Discussions générales

On parle de tout le reste

655 Sujets 7.7k Messages
  • [Sondage] 4K light ou 1080p?

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    @Cellule732
    je vais faire un test 😉

  • Blog music Flac

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    @duBoudin Ok désolé

  • fin de i.P.T.v ???

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    Re : IPTV GÉNÉRALISTE - Discussions Générales

    bonsoir, je ne sais pas si je peux poster le sujet ici… sinon je le déplacerais…

    Je viens de voir cet article

    https://geeko.lesoir.be/2022/12/27/vers-la-fin-de-liptv/

    faut il s’en inquiéter , ou c’est un effet d’annonce…?

  • Le youtubeur Norman mis en garde à vue.

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    En fait il a été mis en garde à vue.
    ce qui ne veux pas dire qu’il est en prison contrairement à ce que dit le titre.

  • Lire des mkv dolby vision sur lg oled ?

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    @sureeb Bonjour, Il existe qu’une seul solution pour lire du MKV Dolby Vision sur LG Oled : PLEX

    Sur ton PC : tu Install Plex serveur, tu connecte ton SDD Externe sur PC .

    Tu télécharges l application Plex sur TV LG. Tu synchronise l enregistrement avec ton PC Serveur .

    Tu lance un FIlm 4K Dolby vision sur ta tv LG qui va le chercher sur ton SDD Externe de ton PC.

    Uniquement PLEX accept le dobly vision sur LG Oled .
    Inconvénient … il faut toujours laisser le PC allumé 😉

    Sinon j’ai mon propre serveur avec des 1000 FILMS 4K Dolby vision pour LG Oled et HDR10 + pour tv Samsung

    C’est gratuit 😉 pour toute demande c’est ici : https://discord.gg/GnXGWRXR

  • Disque dur multimédia ( Dune HD )

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    @Rapace Je voulais te tenir au courant 😃 J’ai craquer pour la marque Zidoo, et non pas Dune HD, car il y en avais plus en stock. J’ai fais pas mal de recherche et il sont presque similaire. Du coup sa fais 2 semaines que je le possède (modèle ZIDOO Z9X ) ses juste magique sa lis vraiment tout iso mkv BDMW ETC.

    L’interface est vraiment bien et mieux que Dune HD a ce qui parait sur les forums, je regrette pas mon achat.

    Encore merci pour tes infos de la dernière fois. Et si un jour ta besoin d’infos sur la marque Zidoo vue que j’en possède un n’hésite pas a poser des question.

  • Le wokisme frappe encore

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    @Memorex91
    Il serait temps également qu’il y aie autant de touches noires que de touches blanches sur un piano…
    text alternatif

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    Loin d’être une nouveauté, l’usurpation d’identité consiste à utiliser, par moyens détournés, le nom, prénom et données d’un tiers, à son insu. Elle a connu ses heures de gloire à travers d’innombrables affaires, en région parisienne, autour de Sarcelles, (Val-d’Oise) notamment, où de véritables réseaux organisés avaient pillé des comptes bancaires en falsifiant de nombreux documents (fiches de paie, justificatifs de domicile…), en contractant des crédits à la consommation.

    Si les organismes bancaires traditionnels se montrent de plus en plus exigeants sur les ouvertures de compte et la délivrance des moyens de paiement, ce n’est pas forcément le cas pour les organismes uniquement présents sur le web. Certaines officines de crédit à la consommation se contentent de quelques justificatifs (RIB, fiches de paie et facture d’électricité) sans pousser plus loin les vérifications. « Pour les escrocs, c’est un jeu d’enfants, poursuit ce spécialiste. Une fois qu’ils ont mis la main sur une carte d’identité, il suffit de réaliser de faux documents sous le nom de la victime et d’agir très vite ». Il y a quelques années, de fausses pièces d’identité pouvaient se revendre entre 300 et 5000€ dans des bars de Seine-Saint-Denis.

    Selon une enquête du Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie, l’usurpation d’identité touche plus de 210 000 Français chaque année. La digitalisation croissante aggrave le phénomène. Chaque année, des milliers de données personnelles, en Europe, sont récupérées par des escrocs spécialisés dans les montages de dossiers frauduleux.

    Ces informations récupérées illicitement sur des sites internet non sécurisés donnent lieu à un véritable marché de revente sur des plateformes spécialisées. Dans le haut du spectre de la délinquance, ces données nourrissent des membres de réseaux criminels, en lien avec le trafic d’armes et les stupéfiants. Selon une enquête de Kaspersky Lab, spécialiste russe de la protection des systèmes informatiques, « plus de 60 000 identités numériques volées ont été découvertes à la vente, en 2019, sur le « darkweb », les réseaux parallèles cachés sur la Toile.

    Le fait d’usurper l’identité d’un tiers en vue de porter atteinte à son honneur est puni d’un an de prison et de 15 000 € d’amende, selon l’article 226-4-1 du Code pénal. Ce délit est puni des mêmes peines lorsque l’usurpation est commise sur internet (phishing, keyloggers ou écoute électronique).

    Source: https://www.ladepeche.fr/2022/12/22/suicide-de-regis-paluzzano-comment-lusurpation-didentite-est-devenue-un-jeu-denfants-en-france-10882239.php

  • Je suis quand même vachement étonné

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    Je te remercie @duBoudin. C’est clairement exprimé et j’ai tout compris du premier coup.

    Votre vision du partage me plait bien du coup et je vais faire mon possible pour me fondre dans le peu.

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  • Y'a un arrivage ?

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    @duJambon Ah ok ! Mode “Asile”. J’comprends. J’ai déjà vécu plusieurs exodes.

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    Le plus simple ne plus acheter des Iphones.
    Comme disait un humoriste célèbre “il suffirai que l’on achète pas pour que ça se vende plus”

  • Passerelle multimedia avec choix des sous titres

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    @duJambon Merci pour la réponse.
    J’en ai testé plusieurs, et pour pouvoir regarder mes vidéos sous titrées, il fallait effectivement que je passe par une appli (par forcément terrible d’ailleurs) ou alors vlc que je devais rajouter, et pour faire tout ça, obligée de passer par une compte google. Je vais continuer mes recherches 🙂 Bonne soirée 🙂

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    Lobbying, recrutement, financement : les géants américains du numérique ont tissé ces dernières années une “toile d’influence” en France, dénoncée dans un rapport d’une trentaine de pages publié mardi par l’Observatoire des multinationales, une association qui milite pour l’encadrement des activités de lobbying.

    “Les filiales françaises des Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) ont déclaré en 2021 la somme de 4,075 millions d’euros de dépenses de lobbying en France, contre 1,35 million en 2017, soit une multiplication par trois”, affirme l’association en se fondant sur les données de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). L’association se donne comme mission d’éclairer les relations entre grands acteurs économiques et pouvoir politique.

    Google est la plus dépensière, avec plus d’1,6 million d’euros, devant Microsoft (1,1 million) et Amazon (850 000 euros).

    Les cinq entreprises “ont également déclaré un total de 72 activités de lobbying (rendez-vous avec des décideurs publics, échanges téléphoniques…) en 2021, contre 15 en 2017”, un ordre de grandeur qui les situe “au même niveau que les plus actifs des groupes du CAC40 en matière de lobbying en France”.

    Autre pratique signalée par l’Observatoire : les “portes tournantes”, qui consistent pour les géants du numérique “à recruter du personnel passé par le secteur public”.

    Parmi une foule de noms, l’association cite par exemple Yohann Bénard, directeur des affaires publiques Europe d’Amazon France passé par Bercy et Matignon, ou Sébastien Gros, directeur des affaires gouvernementales d’Apple et “proche collaborateur” de l’ancien Premier ministre Manuel Valls.

    “Le cas le plus emblématique est cependant celui de Benoît Loutrel, directeur des relations institutionnelles et des politiques publiques chez Google France de 2018 à 2020, qui est l’ancien directeur général de l’autorité de régulation Arcep”, regrette l’Observatoire.

    L’influence des géants du numérique passe aussi par leurs liens financiers avec les médias ou les think tanks, pointe l’association, qui prend notamment l’exemple de l’Institut Montaigne, soutenu financièrement par Google, Amazon et Microsoft, ou des contrats conclus par Google avec la presse française (l’AFP a aussi un accord avec Google, NDLR).

    “Dans ses prises de décision relatives au secteur numérique, l’État ne dispose souvent que d’une expertise limitée” et serait donc obligé de s’en remettre aux “industriels” du numérique, ce que l’Observatoire qualifie de “lobbyisme passif”.

    En conclusion, l’association appelle les pouvoirs publics à “muscler leur expertise numérique, soutenir véritablement les alternatives aux Gafam et favoriser la montée en puissance de la société civile sur ces sujets”.

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    On espère que la Corée du Nord va faire pareille pour la Russie

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    Pendant la campagne électorale 2022, l’équipe d’Éric Zemmour s’est démarquée par son industrialisation des techniques de manipulation de l’information sur les réseaux sociaux. Mais un regard sur les quelques années écoulées montre qu’à peu près toutes les forces politiques françaises utilisent ou ont utilisé des tactiques de distorsion des discours en ligne.

    Le 10 avril 2022, à 20 heures, Emmanuel Macron et Marine Le Pen sortent vainqueurs du premier tour des élections présidentielles françaises, avec 27,85 et 23,15 % des voix respectivement. Derrière eux, Jean-Luc Mélenchon, 21,95 %, et Éric Zemmour, 7,07 % des voix. Ce dernier score tranche avec la surreprésentation du candidat d’extrême droite sur les réseaux sociaux pendant la campagne.

    Une des explications possibles à l’échec du polémiste le jour du vote a commencé à être documentée dès février 2022, alors que Le Monde révélait l’usage que faisait l’équipe de Reconquête de techniques de distorsion des discours sur les réseaux sociaux : en ligne, une bonne partie de l’engouement pour l’ex-chroniqueur du Figaro était faussée.

    Un rapport de l’Institute for Strategic Dialogue (ISD) vient détailler les ressorts du phénomène : dès janvier 2021, soit 18 mois avant le scrutin, le groupe Les Amis d’Éric Zemmour a publié des pétitions utilisées ensuite sur Twitter et Facebook pour tenter d’influencer le discours médiatique en faveur du candidat. Appelée astroturfing, la pratique va à l’encontre des conditions d’utilisation des grands réseaux sociaux, puisqu’elle constitue une activité dite « inauthentique ».

    Si Reconquête s’est distingué par l’industrialisation de son usage, c’est loin d’être le seul mouvement à recourir à ces tactiques de manipulation difficiles à repérer pour l’internaute.

    L’astroturfing, une technique ancienne

    De même que la présence en ligne des politiques ne date pas d’hier – le site web du Front National, premier parti français à se lancer sur Internet, en 1996 – l’astroturfing date de bien avant l’avènement des réseaux sociaux. Issue d’un jeu de mots en anglais, l’expression oppose la marque de gazon artificiel AstroTurf au terme grassroot, « populaire », qui désigne aussi, littéralement, les racines d’un gazon.

    En communication, cela consiste à monter de toutes pièces un mouvement pour faire croire à l’observateur extérieur à un engouement civique légitime. « Ça existait avec le collage, l_’envoi en masse de courrier aux électeurs,_ souligne le chercheur Nicolas Vanderbiest, spécialiste des phénomènes d’influence en ligne. Simplement, le numérique et les réseaux sociaux ont rendu ces opérations beaucoup plus simples à réaliser. »

    De fait, le chercheur décortique depuis une dizaine d’années le bruit en ligne pour en évaluer la pertinence. « Vers 2016-2017, j’ai vu mon environnement d’étude, Twitter, muter vers une tendance extrêmement polémique et militante ».

    En France, les premiers signes en sont l’explosion du hashtag #TelAvivSurSeine, qui provoque rapidement des articles dans Le Monde, 20 Minutes ou l’Express quand bien même le sujet n’est poussé que par un très faible nombre de militants pro-palestiniens.

    Un an plus tard, c’est le sujet du burkini qui est poussé par l’extrême droite jusqu’à être commenté sur les plateaux télé. Chaque fois, la logique est la même : quelques comptes tweetent abondamment sur un sujet précis, ils sont repris par un ou des journaux qui leur donnent une forme de crédibilité, puis la polémique enfle jusqu’à occuper tout l’espace.

    Une tactique de désinformation en ligne courante…

    Depuis, la pratique s’est répandue. Au tournant de l’élection de Donald Trump et du scandale Cambridge Analytica, des cas d’ingérence étrangère inquiètent. À deux jours du premier tour de la présidentielle 2017, la publication sur Wikileaks de 9 Go de données provenant du piratage d’En Marche! soulève les craintes d’une manipulation russe – lors de cette campagne, l’alt-right américaine a aussi tenté d’influencer les débats pour promouvoir Marine Le Pen.

    Mais se tourner automatiquement vers des groupes étrangers pour analyser ces déformations serait se bercer d’illusion. Auteur de Toxic Data et créateur du Politoscope, qui analyse l’activité politique française sur Twitter, le mathématicien David Chavalarias a noté dès les débuts de la campagne de 2017 un mouvement d’amplification des discours anti-Macron et anti-Mélenchon orchestré par des comptes français pour privilégier les thématiques d’extrême droite. Le phénomène a touché jusqu’à l’UMP, puisque la brusque apparition du hashtag #AliJuppé, très principalement tweeté par la droite et l’extrême droite, a servi à déstabiliser les primaires de l’UMP et à pousser la candidature de François Fillon.

    Déformer la discussion, que ce soit dans ou hors des périodes électorales, « tout le monde le fait, souffle Nicolas Vanderbiest. Et c’est parce que tout le monde le fait que chacun peut se défendre en disant “si je ne le fais pas, je ne survivrai pas”. »

    Effectivement, en 2018, le hashtag #BenallaGate suscite en quelques jours plus de tweets que le seul #BalanceTonPorc, une manipulation que Nicolas Vanderbiest détecte comme faussée – certains comptes proches du Front National tweetent jusqu’à 1 000 messages par heure, ce qui laisse supposer des pratiques automatisées.

    En 2019, Le Monde et Mediapart montrent comment des militants marcheurs multiplient les faux comptes pour augmenter la visibilité des informations qui les intéressent ou harceler des « cibles ». En 2021, c’est sur les pratiques virulentes du Printemps Républicain que revient Slate. En 2022, les militants Insoumis organisent des raids pour faire grimper leur candidat dans les tendances…

    … aux contours débattus

    Si bien que, pour le spécialiste des médias sociaux Fabrice Epelboin, lorsqu’on parle d’un nombre réduit de militants qui s’organisent pour rendre visible un sujet qui les arrange, ce n’est même plus de l’astroturfing, « c’est devenu une tactique classique de militantisme. »

    Pour lui, les pratiques consistant à reprendre et amplifier un message, tant qu’elles ne sont pas assistées de bots, de faux comptes et/ou de personnes payées pour amplifier le bruit comme dans l’affaire Avisa Partners, sont un nouveau mode d’action politique et non une déformation de l’usage des réseaux. Et les deux experts en la matière, parce qu’ils savent si bien « utiliser des discours clivants pour se propulser dans les discussions médiatiques, sont Éric Zemmour et Sandrine Rousseau » estime l’entrepreneur.

    Sauf que la propension à cliver ne vient pas des seules forces politiques, elle est ancrée dans l’architecture des plateformes sociales. « Celles-ci sont construites pour favoriser les contenus sensationnels, promotionnels, qui divisent » rappelle David Chavalarias. En cinq ans, cela s’est traduit par une « polarisation nette des échanges pour observer, en 2022, un pôle d’extrême-droite et un autre autour de la gauche radicale » alors que toutes les couleurs politiques étaient représentées de manière relativement équilibrée en 2017.

    Par ailleurs, les conditions d’utilisation des plateformes sont claires : chez Twitter, il est interdit d’utiliser le réseau « d’une manière qui vise à (…) amplifier artificiellement des informations, et d’adopter un comportement qui manipule ou perturbe l’expérience des utilisateurs ». Côté Meta, l’authenticité est déclarée « pierre angulaire de notre audience » et les usagers ont interdiction de « mentir sur leur identité sur Facebook, utiliser de faux comptes, augmenter de manière artificielle la popularité de leur contenu ».

    L’architecture numérique source d’oppositions

    Co-autrice du rapport de l’ISD, la coordinatrice de recherche Zoé Fourel note pourtant que lesdites plateformes n’ont absolument pas réagi aux violations de leurs règles par les militants proches d’Éric Zemmour. L’immense majorité des tweets et publications qui ont permis de propulser en trending topic (sujet tendance sur Twitter) étaient non pas le fait d’une foule de citoyens engagés, mais d’un minuscule nombre de profils sur le réseau social – dans un cas sur dix, c’était le responsable de la stratégie numérique Samuel Lafont qui twittait lui-même les contenus destinés à attirer l’attention du public et des médias.

    Et cela a fonctionné un temps : en septembre 2021, comptait Acrimed, l’éditorialiste multi-condamné pour provocation à la haine raciale était cité 4 167 fois dans la presse française, soit 139 fois par jour. En janvier 2022, les sondages lui annonçaient 14 % des voix d’électeurs.

    Ce que les médias et les internautes doivent comprendre, estime David Chavalarias, c’est à quel point « les plateformes sociales ont un effet structurel sur les interactions sociales elles-mêmes : non seulement elles prennent vos données, mais elles façonnent aussi la discussion et les interactions. »

    Cela finit par créer des stratégies d’influence à part entière, indique le chercheur : « promouvoir des idées aussi clivantes que la théorie du grand remplacement ou l’existence d’un islamo-gauchisme, c’est forcer le positionnement de l’internaute dans un camp : celui du pour ou celui du contre ». Par ailleurs, des chercheuses comme Jen Schradie ont montré la tendance des plateformes à favoriser les idées conservatrices, ce qu’un rapport interne à Twitter est venu confirmer fin 2021. L’architecture de nos arènes numériques, conclut David Chavalarias, « a pour effet de simplifier le business politique pour le rendre bipolaire. »

    Que faire, face à ces phénomènes dont on commence tout juste à prendre la mesure ? Dans le discours politique, une réaction pourrait venir des partis et des militants eux-mêmes. L’équipe de Joe Biden, aux États-Unis, puis celle d’Emmanuel Macron, en France, ont adopté de nouvelles stratégies dans les campagnes présidentielles récentes : celle de ne plus communiquer, sur Twitter, que sur des éléments positifs (c’est-à-dire peu ou non clivants) et actions de leurs candidats. Ce faisant, ils s’éloignent de la machine à clash instituée par le réseau social.

    « Il faudrait que les plateformes commencent par implémenter leurs propres règles », pointe par ailleurs Zoé Fourel, qui plaide pour une ouverture de leurs données pour faciliter le travail des chercheurs et les audits extérieurs.

    « Ajouter des étiquettes sur l’activité suspectée d’illégitimité pourrait aussi aider les utilisateurs à s’y retrouver. Sans parler du besoin de coopération entre plateformes : quand une campagne est menée sur Twitter, elle a aussi des échos sur Facebook et ailleurs en ligne ». La chercheuse suggère de reproduire les partenariats existant pour lutter contre certains contenus extrêmes.

    Source : nextinpact.com

  • Pour votre jogging à New Delhi ou a Paris...

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    En mars de cette année, Dyson a présenté le “Zone”. Les spécifications du casque le plus spécial sont désormais connues. L’année prochaine, ce modèle supra-auriculaire avec filtre à air sera disponible en Suisse.

    Selon Dyson, l’autonomie de la batterie de la “Zone” est de 50 heures pour écouter de la musique. Mais cela n’est valable que si la purification de l’air n’est pas activée. Il existe trois niveaux différents qui affectent l’autonomie de la batterie de manière différente : Un débit d’air faible donne 4 heures d’autonomie, un débit moyen 2,5 heures et un débit élevé 1,5 heure. La batterie est complètement rechargée en trois heures.

    La visière de purification de l’air, qui se trouve devant la bouche et le nez, est amovible. Cela signifie que vous pouvez utiliser le “Zone” comme un casque normal. Une fois la visière de purification d’air montée, elle filtre 99% des particules de l’air que vous respirez, selon Dyson.

    En revanche, “Zone” n’a pas été testé pour détecter les agents pathogènes COVID-19. Ceci parce que la propagation des coronavirus est due à “une multitude complexe de variables”, écrit Dyson dans son communiqué de presse. Cependant, le virus de la grippe H1N1 (Influeza) et les bactériophages MS ont été testés.

    Le système de filtration et l’arrivée d’air élimineraient spécifiquement les gaz acides et nocifs largement répandus dans les villes, selon le fabricant. De plus, Dyson indique que la “Zone” filtre les gaz suivants : NO₂, SO₂, O₃ - c’est-à-dire l’oxyde d’azote, le dioxyde de soufre et l’ozone. Les filtres, qui se trouvent dans les oreillettes avec les mini-ventilateurs, durent un an.

    Un capteur intégré aux écouteurs détermine également les niveaux d’oxyde d’azote dans l’environnement et les affiche sur l’application MyDyson. Le niveau de bruit ambiant peut également être consulté dans l’application.

    Pour que le porteur du “Zone” ne soit pas seulement protégé de l’air vicié, mais aussi du bruit, Dyson a intégré onze microphones au casque, qui doivent réduire le bruit ambiant de 38 décibels grâce à la réduction active du bruit. De plus, le “Zone” doit également avoir un bon son, Dyson le décrit comme un casque haute fidélité avec un spectre de fréquences de 6 Hz-21 kHz.

    Sans la visière, le “Zone” pèse 595 grammes. C’est lourd - à titre de comparaison, les AirPods Max d’Apple ne pèsent que 385 grammes. Avec la visière, le casque de purification d’air pèse 670 grammes.

    Source et plus: https://www.digitec.ch/fr/page/dyson-zone-le-casque-de-purification-dair-arrive-25807

  • Les studios Ghibli font recette

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    Hop une idée cadeau pour noël

  • Bon c'est confirmé le covid vient bien du labo de wuhan

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    Covid-19 : contamination animale, fuite d’un laboratoire… 3 ans après le premier cas, où en est l’enquête sur l’origine du virus ?

    https://www.ladepeche.fr/2022/12/02/covid-19-contamination-animale-fuite-dun-laboratoire-3-ans-apres-le-premier-cas-ou-en-est-lenquete-sur-lorigine-du-virus-10839803.php

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    vu que c’est en Belgique,ils pourraient lancer le black Frieday !