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    @Raccoon A une lettre près on se serait méfié un peu, mais là, très chouette.

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    Très intéressant de voir les choix qui se font actuellement, cela fait tout de même des dizaines d’années que plusieurs modes de propulsions sont en développement avec +/- de succès mais c’est la première fois que je lis cette combinaison.
    Ayant laissé le sujet de côté depuis quelques temps par manque de progrès/intérêt voilà qui relance ma curiosité sur le sujet.
    Merci pour ces infos @duJambon & @Pollux 👍

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    Il faut espérer que les actions des scripts sont bien encadrées par des sécurités soft et hard, notamment au niveau des entrées/sorties, mais la nasa n’est surement pas encore complètement idiote et que le javascript n’est pas en prise directe avec le téléscope, mais utilise une couche de programmation de sécurité intermédiaire…

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    Les astronautes de la mission lunaire Artemis de la NASA pourraient porter des combinaisons spatiales à champ électrique pour lutter contre la poussière lunaire embêtante

    Les astronautes d’Apollo détestaient la poussière de lune. L’équipe du programme Artemis de la NASA n’aura peut-être pas à faire face à ce problème.

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    La NASA espère aider ses astronautes sur la lune Artemis à résister à la poussière lunaire corrosive lors des missions d’atterrissage à partir des années 2020. (Crédit image : NASA)

    Un nouveau type de tissu pour combinaison spatiale lunaire pourrait « repousser la poussière lunaire à la demande » pour les missions d’astronautes, a déclaré l’équipe à l’origine de la conception.

    Le prototype de tissu lunaire flexible et extensible est en cours de développement à l’Université Hawai’i Pacific (HPU) et vient d’être alimenté par une subvention de 50 000 $ de la NASA . Le matériau sera construit pour utiliser des forces électrostatiques qui peuvent éloigner la poussière corrosive de la lune, empêchant ainsi les particules pointues d’endommager les combinaisons spatiales.

    La nouvelle technologie s’appelle LiqMEST (Liquid Metal Electrostatic Protective Textile) et vise à surmonter les problèmes de poussière auxquels les astronautes d’Apollo de la NASA ont été confrontés dans les années 1960 et 1970. La poussière pointue a rapidement corrodé les surfaces comme les boucliers anti-poussière des rover, a recouvert les combinaisons spatiales des astronautes et s’est généralement accrochée à tout, rendant même les sorties de trois jours un défi.

    Et le besoin est urgent : la NASA prévoit de faire à nouveau atterrir des astronautes sur la surface de la Lune en 2025 ou 2026 avec son programme Artemis . Ce calendrier dépend non seulement de la progression du Artemis 2 vol autour de la Lune en équipage d’ Artemis 3 prévu pour 2024, mais également du développement de l’atterrisseur et de la combinaison spatiale d’ . (Artemis 3 est l’étape du programme qui amènera un équipage sur la surface lunaire.)

    Related: La poussière lunaire pourrait être un problème pour les futurs explorateurs lunaires

    Tout en empêchant la poussière de pénétrer dans les combinaisons spatiales, la nouvelle technologie de tissu de HPU devrait également permettre aux astronautes de bénéficier d’une certaine flexibilité dans des conditions difficiles. Mais l’attrait majeur, selon l’équipe, réside dans les propriétés répulsives du matériau.

    “Lorsqu’il est activé, il génère un champ électrique qui repousse la poussière lunaire, empêchant la poussière d’adhérer”, a déclaré Arif Rahman, professeur adjoint d’ingénierie au HPU qui a dirigé la proposition de subvention, dans un communiqué . “Cette stratégie peut être appliquée à la fois aux combinaisons spatiales et aux housses en tissu pour les équipements lunaires lors des missions lunaires.”

    Rahman vise à construire un prototype en utilisant le financement qu’il a reçu du projet de recherche et d’éducation des universités minoritaires (MURAP) de la NASA. La subvention de 50 000 $ est venue grâce à la notification annuelle du partenariat MUREP qui « relie les institutions au service des minorités… avec les directions de mission de la NASA et favorise la collaboration en matière de recherche », selon un site Web de l’agence .

    Si tout se passe comme prévu, Rahman prévoit de soumettre une nouvelle proposition de subvention à la NASA, visant éventuellement l’utilisation de l’espace. (La NASA dispose d’un ensemble de niveaux de maturité technologique que les nouveaux produits doivent respecter avant d’être certifiés pour l’espace , dans un processus qui prend généralement au moins des années.)

    La NASA étudie également le problème de la poussière lunaire depuis des décennies, notamment dans le cadre de la Lunar Surface Innovation Initiative créée en 2019. Les responsables de l’agence affirment que l’ atténuation de la poussière est l’un des six principaux défis à relever pour les habitats à long terme des astronautes sur la Lune.

    La technologie électrostatique de HPU n’est pas le seul exemple testé. La NASA a également testé dans l’espace une variante de tissu à l’extérieur de la Station spatiale internationale dans le cadre d’une série de projets appelée MISSE, ou Materials International Space Station Experiment. Les expériences testent les matériaux dans des conditions orbitales difficiles pendant des mois, sous vide et sous un rayonnement solaire élevé.

    Une équipe du Kennedy Space Center (KSC) de la NASA a lancé un bouclier anti-poussière électrodynamique vers l’ISS avec MISSE-11. Il s’agissait du premier test de la série explorant la technologie anti-poussière dans l’espace. Le bouclier s’est montré prometteur : des tests au sol avant le vol ont suggéré que des électrodes sur du verre pourraient éliminer « plus de 98 % de la poussière dans des conditions de vide poussé », selon une courte publication de l’ équipe pour le Lunar Dust Workshop en février 2020, organisé par l’Universities Space. Association de recherche à Houston.

    L’analyse du bouclier KSC semble être en cours. Les résultats de MISSE-11 ne sont pas disponibles sur le site Web de l’expérience ISS de la NASA. Une mission de suivi comprenant le bouclier, appelée MISSE-15 , a été lancée en 2021 et les résultats ne sont pas encore publiés.

    Source: https://www.space.com/moon-spacesuit-dust-static-electric-field-hawaii-pacific-university

  • Retour sur la lune imminent

    Sciences
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    Des poissons sur la Lune? Une expérimentation “très prometteuse”

    Les astronautes du futur pratiqueront-ils l’aquaculture sur la Lune? C’est la question à laquelle essaient de répondre des chercheurs français qui viennent de tester la résistance des œufs de bar aux changements de gravité.

    “C’est très prometteur”, annonce à l’AFP Cyrille Przybyla, chercheur en biologie marine à l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer), qui vient de publier un article sur le sujet dans la revue Frontiers in Space Technologies.

    En 2019, le chercheur, spécialisé en aquaculture, a initié le programme Lunar Hatch (éclosion lunaire) et répondu à un appel à idées de l’Agence spatiale européenne (ESA), en vue de l’installation d’une base sur la Lune. “Avec le renouveau de la course vers la Lune, on se demande comment on va faire manger les gens”, explique-t-il.

    “Aujourd’hui, toutes les nations travaillent sur les salades ou les tomates dans l’espace. Mais il va manquer des fibres importantes et des acides aminés d’origine animale pour une alimentation équilibrée.”

    En outre, “s’occuper d’animaux, quand on est à 360.000 km de la Terre, ça peut être un facteur psychologique important”, ajoute le chercheur.

    Son idée est donc d’envoyer sur le satellite de la Terre un petit aquarium de 10 cm de côté, contenant 200 œufs de poissons. Les poissons grandiraient dans un système d’aquaculture en circuit clos, alimenté par de l’eau déjà présente sur la Lune. “On ne connaît pas la qualité de cette eau. Quand on la connaîtra, on va pouvoir y associer un poisson”, explique le biologiste.

    L’eau trouvée dans le système solaire a pour l’instant toujours été de l’eau salée, ce qui tend à favoriser les poissons d’eau de mer, tels que le bar, poisson-modèle pour l’aquaculture. Mais avant de bâtir le système d’aquaculture, les chercheurs doivent s’assurer que les poissons sont capables de faire le voyage vers la Lune.
    “Effet miroir”

    Dans le cadre de Lunar Hatch, programme soutenu par le CNES (Centre national d’études spatiales), ils ont déjà soumis des œufs de bar et de maigre à des vibrations équivalentes au lancement de la fusée russe Soyouz, lors d’une expérience en laboratoire. “Il y a énormément de lanceurs spatiaux. Mais on m’avait dit que Soyouz battait tous les records de vibration. Si ça passe Soyouz, ça passe tout”, explique M. Przybyla, récemment diplômé de l’Université spatiale internationale. Le taux d’éclosion des œufs soumis aux vibrations a ainsi été équivalent à celui des œufs témoins.

    La deuxième expérimentation, dont les résultats ont été publiés lundi, a consisté à soumettre les œufs de bar à une hypergravité pendant dix minutes, semblable à une accélération de fusée, puis à une période d’apesanteur de 39 heures, simulant un voyage vers la Lune. Au terme de cette expérience, menée à l’Université de Lorraine, à Nancy, la proportion des œufs qui ont éclos a été la même que celle des œufs témoins restés à la gravité terrestre. Les embryons de poissons n’ont en outre pas montré de signes de stress, après une éclosion en apesanteur. “La microgravité et l’hypergravité, c’étaient deux points sensibles”, pointe le chercheur.

    La prochaine étape, d’ores et déjà en cours d’expérimentation, vise à tester l’effet du rayonnement cosmique sur des centaines d’œufs de bar fécondés, en les soumettant à des flux de protons et de neutrons dans l’accélérateur de particules de l’IRSN à Cadarache (Bouches-du-Rhône). “L’avantage de l’organisme aquatique, c’est qu’il est dans l’eau. Et l’eau, c’est un bouclier contre plein de particules”, explique M. Przybyla.

    Avant une éventuelle application sur la Lune, ces recherches pourront avoir un intérêt sur Terre, pour élaborer des systèmes de production de poissons sans impact sur l’environnement. “Il y a un effet miroir entre ce qu’on veut faire sur la Lune et sur Terre”, décrit le chercheur. “Sur la Lune, on veut recycler toutes les molécules car c’est un corps mort et que toute molécule est importante à recycler. Sur Terre, on veut plutôt sauvegarder la richesse de l’environnement.”

    Source: https://www.7sur7.be/sciences/des-poissons-sur-la-lune-une-experimentation-tres-prometteuse~a1fe431a/

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    @michmich a dit dans La NASA va installer une centrale nucléaire sur la lune ! :

    @pollux j’ai pas compris non plus!

    Edit: peut-être la puissance de la game- boy équivalente à ce qu’ils avaient à l’époque.

    oui voilà la puissance des pc de l’époque était a peine celle d’une game boy

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    En meme temps y’a personne dans L’ISS, donc des hologrammes ou pas ca change rien text alternatif

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    Pari plus que gagné

    L’agence spatiale américaine a annoncé mardi avoir réussi à dévier un astéroïde de sa trajectoire en projetant fin septembre un vaisseau de la taille d’un réfrigérateur contre sa surface lors d’une mission test inédite, qui doit permettre à l’humanité d’apprendre à se protéger d’une éventuelle menace future.

    Cela aurait déjà été «considéré comme un énorme succès s’il (le vaisseau) avait seulement réduit l’orbite d’environ 10 minutes. Mais il l’a en fait réduite de 32 minutes», a-t-il ajouté. Avec cette mission, «la Nasa a prouvé que nous étions sérieux en tant que défenseurs de la planète», a-t-il affirmé.

    Source: https://www.bluewin.ch/fr/infos/sciences-technique/la-nasa-a-r-ussi-d-vier-un-ast-ro-de-de-sa-trajectoire-dans-un-test-de-d-fense-de-la-terre-1415397.html

    Après que la Nasa a réussi à percuter un astéroïde en 26 septembre, l’Agence spatiale européenne (ESA) va aller constater les dégâts. La mission Hera, dont le décollage est prévu fin 2024, vise notamment à construire un modèle de simulation numérique de la collision, qui pourrait servir si la Terre est un jour menacée de choc avec un astéroïde.

    Source: https://www.usinenouvelle.com/editorial/l-instant-tech-comment-l-agence-spatiale-europeenne-va-etudier-l-asteroide-frappe-par-la-mission-dart.N2051352