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    Le FBI soupçonne Snapchat de propager une drogue mortelle

    source : https://www.01net.com/actualites/fbi-soupconne-snapchat-propager-drogue-mortelle.html

    26 janvier 2023 Florian Bayard Journaliste

    Un trafic de médicaments contrefaits s’organise sur Snapchat. Certains de ces médicaments, uniquement disponibles sur ordonnance, contiennent une drogue mortelle : le fentanyl. Plusieurs adolescents sont morts à la suite à l’ingestion des pilules…

    Le FBI (Federal Bureau of Investigation) et le ministère de la Justice des États-Unis viennent d’ouvrir une enquête sur Snapchat, rapportent nos confrères de Bloomberg. Citant des personnes proches de l’affaire, le média affirme que le réseau social est évoqué dans le cadre d’une vaste investigation concernant les médicaments contrefaits en ligne.

    L’enquête s’intéresse surtout à la crise du Fentanyl. Cette drogue dure, un analgésique très puissant conçu en Belgique dans les années 50, fait des ravages en Amérique du Nord depuis quelques années. Bien plus puissante que l’héroïne, elle a provoqué une série de décès aux États-Unis. Aussi addictive que bon marché, elle est souvent mélangée à des stupéfiants populaires tels que l’héroïne, la cocaïne ou le speed. Cette pratique permet aux trafiquants de maximiser leurs bénéfices… au détriment de la santé des consommateurs. La présence du fentanyl accroît en effet les risques d’overdose.

    D’après CNBC, la situation a été évoquée lors d’une table ronde organisée par la Chambre des représentants des États-Unis. Lors de celle-ci, la mère d’un adolescent décédé après avoir ingéré du Fentanyl a été entendue. Apparemment, la drogue se trouvait dans un analgésique, normalement sur prescription, vendu en ligne.

    Un médicament contrefait vendu sur Snapchat

    Les agents du FBI chargés de l’enquête sur le Fentanyl estiment que les victimes se sont fournies par le biais d’un dealer trouvé sur Snapchat. Pour confirmer leurs soupçons, les enquêteurs cherchent actuellement à accéder aux comptes des victimes de la drogue. Par le biais d’un vendeur contacté sur le réseau social, les victimes pensaient acheter un médicament anti-douleur classique. En passant par Snapchat, elles cherchaient à se procurer des substances sans avoir besoin d’une ordonnance délivrée par un médecin. Entre 2019 et 2021, le nombre de décès de jeunes de 10 à 19 ans liés au Fentanyl a grimpé de 182,2 %. Dans 25 % des cas, des pilules contrefaites étaient à l’origine de la mort.

    Présente lors de la réunion de la Chambre, l’avocate Carrie Goldberg du Social Media Victims Law Center, a assuré que le problème ne venait pas des réseaux sociaux en général. La juriste visait précisément Snapchat, dont le fonctionnement est idéal pour les trafiquants :

    « Les ventes létales de fentanyl ne sont pas un problème général de la Big Tech. C’est un problème spécifique à Snap. Le produit de Snap est conçu spécifiquement pour attirer à la fois les enfants et les activités illicites des adultes ».

    Depuis sa création en 2011, Snapchat permet d’envoyer des photos ou des vidéos éphémères, les fameux Snaps. Cette fonctionnalité empêche de garder une trace des échanges, ce qui ravit évidemment les trafiquants. Dans le sillage de Snapchat, de nombreuses applications concurrentes ont ajouté la possibilité d’envoyer des contenus éphémères, comme Facebook Messenger ou Instagram. Ces communications sont une aubaine pour les criminels, qui veulent éviter de laisser des preuves derrière eux.

    Snapchat, une plaque tournante de la drogue

    Ces dernières années, Snapchat est progressivement devenu l’une des principales plaques tournantes de la drogue en ligne. Plusieurs enquêtes judiciaires, notamment en France, révèlent que les dealers de stupéfiants s’appuient sur l’application pour communiquer avec leurs clients, et même faire de la publicité pour leurs produits. La pandémie de Covid-19, accompagnée de ses confinements à rallonge, a accéléré la migration des dealers de la rue vers les réseaux sociaux. Avec les contacts adéquats, on peut aisément commander des drogues dures (cocaïne, héroïne, ecstasy, amphétamine…) ou douces (cannabis) via Snapchat, avec la même facilité qu’on commande une pizza.

    « Avant l’existence de Snapchat, il n’y avait aucun moyen pour ces revendeurs de trouver ces enfants, et aucun moyen de leur apporter la drogue », regrette Laura Marquez-Garrett, avocate au Social Media Victims Law Center.

    Conscient de l’invasion des dealers, Snap a pris des mesures pour protéger ses utilisateurs, particulièrement les plus jeunes. L’an dernier, Snapchat s’est mis à limiter les suggestions comptes appartenant à des adolescents âgés de 13 à 17 ans auprès d’adultes. De cette manière, les potentiels dealers, ou des prédateurs sexuels, auront plus de mal à contacter les jeunes. Par contre, rien n’empêche un adolescent en quête de drogue de contacter un vendeur…

    Au cours de l’année écoulée, le réseau social a par ailleurs supprimé plus de 400 000 comptes ayant mis en ligne des contenus avec de la drogue. Contactée par Bloomberg au sujet de l’épidémie de Fentanyl, l’entreprise d’Evan Spiegel déclare tout mettre en œuvre pour traquer les vendeurs de substances illicites sur sa plate-forme :

    « Nous nous engageons à faire notre part pour lutter contre la crise nationale d’empoisonnement au fentanyl, qui comprend l’utilisation d’une technologie de pointe pour nous aider à trouver et à fermer de manière proactive les comptes des trafiquants de drogue ».

    Pour lutter contre la drogue, Snapchat bloque aussi les résultats de recherche concernant des mots liés aux médicaments. L’application redirige automatiquement les utilisateurs vers des informations officielles sur les risques du Fentanyl.

    Contrairement à ce que prétend Carrie Goldberg, Snapchat n’est pas la seule plate-forme gangrenée par le trafic de drogue. Pour écouler leurs produits, les trafiquants passent également par des messageries comme WhatsApp et Telegram. Sur ces messageries chiffrées, les dealers organisent leur business de la même manière qu’une boutique légitime. On y croise des opérations promotionnelles, des formules d’abonnement et des livraisons à domicile. D’après Gus Michael Bilirakis, élu républicain à la Chambre des représentants, le trafic de drogues passe aussi par Facebook Messenger.

    Source : Bloomberg

    Florian Bayard

    Journaliste

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    Il nous avait prévenus
    “Le dollar est notre monnaie, mais c’est votre problème”

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    Pendant que le principal tunnel ferroviaire pour relier Lyon et Turin se creuse sous les Alpes, avec un chantier supplémentaire lancé en décembre, les autorités françaises réfléchissent toujours au tracé des voies d’accès, en promettant des précisions prochainement.

    Une grande arche s’ouvre dans la montagne: début décembre à la Sainte-Barbe, patronne des mineurs, les travaux de percement de l’entrée française du tunnel de base pour la future ligne à grande-vitesse ont débuté. Trois kilomètres supplémentaires pour ce chantier colossal, un dossier lancé en 1992, financé par Bruxelles pour désengorger les routes.

    A l’heure actuelle, un peu plus de 30 kilomètres sur plus de 162 km prévus ont été creusés sous la montagne - au double tronçon de 57,5 km s’ajoutent galeries de service, rameaux de communication et accès intermédiaires-, explique à l’AFP Xavier Darmendrail, directeur du territoire France pour TELT, la société maîtresse d’ouvrage.

    La mise en service du tunnel est prévue pour 2032. Au plus fort des excavations, vers 2024-2025, “sept tunneliers creuseront en même temps”, explique M. Darmendrail.

    Suite et source ici : https://information.tv5monde.com/info/lyon-turin-le-tunnel-avance-les-nouvelles-voies-ferrees-se-font-attendre-cote-francais-485651

  • merci !!!

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    @Snoubi bonsoir, tu es tombé sur la mauvaise personne alors car moi je ne donne rien si ce n’est un lien. Actuellement nous sômmes plus de 900. Penses tu que 900 resteraient avec un ou des textups 😂😂 toi peut être moi pas. Bonne nuit et bonweek end à toi

  • Aimez vous la magie (prestidigitation) ?

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    je leur ai fait les 2 épingles entre elles que je sais diviser mais il y a en plein dont certains se retrouve sur youtube !

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    Le texte instaure le recours à la vidéo-surveillance algorithmique et renforce l’arsenal répressif concernant les manifestations sportives.

    C’est l’histoire d’un texte répondant aux besoins d’une manifestation sportive d’envergure, et qui aborde finalement peu cette manifestation sportive d’envergure.

    Ce mardi 17 janvier, le projet de loi « Organisation des jeux Olympiques et Paralympiques 2024 » arrive au Sénat, où il sera examiné par les membres des commissions de la culture et des lois, avant d’être discuté en séance le 23 janvier.

    Un projet de loi qui comporte de nombreuses dispositions qui dépassent (largement) l’organisation des JO, comme le relevait le Conseil d’État dans un avis rendu le 22 décembre.

    « Si huit articles ne sont applicables qu’aux prochains jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, dont deux ont un caractère expérimental, onze autres articles créent des dispositions nouvelles ou modifient des dispositions existantes de façon pérenne et seront donc susceptibles de s’appliquer à d’autres situations », souligne l’institution, proposant par ailleurs de renommer le texte pour mieux coller à son contenu.

    « Le Conseil d’État propose en conséquence de modifier le titre du projet de loi et l’intituler comme ’relatif aux jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 et portant diverses autres dispositions’ », suggérait le Conseil d’État. Pour relever tous les défis posés par l’organisation des JO, le projet de loi aborde logiquement diverses thématiques, qui vont de l’accessibilité, aux sponsors, en passant par la sécurité.

    Ce dernier point est particulièrement sensible, compte tenu du spectacle lamentable offert lors de la Finale de Ligue des Champions au Stade de France le 28 mai 2022. Raison pour laquelle le texte contient de nombreuses mesures sécuritaires, dont certaines suscitent des inquiétudes. Parmi elles, le recours aux caméras « augmentées », utilisant l’intelligence artificielle, aussi appelée vidéo-surveillance algorithmique (VSA), visant à détecter « des situations anormales ».

    « En autorisant l’État à analyser, classer, évaluer les mouvements et comportements de chaque individu dans l’espace public, en lui donnant des pouvoirs de décision décuplés par l’automatisation de la prise de décision, cette technologie transforme notre rapport à l’espace public et démultiplie les capacités de contrôle et de répression de la police », s’alarme La Quadrature du Net, une association de défense et de promotion des droits et libertés sur Internet.

    Dans son avis daté du 4 janvier, la Commission nationale de l’Informatique et des libertés appelle à la vigilance (CNIL). « Le déploiement, même expérimental, de ces dispositifs de caméras augmentées est un tournant qui va contribuer à définir le rôle qui sera confié dans notre société à ces technologies, et plus généralement à l’intelligence artificielle », observe la CNIL, considérant que ces outils de surveillance « peuvent en effet conduire à ça ».

    Une prudence dont ne s’embrassent pas certains sénateurs, qui ont déposé des amendements pour élargir le périmètre du dispositif. Ainsi, la sénatrice LR Michèle Tabarot propose d’inclure des enregistrements sonores à ces outils de surveillance, quand sa collègue (également LR) Jacqueline Eustache-Brinio voudrait étendre cette surveillance à la « prise en charge illégale de clients par des transporteurs publics particuliers, VTC ou taxis clandestins ».

    Autre motif d’inquiétude, un arsenal répressif semblant rédigé sur mesure pour des problématiques autres que celles s’appliquant aux Jeux Olympiques. À l’image de l’article 12 du volet sécurité du projet de loi qui transforme, « lorsqu’elles sont commises en récidive ou en réunion » deux infractions en délits : « le fait de pénétrer ou de tenter de pénétrer, par force ou par fraude, dans une enceinte sportive » et « le fait de pénétrer ou de se maintenir sans motif légitime sur l’aire de compétition d’une telle enceinte ».

    Ce qui sonne comme une référence indirecte aux interruptions de manifestations sportives organisées par des militants écologistes. Tarif : six mois d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende. L’article, suivant, le 13, fait également grincer des dents. Il entend renforcer « l’effectivité du dispositif des interdictions judiciaires de stade ».

    Ces interdictions de stade, qui étaient jusque-là facultatives, auront dorénavant un caractère automatique et ce, même une fois les Jeux Olympiques terminés. « C’est clairement le football qui est visé », déplore auprès du Monde Ronan Evain, directeur général de l’association Football Supporters Europe, qualifiant ce texte de « cheval de Troie » permettant au gouvernement de profiter des Jeux Olympiques pour muscler son arsenal répressif.

    Le texte examiné ce jour par les sénateurs prévoit également « l’utilisation de scanners corporels à ondes millimétriques à l’entrée des enceintes accueillant plus de 300 personnes pour des manifestations sportives, culturelles ou récréatives ». Là encore, ce dispositif aura vocation à perdurer après les Jeux Olympiques, et pas uniquement sur des événements sportifs.

    Source: https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/la-loi-sur-les-jo-2024-parle-tres-peu-de-sport-et-ca-suscite-des-inquietudes_212802.html

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    Consommer un poisson d’eau douce pêché dans les lacs et rivières américains revient à boire durant un mois de l’eau contaminée avec des polluants dits «éternels», les PFAS, selon une nouvelle étude publiée mardi. Ces produits chimiques ont été développés dans les années 1940 pour résister à l’eau et à la chaleur. On les retrouve dans les revêtements anti-adhérents, les textiles ou les emballages alimentaires. Mais le caractère indestructible de ces PFAS, les per- et polyfluoroalkylées, implique qu’ils se soient accumulés avec le temps dans l’air, le sol, les eaux des lacs et rivières, la nourriture et jusqu’au corps humain.

    Les appels se sont multipliés pour une réglementation plus stricte de l’utilisation des PFAS, qui sont nocifs pour la santé, avec des conséquences hépatiques, un taux de cholestérol élevé, une réponse immunitaire réduite et plusieurs sortes de cancers. Les chercheurs ont voulu mesurer la contamination des poissons d’eau douce en analysant 500 échantillons prélevés dans les lacs et rivières américains entre 2013 et 2015.

    Le taux médian de contamination était de 9,5 microgrammes par kilo, selon leur étude publiée dans Environmental Research. Sur l’ensemble des échantillons contaminés, trois-quarts étaient des PFOS, un des contaminants les plus courants et les plus nocifs parmi les milliers qui constituent les PFAS.

    Manger un poisson d’eau douce revient à boire pendant un mois de l’eau contaminée à hauteur de 48 parties de PFOS par milliard de milliards. L’eau est considérée saine à boire si elle ne contient pas plus de 0,2 partie de PFOS par milliard de milliards, selon l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA), dans sa nouvelle recommandation. Les taux de PFAS constatés dans les poissons d’eau douce pêchés dans la nature se sont avérés 278 fois plus élevés que ceux identifiés dans les poissons d’élevage vendus dans le commerce.

    «Je ne peux plus regarder un poisson sans penser à sa contamination aux PFAS», a dit à l’AFP David Andrews, scientifique de l’ONG Environmental Working Group, qui a mené l’étude, et grandi en péchant et mangeant du poisson sauvage. Le constat est «particulièrement préoccupant à cause de l’impact subi par les communautés défavorisées qui consomment du poisson comme source de protéine ou pour des raisons socio-culturelles», a-t-il poursuivi. «Cette recherche me met très en colère car les sociétés qui fabriquaient et utilisaient des PFAS ont contaminé le globe sans en porter la responsabilité.»

    Pour Patrick Byrne, chercheur en pollution environnementale à l’Université britannique John Moores de Liverpool, les PFAS sont «probablement la plus grande menace chimique pour l’espèce humaine au 21e siècle». «Cette étude est importante car elle fournit la première preuve de la transmission étendue des PFAS directement des poissons à l’homme», a-t-il dit.

    L’étude est publiée après l’initiative du Danemark, de l’Allemagne, des Pays-Bas, de la Norvège et de la Suède qui ont soumis, vendredi dernier, une proposition d’interdiction d’utilisation des PFAS à l’Agence européenne des produits chimiques. Cette proposition prolonge le constat des cinq pays selon lequel l’utilisation des PFAS n’était pas suffisamment contrôlée.

    Source: https://www.20min.ch/fr/story/manger-un-poisson-revient-a-boire-de-leau-contaminee-pendant-un-mois-279672068007

  • DDL OU P2P 2023

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    @Rapace

    Surtout pour ceux qui ont choisi le VDSL qui pour des fichiers en streaming est hasardeux, le gain de debit VDSL Vs ADSL ne vaut que quand on recoit des fichiers compressibles… ce qui n’est pas le cas de l’IPTV…

    Je suis en ADSL, et j’ai toujours refusé le VDSL pour cela.

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    Hélas, voeu pieu!!! La CNIL ne fournit que des avis consultatifs et la loi reste superieure a ses avis…

    Ce qui me gene surtout, c’est l’utilisation de plateformes de stockage gerees et implantées hors de france, louées par les gestionnaires de données de santé. Meme la CPAM avec leur DMP ne stocke rien en France… La France n’est meme pas capable de fabriquer et de gerer un datacenter dédié a la santé sur son propre sol, pour avoir la souveraineté sur les données médicales de la population.

  • [Topic Unique] Cosplay

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    @Raccoon Ph’nglui mglw’nafh Cthulhu R’lyeh wgah’nagl fhtagn :ahah:

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    M. Mélanchon en parlait avec ces énergies renouvelable, j’me suis dit pourquoi ne pas faire un article 🙂

  • Tous des pourris...

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    Uber: «Nous dépensions 90 millions par an pour influencer les gouvernements»
    Interview du lanceur d’alerte d’Uber «Nous dépensions 90 millions par an pour influencer les gouvernements»

    Mark MacGann, ancien lobbyiste de la multinationale, explique comment Uber a utilisé son muscle financier pour forcer les portes du pouvoir.

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    Article pour abonés: https://www.tdg.ch/nous-depensions-90-millions-par-an-pour-influencer-les-gouvernements-539204111434

    Et puisque les lobby arrosent les politocards, ces derniers en profitent indubitablement.

    Je serais curieux de connaitre quelques budgets de lobbyisme comme celui de Google, ou de Microsoft, par exemple, parmi tant d’autres…

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    Durée de vie à l’ancienne.
    Marié à 10, grand père à 20, mort à 30 piges :smile:.

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    @Raccoon merci je suis rassuré

  • bonne année la planète

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    également bonne santé que tout aille bien 🙂

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    Pourquoi pas, si ça peut éviter que des gamins/gamines ne fassent leur éducation sexuelle à 12 ans en regardant du porno.
    J’avais vu un docu sur ce sujet où des jeunes de 20 ans racontaient cette “éducation” là. C’était édifiant.

  • Cryptomonnaie

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    @Faragorn pour dépanner tu peux toujours essayer 'Deepbrid" en gratuit (ou payant) qui prend ddownload et d’autres hébergeurs…

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    @gary_j_007 c’est ce que je pensais aussi, la vaisselle risque d’être dégueulasse en période rush

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    Pas reçu de mail, ça fait tellement longtemps aussi, nouvelle adresse mail mais pas changé de numéro de mobile… :sceptique: