Sciences

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    Pendant ce temps-là, certains s’interrogent sur l’intelligence d’une autre sorte d’animal “l’animal politique” :ahah:

    «L’effondrement du niveau intellectuel de la classe politique est une menace pour la démocratie»

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    Las Vegas (4 janvier 2023) - Pale Blue fournit un système de propulsion à vapeur d’eau (moteur à eau) pour un nano-satellite (cubesat) du projet STAR SPHERE de Sony. Le système de propulsion entrera et maintiendra l’orbite du satellite, qui volera en orbite terrestre basse à une altitude de 500 km à 600 km. Tirant parti de sa technologie, le système de propulsion à eau prolongera la durée de vie du satellite de 2,5 ans.

    Le projet Sony STAR SPHERE s’efforce de libérer la perspective des gens sur l’espace grâce à la puissance de la technologie. Le projet vise à créer des opportunités pour que les gens nourrissent leurs réflexions sur l’environnement mondial et les problèmes sociaux en observant librement la Terre depuis l’espace.

    Le nano-satellite du projet a été lancé par SpaceX Falcon 9 le 3 janvier 2023 , marquant la première démonstration spatiale en orbite de Pale Blue d’un système de propulsion à vapeur d’eau . À l’avenir, Pale Blue fera progresser la science et la technologie en innovant le système de propulsion sûr à base d’eau pour créer la prochaine génération d’infrastructures de mobilité spatiale.

    Pale Blue a été choisi par Sony pour assurer la propulsion en orbite de son projet Star Sphere, qui proposera des images fixes et des services vidéo 4K à usage artistique et éducatif et fournira des " perspectives spatiales ".

    Le premier satellite de Sony pour le projet a été lancé avec 113 autres satellites au sommet d’une Falcon 9 Transporter 6, le 3 janvier. Le cubesat 6U s’appelle Star Sphere-1 et embarque une caméra plein format.

    Source et plus: https://pale-blue.co.jp/news/303/

  • Tentative d'utilisation d'une I.A. sur la lune

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    Avertissement: le terme I.A. est à prendre avec des pincettes, dans ce cas, il désigne un système capable d’apprendre de manière limitée et autonome dans le cadre de ses instructions.

    Un alunisseur construit par une entreprise japonaise qui emporte un véhicule lunaire fabriqué par les Émirats arabes unis (EAU) va tester une I.A. d’une entreprise canadienne sur le rover Rashid qui aidera les machines à distinguer les minéraux.

    https://planete-warez.net/topic/2584/spacex-a-une-fois-de-plus-reporté-le-lancement-de-l-atterrisseur-lunaire-japonais-hakuto-r/2?_=1675072410267

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    Le rover Rashid, hébergé sur l’atterrisseur japonais ispace, devrait atterrir ce printemps à la recherche de minéraux et d’autres objets d’intérêt sur la surface lunaire. Le système canadien éclairera la prise de décision du rover, une grande première pour l’IA : aucune IA n’a jamais atteint une distance au-delà de l’orbite terrestre basse auparavant, selon les responsables de l’entreprise.

    Si cela fonctionne, la technologie sera importante pour la poussée lunaire de la NASA, a déclaré Ewan Reid, PDG de Mission Control Space Services (MCSS), à Space.com. “L’IA sera un outil essentiel pour prendre des décisions à bord des engins spatiaux”, a déclaré Reid. Ce travail s’étend non seulement à la recherche d’eau sur la lune, ce que la NASA prévoit de faire avec ses missions Artemis , mais aussi à rendre l’observation de la Terre plus efficace. Et MCSS, une entreprise de seulement 40 personnes à ce jour, vise à être aux commandes.

    Quand la plupart des gens pensent à la technologie canadienne dans l’espace, ils pensent à des projets flashy comme Canadarm : la série de bras robotiques qui a servi la navette, la Station spatiale internationale et bientôt, la Gateway station lunaire Des observateurs plus avisés peuvent également citer la médecine spatiale ou même fusées comme domaines technologiques dans lesquels le Canada possède une expertise.

    Cependant, le MCSS représente ce que font de nombreuses petites entreprises spatiales canadiennes : fournir des logiciels ou des composants essentiels qui volent en arrière-plan, alimentant des missions partout dans le monde. L’entreprise n’annonce pas tout son travail; Souvent, les clients du MCSS veulent attirer l’attention des médias sur leur propre mission, a déclaré Reid.

    “C’est pourquoi cette démonstration [d’IA] avec l’Agence spatiale canadienne est agréable, car elle relève du domaine public et nous sommes autorisés à en parler”, a déclaré Reid.

    Si tout se passe comme prévu, Rashid courra pendant environ un jour lunaire (29 jours terrestres) à la surface. On ne s’attend pas à ce qu’elle dure la nuit lunaire, mais en tant que mission de démonstration, c’est très bien pour le MCSS. Il a l’intention de tirer parti de quelques jours précieux sur la lune.

    Le MCSS recevra les images de navigation du rover Rashid via l’atterrisseur japonais, qui gérera les communications avec la Terre. Avec l’algorithme de la société canadienne, “chaque pixel de l’image [sera] classé comme un certain type de terrain”, a déclaré Reid.

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    “Cette sortie sera ensuite envoyée au sol et sera utilisée par les scientifiques et les ingénieurs de notre bureau à Ottawa, ainsi que dans d’autres universités canadiennes, pour aider à décider où le rover devrait aller”, a-t-il ajouté. Les futures missions sortiront l’humain “hors de la boucle des décisions” une fois que les ingénieurs seront convaincus que l’IA sait distinguer les différents minéraux et distinguer les éléments de mission critiques comme les roches et les cratères.

    Sur la lune, l’IA peut économiser une grande partie de la bande passante satellitaire limitée, car elle ne partagerait que les données, les images et les vidéos dont les scientifiques ont besoin, a déclaré Reid. La technologie peut être réutilisée dans tout le système solaire, y compris des applications telles que la détection de navires “sombres” sur Terre essayant de naviguer sans enregistrement, ou le filtrage des nuages ​​à partir d’images planétaires.

    “Nous voyons une énorme opportunité pour déployer l’IA à la périphérie, dans l’espace”, a déclaré Reid. Si tout se passe comme prévu, la démonstration lunaire permettra au MCSS “de soutenir d’autres entreprises et organisations dans leurs efforts pour déployer l’IA dans leurs missions à l’avenir”.

    Source: https://www.space.com/moon-artificial-intelligence-system-first-solar-system

  • Requiem pour la théorie des cordes

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    Mais qui relève de ce que l’on savait il y a 30 ans… une éternité.

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    C’est curieux que la Chine fasse, encore une fois, bande à part.
    Ceci dit, si leur station est montée avec la même efficacité et rigueur que leur vaccin ou leurs avions, il y a de quoi être méfiant.

  • Ceci n'est pas un ovni

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    @duJambon a dit dans Ceci n'est pas un ovni :

    Notez également le nombre ahurissant d’étoiles filantes et la diversité de leurs trajectoires.

    Compte tenu du time lapse, je pense qu’il s’agit plutôt de satellites . En nombre ahurissant !

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    @Aerya pareil rien vu non plus, du moins à l’ oeil nu, je pense que la paire de jumelle est vraiment indispensable. Moi qui croyait profiter du meme spectacle que hale bopp il y a quelques années c’est raté :angry:

  • A la conquête de Mars

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    Perseverance vient de produire le premier bulletin météo martien

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    Le rover Perseverance de la NASA n’en finit plus d’étonner les scientifiques. Arrivé sur le sol de la planète rouge en février 2021, il prend depuis des mesures de la température, du taux de poussière dans l’air ou de la puissance du vent dans le cratère Jezero.

    Ces données ont permis au JPL, une branche de la NASA, de construire le premier bulletin météorologique martien de l’histoire. En tout cinq capteurs différents ont été utilisés, tous regroupés sous le sigle MEDA. Le rapport explique que les températures moyennes sur Mars sont de -55 °C.

    Selon José Antonio Rodríguez-Manfredi, chercheur principal de cette étude, est professeur au centre d’astrobiologie de Madrid, la température à la surface varie énormement en fonction du pourcentage de poussière martienne présente en suspension dans l’air. Comme les nuages sur Terre, elle cache les rayons du Soleil et peut refroidir la planète de quelques degrés. Les journées les plus claires peuvent dépasser le 0 °C tandis que les nuits atteignent facilement les -80 °C.

    Dans la revue scientifique spécialisée Nature Geoscience, il explique que cet ensemble de données, inédit, doit permettre de mieux comprendre les cycles climatiques sur notre voisine rouge. Grâce à la précision des capteurs MEDA, les chercheurs ont pu repérer et étudier des tempêtes à des centaines de kilomètres de Perseverance.

    La mécanique climatique à l’origine de ces évènements semble très proche du système que nous connaissons sur Terre. « Toutes des données vont conduire à une meilleure compréhension du climat martien et améliorera les modèles prédictifs que nous utilisons », explique Agustín Sánchez-Lavega, un des scienfitiques derrière ce premier bulletin météorologique martien.

    En plus de travailler sur le climat martien, le rover Perseverance est au cœur d’une grande mission de collecte d’échantillons dans le cratère de Jezero. Cette zone de Mars est susceptible d’avoir abrité la vie il y a quelques millions d’années.

    Les petits morceaux de roche recueillis par le rover sont logés dans des tubes scellés et laissés à la surface de Mars. En 2030 l’expédition MSR (Mars Sample Return) sera chargée de les récupérer et de les ramener sur Terre.

    Cette mission en deux temps est une grande première pour la NASA. Jamais elle n’avait consenti autant d’efforts dans un programme martien et la mise en place d’une seconde phase dédiée au retour d’échatillions est aussi une façon de préparer un voyage aller-retour habité pour l’agence spatiale américaine.

    Source: https://www.presse-citron.net/perseverance-vient-de-produire-le-premier-bulletin-meteo-martien/

    Et: https://bgr.com/science/perseverance-just-created-the-first-martian-weather-report/

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    Très intéressant de voir les choix qui se font actuellement, cela fait tout de même des dizaines d’années que plusieurs modes de propulsions sont en développement avec +/- de succès mais c’est la première fois que je lis cette combinaison.
    Ayant laissé le sujet de côté depuis quelques temps par manque de progrès/intérêt voilà qui relance ma curiosité sur le sujet.
    Merci pour ces infos @duJambon & @Pollux 👍

  • L'intelligence artificielle n'est pas pour demain.

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    @Violence
    text alternatif

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    La sonde spatiale japonaise Hayabusa a mis cinq ans pour les ramener sur la planète bleue, avec des centaines d’autres particules d’Itokawa.

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    Les grains sont minuscules, plus petits que l’épaisseur d’un cheveu, mais ils gardent l’histoire, en milliards d’années, des secrets d’un astéroïde.

    Les trois particules de l’astéroïde Itokawa ont révélé que ce type d’objet spatial est beaucoup plus ancien qu’imaginé, et beaucoup plus dur.

    Ce qui impliquerait de réviser les plans prévus pour éviter une collision avec la Terre, selon une étude parue lundi dans la revue Proceedings de l’Académie nationale américaine des sciences.

    Les trois échantillons ont été récupérés en 2005 de l’astéroïde, alors qu’il croisait à quelques 300 millions de kilomètres de la Terre.

    Fred Jourdan, professeur au Collège de sciences de la Terre et planétaires de l’Université australienne Curtin, a cherché à connaître l’âge d’Itokawa, un genre d’astéroïde dit à “agglomérat lâche”.

    Il résulte de l’assemblage des fragments d’un astéroïde monolithe qui a été pulvérisé par un choc.

    Les astéroïdes monolithes sont réputés avoir une durée de vie de quelques centaines de millions d’années, et être progressivement érodés par les collisions avec d’autres astéroïdes.

    L’astéroïde à agglomérat lâche, comme Itokawa, a une structure bien différente. Avec un assemblage hétéroclite de roches, poussière, graviers et même du vide, maintenus ensemble par un simple effet de gravitation.

    “C’est comme un coussin géant de l’espace, et les coussins sont bons pour absorber les chocs”, remarque le Pr Jourdan.

    Pour savoir à quel point, l’équipe a analysé la structure cristalline des échantillons, à la recherche des déformations de l’impact qui a créé Itokawa. Et les a aussi datés.

    La conclusion est qu’Itokawa s’est formé après une collision survenue il y au moins 4,2 milliards d’années, presque l’âge de la Terre (4,5 milliards d’années), mais surtout dix fois plus que l’âge des astéroïdes monolithes de dimension similaire.

    Un âge si vénérable que Fred Jourdan est “convaincu” que certains de ses collègues “ne vont pas le croire”.

    La résilience de ce type d’objet spatial face aux collisions est telle qu’ils devraient être beaucoup plus nombreux qu’imaginé auparavant, selon l’étude.

    Avec pour conséquence d’adapter les façons de se prémunir d’une collision de la Terre par ce genre d’astéroïde, relève le géochimiste.

    L’expérience DART de détournement de trajectoire d’un astéroïde, menée avec succès l’an dernier par la Nasa, montre que c’est possible avec un objet comme Itokawa, toujours selon le scientifique. Mais il faudrait pour cela lui appliquer une force beaucoup plus grande, par exemple avec une tête nucléaire, pour que “l’onde de choc fasse dévier l’astéroïde de sa course”.

    Source: https://www.7sur7.be/sciences/trois-grains-de-poussiere-revelent-les-secrets-d-un-asteroide~aeeae19a/

  • Le paratonnerre laser dévie bel et bien la foudre

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    Des essais menés au sommet du Säntis ont montré l’efficacité du paratonnerre laser développé depuis plusieurs années par un consortium européen comprenant plusieurs hautes écoles romandes. Il est capable de dévier la foudre sur plusieurs dizaines de mètres.

    La foudre est l’un des phénomènes naturels les plus extrêmes. Brusque décharge électrostatique, de millions de volts et de centaines de milliers d’ampères, on peut l’observer au sein d’un nuage, entre plusieurs nuages, entre un nuage et le sol ou inversement, a indiqué lundi l’Université de Genève (UNIGE) dans un communiqué.

    Elle provoque jusqu’à 24’000 décès par an dans le monde et cause des dégâts se chiffrant à plusieurs milliards de dollars, de la coupure de courant à l’incendie de forêt, en passant par divers dommages aux infrastructures. Depuis l’invention du paratonnerre de Benjamin Franklin en 1752 – un mât conducteur métallique relié au sol – les systèmes de protection ont peu évolué.

    Le paratonnerre traditionnel demeure à ce jour la protection la plus efficace. Il protège une surface dont le rayon est environ égal à sa hauteur. Toutefois, la hauteur des mâts n’étant pas extensible à l’infini, ce système n’est pas optimal pour protéger des sites sensibles occupant un large territoire, tels qu’un aéroport, un parc éolien ou une centrale nucléaire.

    Pour y remédier, un consortium piloté par l’UNIGE et l’École polytechnique (Paris) – en partenariat avec l’EPF de Lausanne, TRUMPF scientific lasers, ArianeGroup, la société AMC et la Haute École d’ingénierie et de gestion du canton de Vaud – a développé un système de paratonnerre laser baptisé «Laser Lightning Rod» (LLR).

    En générant des canaux d’air ionisé, celui-ci a permis de guider la foudre le long de son faisceau. Pointé dans le prolongement d’un paratonnerre traditionnel, il peut en augmenter la hauteur et ainsi la surface protégée.

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    «Cet air ionisé, appelé plasma, devient conducteur électrique», explique Jean-Pierre Wolf, professeur ordinaire au Département de physique appliquée l’UNIGE. Le chercheur travaille depuis vingt ans sur cet appareil «unique au monde», comme il l’a précisé à Keystone-ATS.

    Le LLR est large de 1,5 mètre, long de 8 et pèse plus de 3 tonnes. Il a été testé au sommet du Säntis, en Appenzell, à 2502 mètres d’altitude, au-dessus d’une tour émettrice de 124 mètres appartenant à l’opérateur Swisscom, munie d’un paratonnerre traditionnel. Il s’agit de l’une des structures les plus touchées par la foudre en Europe.

    Le laser a été activé lors de chaque prévision d’activité orageuse, entre juin et septembre 2021. Au préalable, la zone a dû être interdite au trafic aérien. L’objectif était d’observer s’il existait une différence avec ou sans le laser.

    Il a fallu près d’une année pour éplucher la quantité colossale de données récoltées. Cette analyse, publiée dans la revue Nature Photonics, démontre aujourd’hui que le LLR est capable de guider la foudre efficacement.

    «Nous avons constaté, dès le premier événement, que la décharge pouvait suivre sur près de 60 mètres le faisceau laser avant d’atteindre la tour, faisant ainsi passer le rayon de la surface de protection de 120 à 180 mètres», se réjouit Jean-Pierre Wolf. «Et il n’y a aucun doute qu’on peut faire beaucoup mieux», dit-il.

    L’analyse des données démontre également que le LRR, contrairement à d’autres lasers, fonctionne même dans des conditions météorologiques difficiles, en perçant littéralement les nuages. Ce résultat n’avait été jusque-là observé qu’en laboratoire.

    En outre, la consommation de l’engin est «raisonnable», de l’ordre de celle d’une cuisinière électrique, note encore le Pr Wolf. S’agissant de flashes lasers très brefs, on peut atteindre avec peu d’énergie des puissances crêtes très élevées, souligne le spécialiste.

    Pour le consortium, il s’agit maintenant d’augmenter la hauteur d’action du laser. L’objectif, à terme, est notamment de parvenir à prolonger de 500 mètres un paratonnerre de 10 mètres.

    Des essais grandeur nature devraient être menés en collaboration avec les partenaires industriels du projet, selon Jean-Pierre Wolf. Il évoque par exemple des aéroports spécialement concernés par le problème de la foudre, ou encore la base spatiale de Kourou, en Guyane française.

    Source: https://www.tdg.ch/le-paratonnerre-laser-devie-bel-et-bien-la-foudre-987303506985

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    Merci beaucoup pour ces informations très intéressantes et même si c’est lointain, il est préférable de dépendre de la Suède, plutôt que la Russie ou la Chine.
    De nouveaux types de batteries sont toujours en développement, qui doivent utiliser beaucoup moins de minéraux “rares”, donc croisons les doigts pour que ça aboutisse rapidement. Et cela réduirait les coups de production, donc les prix de vente des futures voitures électriques.

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    @duJambon a dit dans ISS: Fuite d'amoniac sur un vaisseau soyouz attaché à la station :

    La Station spatiale internationale a été lancée en 1998

    Ca fait 25 ans mine de rien qu’elle plane là-haut. Sacrée perf’ technique mine de rien.

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    ba voilà, c’est ça de prendre du made in china

  • Ils découvrent le secret de solidité du béton romain

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    Comment les constructions romaines, par exemple les aqueducs ou le Panthéon de Rome, ont-elles si bien résisté au temps? Cette question taraude depuis longtemps les experts.

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    Des chercheurs américains et européens pensent avoir enfin découvert le secret de longévité de ces merveilles d’architecture, vieilles d’environ 2.000 ans: un béton capable de se réparer lui-même.

    Alors que certains bâtiments modernes tombent eux en ruine après seulement quelques décennies, ces scientifiques espèrent que leur découverte pourra aider à réduire l’impact environnemental et climatique de la production de béton, qui génère d’importantes émissions de gaz à effet de serre.

    Jusqu’ici, la solidité du béton romain était attribuée à un ingrédient: des cendres volcaniques de la région de la baie de Naples, en Italie, qui étaient envoyées un peu partout dans l’empire romain pour servir à la construction.

    Mais les chercheurs ont cette fois focalisé leur attention sur la présence d’une autre caractéristique: de tout petits morceaux blancs brillants, provenant de la chaux, un autre ingrédient utilisé pour la conception du béton.

    «Depuis que j’ai commencé à travailler sur le béton romain, j’ai toujours été fasciné» par la présence de ces morceaux, a déclaré dans un communiqué Admir Masic, co-auteur de cette étude publiée dans la revue Science Avances et professeur au prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT), aux Etats-Unis. «Ils ne sont pas présents dans le béton moderne, alors pourquoi l’étaient-ils dans l’ancien?"

    Les experts pensaient jusqu’ici que ces minuscules morceaux résultaient d’un mauvais mélange de la mixture, ou de matières premières de mauvaise qualité.

    Mais en examinant, grâce à de techniques d’imagerie poussées, le béton d’un mur d’enceinte de la ville de Privernum en Italie, les chercheurs ont découvert que ces petits morceaux blancs étaient en réalité du carbonate de calcium, formé à de très fortes températures.

    Ils en ont conclu que la chaux n’était pas (ou pas seulement) incorporée en étant mélangée à de l’eau, comme on le pensait jusqu’ici, mais sous forme de chaux vive.

    Selon les chercheurs, c’est ce «mélange à chaud» qui donne à ce béton son étonnante solidité.

    En effet, lorsque des fissures apparaissent, l’eau de pluie entrant en contact avec le béton produit une solution saturée en calcium, qui se recristallise ensuite en carbonate de calcium, permettant ainsi de combler les fissures.

    Pour vérifier cette hypothèse, l’équipe de scientifiques a réalisé des échantillons de béton selon le même procédé, qu’ils ont ensuite délibérément fissuré et sur lequel ils ont fait couler de l’eau. Résultat: au bout de deux semaines, le béton était complètement réparé. Un autre échantillon produit sans chaux vive est lui resté fissuré.

    A l’avenir, les chercheurs veulent essayer de commercialiser ce béton à la composition modifiée.

    Source: https://www.bluewin.ch/fr/infos/sciences-technique/des-chercheurs-exhument-le-secret-de-solidit-du-b-ton-romain-1574338.html

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    La série The Expanse imagine l’humanité au XXIIIe siècle, installée dans tout le Système solaire. La gravité est devenue insupportable aux humains, jusqu’à se transformer en outil de torture utilisé par certains…
    Alcon Entertainment/Sean Daniel Company/Collection ChristopheL

    En cette fin 2022, CNRS Le Journal remet en lumière des recherches qui vous ont peut-être échappé. Aujourd’hui, petit vade-mecum des obstacles physiologiques et psychologiques à surmonter avant d’entreprendre un (prochain ?) voyage vers Mars.

    Cet article fait partie du dossier “La ruée vers l’espace” publié dans le n° 10 de la revue Carnets de science.

    Fin 2020, Elon Musk, le bouillonnant patron de l’entreprise spatiale SpaceX, s’est dit très confiant dans la capacité de sa société à envoyer une première mission habitée vers Mars… dès 2026 ! Pourtant, pour que des représentants de l’humanité puissent fouler le sol de la planète rouge – distante de près de 227 millions de kilomètres de la Terre – et en revenir, il faudra, au préalable, relever plusieurs défis non seulement techniques, économiques et politiques, mais aussi, on l’oublie souvent, biologiques et psychologiques.

    Sur le plan biologique, « les vols spatiaux peuvent induire plusieurs troubles susceptibles d’affecter la santé des astronautes et/ou les empêcher de mener à bien leurs missions », commence Marc-Antoine Custaud, professeur de physiologie au laboratoire Physiopathologie cardiovasculaire et mitochondriale1 de l’université d’Angers, et co-coordinateur de L’Humain et L’Espace. Ses adaptations physiologiques, ouvrage paru en 2020 dans lequel ces problématiques sont abordées.

    L’absence de gravité, un facteur limitant

    En cause ? Notamment l’absence ou la réduction de la gravité dans l’espace. En effet, même si nous n’en avons pas conscience, notre corps a besoin d’être exposé en permanence à cette force qui a contribué à façonner la vie sur Terre, pendant des millions d’années. Si elle diminue ou disparaît, survient alors un « déconditionnement », qui peut toucher l’ensemble de nos organes, et notamment nos muscles, nos os et notre système cardiovasculaire.

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    Expérience d’immersion sèche à la clinique spatiale du Medes, à Toulouse. Ce modèle permet de simuler au sol les effets de l’impesanteur sur le corps et de tester une nouvelle méthode de prévention destinée à en minimiser les effets négatifs (novembre 2018).
    CNES/BENOIT Rémi, 2019

    « En l’absence de gravité, les muscles des jambes et du dos ne sont plus sollicités et s’affaiblissent ; les os se décalcifient ; le cœur perd de sa puissance à pomper le sang dans tout le corps ; et des perturbations métaboliques dues à l’inactivité physique, comme une augmentation du taux de lipides sanguins, apparaissent », liste Marc-Antoine Custaud. Concernant l’appareil vestibulaire, l’organe de l’équilibre situé dans l’oreille interne, « dans l’espace, il ne perçoit plus l’accélération due à la gravité. Conséquence : au retour sur Terre, il interprète cette accélération comme due à un mouvement ; d’où la grande instabilité des astronautes lors de la marche après leur atterrissage », précise Gilles Clément, directeur de recherche CNRS au Centre de recherche en neurosciences de Lyon2.

    Altérations physiologiques, dangers potentiels

    Lors de travaux récents3, Marc-Antoine Custaud et son équipe ont montré que la microgravité peut avoir des impacts même au niveau des cellules : en apesanteur, les cellules endothéliales qui tapissent l’intérieur des vaisseaux sanguins ne sont plus suffisamment stimulées par le flux sanguin ; ce qui peut les empêcher de dilater correctement les vaisseaux.

    Pour contrer les troubles liés à l’absence de gravité, dès le début des vols spatiaux, dans les années 1960, les chercheurs ont pensé à développer des « contre-mesures », à savoir des stratégies visant à limiter le déconditionnement en vol : des exercices d’endurance et de résistance musculaire pour réduire les troubles musculaires, osseux et cardiovasculaires ; des vibrations pour recréer les impacts au niveau des os, etc.

    Des études tous azimuts sont en cours (…) pour tenter de déterminer quelle quantité et quels types d’exercices réaliser lors de longs séjours spatiaux, quelles combinaisons de stratégies privilégier, etc.

    Ces solutions sont assez efficaces pour les vols spatiaux en orbite basse (environ 500 kilomètres), ou lors des vols lunaires de quelques semaines à plusieurs mois. Mais « pour des séjours spatiaux prolongés, tels que celui programmé vers Mars, elles ne suffiront pas », relève Stéphane Blanc, directeur de recherche CNRS à l’Institut pluridisciplinaire Hubert Curien4 à Strasbourg, et nommé directeur de l’Institut écologie et environnement (Inee) du CNRS en février dernier. D’où la nécessité d’améliorer ces stratégies.

    « Des études tous azimuts sont en cours, aux États-Unis, en Europe, en Chine, en Russie et dans d’autres pays pour tenter de déterminer quelle quantité et quels types d’exercices réaliser lors de longs séjours spatiaux, quelles combinaisons de stratégies privilégier, etc. », explique Stéphane Blanc. Il est aussi question de déterminer « quelle nutrition adopter pour limiter la perte musculaire et la perte osseuse ; et s’il faut donner des compléments alimentaires ou des médicaments à cette fin », précise Marc-Antoine Custaud.

    Mais outre les troubles décrits plus haut, les vols spatiaux vers Mars et au-delà pourraient aussi induire d’autres altérations physiologiques… pour lesquelles il n’existe encore aucune contre-mesure spécifique. Par exemple, « ce type de missions pourrait tant perturber le système vestibulaire de l’oreille interne – qui sert aussi à estimer les vitesses verticales – qu’en cas d’atterrissage manuel sur la planète de destination, cela peut amener à sur- ou à sous-évaluer la vitesse de descente, et augmenter le risque de crash », illustre Gilles Clément.

    Coordination œil-main malmenée

    « De telles expéditions pourraient aussi perturber la “sensorimotricité”, cette capacité qui permet de coordonner la vision et les mouvements, et ainsi de réaliser des gestes précis. Ce qui pourrait nuire à la réalisation d’interventions précises sur Mars, comme appuyer sur le bon bouton au bon moment », ajoute Lionel Bringoux, neuroscientifique à l’Institut des sciences du mouvement - Étienne-Jules Marey5, à Marseille. Lequel a étudié récemment comment notre cerveau est capable de s’adapter et -d’effectuer des ajustements neuromusculaires en microgravité6, reproduite ici lors de vols paraboliques. Bref, il faudra en savoir plus sur les troubles physiologiques pouvant survenir spécifiquement lors de voyages spatiaux prolongés ; et développer des contre-mesures adaptées.


    L’expérience Grasp, conçue par le CNRS et l’université Paris-Descartes, a pour objectif de mieux comprendre l’influence de la perception et de l’orientation en situation de micropesanteur et d’évaluer l’adaptation du système nerveux à cet environnement (Centre spatial de Toulouse, 16 août 2016).
    CNES/GRIMAULT Emmanuel, 2016

    C’est ce à quoi travaille justement l’équipe de Michele Tagliabue, au Centre neuroscience intégrative et cognition7, à Paris, qui participe à l’expérience Grasp : amorcé en 2016 par le spationaute français Thomas Pesquet, lors de sa mission Proxima, ce projet a pour but de tester l’impact d’une longue exposition à l’apesanteur sur le mécanisme de « coordination œil-main » (où la vision permet de guider les gestes) et d’établir des contre-mesures pour assurer le maintien de la précision gestuelle. L’équipe participe aussi à l’étude Pilote, qui sera réalisée au cours de l’actuelle mission Alpha de Thomas Pesquet à bord de la station spatiale internationale, et dont le but est d’étudier comment le cerveau, en microgravité, arrive à combiner les informations visuelles et les informations haptiques (relatives au toucher) pour contrôler des tâches de précision, comme le contrôle d’un bras robotique ou d’un véhicule spatial.

    Les radiations cosmiques, danger cuisant

    Mais ce n’est pas tout ! Dans le cas de voyages vers Mars et au-delà, il faudra aussi prendre en compte d’autres sources de problèmes physiologiques, outre l’absence de gravité. Et notamment les radiations cosmiques. Sur Terre, la vie est protégée de ces flux de particules hautement énergétiques issues notamment du Soleil, grâce à la magnétosphère terrestre. Cette sorte de bouclier magnétique abrite également la Station spatiale internationale, située à 400 kilomètres d’altitude. Mais sa portée ne va pas jusqu’à Mars…


    Démonstration d’un prototype de gilet de protection de la société Stemrad, destiné à protéger les astronautes des radiations.
    Reuters/Amir Cohen

    Or, rappelle Stéphane Blanc, « ces radiations cosmiques peuvent induire des tumeurs cancéreuses potentiellement mortelles ». Ce qui impose de développer des systèmes de protection efficaces et abordables. Ici, plusieurs pistes prometteuses sont explorées, comme : « déployer un bouclier antiradiations autour des vaisseaux ; incorporer des protections aux combinaisons des astronautes ; élaborer des compléments nutritionnels à base -d’antioxydants, etc. », détaille le chercheur.

    Des défis psychologiques majeurs

    Au-delà des obstacles d’ordre physiologique, une expédition vers Mars nécessitera aussi de dépasser un autre type de problèmes liés à notre condition d’humains : de nature psychologique, cette fois. En effet, les vols prolongés impliqueront un long confinement avec un nombre de personnes restreint, et une impossibilité de communiquer en temps réel avec la Terre. Or, comme l’ont montré diverses expériences réalisées dans des environnements extrêmes isolés et confinés, comme la base antarctique Concordia, ce type de situation peut accentuer le stress et induire des conflits parmi l’équipage. À ce sujet, le cosmonaute russe Valeri Ryumin aurait même dit : « Toutes les conditions nécessaires pour commettre un meurtre sont réunies si vous mettez deux hommes dans une cabine mesurant 18 pieds sur 20 (un pied correspond à 0,30 mètre, Ndlr.) et que vous les y laissez pendant deux mois. »


    Des expériences sont réalisées lors de vols paraboliques pour comprendre les réactions du corps en micropesanteur, comme celle-ci, réalisée en 2017 par l’Institut des sciences du mouvement à bord de l’Airbus A310 Zero G.
    Cnes/Sébastien Rouquette, 2017

    D’après les psychologues Michel Nicolas, de l’université de Bourgogne et Benoît Bolmont, de l’université de Lorraine – coauteurs de l’un des chapitres du livre L’Humain et L’Espace –, *« même en cas de situations volontaires, l’isolement et le confinement sont des défis fondamentaux à affronter pour les participants. » *Certains facteurs pourraient accentuer les risques.

    Même en cas de situations volontaires, l’isolement et le confinement sont des défis fondamentaux à affronter pour les participants.

    Notamment « l’hétérogénéité au sein de l’équipage » en termes « de culture et de genre », qui « pourrait générer des risques de stress et de tensions interpersonnelles liées aux différences de langages et de cultures », précisent-ils. « Il faudra bien sélectionner l’équipage en déterminant auparavant s’il faut un équipage mixte, un groupe international ou non, etc. », raisonne Marc-Antoine Custaud.

    Enfin, reste également une question cruciale, touchant aussi à notre physiologie : des voyages vers des contrées spatiales lointaines pourraient-ils faire évoluer l’espèce humaine au point où le retour dans la gravité terrestre ne pourra se faire qu’au prix de sévères souffrances ou d’un sur-risque de mourir rapidement d’une crise cardiaque ? Un peu comme l’anticipe la série de science-fiction The Expanse ?

    Des « micro-évolutions » possibles
    De fait, répond Marc-Antoine Custaud, « pour qu’il y ait des bouleversements physiologiques majeurs, il faut une série de pressions de sélection exercées par l’environnement, qui petit à petit, font que les individus avec les caractéristiques physiques les plus adaptées à cet environnement, survivent mieux et sont in fine sélectionnés. Mais pour qu’un tel processus survienne, il faut des dizaines, voire des centaines de générations. Or les voyages prolongés dans l’espace ne devraient durer que quelques années ou plus. » Cela dit, souligne le physiologiste, « peuvent tout de même survenir des changements subtils, liés à des modifications chimiques dites “épigénétiques”, à savoir non pas au niveau de la séquence d’ADN elle-même mais autour d’elle ». Pouvant survenir en une seule génération et transmissibles à la descendance, ces changements modulent l’expression des gènes et peuvent induire ainsi de petites modifications fonctionnelles liées à l’environnement, non visibles immédiatement. Par exemple, « une augmentation du risque de développer une maladie cardiovasculaire ou un diabète, ou une moindre sensibilité au mal de l’espace », précise-t-il.

    Quoi qu’il en soit, au vu des défis physiologiques et psychologiques qu’il reste à relever pour arriver à marcher sur Mars, l’occasion de vérifier si de telles « micro-évolutions » sont possibles n’est ni pour demain ni pour après-demain. Tout comme le lancement d’une telle expédition… n’en déplaise au fantasque patron de SpaceX. Même si, comme le soutient Marc-Antoine Custaud, « on y est presque ! L’ambiance de concurrence entre les différentes puissances spatiales dans ce domaine est telle qu’il n’y a pas meilleur émulateur pour rendre ce voyage possible ». ♦

    À lire
    L’Humain et L’Espace. Ses adaptations physiologiques, M.-A. Custaud, S. Blanc, G. Gauquelin-Koch et C. Gharib (dir.), éd. Books on demand, 2020, 344 p., 69 euros (ebook, 4,99 euros).

    À lire sur notre site :
    Peut-on vraiment rester « seul sur Mars » ?

    Notes
    1.Unité CNRS/Inserm/Université d’Angers.
    2.Unité CNRS/Inserm/Université Claude-Bernard.
    3.« Vascular and microvascular dysfunction induced by microgravity and its analogs in humans: mechanisms and countermeasures », N. Navasiolava et al., Front. Physiol., 20 août 2020. https://doi.org/10.3389/fphys.2020.00952.
    4.Unité CNRS/Université de Strasbourg.
    5.Unité CNRS/Aix-Marseille Université.
    6.« Double-step paradigm in microgravity: preservation of sensorimotor flexibility in altered gravitational force field », L. Bringoux et al., Front. Physiol., 24 avril 2020. https://doi.org/10.3389/fphys.2020.00377
    7.Unité CNRS/Université de Paris.

    Source : lejournal.cnrs.fr

  • Corée du Sud: Danuri mis en orbite lunaire

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    Je ne savais pas que les coréens s’intéressaient aussi à la Lune.
    Au train où ça va ça risque d’être une sacrée foire là bas.

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    C’est bien et un peu mieux que ce qui existe actuellement, mais ce n’est pas non plus une révolution. C’est la vitesse absolue des débris spatiaux (7kms/s) qui est, de loin, la plus grande menace pour les mécanos de l’espace. De là, ça doit être intéressant dans la récupération de matériels géologiques en vitesse relative.
    En revanche, il existe déjà bien des matériaux pour la protection militaire qui ne sont pas usités pour des questions de coût. Faudrait pas trop dépenser pour la chair à canon et cette dernière trouvaille de doit pas être donnée.