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  • La NASA repère des cercles "inhabituels" sur Mars

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    Le 3 mars 2023, des scientifiques de la NASA ont publié des images prises par la sonde Mars Reconnaissance Orbiter (MRO) qui montrent des cercles “inhabituels” sur la surface de la planète. Ces images font partie d’une étude portant sur la fonte du gel à la fin de l’hiver martien.

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    Vidéo: https://www.7sur7.be/sciences/la-nasa-repere-des-cercles-inhabituels-sur-mars~a63c7af0/

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    Des chercheurs du Korea Institute of Science and Technology (KIST) et du Myongji University de Séoul ont mis au point une nouvelle technologie capable de purifier l’eau tout en générant de l’énergie renouvelable. Il s’agit d’une membrane à deux couches, facile à fabriquer et qui ne coûte pas cher.

    Dans l’article publié dans la revue Advanced Materials, les auteurs de l’étude décrivent leur produit comme étant « une membrane de génération d’électricité et de purification pour le recyclage de l’eau ». Ainsi, la membrane peut transformer les eaux usées, l’eau de mer ainsi que les eaux souterraines en eau potable.

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    Selon l’équipe de scientifiques, plus de 95 % des contaminants d’une taille inférieure à un cent millionième de mètre ont été filtrés par la membrane. Parmi les contaminants, il y avait des particules de métaux lourds et de microplastiques. Le nouveau dispositif peut également fonctionner quelle que soit l’acidité de la source d’eau (pH allant de 1 à 10).

    La membrane est constituée de deux couches disposées en sandwich. La couche supérieure est un polymère conducteur, tandis que la couche inférieure est un filtre poreux. Lorsque l’eau contaminée est versée sur la couche supérieure, elle crée un flux croisé d’ions en se déplaçant latéralement sur la membrane. En utilisant des électrodes à chaque extrémité de la membrane, les ions peuvent être récoltés sous forme de courant électrique.

    Les chiffres obtenus lors des tests expérimentaux sont assez faibles étant donné la petite taille du prototype testé en laboratoire. Les auteurs de l’étude affirment cependant que la membrane possède « des performances de génération d’énergie élevées ».

    D’après les résultats, sur une période de temps non spécifiée, la membrane a produit un niveau de puissance maximal de 16,44 microwatts et a généré un maximum de 15,16 millijoules d’énergie. La production d’électricité est également continue. Avec seulement 10 microlitres d’eau, le système a pu produire de l’électricité pendant plus de trois heures.

    En ce moment, l’équipe effectue des recherches de suivi afin d’adapter la taille du matériel à la taille des usines. Dans un communiqué de presse, les chercheurs ont indiqué que la membrane avait un fort potentiel de commercialisation puisqu’elle peut être fabriquée grâce à un processus d’impression simple sans restriction de taille. De plus, les coûts de fabrication sont faibles et le produit présente un temps de traitement relativement court.

    Pour Ji-Soo Sang, auteur principal de l’étude, ce nouveau matériau a un potentiel en tant que source d’énergie renouvelable de nouvelle génération.

    Sources: https://www.fredzone.org/cette-membrane-speciale-purifie-leau-tout-en-produisant-de-lelectricite-arl390
    Et: https://newatlas.com/technology/kist-water-purification-electricity/

    Reste à voir si la membrane se nettoie facilement et que faire des polluants récoltés.

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    @Violence houla prépare les sucres pour Gilbert demain matin

    Sinon ca m’étonne que ca n’ait pas été inventer plus tôt, c’est malin mais en espérant que ca ne coute pas une blinde

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    il y a les complotistes et les autres …

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    Les taches blanches sur cette image ne sont ni des étoiles ni des galaxies. Ce sont des trous noirs.

    L’image ci-dessus peut ressembler à une image assez normale du ciel nocturne, mais ce que vous regardez est bien plus spécial que de simples étoiles scintillantes. Chacun de ces points blancs est un trou noir .

    Et chacun de ces trous noirs dévore de la matière au cœur d’une galaxie à des millions d’années-lumière - c’est ainsi qu’ils pourraient être identifiés.

    Publiée en 2021, cette image contient 25 000 points de ce type. Il s’agit de la carte la plus détaillée à ce jour des trous noirs à basses fréquences radio, une réalisation qui a pris des années et un radiotélescope de taille européenne à compiler.

    “C’est le résultat de nombreuses années de travail sur des données incroyablement difficiles”, a expliqué l’astronome Francesco de Gasperin de l’Université de Hambourg en Allemagne en février 2021.

    “Nous avons dû inventer de nouvelles méthodes pour convertir les signaux radio en images du ciel.”

    Lorsqu’ils traînent sans faire grand-chose, les trous noirs n’émettent aucun rayonnement détectable, ce qui les rend beaucoup plus difficiles à trouver.

    Lorsqu’un trou noir accumule activement de la matière - en l’enroulant à partir d’un disque de poussière et de gaz qui l’entoure comme l’ eau encercle un drain - les forces intenses impliquées génèrent un rayonnement sur plusieurs longueurs d’onde que nous pouvons détecter à travers l’immensité de l’espace.

    Ce qui rend l’image ci-dessus si spéciale, c’est qu’elle couvre les longueurs d’onde radio ultra-basses, telles que détectées par le LOFAR (LOw Frequency ARray ) en Europe. Ce réseau interférométrique se compose d’environ 20 000 antennes radio, réparties sur 52 sites à travers l’Europe.

    Actuellement, LOFAR est le seul réseau de radiotélescopes capable d’imagerie haute résolution profonde à des fréquences inférieures à 100 mégahertz, offrant une vue du ciel sans pareille.

    Cette publication de données, couvrant quatre pour cent du ciel du nord, était la première du plan ambitieux du réseau visant à imager tout le ciel du nord en ultra-basses fréquences, le LOFAR LBA Sky Survey (LoLSS).

    Parce qu’il est basé sur la Terre, LOFAR a un obstacle important à surmonter qui n’affecte pas les télescopes spatiaux : l’ionosphère.

    Ceci est particulièrement problématique pour les ondes radio ultra-basse fréquence , qui peuvent être réfléchies dans l’espace. Aux fréquences inférieures à 5 mégahertz, l’ionosphère est opaque pour cette raison.

    Les fréquences qui pénètrent dans l’ionosphère peuvent varier selon les conditions atmosphériques. Pour surmonter ce problème, l’équipe a utilisé des superordinateurs exécutant des algorithmes pour corriger les interférences ionosphériques toutes les quatre secondes. Au cours des 256 heures pendant lesquelles LOFAR a regardé le ciel, cela fait beaucoup de corrections.

    C’est ce qui nous a donné une vue si claire du ciel ultra-basse fréquence.

    “Après de nombreuses années de développement de logiciels, c’est tellement merveilleux de voir que cela a maintenant vraiment fonctionné”, a déclaré l’astronome Huub Röttgering de l’Observatoire de Leiden aux Pays-Bas.

    Les résultats ont été publiés dans Astronomy & Astrophysics .

    Source: https://www.sciencealert.com/the-white-specks-in-this-image-arent-stars-or-galaxies-theyre-black-holes

    Une version de cet article a été publiée pour la première fois en février 2021.

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    Merveilleux ! Après avoir défoncé 90 % de la biodiversité animale, on va mettre en conflit les espèces végétales OGM spatiales avec celles qui tentent tant bien que mal de perdurer malgré nos multiples agressions caractérisées !
    Dans la famille Annihilator qui se prend pour Dieu, je voudrais… l’être humain ! :blase:

  • Comment TikTok a ba*sé le cerveau d'une génération.

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    Quand même y’a pas que Tiktok, ils nous arrivent de croiser des fois, pas toujours, des abrutis finis IRL mais sur le net, sans le moindre effort, t’en croise une flopée ahurissante partout sur le net même dans un simple site parlant jardinage avec en guise de conte de fée paranoïaque, un mec en pleins délire social…ça fait très peur si on est dans un monde apocalyptique et qu’il faudrait, par exemple, reconstruire la planète je te jure.

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    Après quelques déboires financiers, les mini-satellites et mini-lanceurs du New Space rencontrent des difficultés techniques : le New Space n’est pourtant pas condamné.

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    La barre est haute pour le New Space, car il s’agit de viser à la fois le “low cost” et la mise en œuvre de nouvelles technologies, supposées justement réduire les coûts de production, ce qui entraîne de facto l’acceptation du risque, donc des échecs.

    Malgré ces ennuis, de nombreuses sociétés du New Space ont réussi tant bien que mal à développer leurs produits, et les premières missions spatiales voient le jour. Elles ne sont pas toutes des succès, loin s’en faut.

    Dans la revue SpaceNews de janvier 2023, Jeff Foust, éditeur et analyste, dresse, dans un article intitulé “Deep space smallsats face big challenges” (Les petits satellites de l’espace lointain affrontent de grands défis), la liste des échecs de plusieurs missions en espace lointain (hors orbite terrestre) à base de cubesats [2], lancés par SLS en novembre dernier.

    Il recense :

    Luna-H Map : défaillance de la tuyère de propulsion. Omotenash, NEA Scout, CuSP, Lunar IceCube et LunIR : défaillance du système de télécommunication (et probablement de la batterie pour CuSP). Team Miles : défaillance du système de contrôle d’orbite.

    Heureusement, le tableau n’est pas tout noir :

    LunIR a validé les performances d’un senseur infrarouge monté avec son cryostat dans un cubesat 6U. Equuleus a testé une nouvelle tuyère à jet d’eau. ArgoMoon a pu photographier la Terre et la Lune.

    Selon Jeff Foust, la réussite des nano-satellites en orbite terrestre a conduit les ingénieurs à extrapoler l’expérience acquise à des missions plus exigeantes vers la Lune et au-delà. Extrapolation encouragée par le succès, en mars 2018, des deux cubesats “jumeaux” MarCO qui, après avoir accompagné en 2018 la sonde martienne Insight, en ont relayé les données de télémétrie lorsqu’elle descendait sur Mars. Mais voilà : le “better, faster, cheaper” de l’approche New Space ne peut pas toujours marcher, ce serait trop facile ! Et les récents échecs d’Astra et d’ABL côté américain, et surtout du très médiatisé Virgin Orbit côté anglais, sont là pour rappeler que la mise au point d’une nouvelle technologie ne se décrète pas et ne peut aboutir du jour au lendemain.

    Source et plus: https://www.usinenouvelle.com/blogs/rodolphe-krawczyk/trou-d-air-technique-pour-le-new-space-mais-pas-de-panique.N2094866

  • Quelle heure est-il sur la Lune ?

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    Question apparemment idiote dont la réponse pourrait être la même que sur terre, à savoir cela dépend de l’endroit où l’on se trouve.

    La revue Nature publie un article d’Elizabeth Gibney qui aborde cet aspect plutôt surprenant de l’exploration lunaire.

    D’ici quelques années, l’activité robotique et humaine sur la Lune sera forte. Pour que ces missions fonctionnent ensemble, se localisent et se synchronisent correctement les unes par rapport aux autres, il sera nécessaire de définir un temps lunaire. En effet, les missions lunaires, dont certaines seront automatiques et autonomes, auront besoin d’un temps lunaire officiel, c’est-à-dire reconnu idéalement par tous les pays (Union européenne, États-Unis, Chine…), pour coopérer et communiquer ensemble. Sans quoi, la situation pourrait devenir chaotique avec le risque que la plupart de ces missions ne fonctionnent pas de manière coordonnée. C’est d’autant plus un problème à prendre très au sérieux que, malgré la taille du pôle sud, Chinois et Américains n’ont rien trouvé de mieux que d’envisager de s’installer aux mêmes endroits !

    Jusqu’à présent, le problème ne se pose pas. Il y a trop peu de missions simultanées pour que cela soit un problème de sorte qu’elles n’ont pas besoin d’un système horaire propre à la Lune. Actuellement, elles se localisent à l’aide de signaux radio envoyés à de grandes antennes sur Terre à des heures prédéfinies et utilisent leur propre échelle de temps qui est liée au Temps Universel Coordonné (UTC), la norme par laquelle les horloges de la Planète sont réglées. Cela fonctionne très bien aujourd’hui mais, lorsque des dizaines de missions devront travailler ensemble, cela posera un problème. Les antennes terrestres utilisées seront insuffisantes et le temps UTC se révélera bien trop imprécis pour une parfaire coordination des activités robotiques et humaines sur la Lune.

    Actuellement, la Lune n’a pas de temps indépendant, et définir une heure lunaire n’est pas aussi simple qu’il y parait. Les horloges sur Terre et sur la Lune ne tournant pas naturellement aux mêmes vitesses, en raison des champs gravitationnels différents des deux corps.

    Comme l’explique Elizabeth Gibney dans son article, définir l’heure lunaire n’est pas facile. « Bien que la définition d’une seconde soit la même partout, la théorie de la relativité restreinte stipule que les horloges tournent plus lentement dans des champs gravitationnels plus forts. L’attraction gravitationnelle de la Lune est plus faible que celle de la Terre, ce qui signifie que, pour un observateur sur Terre, une horloge lunaire devrait tourner plus vite qu’une sur Terre. Concrètement, une horloge lunaire gagnerait environ 56 microsecondes en 24 heures et rapport à une horloge terrestre, sa vitesse changerait également subtilement en fonction de son emplacement sur la surface lunaire, en raison de la rotation de la lune ».

    Pour définir une heure lunaire officielle, plusieurs options sont à l’étude, basées sur un système d’horloge conçu pour se synchroniser avec l’UTC ou tout simplement être affranchie de l’heure terrestre. La réunion du mois de novembre dernier avait comme but de commencer à rédiger des recommandations sur la manière de définir l’heure lunaire. Mais, l’idée serait d’établir un temps lunaire indépendant de l’UTC de sorte que le modèle fonctionnera sur d’autres planètes, comme Mars par exemple.

    Dans ce scénario, rappel Elizabeth Gibney, les « jours sur la Lune pourraient également être définis différemment de ceux sur Terre, pour tenir compte du temps entre le midi solaire depuis la Lune et la Terre, en moyenne 29,5 jours terrestres. Les jours terrestres seront toujours importants pour les astronautes, étant donné le besoin humain de sommeil dans un cycle d’environ 24 heures ». À plus long terme, il sera également utile de s’interroger sur l’utilité de diviser le temps lunaire universel en fuseaux horaires liés à la position du Soleil dans le ciel, surtout si l’activité humaine venait à s’étendre et coloniser de vastes régions lunaires.

    Source: https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/exploration-heure-il-lune-103316/

    Vital également pour le GPS Lunaire: https://planete-warez.net/topic/2980/la-lune-future-guerre-des-étoiles/4?_=1675841498906

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    Que devient la Tesla envoyée dans l’espace par Elon Musk il y a cinq ans?

    Encore un an dans les dents 🙂

    Il y a cinq ans jour pour jour, Space X envoyait la Tesla Roadster d’Elon Musk en orbite. À l’époque, la société spatiale indiquait que la voiture était partie pour un voyage sans fin à travers le cosmos. À l’heure de son anniversaire, les données estiment que le véhicule a fait environ trois boucles et un quart autour du soleil, et se trouve à environ 327 millions de kilomètres de la Terre, selon le site web de suivi whereisroadster.com.

    La voiture a parcouru plus de 4 milliards de kilomètres dans l’espace. Il est difficile de dire avec certitude où se trouve le véhicule ou s’il est encore en un seul morceau. Il y a de fortes chances qu’il ait été endommagé par une météorite ou rendu méconnaissable par les radiations. Il n’y a pas eu d’observations directes du Roadster depuis son lancement en 2018. Les données actuelles se basent uniquement sur des estimations calculées de son orbite. Les astronomes n’ont pas beaucoup de raisons de le suivre activement, car il ne représente pas de grande valeur scientifique.

    Source: https://www.7sur7.be/sciences/que-devient-la-tesla-envoyee-dans-lespace-par-elon-musk-il-y-a-cinq-ans~af78e6ae/

    Ils auraient pu prévoir une grande ellipse pour étudier l’état de la voiture en vue d’un long voyage vers mars, mais bon…

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    Une série de 5 vidéos (de 15 mn) d’un bon niveau, qui aborde le sujet sous tous ses aspects en mettant à mal quelques idées reçues.

    Existe-t-il ailleurs dans l’univers des formes de vie extraterrestres ?
    Si vous posez cette question à quelqu’un au hasard, vous avez de bonnes chances d’obtenir une réponse affirmative. Car même pour un esprit rationnel, et en mettant de côté les fantasmes sur les ovnis et autres petits hommes verts, il paraît en général impensable qu’il n’existe pas quelque part dans l’immensité du cosmos, sur l’une des milliards de milliards de planètes de l’univers observable, d’autres êtres vivants.

    Remarquez aussi qu’on ne vous demande jamais savez-vous s’il existe une vie extraterrestre ? On est bien d’accord, qu’apparemment personne sur terre ne peut se vanter d’avoir la moindre réponse à cette question-là.
    On se contente fatalement de demander si on y croit, et étrangement, alors même qu’aucune preuve scientifiquement recevable ne nous est jamais parvenu pour le soutenir, souvent, et bien oui, on y croit.

  • L’éolienne qui tue moins d’oiseaux

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    Une start-up suisse a mis au point une éolienne dont les pales sont verticales, ce qui lui assure un fonctionnement plus silencieux et un impact moindre sur l’avifaune. Mais ce n’est pas la seule raison qui explique qu’elle suscite moins d’oppositions.

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    Les éoliennes Vertical Sky possèdent plusieurs avantages par rapport aux éoliennes traditionnelles, explique Chris Stewart, responsable commercial d’Agile Wind Power: «Elles tournent plus lentement et sont donc plus silencieuses.» Alors que les modèles classiques atteignent le niveau sonore d’un marteau-piqueur au niveau de leur mât, Vertical Sky affiche 85 décibels (dB), ce qui correspond au bruit d’une tondeuse à gazon.
    «La construction des pales à la verticale et la rotation lente entraînent en outre un impact moindre sur les oiseaux», ajoute Laurenz Zellweger, responsable de la communication de l’entreprise (et revendique -90% d’impacts). La station ornithologique de Sempach partage d’ailleurs cette appréciation.

    Source: https://www.20min.ch/fr/story/leolienne-qui-tue-moins-doiseaux-695863077760
    et: https://www.agilewindpower.com/en

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    @Ashura les chinois et les russes auraient pu être les premiers sur l’une d’entre elles! loosers :mouhaha:

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    Pendant ce temps-là, certains s’interrogent sur l’intelligence d’une autre sorte d’animal “l’animal politique” :ahah:

    «L’effondrement du niveau intellectuel de la classe politique est une menace pour la démocratie»

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    Las Vegas (4 janvier 2023) - Pale Blue fournit un système de propulsion à vapeur d’eau (moteur à eau) pour un nano-satellite (cubesat) du projet STAR SPHERE de Sony. Le système de propulsion entrera et maintiendra l’orbite du satellite, qui volera en orbite terrestre basse à une altitude de 500 km à 600 km. Tirant parti de sa technologie, le système de propulsion à eau prolongera la durée de vie du satellite de 2,5 ans.

    Le projet Sony STAR SPHERE s’efforce de libérer la perspective des gens sur l’espace grâce à la puissance de la technologie. Le projet vise à créer des opportunités pour que les gens nourrissent leurs réflexions sur l’environnement mondial et les problèmes sociaux en observant librement la Terre depuis l’espace.

    Le nano-satellite du projet a été lancé par SpaceX Falcon 9 le 3 janvier 2023 , marquant la première démonstration spatiale en orbite de Pale Blue d’un système de propulsion à vapeur d’eau . À l’avenir, Pale Blue fera progresser la science et la technologie en innovant le système de propulsion sûr à base d’eau pour créer la prochaine génération d’infrastructures de mobilité spatiale.

    Pale Blue a été choisi par Sony pour assurer la propulsion en orbite de son projet Star Sphere, qui proposera des images fixes et des services vidéo 4K à usage artistique et éducatif et fournira des " perspectives spatiales ".

    Le premier satellite de Sony pour le projet a été lancé avec 113 autres satellites au sommet d’une Falcon 9 Transporter 6, le 3 janvier. Le cubesat 6U s’appelle Star Sphere-1 et embarque une caméra plein format.

    Source et plus: https://pale-blue.co.jp/news/303/

  • Tentative d'utilisation d'une I.A. sur la lune

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    Avertissement: le terme I.A. est à prendre avec des pincettes, dans ce cas, il désigne un système capable d’apprendre de manière limitée et autonome dans le cadre de ses instructions.

    Un alunisseur construit par une entreprise japonaise qui emporte un véhicule lunaire fabriqué par les Émirats arabes unis (EAU) va tester une I.A. d’une entreprise canadienne sur le rover Rashid qui aidera les machines à distinguer les minéraux.

    https://planete-warez.net/topic/2584/spacex-a-une-fois-de-plus-reporté-le-lancement-de-l-atterrisseur-lunaire-japonais-hakuto-r/2?_=1675072410267

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    Le rover Rashid, hébergé sur l’atterrisseur japonais ispace, devrait atterrir ce printemps à la recherche de minéraux et d’autres objets d’intérêt sur la surface lunaire. Le système canadien éclairera la prise de décision du rover, une grande première pour l’IA : aucune IA n’a jamais atteint une distance au-delà de l’orbite terrestre basse auparavant, selon les responsables de l’entreprise.

    Si cela fonctionne, la technologie sera importante pour la poussée lunaire de la NASA, a déclaré Ewan Reid, PDG de Mission Control Space Services (MCSS), à Space.com. “L’IA sera un outil essentiel pour prendre des décisions à bord des engins spatiaux”, a déclaré Reid. Ce travail s’étend non seulement à la recherche d’eau sur la lune, ce que la NASA prévoit de faire avec ses missions Artemis , mais aussi à rendre l’observation de la Terre plus efficace. Et MCSS, une entreprise de seulement 40 personnes à ce jour, vise à être aux commandes.

    Quand la plupart des gens pensent à la technologie canadienne dans l’espace, ils pensent à des projets flashy comme Canadarm : la série de bras robotiques qui a servi la navette, la Station spatiale internationale et bientôt, la Gateway station lunaire Des observateurs plus avisés peuvent également citer la médecine spatiale ou même fusées comme domaines technologiques dans lesquels le Canada possède une expertise.

    Cependant, le MCSS représente ce que font de nombreuses petites entreprises spatiales canadiennes : fournir des logiciels ou des composants essentiels qui volent en arrière-plan, alimentant des missions partout dans le monde. L’entreprise n’annonce pas tout son travail; Souvent, les clients du MCSS veulent attirer l’attention des médias sur leur propre mission, a déclaré Reid.

    “C’est pourquoi cette démonstration [d’IA] avec l’Agence spatiale canadienne est agréable, car elle relève du domaine public et nous sommes autorisés à en parler”, a déclaré Reid.

    Si tout se passe comme prévu, Rashid courra pendant environ un jour lunaire (29 jours terrestres) à la surface. On ne s’attend pas à ce qu’elle dure la nuit lunaire, mais en tant que mission de démonstration, c’est très bien pour le MCSS. Il a l’intention de tirer parti de quelques jours précieux sur la lune.

    Le MCSS recevra les images de navigation du rover Rashid via l’atterrisseur japonais, qui gérera les communications avec la Terre. Avec l’algorithme de la société canadienne, “chaque pixel de l’image [sera] classé comme un certain type de terrain”, a déclaré Reid.

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    “Cette sortie sera ensuite envoyée au sol et sera utilisée par les scientifiques et les ingénieurs de notre bureau à Ottawa, ainsi que dans d’autres universités canadiennes, pour aider à décider où le rover devrait aller”, a-t-il ajouté. Les futures missions sortiront l’humain “hors de la boucle des décisions” une fois que les ingénieurs seront convaincus que l’IA sait distinguer les différents minéraux et distinguer les éléments de mission critiques comme les roches et les cratères.

    Sur la lune, l’IA peut économiser une grande partie de la bande passante satellitaire limitée, car elle ne partagerait que les données, les images et les vidéos dont les scientifiques ont besoin, a déclaré Reid. La technologie peut être réutilisée dans tout le système solaire, y compris des applications telles que la détection de navires “sombres” sur Terre essayant de naviguer sans enregistrement, ou le filtrage des nuages ​​à partir d’images planétaires.

    “Nous voyons une énorme opportunité pour déployer l’IA à la périphérie, dans l’espace”, a déclaré Reid. Si tout se passe comme prévu, la démonstration lunaire permettra au MCSS “de soutenir d’autres entreprises et organisations dans leurs efforts pour déployer l’IA dans leurs missions à l’avenir”.

    Source: https://www.space.com/moon-artificial-intelligence-system-first-solar-system

  • Requiem pour la théorie des cordes

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    Mais qui relève de ce que l’on savait il y a 30 ans… une éternité.

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    C’est curieux que la Chine fasse, encore une fois, bande à part.
    Ceci dit, si leur station est montée avec la même efficacité et rigueur que leur vaccin ou leurs avions, il y a de quoi être méfiant.

  • Ceci n'est pas un ovni

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    @duJambon a dit dans Ceci n'est pas un ovni :

    Notez également le nombre ahurissant d’étoiles filantes et la diversité de leurs trajectoires.

    Compte tenu du time lapse, je pense qu’il s’agit plutôt de satellites . En nombre ahurissant !