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    Fin mars, le président américain Joe Biden a annoncé un plan de R&D visant à développer les biotechnologies et la bioproduction avec l’objectif de réduire les émissions de carbone du pays. Peu relayé dans les médias, ce plan audacieux vise notamment à convertir 90% des plastiques pétrosourcés en biosourcés.

    Les Etats-Unis se disent prêts à se convertir aux plastiques biosourcés, mais à quelle échéance ?

    Le déclin de l’industrie pétrochimique américaine –et celle des plastiques par la même occasion- a débuté. L’administration Biden a annoncé, fin mars, dans un rapport intitulé “Biotechnology and biomanufacturing R&D to further climate change solutions”, son intention de développer la bioéconomie.

    Articulé autour de quatre thèmes, et une dizaine d’objectifs, le document de soixante pages énumère les moyens pour se passer des ressources fossiles. Au nom du climat, le président Biden engage son pays à convertir au moins 90% de sa production de plastiques pétrosourcés en produits biosourcés. Actuellement, le premier pays producteur de pétrole au monde, fabrique environ 56 millions de tonnes de polymères (sur un total dans le monde de 400 millions de tonnes estimé par Plastics Europe, l’association européenne qui regroupe les fabricants de matières).

    Encore marginale, la part des bioplastiques progresse. Ces polymères tirés de végétaux, pour certains biodégradables, permettent à l’industrie de réduire ses émissions de CO2 sans renoncer au plastique.

    Les bioplastiques sont souvent présentés comme alternative au plastique conventionnel et polluant. Ils ne sont pourtant pas aussi écologiques qu’il y paraît…

    Bioplastique est un terme général. En réalité, il y a deux types de bioplastiques :

    les plastiques « biosourcés ».[1] Leur matière première vient de la biomasse (végétaux, déchets de végétaux…) au lieu du pétrole.[2] Le terme « bio » dans « bioplastique » ne veut pas du tout dire qu’ils sont issus de l’agriculture bio.

    les plastiques biodégradables, qui sont censés se dégrader en éléments simples (carbone, hydrogène, oxygène…) dans des conditions données (en général en compostage industriel).

    Seuls les plastiques biodégradables sont réglementés afin d’éviter de diffuser des substances dangereuses dans l’environnement lors du processus de biodégradation. Par exemple, la législation interdit certains additifs qui ralentissent le processus de dégradation et peuvent être toxiques (phtalates, encres, colorants, agent de protection contre les UV, antioxydants ou retardateurs de flammes…).

    Sources: https://www.usinenouvelle.com/article/les-etats-unis-prets-a-se-convertir-aux-plastiques-biosources.N2118571
    et: https://www.usinenouvelle.com/editorial/le-plastique-reve-d-un-avenir-biosource.N1076409
    et: https://www.ecoconso.be/fr/content/les-bioplastiques-sont-ils-vraiment-ecologiques

  • Royaume-Uni: échec d’une mission spatiale historique

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    A court de liquidités, Virgin Orbit dépose le bilan

    Après l’échec du lancement de sa fusée LauncherOne en janvier, Virgin Orbit, la société de lancement de satellites de l’homme d’affaires britannique Richard Branson, jette l’éponge et cherche un repreneur.

    Un petit tour dans l’espace et puis s’en va ? A court de liquidités, Virgin Orbit Holdings, la société de lancement de satellites de l’homme d’affaires britannique Richard Branson basé à Long Beach, en Californie, a demandé mardi 4 avril à être placée sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites en vue d’obtenir la vente de ses actifs.

    Cette annonce, officialisée par communiqué, n’étonne pas. Le 30 mars, l’entreprise avait déjà annoncé le licenciement d’environ 85% de ses 750 employés du fait de «l’incapacité de l’entreprise à obtenir un financement significatif» à long terme pour l’aider à se remettre de l’échec de sa fusée LauncherOne, en janvier dernier. Ces licenciements devraient être pratiquement terminés d’ici au lundi 10 avril.

    La stratégie de Virgin Orbit consistait à lancer de petites fusées à partir d’un 747-400 en vol pour permettre des lancements à court terme à partir de n’importe quel endroit. Mais l’évolution de la demande vers des fusées de lancement plus grandes et des vols partagés plus rentables vers l’espace à bord de la fusée Falcon 9 de SpaceX au cours des deux dernières années a accru les enjeux concurrentiels pour Virgin Orbit, selon des analystes et experts du secteur.

    Virgin Investments, une unité de Virgin Group, fournira 31,6 millions de dollars (28,97 millions d’euros) d’argent frais à Virgin Orbit afin de financer ses opérations pendant qu’elle cherche un acquéreur, ont indiqué les sociétés. Virgin Orbit avait une valeur marchande de 65 millions de dollars selon le cours de clôture de lundi, alors qu’elle dépassait les 3 milliards de dollars il y a deux ans.

    Source: https://www.usinenouvelle.com/article/virgin-orbit-depose-le-bilan-et-cherche-un-repreneur.N2118586

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    4 chapitres :

    Les bases Recherches quantiques Microscopes Magnétisme

    https://toutestquantique.fr

    Réalisation Data-Burger, conseiller scientifique: J. Bobroff, avec le soutien de : Univ. Paris Sud, SFP, Triangle de la Physique, PALM, Sciences à l’Ecole, ICAM-I2CAM.

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    je ne sais pas quelle merde on va bouffer d’ici à quelques années mais ca part pas terrible

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    @duJambon a dit dans L’obésité aurait les mêmes effets sur le cerveau que la maladie d’Alzheimer :

    @mekas Ça valait le coup de rappeler aussi les méfaits de l’obésité, même si la perte de mémoire n’en est pas un symptôme…

    Certes ! Tout à fait d’accord.

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    @michmich Peut-être pas chez disney, mais chez fantasmes à la demande, ça va venir…

    Mais pour le moment, tant qu’il y a trop de doigts dans les mains et trop de dents dans la bouche, la clientèle est limitée… à part pervers pépère…

  • Photo de la terre à l'équinoxe

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  • Les obus à "uranium appauvri"

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    @mekas Non c’est sûr, mais je doute que les autres veuillent le suivre sur ce terrain parce que lui n’a plus rien à perdre, ils peuvent paraître aussi fou qu’ils veuillent le laisser penser, la plupart savent quand même que ce serait un point de non retour, on parle pas d’analphabètes non plus…

    On est plus du temps de la guerre froide lorsqu’ils avaient peur que les US leur balance une bombe nucléaire, ils ont eux même lancé une guerre conventionnelle, contre un pays qui n’a pas l’arme nucléaire, ils gesticulent parce que ça commence à sentir mauvais à cause du soutient de l’occident, alors même que ce n’est pas de l’armement de dingue qui a été envoyé jusque maintenant.

    La leurs attaques massives dernièrement n’ont rien donné au final, des chars de bonne qualité vont commencer à arriver sur le théâtre des opérations côté Ukrainien, qu’ils pourront utiliser avec le printemps, ça sent vraiment mauvais pour les Russes, les contre attaque vont bientôt débuter et vu comme les Ukrainiens gèrent depuis le début, je pense que ça risque de devenir difficile côté Russe et j’espère que ce sera le cas, ils ne méritent que ça même si une grande partie des soldats envoyés sur le front ne doivent même pas savoir pour quoi ils se battent au final, j’ai quand même de la peine pour eux.

  • Cette fois un astéroïde va vraiment frôler la terre

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    Un important astéroïde va passer entre la Terre et la Lune, ce samedi

    Repéré pour la première fois le 27 février 2023, l’astéroïde “2023 DZ2” mesure entre 28 et 90 mètres de diamètre et file à la vitesse de 28 000 kilomètres par heure.

    Plus précisément, sa trajectoire le fera voler pile entre la Terre et la Lune, autour de 20h50 (heure de Paris). Un tracé heureusement sans danger pour nous, et un phénomène récurrent très suivi par les scientifiques.

    Fraîchement découvert par la communauté scientifique, « comme le laisse entendre son nom, puisqu’il a été repéré pour la première fois le 27 février 2023″, explique à actu.fr Florent Deleflie, astronome à l’Observatoire de Paris, 2023 DZ2 fait partie de la famille des Apollon.

    Cet astéroïde est en orbite autour du Soleil, autour duquel il met deux à 10 ans à faire le tour. « Sa trajectoire est extensive, ce qui signifie que sa distance par rapport au Soleil varie. En fait, il se balade entre la Terre et la planète Jupiter », ajoute l’astronome.

    Malgré son passage à proximité de la Terre, pas de panique : il n’est question d’aucune collision avec notre planète, confirme Florent Deleflie. Et c’est justement grâce à sa vitesse.

    Heureusement pour nous, d’ailleurs, car ce beau morceau pourrait causer de sacrés dégâts s’il devait s’écraser sur la Terre. À titre de comparaison, Florent Deleflie évoque le météore de Tcheliabinsk, qui s’est écrasé en Russie en 2013.

    D’un diamètre de 20 mètres, la désintégration du « superbolide de Tcheliabinsk » avait fait près d’un millier de blessés. « 2023 DZ2 », pour rappel, mesure entre 28 et 90 mètres…

    Concernant l’observation du phénomène, il y a une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne, c’est que le spectacle sera visible. La mauvaise, ce que ce sera impossible à l’œil nu : l’astéroïde vole trop vite et trop loin de la Terre.

    « Mieux vaut se munir d’un télescope », prévient Florent Deleflie. Pour les plus équipés, rendez-vous autour de 20h50, donc, en levant les yeux « assez haut dans le ciel, au niveau de la Constellation du Cancer ».

    Pour les moins chanceux, en revanche, ne soyez pas trop déçus : 2023 DZ2 sera certainement de retour dans l’année. « Son passage entre la Terre et la Lune est récurrent, jusqu’à plusieurs fois par an ! », sourit l’astronome à l’Observatoire de Paris.

    Source: https://actu.fr/sciences-technologie/espace-un-important-asteroide-va-passer-entre-la-terre-et-la-lune-ce-samedi_58386251.html

  • Ce n'était pas une visite d'E.T.

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    on la deja dit, c’est juste un étron de galactus

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    Ce troisième échec fait suite à deux précédents essais annulés à la dernière minute à cause de problèmes techniques. Cette mission, baptisée “Good luck, have fun” (“Bonne chance, amuse-toi bien”, en français), est scrutée de près car les fusées imprimées en 3D pourraient représenter une petite révolution dans l’industrie du lancement.

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    La première fusée imprimée en 3D a décollé mercredi de Cap Carnaval, en Floride aux Etats-Unis. © AP

    La fusée Terran 1, de la start-up californienne Relativity Space, devait recueillir des données et démontrer qu’une fusée imprimée en 3D pouvait résister aux rigueurs du décollage et des vols spatiaux. Au total, 85% de la masse de la fusée a été imprimée en 3D, et l’entreprise vise les 95% à l’avenir.

    Avantage principal de la technique: simplifier grandement le processus de fabrication et réduire ainsi les coûts. Avec ses grands robots d’impression 3D, la compagnie affirme diviser par 100 le nombre de pièces par rapport à une fusée traditionnelle. Elle met aussi en avant la rapidité de la méthode: 60 jours, de la matière première au produit fini.

    Terran 1 mesure 33,5 mètres de haut et un peu plus de 2 mètres de diamètre. Son premier étage comporte neuf moteurs, également imprimés en 3D. Son objectif: être capable de placer 1.250 kg en orbite terrestre basse (des petits satellites, par exemple), ce qui en fait un lanceur léger. Mais ce premier vol ne contient pas de charge utile.

    La fusée aurait dû atteindre, 80 secondes après le décollage, le point où la force aérodynamique exercée sur l’engin est la plus élevée (max Q, dans le jargon). C’est l’étape cruciale du vol, selon le jeune patron de Relativity Space.

    “Nous avons déjà prouvé au sol ce que nous espérons prouver en vol – que lorsque la pression dynamique et la tension sur le véhicule sont au plus haut, les structures imprimées en 3D peuvent résister à ces forces”, avait tweeté début mars Tim Ellis.

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    Après la séparation du premier étage de la fusée, le second aurait dû poursuivre sa route jusqu’à atteindre l’orbite terrestre – 8 minutes après le décollage. Réussir cette étape dès le premier vol aurait été “sans précédent”, avait dit Tim Ellis.

    En effet, la fusée utilise du méthalox comme carburant, un mélange d’oxygène liquide et de gaz naturel liquéfié (essentiellement du méthane). Si elle avait réussi à atteindre l’orbite, il s’agirait de la première fusée utilisant ce carburant à y parvenir.

    Relativity Space, qui promeut la vision de long terme d’une humanité vivant sur plusieurs planètes, fait valoir qu’il s’agit du carburant “du futur”, le plus facile à produire sur Mars. Les fusées en développement Vulcan, de United Launch Alliance (ULA), et Starship, de SpaceX, doivent également utiliser ce carburant.

    Une première tentative de lancement de Terran 1 avait été abandonnée le 8 mars à cause d’un problème de température de carburant. Puis, le 11 mars, le décollage avait été annulé à deux reprises dans les dernières secondes du compte à rebours, d’abord à cause d’un problème d’automatisation, puis à cause d’un souci de pression du carburant.

    Quel que soit le degré de réussite du vol inaugural de Terran 1, les données récoltées serviront aussi pour l’élaboration de sa grande soeur: Terran R. Cette plus grosse fusée, également développée par Relativity Space, devra elle être capable de transporter 20.000 kg jusqu’en orbite basse.

    La société a déjà signé pour 1,65 milliard de dollars de contrats, la majorité pour Terran R, selon Tim Ellis. L’un d’eux a été passé avec l’entreprise OneWeb, dont la constellation de satellites doit fournir internet depuis l’espace.

    Ce type de fusée “moyenne-lourde est clairement là où se trouve l’opportunité de marché la plus importante pour le reste de la décennie, avec une pénurie énorme actuellement dans cette classe de charge utile”, avait tweeté Tim Ellis.

    Un opérateur de satellite peut attendre des années avant d’obtenir une place dans les grosses fusées d’Arianespace ou de SpaceX. Des dizaines de start-up se sont donc lancées ces dernières années pour répondre à une demande en plein boom. Le nombre de satellites lancés est passé d’environ 120 en 2012 à plus de 2.700 en 2022, selon l’entreprise spécialisée Euroconsult.

    Source: https://www.7sur7.be/sciences/la-premiere-fusee-imprimee-en-3d-echoue-a-atteindre-son-orbite~ab588979/

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    Les pauvres astronomes n’ont pas fini de se plaindre avec la constellation prévue de 13 000 satellites chinois

    Une vidéo qui en parle.
    @duBoudin, Il y est aussi question de communication quantique à partir de satellites, à partir de 07:38

  • La NASA repère des cercles "inhabituels" sur Mars

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    Le 3 mars 2023, des scientifiques de la NASA ont publié des images prises par la sonde Mars Reconnaissance Orbiter (MRO) qui montrent des cercles “inhabituels” sur la surface de la planète. Ces images font partie d’une étude portant sur la fonte du gel à la fin de l’hiver martien.

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    Vidéo: https://www.7sur7.be/sciences/la-nasa-repere-des-cercles-inhabituels-sur-mars~a63c7af0/

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    Des chercheurs du Korea Institute of Science and Technology (KIST) et du Myongji University de Séoul ont mis au point une nouvelle technologie capable de purifier l’eau tout en générant de l’énergie renouvelable. Il s’agit d’une membrane à deux couches, facile à fabriquer et qui ne coûte pas cher.

    Dans l’article publié dans la revue Advanced Materials, les auteurs de l’étude décrivent leur produit comme étant « une membrane de génération d’électricité et de purification pour le recyclage de l’eau ». Ainsi, la membrane peut transformer les eaux usées, l’eau de mer ainsi que les eaux souterraines en eau potable.

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    Selon l’équipe de scientifiques, plus de 95 % des contaminants d’une taille inférieure à un cent millionième de mètre ont été filtrés par la membrane. Parmi les contaminants, il y avait des particules de métaux lourds et de microplastiques. Le nouveau dispositif peut également fonctionner quelle que soit l’acidité de la source d’eau (pH allant de 1 à 10).

    La membrane est constituée de deux couches disposées en sandwich. La couche supérieure est un polymère conducteur, tandis que la couche inférieure est un filtre poreux. Lorsque l’eau contaminée est versée sur la couche supérieure, elle crée un flux croisé d’ions en se déplaçant latéralement sur la membrane. En utilisant des électrodes à chaque extrémité de la membrane, les ions peuvent être récoltés sous forme de courant électrique.

    Les chiffres obtenus lors des tests expérimentaux sont assez faibles étant donné la petite taille du prototype testé en laboratoire. Les auteurs de l’étude affirment cependant que la membrane possède « des performances de génération d’énergie élevées ».

    D’après les résultats, sur une période de temps non spécifiée, la membrane a produit un niveau de puissance maximal de 16,44 microwatts et a généré un maximum de 15,16 millijoules d’énergie. La production d’électricité est également continue. Avec seulement 10 microlitres d’eau, le système a pu produire de l’électricité pendant plus de trois heures.

    En ce moment, l’équipe effectue des recherches de suivi afin d’adapter la taille du matériel à la taille des usines. Dans un communiqué de presse, les chercheurs ont indiqué que la membrane avait un fort potentiel de commercialisation puisqu’elle peut être fabriquée grâce à un processus d’impression simple sans restriction de taille. De plus, les coûts de fabrication sont faibles et le produit présente un temps de traitement relativement court.

    Pour Ji-Soo Sang, auteur principal de l’étude, ce nouveau matériau a un potentiel en tant que source d’énergie renouvelable de nouvelle génération.

    Sources: https://www.fredzone.org/cette-membrane-speciale-purifie-leau-tout-en-produisant-de-lelectricite-arl390
    Et: https://newatlas.com/technology/kist-water-purification-electricity/

    Reste à voir si la membrane se nettoie facilement et que faire des polluants récoltés.

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    @Violence houla prépare les sucres pour Gilbert demain matin

    Sinon ca m’étonne que ca n’ait pas été inventer plus tôt, c’est malin mais en espérant que ca ne coute pas une blinde

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    il y a les complotistes et les autres …

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    Les taches blanches sur cette image ne sont ni des étoiles ni des galaxies. Ce sont des trous noirs.

    L’image ci-dessus peut ressembler à une image assez normale du ciel nocturne, mais ce que vous regardez est bien plus spécial que de simples étoiles scintillantes. Chacun de ces points blancs est un trou noir .

    Et chacun de ces trous noirs dévore de la matière au cœur d’une galaxie à des millions d’années-lumière - c’est ainsi qu’ils pourraient être identifiés.

    Publiée en 2021, cette image contient 25 000 points de ce type. Il s’agit de la carte la plus détaillée à ce jour des trous noirs à basses fréquences radio, une réalisation qui a pris des années et un radiotélescope de taille européenne à compiler.

    “C’est le résultat de nombreuses années de travail sur des données incroyablement difficiles”, a expliqué l’astronome Francesco de Gasperin de l’Université de Hambourg en Allemagne en février 2021.

    “Nous avons dû inventer de nouvelles méthodes pour convertir les signaux radio en images du ciel.”

    Lorsqu’ils traînent sans faire grand-chose, les trous noirs n’émettent aucun rayonnement détectable, ce qui les rend beaucoup plus difficiles à trouver.

    Lorsqu’un trou noir accumule activement de la matière - en l’enroulant à partir d’un disque de poussière et de gaz qui l’entoure comme l’ eau encercle un drain - les forces intenses impliquées génèrent un rayonnement sur plusieurs longueurs d’onde que nous pouvons détecter à travers l’immensité de l’espace.

    Ce qui rend l’image ci-dessus si spéciale, c’est qu’elle couvre les longueurs d’onde radio ultra-basses, telles que détectées par le LOFAR (LOw Frequency ARray ) en Europe. Ce réseau interférométrique se compose d’environ 20 000 antennes radio, réparties sur 52 sites à travers l’Europe.

    Actuellement, LOFAR est le seul réseau de radiotélescopes capable d’imagerie haute résolution profonde à des fréquences inférieures à 100 mégahertz, offrant une vue du ciel sans pareille.

    Cette publication de données, couvrant quatre pour cent du ciel du nord, était la première du plan ambitieux du réseau visant à imager tout le ciel du nord en ultra-basses fréquences, le LOFAR LBA Sky Survey (LoLSS).

    Parce qu’il est basé sur la Terre, LOFAR a un obstacle important à surmonter qui n’affecte pas les télescopes spatiaux : l’ionosphère.

    Ceci est particulièrement problématique pour les ondes radio ultra-basse fréquence , qui peuvent être réfléchies dans l’espace. Aux fréquences inférieures à 5 mégahertz, l’ionosphère est opaque pour cette raison.

    Les fréquences qui pénètrent dans l’ionosphère peuvent varier selon les conditions atmosphériques. Pour surmonter ce problème, l’équipe a utilisé des superordinateurs exécutant des algorithmes pour corriger les interférences ionosphériques toutes les quatre secondes. Au cours des 256 heures pendant lesquelles LOFAR a regardé le ciel, cela fait beaucoup de corrections.

    C’est ce qui nous a donné une vue si claire du ciel ultra-basse fréquence.

    “Après de nombreuses années de développement de logiciels, c’est tellement merveilleux de voir que cela a maintenant vraiment fonctionné”, a déclaré l’astronome Huub Röttgering de l’Observatoire de Leiden aux Pays-Bas.

    Les résultats ont été publiés dans Astronomy & Astrophysics .

    Source: https://www.sciencealert.com/the-white-specks-in-this-image-arent-stars-or-galaxies-theyre-black-holes

    Une version de cet article a été publiée pour la première fois en février 2021.

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    Merveilleux ! Après avoir défoncé 90 % de la biodiversité animale, on va mettre en conflit les espèces végétales OGM spatiales avec celles qui tentent tant bien que mal de perdurer malgré nos multiples agressions caractérisées !
    Dans la famille Annihilator qui se prend pour Dieu, je voudrais… l’être humain ! :blase:

  • Comment TikTok a ba*sé le cerveau d'une génération.

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    Quand même y’a pas que Tiktok, ils nous arrivent de croiser des fois, pas toujours, des abrutis finis IRL mais sur le net, sans le moindre effort, t’en croise une flopée ahurissante partout sur le net même dans un simple site parlant jardinage avec en guise de conte de fée paranoïaque, un mec en pleins délire social…ça fait très peur si on est dans un monde apocalyptique et qu’il faudrait, par exemple, reconstruire la planète je te jure.

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    Après quelques déboires financiers, les mini-satellites et mini-lanceurs du New Space rencontrent des difficultés techniques : le New Space n’est pourtant pas condamné.

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    La barre est haute pour le New Space, car il s’agit de viser à la fois le “low cost” et la mise en œuvre de nouvelles technologies, supposées justement réduire les coûts de production, ce qui entraîne de facto l’acceptation du risque, donc des échecs.

    Malgré ces ennuis, de nombreuses sociétés du New Space ont réussi tant bien que mal à développer leurs produits, et les premières missions spatiales voient le jour. Elles ne sont pas toutes des succès, loin s’en faut.

    Dans la revue SpaceNews de janvier 2023, Jeff Foust, éditeur et analyste, dresse, dans un article intitulé “Deep space smallsats face big challenges” (Les petits satellites de l’espace lointain affrontent de grands défis), la liste des échecs de plusieurs missions en espace lointain (hors orbite terrestre) à base de cubesats [2], lancés par SLS en novembre dernier.

    Il recense :

    Luna-H Map : défaillance de la tuyère de propulsion. Omotenash, NEA Scout, CuSP, Lunar IceCube et LunIR : défaillance du système de télécommunication (et probablement de la batterie pour CuSP). Team Miles : défaillance du système de contrôle d’orbite.

    Heureusement, le tableau n’est pas tout noir :

    LunIR a validé les performances d’un senseur infrarouge monté avec son cryostat dans un cubesat 6U. Equuleus a testé une nouvelle tuyère à jet d’eau. ArgoMoon a pu photographier la Terre et la Lune.

    Selon Jeff Foust, la réussite des nano-satellites en orbite terrestre a conduit les ingénieurs à extrapoler l’expérience acquise à des missions plus exigeantes vers la Lune et au-delà. Extrapolation encouragée par le succès, en mars 2018, des deux cubesats “jumeaux” MarCO qui, après avoir accompagné en 2018 la sonde martienne Insight, en ont relayé les données de télémétrie lorsqu’elle descendait sur Mars. Mais voilà : le “better, faster, cheaper” de l’approche New Space ne peut pas toujours marcher, ce serait trop facile ! Et les récents échecs d’Astra et d’ABL côté américain, et surtout du très médiatisé Virgin Orbit côté anglais, sont là pour rappeler que la mise au point d’une nouvelle technologie ne se décrète pas et ne peut aboutir du jour au lendemain.

    Source et plus: https://www.usinenouvelle.com/blogs/rodolphe-krawczyk/trou-d-air-technique-pour-le-new-space-mais-pas-de-panique.N2094866