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    Alors la théorie du mégavers (ou multivers) expliqué dans ce bouquin ne date pas d’hier ça doit être début années 2000 il me semble mais comme je suis en train de le lire et que c’est vraiment intéressant autant le faire partager.

    J’aime cette théorie car le postulat de départ c’est que les théories anthropistes ou carrément créationnistes sont forcément dans l’erreur. Susskind adopte la logique Darwinienne à l’observation des lois qui régissent l’univers pour arriver à la conclusion que si notre univers existe de façon si singulière (par exemple avec une constante cosmologique qui n’a aucune raison logique d’être ce qu’elle est, ce à quoi les théoriciens anthropistes répondent qu’elle est comme ça parce que si elle était différente la vie n’existerait pas, voire même les atomes ne pourraient pas exister, encore moins les planètes, ect, bref ça serait comme ça à cause d’une sorte de dessin intelligent qu’on sait pas trop d’où il vient), enfin Susskind répond que si cette constante existe avec cette valeur ici c’est qu’il doit y avoir une multitude d’autres univers avec des constantes plus ou moins différentes. Le notre ne serait qu’un “accident”, un hasard parmi une multitude d’autres possibilités qui existent aussi forcément.

    Ça reprend l’ensemble des découvertes sur l’univers, de l’infiniment grand à l’infiniment petit, des travaux d’Einstein, ceux de Bohr, d’Hawkins (avec qui il a travaillé notamment lors de la découverte des trous noirs), ect…
    Même la théorie des cordes y est abordée, bien que brièvement car le livre se veut abordable et expliquer la théorie des cordes autrement qu’avec un charabia d’équations mathématiques incompréhensible pour qui n’est pas astro physicien ça tient de l’impossible.

    Enfin pour dire que c’est assez encyclopédique tout en restant compréhensible et qu’il se plante ou pas sur la conclusion du mégavers en tout cas c’est vachement plus probable que l’hypothèse d’une intelligence qui aurait agencé tout ça.

    Je sais pas trop où le trouver en e-book, je l’ai en version papier mais en cherchant ça doit se trouver (d’ailleurs si quelqu’un le trouve par là je veux bien le récupérer aussi 🙂 )

    "Notre univers en cacherait-il des millions d’autres?
    Traduit de l’américain par Bella Arman

    Pourquoi l’univers semble-t-il avoir été spécialement conçu pour que nous puissions exister?
    Nul besoin de faire appel à une volonté divine ou a des explications surnaturelles pour comprendre l’émergence de la vie et de l’homme, répond Léonard Susskind. Ce physicien mondialement connu comme l’un des inventeurs de la théorie des cordes, nous invite plutôt à imaginer l’existence d’un “paysage cosmique” où il n’y a pas un seul univers mais une multitude. Des millions de millions d’autres environnements, légèrement différent du notre existent, dotés de leurs propres lois, particules et constantes physiques. Nous ne vivons que dans une bulle infinitésimale de cet étrange “mégavers” et celle-ci possède des qualités très particulières.
    On devine que cette hypothèse a suscité un débat d’importance et passionné dans le milieu scientifique. L’avenir dira l’idée d’un paysage cosmique étonnamment divers est aussi importante que la révolution copernicienne qui a ôté la terre du centre de l’univers…"

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    Les scientifiques viennent peut-être d’identifier le coupable derrière les signes de volcanisme récemment découverts.

    Sous une vaste plaine appelée Elysium Planitia, un panache de convection colossal de 4 000 kilomètres (environ 2 500 milles) de large dans le manteau martien pourrait faire monter du magma en fusion jusqu’à la surface. Cela pourrait expliquer plusieurs preuves pointant en faveur de cette théorie.

    “Nos résultats démontrent que l’intérieur de Mars est géodynamiquement actif aujourd’hui”, écrivent les géophysiciens planétaires Adrien Broquet et Jeffrey Andrews-Hanna de l’Université de l’Arizona, “et impliquent que le volcanisme a été entraîné par les panaches du manteau de la formation des provinces volcaniques hespériennes. et Tharsis est le passé d’Elysium Planitia aujourd’hui.”

    Mars a pourtant montré des signes très convaincants de mort géologique, à l’intérieur comme à l’extérieur. Sa surface relativement ancienne - semblant manquer de resurfaçage volcanique récent et de mouvement tectonique - et l’absence d’un champ magnétique global ont été retenues comme des raisons de penser qu’il n’y a rien d’autre que de la roche ferme et immobile jusqu’au noyau.

    Des observations récentes ont creusé des trous importants dans la notion d’une planète Mars complètement morte. Il y avait une météorite de Mars qui a fait son chemin vers la Terre et qui a montré des signes de convection du manteau aussi récemment qu’environ un demi-milliard d’années par exemple.

    Ensuite, des photos satellites ont révélé des preuves de dépôts de surface volcaniques datant d’à peine 50 000 ans dans un système de fissures appelé Cerberus Fossae.

    Et puis Mars InSight, un atterrisseur surveillant l’intérieur de Mars depuis novembre 2018, a révélé une importante activité sismique en cours compatible avec le volcanisme.

    Il y a eu quelques autres observations étranges. Le champ de gravité local de l’Elysium Planitia, par exemple, est exceptionnellement fort, compatible avec une sorte d’activité souterraine.

    Broquet et Andres Hanna ont donc collecté des données topographiques, gravimétriques, géologiques et sismiques, et se sont mis à trouver un modèle qui leur convienne.

    Selon leur analyse, un panache du manteau coche toutes les cases. Ce sont des remontées de matériaux intérieurs chauds qui poussent contre la limite noyau-manteau d’une planète, forçant le magma vers le haut et formant des points chauds de la croûte et du volcanisme de surface.

    Pour correspondre aux données observées - y compris les épicentres de l’activité sismique détectés par InSight - le panache aurait au moins 3 500 kilomètres de diamètre et serait entre 95 à 285 degrés Celsius plus chaud que son environnement.

    Ceci est très similaire aux panaches du manteau sur Terre qui ont conduit l’activité volcanique préhistorique responsable de la sculpture de surface étendue - les pièges du Deccan et la province ignée de l’Atlantique Nord .

    “Bien que Mars soit plus petite que la Terre, la formation de têtes de panache de taille similaire est attendue compte tenu de la gravité plus faible et de la viscosité plus élevée du manteau martien”, écrivent les chercheurs dans leur article.

    “Le centre de tête de panache le mieux adapté, basé uniquement sur les données de gravité et de topographie, est précisément situé au centre de Cerberus Fossae, où le volcanisme récent et la plupart des tremblements de terre ont été localisés.”

    Cela, disent les chercheurs, signifie que Mars serait la troisième planète du système solaire avec une activité de panache du manteau, rejoignant la Terre et Vénus.

    C’est un résultat qui signifie des choses assez intéressantes pour Mars. Peut-être pas des volcans de surface crachant de la lave partout, mais un chauffage intérieur qui pourrait empêcher les lacs sous la surface martienne de geler. Cela a des implications pour la recherche de la vie martienne - des microbes qui pourraient être cachés dans de tels lacs, vivant leur vie tranquille loin de la détection humaine.

    “L’activité continue du panache démontre que Mars n’est pas seulement active sur le plan sismique et volcanique aujourd’hui, mais possède également un intérieur géodynamiquement actif”, écrivent Broquet et Andrews-Hanna .

    “Un panache sous Elysium Planitia indique également que les flux volcaniques de surface et l’activité sismique ne sont pas des événements isolés, mais font partie d’un système régional de longue durée et activement soutenu, avec des implications pour la longévité et le potentiel astrobiologique des environnements habitables souterrains.”

    La recherche a été publiée dans Nature Astronomy .

    Source: https://www.sciencealert.com/colossal-discovery-on-mars-could-drive-surging-magma-under-the-surface

  • Introduction à la géo-ingénierie

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    Définition :
    Manipulation délibérée et à grande échelle du système terrestre dans le but de contrer les effets indésirable des changements climatiques sur la planète. (GIEC 2013)

    C’est un sujet dont on parle assez peu mais qui pourrait vite apparaitre sur le devant de la scène.

    Présentation sur la géo-ingénierie à l’Université de Namur le 22 février 2022.

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    Quatre heures avant l’impact, le Catalina Sky Survey a découvert un astéroïde nommé 2022 WJ1 sur une trajectoire entrante. Un réseau de télescopes et de scientifiques est entré en action, calculant avec précision quand et où sur le globe l’astéroïde tomberait.

    La détection de 2022 WJ1 a été effectuée à 04h53 UTC le 19 novembre 2022, par l’observatoire du mont Lemmon, qui fait partie du réseau Catalina. Il a continué à surveiller l’objet, prenant quatre images qui ont permis aux astronomes de confirmer la détection, et de la signaler au Centre des planètes mineures de l’UAI à 05h38 UTC.

    Ces quatre images étaient suffisantes pour calculer la trajectoire de l’astéroïde dans le ciel, plusieurs programmes de surveillance des impacts ayant découvert que le “caillou” avait environ 20 % de chances de tomber quelque part sur le continent nord-américain.

    Des observations de suivi ont permis aux scientifiques d’affiner leurs mesures, en donnant une heure et un lieu. Le Bang s’est effctué comme prévu, à 08h27 UTC, 2022 WJ1 a été vu traversant le ciel sous la forme d’une boule de feu vert vif, au-dessus de la région du Golden Horseshoe dans le sud de l’Ontario, au Canada.

    Cette découverte à été celle du premier météore jamais prévu de tomber sur une zone densément peuplée, mais le bloc n’était pas un danger. Il mesurait approximativement un mètre (3,3 pieds) de diamètre lorsqu’il est entré dans l’atmosphère terrestre, ce qui en fait le plus petit astéroïde jamais observé avant son entrée dans l’atmosphère à ce jour.

    Il s’est transformé en un bolide enflammé et s’est brisé, chutant sur Terre sous forme de petits morceaux qui sont tombés pour la plupart dans l’eau du lac Ontario . La plupart des morceaux localisables de la météorite devraient être de petits débris; les scientifiques espèrent récupérer certains d’entre eux pour étudier l’astéroïde plus avant.

    Les cinq astéroïdes précédents détectés avant l’impact étaient 2008 TC3, qui mesurait environ 4 mètres de diamètre ; 2014 AA, à 3 mètres de diamètre ; 2018 LA, également de trois mètres de diamètre ; 2019 MO à 6 mètres de diamètre ; et, juste plus tôt cette année, 2022 EB5, qui mesurait environ 2 mètres de diamètre.

    La détection de 2022 WJ1 et la coordination mondiale qui l’a suivi sont un merveilleux témoignage de la sensibilité de la technologie et de la beauté de la coopération humaine pour mieux comprendre les corps spatiaux dangereux.

    Et, bien sûr, ces observations représentent une occasion rare d’étudier ce qui arrive aux astéroïdes lorsqu’ils pénètrent dans l’atmosphère terrestre.

    “Cette boule de feu est particulièrement importante, car le météoroïde parent a été observé de manière télescopique avant qu’il ne frappe l’atmosphère. Cela en fait une occasion rare de relier les données télescopiques d’un astéroïde à son comportement de rupture dans l’atmosphère pour mieux comprendre sa structure interne”, a déclaré l’astronome et le physicien Peter Brown de l’Université Western Ontario.

    “Cet événement remarquable fournira des indices sur la composition et la force qui, combinés à des mesures télescopiques, éclaireront notre compréhension de la façon dont les petits astéroïdes se désagrègent dans l’atmosphère, des connaissances importantes pour la défense planétaire.”

    Les débris de 2022 WJ1 devraient être sombres, avec une croûte de fusion fine et fraîche, et un intérieur pierreux plus gris. Les scientifiques demandent que tout fragment suspect soit signalé au Musée royal de l’Ontario.

    Source: https://www.sciencealert.com/scientists-glimpse-incoming-asteroid-just-hours-before-it-makes-impact

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    Cette nouvelle thérapie, basée sur une technologie développée par le CERN, permet d’atteindre des tumeurs beaucoup plus en profondeur et se veut plus rapide, moins chère et plus efficace. «On espère tenir un potentiel remède contre cette maladie», a confié Rebecca Ruiz, cheffe du Département vaudois de la santé. Chaque année, 45’000 cancers sont diagnostiqués en Suisse. C’est la deuxième cause de mortalité chez l’adulte.

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    La nouvelle machine permettra d’atteindre les tumeurs jusqu’à une profondeur de 20 cm, contre 3 cm aujourd’hui.

    «C’est un événement majeur pour la prise en charge des patients en oncologie, un véritable saut quantique», a déclaré le Prof. Philippe Eckert, directeur général du CHUV, vendredi lors d’une conférence de presse. Et pas des moindres, puisque celle-ci visait à annoncer l’arrivée d’un nouveau traitement contre le cancer: le premier appareil de radiothérapie au monde utilisant la technique dite Flash, avec des électrons chargés à haute énergie.

    Chef du Service de radio-oncologie du CHUV, le Prof. Jean Bourhis et son équipe évoquent des résultats concluants en pré-clinique chez l’animal. En 2019, un patient atteint d’un cancer de la peau a été traité avec succès avec l’effet Flash, mais qui ne permettait à cette époque que de traiter les tumeurs superficielles ou peu profondes. Les premiers essais cliniques de ce système novateur sont prévus à l’horizon 2025, au CHUV. Un bunker spécial devra être construit pour héberger l’appareil. Cette thérapie pourrait remplacer les irradiations actuelles d’ici 2028-2030.

    Source: https://www.20min.ch/fr/story/le-chuv-pourra-traiter-des-cancers-plus-profonds-et-plus-resistants-979836793219

  • Un simulateur d'évolution naturelle

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    Simule l’évolution d’une population de blob soumis à la sélection naturelle.
    Ca a l’air fait sérieusement mais c’est assez marrant à utiliser, on peut même analyser les résultats sur des graphiques.

    https://labs.minutelabs.io/evolution-simulator/#/s/4/about

    Le site propose une vidéo explicative en anglais sur sa page d’accueil, j’ajoute celle-ci en français.

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    @Orphancia merci… ca me rappelle un beeau livre

    « On m’a dit : Tu n’es que cendres et poussières.
    On a oublié de me dire qu’il s’agissait de poussières d’étoiles. »

    Hubert Reeves, Poussières d’étoiles (1984)

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    En tout cas, la production industrielle sera apparemment facile quand on voit ce que la nature fait:

    https://actu.fr/nouvelle-aquitaine/salles_33498/en-gironde-ce-cueilleur-de-cepes-trouve-un-specimen-de-5-kilos-c-est-du-jamais-vu_55189714.html

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    Un groupe de scientifiques de l’Université de Chicago a découvert un moyen de créer un matériau dans lequel les fragments moléculaires sont mélangés et désordonnés comme ceux du plastique, mais qui conduit très bien l’électricité comme le métal. Cette découverte pourrait ouvrir la voie à une nouvelle classe de matériaux pour les appareils électroniques.

    Un nouveau matériau souple qui va à l’encontre de toutes les règles sur la conductivité

    Des scientifiques de l’Université de Chicago ont découvert un moyen de créer un matériau qui peut être fabriqué comme du plastique, mais qui conduit l’électricité comme un métal. Publié le 26 octobre dans la revue Nature, cette recherche va à l’encontre de toutes les règles que nous connaissons sur la conductivité, affirme le magazine scientifique Scitech Daily.

    La structure moléculaire du nouveau matériau permet facilement et fortement de conduire l’électricité

    Alors qu’il y a environ 50 ans, les scientifiques ont pu créer des conducteurs fabriqués à partir de matériaux organiques, ces matériaux plus flexibles que le métal ne sont pas particulièrement stables et peuvent perdre leur conductivité s’ils sont exposés à l’humidité ou si la température augmente trop. Jiaze Xie, premier auteur de l’étude, a commencé à expérimenter certains matériaux découverts il y a des années, mais largement ignorés depuis. Il a enfilé des atomes de nickel comme des perles dans une chaîne de perles moléculaires faites de carbone et de soufre, et a commencé les tests. Au grand étonnement des scientifiques, le matériau conduisait facilement et fortement l’électricité. De plus, il était très stable. “Nous l’avons chauffé, refroidi, exposé à l’air et à l’humidité, et même fait couler de l’acide dessus, et rien ne s’est passé”, a déclaré Jiaze Xie. Comme sa structure moléculaire était désordonnée, d’un point de vue fondamental, il ne peut pas s’agir d’un métal. Sa structure est formée de couches, comme des feuilles dans des lasagnes ; les électrons peuvent toujours se déplacer horizontalement ou verticalement, permettant la conductivité.

    Une telle découverte pourrait révolutionner l’industrie électronique

    “En principe, cela ouvre la voie à la conception d’une toute nouvelle classe de matériaux conducteurs d’électricité, faciles à façonner et très robustes dans les conditions quotidiennes”, a déclaré John Anderson, professeur agrégé de chimie à l’Université de Chicago et coauteur principal de l’étude. “Essentiellement, cela suggère de nouvelles possibilités pour un groupe technologique extrêmement important de matériaux”, a déclaré Jiaze Xie, et cela notamment par rapport à la manière de façonner les nouveaux articles qui pourraient être conçus avec ce matériau. Les métaux doivent généralement être fondus afin d’être façonnés à la bonne forme pour une puce ou un appareil, ce qui limite ce que l’on peut faire avec eux, car d’autres composants de l’appareil doivent être capables de résister à la chaleur nécessaire au traitement. L’équipe explore également les différentes formes et fonctions que le matériau pourrait avoir. “Nous pensons que nous pouvons le rendre 2D ou 3D, le rendre poreux, ou même introduire d’autres fonctions en ajoutant différents lieurs ou nœuds”, a déclaré Xie.

    Source

  • À quoi servent les basses ? À danser, c’est prouvé

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    Ca secoue les neurones aussi (0:40)

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    @Pollux
    D’après le premier lien quelques pièces de condenseurs vendus en 2020 et plein de commandes (de quoi ?)…
    Air 3D, C’est des cache-clim qui sont vendus, pour le reste, ils disent juste qu’un espoir persiste… :lol:

    Toujours pas grand-chose à se mettre sous la dent, je garde le champagne au frais.

    J’ai bien peur qu’au final, ce soit beaucoup de bruit… pour rien.

  • Mars en 4K

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    @Violence
    Non mais en vrai, c’est des images 3D photoréalistes faites par Disney. La preuve, il y a des mauvais raccords, la poussière est trop brillante et on voit un Mikey sur l’image à 2:42 !

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    L’entreprise américaine SpaceX a fait décoller mardi depuis la Floride son lanceur lourd Falcon Heavy, la fusée opérationnelle la plus puissante du monde actuellement, pour son premier lancement depuis 2019.

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    Elle a décollé vers 09H40 heure locale depuis le pas de tir 39A du centre spatial Kennedy, lors d’une mission baptisée USSF-44, et transportant des cargaisons pour le compte de la force spatiale américaine, dont un satellite nommé TETRA 1. Quelques minutes après le décollage, les deux propulseurs d’appoint de la fusée sont revenus se poser sur Terre. L’étage central ne sera lui pas récupéré.

    La fusée Falcon Heavy avait volé pour la première fois lors d’un test en 2018, transportant alors la voiture Tesla du patron de SpaceX, Elon Musk. Il s’agissait mardi du troisième vol opérationnel et commercial de Falcon Heavy, le dernier ayant eu lieu en juin 2019.

    SpaceX a actuellement deux fusées opérationnelles. La première est la Falcon 9, utilisée notamment pour acheminer les astronautes de la Nasa jusqu’à la Station spatiale internationale (ISS), ou encore lancer les satellites de la constellation de SpaceX fournissant internet depuis l’espace, Starlink. La deuxième est Falcon Heavy, qui sert à lancer des charges utiles beaucoup plus lourdes ou à des orbites plus distantes. La fusée est capable d’emporter jusqu’à 64 tonnes en orbite terrestre.

    La Nasa a notamment choisi la Falcon Heavy pour lancer certaines composantes de sa future station spatiale en orbite autour de la Lune.

    Source: https://www.7sur7.be/monde/spacex-a-fait-decoller-sa-fusee-falcon-heavy-la-plus-puissante-au-monde~a167f698/

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    @Pollux Non je n’ai pas pu le lire complètement, je ne suis pas abonné, mais il parle bien d’hydrogène bleu, la photo, elle, est bien une photo d’illustration, voir la légende:

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    Je n’ai pas trouvé l’article original du ciel, ni sur son site Genevois, ni à l’unige. On en verra surement la couleur dans quelques jours. Un truc pareil fera des vagues.
    Je ne suis pas inquiet, je n’ai pas d’intérêts dans l’hydrogène…

  • La décision est prise: la Russie va quitter l'ISS

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    A propos de gif, celui là m’a fait rire.

    https://giphy.com/gifs/kissing-vladimir-putin-ezKMpWLzwN1Wo

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    C’est l’une des « plus grandes » fermes solaires du Qatar avec plus de 1,8 million de panneaux solaires s’étendant sur 10 km2. La centrale située à Al Kharsaah, à l’ouest de Doha, vient d’être inaugurée ce mardi 18 octobre.

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    D’une capacité de 800 mégawatts, le projet lancé en 2016 et opérationnel depuis juin vise à couvrir 10% de la consommation du pays en électricité. Outre TotalEnergies (19,6%), l’entreprise japonaise Marubeni (20,4%) est partenaire de la centrale d’Al Kharsaah. Il est d’ores et déjà prévu de « l’étendre » d’ici à 2035, selon le ministre de l’Énergie et président de Qatar Energy, Saad Sherida al-Kaabi.

    D’après les organisateurs du Mondial 2022 au Qatar, qui promettent une Coupe du monde de football neutre en carbone, la centrale alimentera les stades en électricité. Lors d’une conférence de presse, Saad Sherida Al-Kaabi a toutefois indiqué ne pas disposer d’information sur ce point.

    Le Qatar, qui vise une capacité de 5 gigawatts d’énergie solaire d’ici 2035, a annoncé fin août deux autres grands projets de centrales photovoltaïques devant lui permettre de plus que doubler sa production d’ici deux ans. Ces nouvelles centrales, à Mesaieed Industrial City (Sud) et Ras Laffan Industrial City (Nord), porteront la production photovoltaïque de l’émirat à 1,675 gigawatts (GW) d’ici fin 2024, selon la compagnie nationale Qatar Energy.

    L’émirat est toutefois en retard sur ses voisins du Golfe. L’Arabie saoudite a annoncé cette année son intention de dépasser le seuil des 5 GW d’ici à 2030, et des centrales solaires existent aux Émirats arabes unis (EAU) depuis près d’une décennie.

    Source: https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/le-qatar-inaugure-sa-premiere-centrale-solaire-avec-totalenergies-son-premier-partenaire-international-937227.html

    Dommage qu’on ne nous parle pas de l’entretient après chaque tempête de sable.

  • Les éoliennes en mer (du point de vue informatif)

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    Ce qui suit est un extrait d’article prospectif sur le sujet des éoliennes en mer, sans la moindre perspective écologique ou financière qui devrait vous faire comprendre le pourquoi de l’engouement de cet aspect de l’approvisionnement énergétique.

    Les éoliennes en mer surpassent tous les autres modes de production d’électricité, excepté le nucléaire qui peut fonctionner quasiment en permanence : les parcs éoliens récents affichent un facteur de charge moyen de 40 à 50 %, contre 25 % pour les éoliennes terrestres en France et 14 % pour les panneaux solaires photovoltaïques Le parc d’éoliennes Hywind Scotland a même atteint un nouveau record avec une moyenne annuelle de 57 % « Cela s’explique par la nature des vents, qui sont plus forts et plus réguliers en mer, mais également par les choix de conception réalisés pour les éoliennes en mer », expose Daniel Averbuch. L’Europe bénéficie d’ailleurs d’un emplacement de choix : en mer du Nord, mer Baltique, Golfe de Gascogne, mer d’Irlande et mer de Norvège, les vents atteignent des facteurs de charge de 45 à 65 %, contre 35 à 45 % pour la Chine ou le Japon ou 40 à 55 % pour les États-Unis.

    Cette plus grande stabilité de production fait de l’éolien en mer un choix intéressant pour l’équilibre du mix énergétique. De plus, la production est complémentaire à celle d’autres énergies renouvelables : en Europe, en Chine ou aux États-Unis, elle est plus importante en hiver, à l’inverse de la production photovoltaïque.

    La puissance unitaire des éoliennes en mer est aujourd’hui de 10 MW, et l’industrie vise 15 MW et plus d’ici la fin de la décennie, explique Daniel Averbuch. C’est bien plus que les éoliennes à terre, plus petites pour limiter l’impact visuel, qui atteignent une puissance unitaire d’environ 3 MW.

    L’Agence Internationale de l’Énergie (AIE) estime3 le potentiel de l’éolien en mer à 420 000 TWh d’électricité par an, soit 11 fois la demande mondiale d’électricité en 2040.

    Source: https://www.polytechnique-insights.com/dossiers/energie/eoliennes-en-mer-goutte-deau-ou-tsunami-energetique/eoliennes-en-mer-une-energie-verte-et-bon-marche-a-fort-potentiel/

  • Un enjeu stratégique: Les grands fonds Sous-marins

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    Des ingénieurs du MIT ont développé un appareil photo sous-marin capable de fonctionner sans batterie et sans fil. Rechargé par les ondes sonores maritimes, l’appareil peut rester immergé plusieurs semaines et aider les scientifiques à mieux connaître les océans.

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    Cet appareil photo contient des matériaux piézoélectriques, capables de transformer les vibrations des ondes sonores en courant électrique.

    Article ultra complet: https://www.nature.com/articles/s41467-022-33223-x

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    Pari plus que gagné

    L’agence spatiale américaine a annoncé mardi avoir réussi à dévier un astéroïde de sa trajectoire en projetant fin septembre un vaisseau de la taille d’un réfrigérateur contre sa surface lors d’une mission test inédite, qui doit permettre à l’humanité d’apprendre à se protéger d’une éventuelle menace future.

    Cela aurait déjà été «considéré comme un énorme succès s’il (le vaisseau) avait seulement réduit l’orbite d’environ 10 minutes. Mais il l’a en fait réduite de 32 minutes», a-t-il ajouté. Avec cette mission, «la Nasa a prouvé que nous étions sérieux en tant que défenseurs de la planète», a-t-il affirmé.

    Source: https://www.bluewin.ch/fr/infos/sciences-technique/la-nasa-a-r-ussi-d-vier-un-ast-ro-de-de-sa-trajectoire-dans-un-test-de-d-fense-de-la-terre-1415397.html

    Après que la Nasa a réussi à percuter un astéroïde en 26 septembre, l’Agence spatiale européenne (ESA) va aller constater les dégâts. La mission Hera, dont le décollage est prévu fin 2024, vise notamment à construire un modèle de simulation numérique de la collision, qui pourrait servir si la Terre est un jour menacée de choc avec un astéroïde.

    Source: https://www.usinenouvelle.com/editorial/l-instant-tech-comment-l-agence-spatiale-europeenne-va-etudier-l-asteroide-frappe-par-la-mission-dart.N2051352

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    L’Australie veut faire pousser des plantes sur la Lune avec du sol terrestre d’ici 2025

    Des scientifiques australiens tenteront de faire pousser des plantes sur la lune d’ici 2025 dans le cadre d’une mission dévoilée vendredi qui pourrait selon eux aider à ouvrir la voie à une future colonie. Ces graines seraient déposées au sol par un atterrisseur israélien. Ce projet pourrait également servir de laboratoire pour trouver des solutions aux problèmes de sécurité alimentaire liés au réchauffement climatique.

    À moins que vous ne viviez dans une grotte, vous savez que plusieurs pays, les États-Unis en tête, ambitionnent de s’établir durablement sur la Lune. Au cours des premières années, il sera possible d’affréter des ressources depuis la Terre, mais de tels voyages ne sont pas tenables très longtemps. Ce projet très ambitieux implique donc le développement de nouvelles technologies qui permettront l’exploitation de ressources in situ. La question de pouvoir cultiver de la nourriture directement sur place intéresse de nombreux chercheurs.

    Il y a quelques mois, des scientifiques avaient réussi à faire pousser des plantes dans un sol lunaire pour la première fois. Ces échantillons avaient été rapportés il y a plus de cinquante ans dans le cadre des missions Apollo. Malheureusement, toutes ces plantes avaient poussé lentement et relativement mal. Il est donc peu probable que nous puissions en cultiver sur la Lune de sitôt.

    Des chercheurs australiens proposent une technique alternative : faire pousser des plantes dans un sol terrestre, mais directement sur la Lune.

    Porté par le biologiste végétal Brett Williams, de l’Université de technologie du Queensland, ce projet a été dévoilé ce vendredi. Dans l’idée, ces plantes, qui seront choisies en fonction de leur capacité à résister aux conditions extrêmes et de la rapidité avec laquelle elles germent, seraient arrosées à l’intérieur de la chambre scellée après l’atterrissage et surveillées pour détecter des signes de germination et de croissance.

    « Le projet est une première étape vers la culture de plantes pour la nourriture, la médecine et la production d’oxygène qui sont toutes essentielles à l’établissement de la vie humaine sur la lune« , ont déclaré les chercheurs.

    Caitlin Byrt, de l’Université nationale australienne de Canberra, a également déclaré que cette recherche pourrait également être pertinente pour les craintes en matière de sécurité alimentaire suscitées par le changement climatique. « Si vous pouvez créer un système pour faire pousser des plantes sur la Lune, alors vous pouvez créer un système pour faire pousser des aliments dans certains des environnements les plus difficiles de la Terre« , a-t-elle déclaré.

    Selon le plan, ces graines seraient transportées sur la Lune en 2025 par le vaisseau Beresheet 2, une mission privée israélienne développée par l’organisation à but non lucratif SpaceIL. Toutefois, pour l’heure, cette organisation ne s’y est jamais posée.

    En février 2019, un premier vaisseau nommé Beresheet de SpaceIL avait en effet décollé depuis la Floride à bord d’une fusée SpaceX dans le but d’atterrir en pleine Mer de la Sérénité. En cas de succès, Israël aurait alors pu devenir le quatrième pays à poser un engin sur notre satellite. Malheureusement, cet alunissage, tenté environ deux mois après le lancement, s’était soldé par un échec. Le moteur principal de l’atterrisseur était en effet tombé en panne pendant sa descente, avant de venir s’écraser en surface.

    Depuis, nous savions que SpaceIL devait à nouveau tenter sa chance à l’horizon 2024/2025 avec un nouvel atterrisseur. A priori, cette nouvelle tentative se fera donc en collaboration avec l’Australie.

    Source: https://sciencepost.fr/australie-veut-faire-pousser-plantes-sur-lune-dici-2025/