vaste pedigree du modèle linguistique de Poem/1, il n’est peut-être pas surprenant que Poem/1 puisse parfois inventer des choses (également appelées « hallucination » ou « confabulation » dans le domaine de l’IA) pour remplir sa tâche. Le LLM qui alimente ChatGPT est toujours à la recherche du mot suivant le plus probable dans une séquence, et parfois la réalité vient en deuxième position après l’accomplissement de cette mission.
Plus bas sur la page Kickstarter, Webb fournit une photo de son prototype Poem/1 où l’écran indique : “Alors que l’horloge sonne onze heures quarante-deux, / Je fais rimer l’heure, comme je le fais toujours.” Juste en dessous, Webb prévient : « Poème/1 ment de temps en temps. Je ne crois pas qu’il était réellement 11 h 42 lorsque cette photo a été prise. L’IA a halluciné l’heure afin de faire fonctionner le poème. Ce que nous faisons pour l’art… »
Dans d’autres horloges, la tendance à donner l’heure de manière peu fiable pourrait être un défaut fatal. Mais à en juger par son angle humoristique sur la page Kickstarter, Webb considère apparemment l’horloge plus comme un projet artistique amusant que comme un instrument de chronométrage de précision. “Ne comptez pas sur cette horloge dans des situations où le chronométrage est vital”, écrit Webb, “comme si vous travaillez dans le contrôle du trafic aérien, dans les lancements de fusées ou sur la ligne d’arrivée des compétitions d’athlétisme.”
Poème/1 prend aussi parfois une licence poétique avec du vocabulaire pour indiquer l’heure. Au cours d’un moment humoristique dans la vidéo promotionnelle de Kickstarter, Webb regarde son prototype d’horloge et lit la comptine : “Une horloge qui défie toute rime et toute raison / 16h30, une intrigue temporelle”. Puis il dit : “J’ai dû chercher ‘tease’. Cela ne veut rien dire, donc c’est un mot inventé.”
Un afficheur de poèmes aléatoires et boiteux qui donne une heure approximative pour 126 $, mais c’est so trendy !