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    L’observatoire de Paris (PSL) explique qu’une « erreur de frappe a conduit à une découverte intéressante […] : en recherchant dans le domaine radio des galaxies massives à faible brillance de surface, elle a mis au jour une galaxie massive “sombre” n’ayant jamais formé d’étoiles ». Cet objet a été baptisé J0613+52 et dévoilé le 8 janvier 2024 et, selon l’observatoire, « pourrait bien être le premier du genre ».

    Les astronomes voulaient étudier une zone bien précise de l’univers, mais « une erreur s’est glissée dans la saisie de coordonnées célestes avec pour conséquence de pointer le grand radiotélescope dans une mauvaise direction. À la surprise générale, un signal […] a été détecté, ressemblant à celui d’une galaxie massive et ce, alors même qu’aucune galaxie n’apparaissait sur les images optiques relevées dans la même position ». Des observations complémentaires ont été réalisées.

    L’observatoire explique que la galaxie sombre J0613+52 tourne sur elle-même à 100 km/s et qu’elle se trouve à environ 270 millions d’années-lumière – « et non aux confins de l’Univers ». « Cet objet est supposé contenir en grande quantité du gaz primordial intact, très peu dense, incroyablement diffus. Et, pour avoir si peu formé d’étoiles (leur nombre restant à confirmer), il semble aussi être très isolé, n’ayant jamais subi de perturbation avec des galaxies voisines ».

    En effet, « si les images optiques n’ont révélé aucune présence, c’est qu’elles ne sont pas suffisamment profondes pour détecter les galaxies LSB [galaxies massives à faible brillance de surface, ndlr] aux niveaux de luminosité de surface les plus bas découverts jusqu’à présent ».

    Ce n’est que le début du travail : « Des images optiques très profondes sont donc nécessaires pour quantifier le nombre d’étoiles “cachées” sous le niveau de bruit des images déjà existantes ».

    Source : next.ink

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    avec ça, ils sont infoutu de nous sortir une voiture sans bug électronique 😞

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    C’était donc le 117e vol – pour 112 succès – de la vénérable fusée qui a entamée sa carrière en 1996. Comme un symbole, elle emmenait le satellite Heinrich-Hertz pour le gouvernement allemand et Syracuse 4B pour la Direction Générale de l’Armement (DGA).

    text alternatif

    Arianespace rappelle que le lanceur a permis de placer 239 satellites, dont 197 en orbites géostationnaires. La fusée a été utilisée par 65 clients institutionnels et commerciaux de 30 pays. La société précise aussi que c’est la fin du moteur de l’étage supérieur HM7, « qui a volé sur la première Ariane 1 et sur la dernière Ariane 5 ».

    On attend désormais Ariane 6 sur le pas de tir pour son vol inaugural, qui pourrait avoir lieu cette année… ou pas.

    Ariane 5 dans le rétro

    Source : nextinpact.com

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    La fusée chinoise qui s’est écrasée sur la Lune en 2022 transportait un objet mystérieux

    Un mystérieux crash sur la Lune continue de susciter des interrogations après qu’un propulseur de fusée chinoise Chang’e 5-T1 se soit écrasé en surface. Des observations de suivi auraient en effet révélé non pas un, mais deux cratères équivalents.

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    Un double cratère qui interroge

    Le 4 mars 2022, un objet initialement identifié comme le propulseur d’une fusée SpaceX Falcon 9, abandonné en orbite en 2015, s’est écrasé sur la Lune. Une enquête approfondie a depuis révélé qu’il s’agissait en réalité d’un propulseur de fusée issu du programme d’exploration lunaire de la Chine, lancé en 2014.

    Pendant sept ans, un groupe de chercheurs de l’Université d’Arizona avait en effet suivi la trajectoire de l’objet spatial. Dans un article récemment publié, ces derniers expliquaient avoir examiné la signature de réflexion lumineuse de la fusée ainsi que ses mouvements dans l’espace. En se basant sur les caractéristiques observées, ils ont conclu que l’objet était vraisemblablement le booster de la mission chinoise Chang’e 5-T1.

    Cependant, une révélation intrigante est survenue : ce booster transportait une charge utile mystérieuse qui a également disparu lors de l’impact sur la surface lunaire, comme en témoigne la présence de deux cratères en surface. Or, selon Tanner Campbell, doctorant à l’Université de l’Arizona, pour obtenir ces deux cratères à peu près de la même taille, il faut deux masses à peu près égales.

    Un objet étonnamment stable

    Les observations faites au télescope ont révélé le comportement singulier du booster. En considérant les forces gravitationnelles de la Terre et de la Lune, ainsi que l’exposition continue à la lumière du Soleil au fil du temps dans l’espace, ce booster aurait en effet dû osciller lors de son approche lunaire, surtout étant donné la structure asymétrique de la fusée avec une coque vide et un moteur lourd d’un côté. Au lieu de cela, le booster aurait finalement « maintenu le cap » d’un bout à l’autre, démontrant une stabilité remarquable.

    Les chercheurs ont donc émis l’hypothèse qu’un élément supplémentaire était fixé à l’avant du propulseur, agissant comme un contrepoids aux deux moteurs et maintenant la stabilité en orbite. Lorsque le booster s’est écrasé sur la Lune, les deux cratères résultants ont renforcé leur théorie. La nature exacte de cet élément reste toutefois inconnue. Il pourrait s’agir d’une structure de support additionnelle, d’instruments spécifiques ou d’autre chose. Il est malheureusement peu probable que cette information soit révélée un jour. Avec les futures missions lunaires planifiées, il sera néanmoins judicieux de plaider en faveur d’une plus grande transparence concernant les objets déployés par les agences spatiales et autres acteurs de l’industrie.

    Le mystérieux crash du propulseur de la mission Chang’e 5-T1 sur la Lune soulève de nombreuses questions qui demeurent sans réponse. La formation de deux cratères de taille équivalente, ainsi que la stabilité inattendue de l’objet en approche, suggèrent la présence d’un élément supplémentaire fixé au propulseur, dont la nature reste inconnue. Ce phénomène intrigue les chercheurs et met en lumière l’importance d’une plus grande transparence dans les missions spatiales, notamment concernant les objets déployés en orbite. Alors que l’exploration lunaire se poursuit, il devient essentiel de comprendre pleinement les implications de ces événements mystérieux pour mieux anticiper les défis futurs de l’exploration spatiale.

    Source: https://sciencepost.fr/le-crash-fusee-chinoise-2022-objet-mysterieux-lune/

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    Franchement @Siegfried, à part un petit “plop” dans la cour d’honneur, il n’y a pas vraiment d’intérêt. Il n’y a rien d’assez remarquable dans ces choses là pour déplacer ne serait ce qu’un pavé!

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    Qu’arrive t-il a une étoile qui s’approche trop près d’un trou noir affamé ? Elle finit “spaghettisée”, autrement dit étirée au point de former de grands lambeaux de plasma de la forme des célèbres pâtes italiennes. Cette “spaghettisation” porte le nom plus scientifique d’évènement de rupture par effet de marée (TDE) et compte parmi les processus les plus violents du cosmos.

    Due à la puissante attraction gravitationnelle d’un trou noir, elle libère une brillante lumière avant que les débris de l’étoile désintégrée ne disparaissent au-delà de l’horizon des événements de l’objet. Ce lumineux festin peut se poursuivre durant plusieurs mois avant que le trou noir ne replonge dans un paisible état d’hibernation. Mais il arrive que cet état de sommeil ne soit pas si paisible que cela.

    Des “rots” de trous noirs éloignés de leur digestion

    Plusieurs observations ont révélé que les trous noirs pouvaient se réveiller et éructer de la matière et de l’énergie, envoyant des rafales d’ondes radio vers la Terre des mois, voire des années après le TDE initial. “Ce qui est incroyablement inhabituel dans [ces événements], c’est que ces objets sont revenus à la vie, comme des zombies”, explique Enrico Ramirez-Ruiz, astrophysicien à l’Université de Californie, à Santa Cruz, cité par Science. “Cela remet vraiment en question le paradigme.”

    Jusqu’à il y a peu, toutes les éjections recensées dans le cadre des quelques dizaines de TDE connus, détectées à partir de la lumière optique ou des rayons X émis par le jet de matière du trou noir, s’étaient déroulées très peu de temps après que le trou noir eut déchiqueté son repas. Mais avec le développement des observations dans le domaine des ondes radio, des comportements jusqu’ici inconnus chez les trous noirs ont pu être observés

    En février 2021, Assaf Horesh, astrophysicien à l’Université hébraïque de Jérusalem, a découvert un sursaut radio six mois après le TDE initial. Le 30 juin de la même année, l’histoire s’est répétée : Yvette Cendes, astronome au Centre d’astrophysique de Harvard et du Smithsonian Center, a signalé la découverte d’une autre éruption à retardement. À l’aide de plusieurs télescopes, elle et son équipe ont déterminé que le pic rapide d’activité radio était survenu plus de deux ans après le repas du trou noir ! Les scientifiques en furent pour le moins déroutés.

    Un disque au juste milieu

    Voici aujourd’hui qu’un troisième exemple vient s’ajouter à cette liste : en réanalysant un TDE précédemment repéré, Itai Sfaradi, un étudiant d’Assaf Horesh, affirme avoir enregistré des émissions radio retardées en combinaison avec une éruption de rayons X. Ces émissions en tandem sont parfois observées dans ce que l’on appelle les binaires à rayons X - où des trous noirs de la taille d’une étoile aspirent le gaz d’une étoile jumelée -, laissant penser que les mécanismes pourraient être liés. Ses travaux font l’objet d’une publication dans l’Astrophysical Journal daté du 10 juillet 2022.

    Une hypothèse est actuellement émise par les chercheurs pour expliquer ces éruptions tardives : les déplacements du disque d’accrétion du trou noir alimentant les flambées des binaires à rayons X, la même chose pourrait se produire avec les trous noirs supermassifs des mois après leur repas. Le gaz d’une étoile déchirée s’accumulerait lentement au fil du temps, permettant au disque d’accrétion de se refroidir et de s’affiner. Ce dernier, “affaibli”, laisserait alors passer des projections de matière dans l’espace qui, en s’écrasant sur le gaz environnant, produirait les fameux sursauts radio. En somme, le disque d’accrétion serait encore suffisamment dense pour alimenter les jets, mais quelque peu trop chétif pour réabsorber les ondes radio générées.

    Pour confirmer ce scénario, des études radio à grande échelle seront nécessaires. Selon Enrico Ramirez-Ruiz, toujours interrogé par Science, la découverte d’une population plus importante de ces TDE “zombies” permettraient plus largement d’étudier le comportement des trous noirs dans un large éventail de conditions. “La gastronomie des trous noirs offre vraiment un nouveau terrain de jeu”, conclue-t-il.

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    C’est quoi l’Internet spatial, enjeu de la fusion du français Eutelsat avec OneWeb ?

    Bientôt, on pourra avoir Internet en haut des montagnes ou en pleine mer, mais au prix d’une importante pollution de l’espace.

    Pour l’internaute urbain moyen, la fusion entre Eutelsat et OneWeb n’est qu’une opération boursière obscure, pas franchement concernante. Pourtant, le géant européen ainsi créé va pouvoir se mesurer à un concurrent de taille : l’américain SpaceX et son projet Starlink. L’objet de leur lutte ? La conquête de l’espace, ou du moins celle de l’orbite basse pour les satellites, et avec eux la maîtrise de l’Internet spatial à haut débit.

    Mais attention à ce nom trompeur. Les antennes des satellites ne seront pas dirigées vers l’ISS ou une station lunaire pour permettre à Thomas Pesquet de lire 20 Minutes depuis sa combinaison, mais bien vers la Terre. Vers les fameuses « zones blanches » pour être précis. Haute-mer, sommet des montagnes ou cœur du désert, voilà les cibles de l’internet spatial, qui doit permettre de desservir les régions dépourvues de la fibre optique ou d’infrastructures terrestres pour relayer le signal.
    Repousser les limites de la couverture réseau

    Aujourd’hui, moins de 50 millions de personnes sont connectées par satellites. Pour les autres, les réseaux ADSL, fibre optique et 4G/5G passent toujours par un réseau long de plus d’un million de kilomètres de câbles, enfouis sous terre ou déroulés au fond des océans. « La connectivité 5G via des satellites en orbite terrestre basse » doit ainsi permettre « la couverture dans des zones géographiques extrêmes ou des lieux reculés », ont par exemple souligné les groupes Thales, Qualcomm et Ericsson dans un communiqué commun début juillet.

    Situés à quelques centaines de kilomètres d’altitude seulement, les satellites de Starlink promettent un débit équivalent à la fibre et un délai d’exécution des requêtes bien moindre que celui offert par le réseau classique de l’internet par satellite, dont les engins géostationnaires naviguent à plus de 35.000 km d’altitude. Plus de 2.000 satellites ont déjà été lancés par SpaceX, sur les 4.400 que devrait compter la « constellation » Starlink.

    Source et plus: https://www.20minutes.fr/sciences/3330483-20220726-telecoms-quoi-internet-spatial-enjeu-fusion-francais-eutelsat-oneweb

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    L’Europe déploie une nouvelle fusée, Vega-C. Il s’agit d’une évolution de Vega, en fonctionnement depuis 2012.

    Le lancement d’Ariane 5 en résumé Quoi? Le vol inaugural de la fusée Vega-C, qui succède à Vega ; Quand? Le 13 juillet 2022, à partir de 13h13 (heure de Paris) ; Où? Au centre spatial guyanais. Quelle est la mission de Vega-C ?

    La mission que doit mener Vega-C le 13 juillet consiste à envoyer un satellite scientifique pour observer un phénomène astrophysique appelé effet Lense-Thirring. Le satellite a été conçu par l’agence spatiale italienne et se nomme LARES 2 (Laser Relativity Satellite). Mais c’est une mission qui passe presque au second plan.

    En effet, cette mission s’avère aussi être le vol inaugural de Vega-C, une nouvelle fusée qui succède à Vega. Celle-ci s’inscrit dans la gamme des lanceurs légers, en vue d’offrir à l’Europe une gamme complète avec Soyouz (qui est un lanceur moyen, aujourd’hui inaccessible à cause de la guerre en Ukraine) et Ariane 5, puis 6 (une fusée pensée pour les charges les plus lourdes).

    Vega aura eu une carrière opérationnelle ayant débuté en 2012. Dix ans plus tard, voilà donc Vega-C. Et ensuite ? Le développement du petit lanceur va se poursuivre : on attend déjà une nouvelle itération, Vega-E, vers 2025. Le « E » paraît suggérer l’évolution de la fusée. Et le « C » ? Il signifie le caractère commun qu’il partage avec Ariane 6.

    En effet, l’étage P120C sert à la fois de premier étage pour la fusée Vega-C, mais aussi de propulseur d’appoint à Ariane 6 (qui peut en recevoir deux ou quatre). Il joue donc le rôle de moteur universel, ce qui permet accessoirement de réduire la note en optimisant le développement des deux engins. Le P120C est une évolution du P80, et offre une poussée doublée.

    Au total, Vega-C est composé de quatre étages. Outre le P120C, l’étage 2 (Zefiro 40) est « plus puissant et plus lourd » que Zefiro 23, en activité sur Vega. Quant à l’étage 3 (Zefiro 7), il n’évolue pas. Par contre, l’étage supérieur est renouvelé AVUM+ « dispose d’une structure plus légère et de plus de carburant ». La coiffe est élargie à 3,3 mètres, contre 2,6 mètres avant.

    Vega-C affiche des performances plus modestes qu’une Ariane 5 ou 6, ce qui est attendu compte tenu du segment de marché dans lequel il va évoluer. Il est capable de transporter 2,5 tonnes de charge utile en orbite basse (ou 2,2 tonnes en orbite polaire). Masse qu’il pourra par exemple répartir entre plusieurs petites charges dans le cadre d’un vol partage (« rideshare »).

    Quand décolle la fusée Vega-C ?

    Le vol inaugural de la fusée Vega-C

    pour le 13 juillet 2022, à 13h13 (heure de Paris). Le décollage surviendra depuis le centre spatial guyanais, non loin de Kourou. Le lancement est effectué au profit du satellite scientifique LARES 2 (un acronyme pour Laser Relativity Satellite), qui se focalise sur l’effet Lense-Thirring prévu par la théorie de la relativité générale.

    Comment suivre le lancement en direct

    Le lancement sera diffusé en ligne sur la

    . Le flux de la vidéo en direct sera ajouté dès qu’il sera disponible.

    SOURCE

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    Bonne chance aux futurs astronautes. En espérant que la capsule ne soit pas équipée du système MCAS comme sur le boeing 777 max.:colgate:

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    C’est une configuration rare qui embellira le ciel nocturne dès ce dimanche 17 avril : un alignement parfait des quatre planètes, Vénus, Mars, Saturne et Jupiter. Déjà, les trois premières sont visibles ensemble dans le ciel depuis la fin du mois de mars ; elles seront bientôt rejointes par la géante gazeuse Jupiter qui se situera proche de l’horizon. Seul l’hémisphère Nord pourra profiter du spectacle et ce, jusqu’à la fin du mois, avec un apogée autour du 23 avril. Le pic de visibilité sera entre 5 h 30 et 6 h 30 lorsque Jupiter sortira de l’horizon. Après cette date, les planètes resteront visibles ensemble, mais ne formeront plus une seule et même ligne.

    Ici est représenté l’alignement des quatre planètes tel qu’il sera visible le 23 avril à 5 h 45 dans le sud de la France. © Stellarium

    Mais le plus bel événement reste encore à venir ! Le 24 juin 2022, ce sont toutes les planètes du Système solaire qui s’aligneront dans le ciel : c’est ce que l’on appelle une parade de planètes. Parmi elles, seules cinq sont visibles à l’œil nu : Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne. Pour les deux dernières, Neptune et Uranus, des lunettes astronomiques ou un télescope seront nécessaires. Toutes s’étendront de l’est au sud – ou du nord à l’est dans l’hémisphère Sud, et ne seront pas forcément visibles au même moment de la nuit, du fait de leur longue étendue dans le ciel.

    L’alignement des quatre planètes sera visible en fin de nuit pour la France. Capture d’écran du logiciel Stellarium pour le 23 avril, peu avant 6 h du matin. © Stellarium

    Source : futura-sciences.com

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    Le souci principal avec sa méga fusée, c’est le nombre de tests réalisés : peu nombreux et pas assez concluants. D’où les craintes de la FAA.
    L’autre difficulté est la récupération des étages censés etre réutilisables. Vu leur poids et taille, les ingénieurs ont construits une tour avec 2 bras qui saisiront l’engin avant qu’il ne se pose sur son pas de tir.

    Et il ne faut pas oublier que la méga-fusée est sur-dimensionnée par rapport à ce qui se fait actuellement : elle peut transporter 100 à 150 tonnes de charges utiles.
    Soit 50 à 70 tonnes de plus que ces concurrentes. Il faut pouvoir rentabiliser chaque vol !

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    @memorex91 Pour simuler l’environnement lunaire, il ne suffit pas de diminuer la gravité, il faut aussi faire le vide dans une enceinte (gérer éventuellement encore les températures et rayonnements) et il semble qu’il est plus facile d’inclure une petite enceinte dans un champ de gravité que des bobines d’aimants cryogéniques pleines de canalisations et de fils et autres appareils…

    En plus simple, ils ont fait un choix entre avoir une grosse enceinte avec beaucoup de matériel dedans (avec les problèmes pour faire le vide poussé (une simple canette de bière vide oubliée peut compromettre l’opération) et les autres conditions à gérer), ou une petite enceinte avec du plus gros matériel dehors…

    Les Chinois sont généralement assez avares de détails dans leurs communications et celles pour la presse sentent habituellement beaucoup plus la politique que la technique.

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    Pari plus que gagné

    L’agence spatiale américaine a annoncé mardi avoir réussi à dévier un astéroïde de sa trajectoire en projetant fin septembre un vaisseau de la taille d’un réfrigérateur contre sa surface lors d’une mission test inédite, qui doit permettre à l’humanité d’apprendre à se protéger d’une éventuelle menace future.

    Cela aurait déjà été «considéré comme un énorme succès s’il (le vaisseau) avait seulement réduit l’orbite d’environ 10 minutes. Mais il l’a en fait réduite de 32 minutes», a-t-il ajouté. Avec cette mission, «la Nasa a prouvé que nous étions sérieux en tant que défenseurs de la planète», a-t-il affirmé.

    Source: https://www.bluewin.ch/fr/infos/sciences-technique/la-nasa-a-r-ussi-d-vier-un-ast-ro-de-de-sa-trajectoire-dans-un-test-de-d-fense-de-la-terre-1415397.html

    Après que la Nasa a réussi à percuter un astéroïde en 26 septembre, l’Agence spatiale européenne (ESA) va aller constater les dégâts. La mission Hera, dont le décollage est prévu fin 2024, vise notamment à construire un modèle de simulation numérique de la collision, qui pourrait servir si la Terre est un jour menacée de choc avec un astéroïde.

    Source: https://www.usinenouvelle.com/editorial/l-instant-tech-comment-l-agence-spatiale-europeenne-va-etudier-l-asteroide-frappe-par-la-mission-dart.N2051352

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    Bonne nouvelle, le ciel se dégage sur une partie de la région Occitanie, surtout sur l’ex Languedoc-Roussillon ce jeudi 21 octobre au soir. L’occasion de lever les yeux en l’air pour admirer les Orionides, cette pluie d’étoiles filantes, l’avant-dernière de l’année.

    Amateurs de spectacles célestes, veillez un peu plus tard ce soir, pour ne pas manquer les Orionides. Cette pluie d’étoiles filantes, certes un peu moins spectaculaire que les Draconides ou encore les Perséides du mois d’août, promet néanmoins une observation prolifique.

    Il devrait en effet être possible d’apercevoir jusqu’à une vingtaine de météores par heure, selon les explications de Jérémie Vaubaillon, de l’Observatoire de Paris à nos confrères de RTL.

    Essaim météoritique

    Pour les observer, c’est surtout après minuit que ça se joue. Il faudra localiser la constellation d’Orion : c’est dans sa direction qu’il faut regarder, pour admirer les étoiles filantes. Pour trouver la constellation, il faut commencer par connaître sa forme. Elle ressemble en effet à un sablier, précise le site astronomie pratique. Sa ceinture, formée par trois étoiles alignées la rend assez repérable.

    Futura Sciences explique que ce phénomène, qui intervient chaque année entre le 2 octobre et le 7 novembre avec un pic d’activité la nuit du 21 au 22, est lié à un essaim météoritique réapprovisionné à chaque passage de la comète de Halley, observable depuis la Terre une fois tous les 76 ans (rendez-vous en 2061 pour la prochaine observation).
    Ciel dégagé en soirée

    Si ce jeudi 21 octobre dans la matinée, le temps n’était pas au beau fixe, le ciel devrait se dégager au cours de l’après-midi, jusqu’à être parfaitement clair en début de soirée, en tout cas pour le Gard, l’Hérault selon les prévisions de Météo France.

    Source.

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    Avant de redescendre sur terre, Thomas Pesquet aurait eu des choses importantes à dire au président concernant le climat, histoire de remettre un peu en lumière les conséquences réelles qu’aurait la société sur notre environnement…

    Du genre, hé gamin, pendant ces six derniers mois, il ne s’est pas passé des trucs super sympa sur notre planète!

    Parade de Macron en off : Mince, ce n’est pas super important en fait comme info ça, je te casserais bien la yeule à la récré, tiens…!
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    @Raccoon

    Il faut dire que le capitaine Kirk ne fait pas réellement son âge et le plus beau aurait été de voir Mr Spock à ses cotés^^

    Tout dépend de l’état de santé de la personne, comme avoir un cardio très dynamique…

    Amazone* de l’air avec plus de 19.000 heures de vol à son actif, Wally Funk, 82 ans a fait partie du premier vol suborbital de Blue Origin.

    (sans jeu de mot avec J. Bezos)*

    A priori, Tom Hanks serait aussi sur la liste d’attente…

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    Un florilège des plus belles images en 2023:

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    @fel1x1a a dit dans L’optique 2.0 des futurs télescopes géants arrive :

    “La preuve la plus certaine que la vie intelligente existe ailleurs dans l’univers est qu’aucun d’eux n’a essayé de nous contacter.”

    Bill Watterson. (scénariste et dessinateur de bd)
    Article assez informatif, en tout cas merci pour le partage!

    En même temps d’autres choses sont à prendre en compte, comme le temps, il y a à peine 50 ans tout un pan de la technologie était balbutiante, nous avons commencé à réellement évoluer il a quelques milliers d’années, une goutte d’eau au regards des échelles de temps de l’univers…

    Sans compter les distances, si grandes que notre cerveau n’arrive même pas vraiment à les appréhender.

    Donc bon, j’ai envie de dire que ce n’est pas comme aller faire coucou à son voisin.