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  • Les vraies raisons du retour sur la Lune !

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    “La Dernière Question”, tirée du recueil “Le robot qui rêvait”.

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    Le souci principal avec sa méga fusée, c’est le nombre de tests réalisés : peu nombreux et pas assez concluants. D’où les craintes de la FAA.
    L’autre difficulté est la récupération des étages censés etre réutilisables. Vu leur poids et taille, les ingénieurs ont construits une tour avec 2 bras qui saisiront l’engin avant qu’il ne se pose sur son pas de tir.

    Et il ne faut pas oublier que la méga-fusée est sur-dimensionnée par rapport à ce qui se fait actuellement : elle peut transporter 100 à 150 tonnes de charges utiles.
    Soit 50 à 70 tonnes de plus que ces concurrentes. Il faut pouvoir rentabiliser chaque vol !

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    @violence a dit dans Les Français et la science : une relation compliquée et ambivalente :

    C’est assez représentatif du climat actuel.

    2% qui ne font pas du tout confiance et 8% plutôt pas confiance je trouve que c’est correct, d’autant que “la science” c’est plein de disciplines différentes.

    Il ressort tout de même du document de l’enquête (dont je conseil le lecture, c’est instructif) que les français font nettement moins confiance à la science qu’en c’est les politiques qui leur en parle :cool:

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    @complotisse
    Oui, mais je faisais référence à la volonté affichée de Musk d’aller sur Mars.

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    @memorex91 Pour simuler l’environnement lunaire, il ne suffit pas de diminuer la gravité, il faut aussi faire le vide dans une enceinte (gérer éventuellement encore les températures et rayonnements) et il semble qu’il est plus facile d’inclure une petite enceinte dans un champ de gravité que des bobines d’aimants cryogéniques pleines de canalisations et de fils et autres appareils…

    En plus simple, ils ont fait un choix entre avoir une grosse enceinte avec beaucoup de matériel dedans (avec les problèmes pour faire le vide poussé (une simple canette de bière vide oubliée peut compromettre l’opération) et les autres conditions à gérer), ou une petite enceinte avec du plus gros matériel dehors…

    Les Chinois sont généralement assez avares de détails dans leurs communications et celles pour la presse sentent habituellement beaucoup plus la politique que la technique.

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    Qui viennent perturber les observations des astres depuis le sol.

    Starlink Internet Services est une division de SpaceX, la société aérospatiale de Musk, qui projette de fournir une connexion Internet à haut débit depuis l’espace aux habitants dans les endroits les plus reculés de la Terre. La société a déjà lancé près de 2 000, sur environ 12 000 prévus, en orbite terrestre basse et une version bêta du service Internet est déjà en cours aux États-Unis, en France et dans plusieurs autres pays.

    Et cela inquiète les astronomes. Bien que SpaceX ait pris des mesures pour réduire l’impact de son matériel (SpaceX affirme que ses satellites Starlink disposent de leur propre logiciel autonome d’évitement des collisions, qui leur permet de s’écarter d’eux-mêmes s’ils soupçonnent qu’ils pourraient se rapprocher d’un autre véhicule ou d’un débris), il n’y a aucun moyen d’éliminer complètement les traces que les satellites laissent à travers les observations au sol.

    À quel point le problème est-il grave ? Une équipe d’astronomes a utilisé des images d’archives d’un télescope de sondage pour rechercher des traces de Starlink au cours des deux dernières années. Au cours de cette période, le nombre d’images affectées a été multiplié par 35, et les chercheurs estiment qu’au moment où la constellation Starlink prévue sera terminée, à peu près toutes les images de leur matériel contiendront au moins une trace.

    Le matériel utilisé pour l’analyse s’appelle le Zwicky Transient Facility (ZTF) à l’observatoire de Palomar. Le ZTF est conçu pour capter des événements rares, comme les supernovae (une supernova est l’ensemble des phénomènes qui résultent de l’implosion d’une étoile en fin de vie, notamment une gigantesque explosion qui s’accompagne d’une augmentation brève, mais fantastiquement grande de sa luminosité). Pour ce faire, il scanne le ciel entier à plusieurs reprises, avec un logiciel surveillant les images résultantes pour rechercher des objets qui étaient absents des premières images, mais qui sont apparus dans les dernières. La sensibilité élevée du ZTF le rend idéal pour détecter des objets sombres, comme des astéroïdes, dans notre système solaire.

    Pour faciliter la tâche de scanner rapidement tout le ciel, le ZTF s’appuie sur un champ de vision très large et une caméra tout aussi grande. Ce large champ de vision, malheureusement, augmente également la probabilité qu’une exposition ait un satellite Starlink en vue.

    Pour déterminer la fréquence à laquelle la présence de ces satellites a été captée par les caméras ZTF, l’équipe à l’origine de la nouvelle analyse a pris des données sur les orbites de tout le matériel Starlink et les a comparées à la zone du ciel capturée dans chaque image d’archive ZTF. Une fois qu’une image a été identifiée comme capturant potentiellement un satellite, un logiciel a été utilisé pour détecter la présence d’une piste brillante sur l’image. Au total, l’analyse a couvert une période d’environ deux ans, de novembre 2019 à septembre 2021.

    C’était à l’époque où SpaceX construisait rapidement sa constellation Starlink, et cela se voit définitivement. Au début de la période d’étude, alors qu’il n’y avait qu’environ 100 Starlinks en orbite, il était relativement courant d’avoir une période de 10 jours d’observations où aucun n’était détecté. Au moment où 500 étaient en orbite, ces périodes appartenaient désormais au passé. Et une fois qu’il y avait plus de 1 500 satellites Starlink en orbite, le ZTF en imageait généralement plus de 200 sur une période de 10 jours.

    Les observations crépusculaires ont été particulièrement affectées en raison de la confluence de deux facteurs. Les images qui capturent l’horizon incluront des angles qui montrent beaucoup plus d’espace occupé par les orbites Starlink. Et en raison de la position du Soleil, un plus grand nombre de ces satellites sont susceptibles d’être entièrement éclairés. En conséquence, environ 64 % des pistes photographiées ont été prises bas dans le ciel au crépuscule. Ces pistes ont également connu une croissance explosive à mesure que la constellation de satellites se remplissait. Fin 2020, seulement 6 % environ des images crépusculaires étaient affectées. Fin 2021, ce chiffre est passé à 18 %.

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    Chaque barre bleue représente le nombre de traces Starlink sur une période d’observation de 10 jours. La ligne rouge suit le nombre total de satellites Starlink

    Conséquences

    En réponse aux plaintes de la communauté des astronomes, SpaceX a mis des visières sur les générations ultérieures de satellites Starlink. L’équipe de recherche a pu comparer la visibilité de ces différentes générations et a constaté que les visières fonctionnaient (les satellites avec des visières perdaient en luminosité d’un facteur d’environ 4,6 - le nombre précis dépendait de la longueur d’onde). La visibilité, cependant, était encore supérieure à l’objectif fixé lors d’un atelier qui devait traiter de cette question.

    Parce que ces pistes sont petites et que le logiciel les identifie et les gère déjà, elles n’ont pas beaucoup d’effet sur les observations. Les chercheurs estiment qu’à l’heure actuelle, il n’y a que 0,04 % de chances qu’un événement rare soit manqué, car il coïncide avec une piste. Mais comme le problème est plus aigu dans les observations crépusculaires, il est plus susceptible d’avoir un impact sur les recherches d’objets dans le système solaire. Cela comprendrait les comètes et les astéroïdes, y compris les astéroïdes qui se sont formés autour d’autres étoiles.

    Mais encore une fois, le problème risque de s’aggraver. SpaceX a déjà l’autorisation d’augmenter le nombre de satellites Starlink à plus de 10 000 ; les auteurs estiment qu’à 10 000, chaque image au crépuscule contiendra probablement une piste Starlink. SpaceX a indiqué qu’il aimerait éventuellement augmenter le nombre de satellites à plus de 40 000, auquel cas toutes les images crépusculaires auront probablement quatre pistes.

    Et SpaceX n’est pas la seule entreprise à planifier ce type de service par satellite. Si toutes les entreprises impliquées donnent suite à leurs plans, l’orbite terrestre basse pourrait voir jusqu’à 100 000 de ces satellites.

    Dans l’ensemble, le tableau est mitigé. La mission principale du ZTF - repérer des événements rares causés par des phénomènes énergétiques lointains - n’est en grande partie pas affectée par le nombre croissant de pistes satellites. Et parce que le pourcentage d’événements est actuellement faible, tripler le nombre de satellites n’aura pas un impact dramatique sur les observations. Mais une mission scientifique secondaire voit déjà beaucoup de contamination lumineuse, et les choses ne feront qu’empirer.

    Starlink pointé du doigt récemment

    La constellation Starlink de Musk a, semble-t-il, commencé à gêner d’autres projets en cours de développement dans l’espace, comme le décrit une plainte de la Chine datant du 6 décembre auprès des Nations unies.

    Dans la plainte, la Chine argue qu’elle a dû effectuer deux manœuvres d’évitement de sa station spatiale pour éviter des collisions potentielles avec deux des satellites Starlink distincts. La Chine détaille deux cas, le 1er juillet 2020 et le 21 octobre 2021, où elle a dû manœuvrer le module central de sa station spatiale, appelé Tianhe, pour l’éloigner des deux satellites Starlink. Les trois astronautes chinois qui vivent actuellement sur Tianhe y sont arrivés quelques jours avant la manœuvre d’octobre. « Pour des raisons de sécurité, la station spatiale chinoise a mis en œuvre un contrôle préventif d’évitement des collisions », a déclaré la Chine.

    Le pays a demandé au Secrétaire général de l’ONU de rappeler aux pays leurs obligations en vertu du droit international de l’espace, bien que la Chine n’ait pas spécifié exactement les mesures qu’elle souhaite voir prises.

    Dans la même période, le chef de l’Agence spatiale européenne (ESA) s’est inquiété du fait que le milliardaire à la tête de SpaceX soit celui qui « fasse les règles » en matière d’espace, à défaut d’une coordination internationale sur le sujet. Aschbacher a averti que la précipitation de Musk à lancer des milliers de satellites de communication laisserait moins de fréquences radio et de créneaux orbitaux disponibles pour tout le monde.

    Elon Musk a riposté aux critiques selon lesquelles les satellites Starlink de son entreprise occupent trop de place dans l’espace, et a plutôt fait valoir dans le cadre d’une interview avec le Financial Times qu’il pourrait y avoir de la place pour « des dizaines de milliards » de vaisseaux spatiaux en orbite proche de la Terre.

    « L’espace est tout simplement extrêmement énorme et les satellites sont très petits », a déclaré Musk. « Ce n’est pas une situation dans laquelle nous bloquons efficacement les autres de quelque manière que ce soit. Nous n’avons empêché personne de faire quoi que ce soit, et nous ne nous attendons pas à le faire ».

    Rejetant les suggestions selon lesquelles il « évinçait » les futurs concurrents des satellites, Musk a estimé qu’il y a une grande marge de manœuvre. Pour illustrer ses propos, il a comparé le nombre de satellites en orbite terrestre basse aux 2 milliards de voitures et de camions qui seraient en circulation sur Terre. Chaque « coquille » orbitale autour de la Terre est plus grande que la surface de la planète, a-t-il dit, avec une coquille supplémentaire tous les 10 mètres environ plus loin dans l’espace.

    « Cela impliquerait qu’il y a de la place pour des dizaines de milliards de satellites », a-t-il déclaré. « Quelques milliers de satellites, ce n’est rien. C’est comme des milliers de voitures sur Terre, ce n’est rien ».

    Certains experts ont contesté l’affirmation de Musk selon laquelle les satellites en orbite terrestre basse pourraient correspondre en toute sécurité à la densité des voitures et des camions sur Terre.

    Source : The Astrophysical Journal Letters, developpez.com

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    Un astéroïde baptisé « 1994 PC1 » va passer à proximité de la Terre le 18 janvier prochain. Il a été classé comme « potentiellement dangereux » par les scientifiques, selon la Nasa. Mais, rassurons-nous, il n’y a aucune chance que notre planète soit percutée par cet astéroïde.

    Comme 90 % des objets dont la taille est supérieure à un kilomètre, 1994 PC1 est connu des astronomes. Les premières observations de « ce gigantesque ‘gros caillou’ remontent à 1974 », précise auprès de Ouest-France Patrick Michel, directeur de recherches au Centre national de recherches scientifique (CNRS).
    Un passage à près de 2 millions de kilomètres

    Cet objet céleste mesure plus d’un kilomètre. Cette taille correspond au « seuil critique de catastrophe s’il tombait sur Terre » explique le chercheur. Mais il n’y a aucun risque puisque l’astéroïde va passer relativement loin : à 1,93 million de kilomètres, soit cinq fois la distance moyenne entre la Terre et la Lune.

    L’astéroïde pourra être observé au moyen d’un télescope. Mais comme l’objet céleste n’est pas assez lumineux, il faudra s’équiper d’une lunette d’au moins six pouces. Il sera aussi possible de l’observer sur Internet grâce au projet Virtual Telescope. Le prochain passage de ce gros caillou est prévu le même jour dans 84 ans.

    Source: https://www.20minutes.fr/sciences/3216415-20220113-asteroide-va-passer-proximite-terre-18-janvier-prochain

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    @popaul C’est encore plus grave ! :lol:

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    @duJambon Mon dieu que c’est laid 🙂

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    Avant de redescendre sur terre, Thomas Pesquet aurait eu des choses importantes à dire au président concernant le climat, histoire de remettre un peu en lumière les conséquences réelles qu’aurait la société sur notre environnement…

    Du genre, hé gamin, pendant ces six derniers mois, il ne s’est pas passé des trucs super sympa sur notre planète!

    Parade de Macron en off : Mince, ce n’est pas super important en fait comme info ça, je te casserais bien la yeule à la récré, tiens…!
  • Wanderers

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    @Strauss

    Pareil pour moi, j’ai envie de te dire et j’en suis vraiment navrée pour toi.
    Maintenant, je suis presque ennuyée que tu ne puisses pas participer à ce challenge…
    Bien que nous savons que de nos jours, il va falloir s’accrocher, et pas rien qu’à notre souris pour un jour, y arriver.
    Seulement voilà, nous pouvons de connivence ouvrir la voie à ces futurs générations pour faire que, peut être un jour, eux la verront.

    Depuis les dinosaures aux vik**gs et jusqu’à l’épuisement en passant par les robots, personne
    n’est parfait, essayons juste de faire de notre mieux.

    Je ne pense pas que nous avons été crées pour que la nature ou une action divine se débarrasse de nous comme ça après tout ce qu’on en a appris et heureusement car, comme dirait le lapin malin :
    Noé, sa famille et d’autres créatures ont bien été épargnés, eux …

    Alors, moi je dis au lapin: Euh… Joker!^^

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    Ils avait de sacrées corones !

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    Bonne nouvelle, le ciel se dégage sur une partie de la région Occitanie, surtout sur l’ex Languedoc-Roussillon ce jeudi 21 octobre au soir. L’occasion de lever les yeux en l’air pour admirer les Orionides, cette pluie d’étoiles filantes, l’avant-dernière de l’année.

    Amateurs de spectacles célestes, veillez un peu plus tard ce soir, pour ne pas manquer les Orionides. Cette pluie d’étoiles filantes, certes un peu moins spectaculaire que les Draconides ou encore les Perséides du mois d’août, promet néanmoins une observation prolifique.

    Il devrait en effet être possible d’apercevoir jusqu’à une vingtaine de météores par heure, selon les explications de Jérémie Vaubaillon, de l’Observatoire de Paris à nos confrères de RTL.

    Essaim météoritique

    Pour les observer, c’est surtout après minuit que ça se joue. Il faudra localiser la constellation d’Orion : c’est dans sa direction qu’il faut regarder, pour admirer les étoiles filantes. Pour trouver la constellation, il faut commencer par connaître sa forme. Elle ressemble en effet à un sablier, précise le site astronomie pratique. Sa ceinture, formée par trois étoiles alignées la rend assez repérable.

    Futura Sciences explique que ce phénomène, qui intervient chaque année entre le 2 octobre et le 7 novembre avec un pic d’activité la nuit du 21 au 22, est lié à un essaim météoritique réapprovisionné à chaque passage de la comète de Halley, observable depuis la Terre une fois tous les 76 ans (rendez-vous en 2061 pour la prochaine observation).
    Ciel dégagé en soirée

    Si ce jeudi 21 octobre dans la matinée, le temps n’était pas au beau fixe, le ciel devrait se dégager au cours de l’après-midi, jusqu’à être parfaitement clair en début de soirée, en tout cas pour le Gard, l’Hérault selon les prévisions de Météo France.

    Source.

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    @aurel
    On dirait plutôt le pied d’une victime d’un céréal killer…

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    @Raccoon

    Il faut dire que le capitaine Kirk ne fait pas réellement son âge et le plus beau aurait été de voir Mr Spock à ses cotés^^

    Tout dépend de l’état de santé de la personne, comme avoir un cardio très dynamique…

    Amazone* de l’air avec plus de 19.000 heures de vol à son actif, Wally Funk, 82 ans a fait partie du premier vol suborbital de Blue Origin.

    (sans jeu de mot avec J. Bezos)*

    A priori, Tom Hanks serait aussi sur la liste d’attente…

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    “Le projet autorise les cochons à se trouver tout près de la piste d’envol”

    Ils vont prendre cher les cochons 🙂

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    @fel1x1a a dit dans L’optique 2.0 des futurs télescopes géants arrive :

    “La preuve la plus certaine que la vie intelligente existe ailleurs dans l’univers est qu’aucun d’eux n’a essayé de nous contacter.”

    Bill Watterson. (scénariste et dessinateur de bd)
    Article assez informatif, en tout cas merci pour le partage!

    En même temps d’autres choses sont à prendre en compte, comme le temps, il y a à peine 50 ans tout un pan de la technologie était balbutiante, nous avons commencé à réellement évoluer il a quelques milliers d’années, une goutte d’eau au regards des échelles de temps de l’univers…

    Sans compter les distances, si grandes que notre cerveau n’arrive même pas vraiment à les appréhender.

    Donc bon, j’ai envie de dire que ce n’est pas comme aller faire coucou à son voisin.

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    les scientifiques qui connaissent pas doctor who on en parle ?