Discussions générales

On parle de tout le reste

556 Sujets 5.9k Messages
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    Pas étonnant !

    Disney marche main dans la main avec la censure depuis sa création :siffle:

  • Accro aux écrans, un gorille est privé de smartphones

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    Comme beaucoup d’adolescents de 16 ans, Amare passait son temps à fixer des écrans de smartphone. Sauf qu’Amare n’est pas un humain mais un gorille, pensionnaire du zoo de Lincoln Park, à Chicago. Il a fallu intervenir pour le sauver de ce qui tournait à l’addiction, et devenait problématique.

    Les soignants avaient remarqué que ce jeune gorille mâle de près de 200 kilos passait ses journées dans un coin de son habitat, les yeux rivés sur les smartphones des visiteurs, collés de l’autre côté d’une vitre. Il était fasciné par les photos et vidéos que les humains lui montraient, relate le «Chicago Tribune». Et devant son vif intérêt, de plus en plus de visiteurs lui tendaient leur écran pour observer ses réactions.

    il socialisait de moins en moins avec les trois autres jeunes gorilles avec lesquels il habite. Inquiet de cette évolution, le zoo a décidé d’intervenir. et une corde de sécurité a été installée pour éloigner les visiteurs de la vitre de l’enclos.

    Les premiers résultats sont encourageants, selon la presse américaine. Les visiteurs jouent le jeu, brandissant de moins en moins leurs smartphones et le jeune mâle est redevenu plus actif et a retrouvé le plaisir d’interagir avec ses congénères.

    Reste à savoir ce qui fascinait tant ce gorille. Était-il simplement attiré par la lumière et le mouvement? Non, pour le spécialiste des primates Stephen Ross, c’était bien plus que ça. «Nous savons que les singes ont l’acuité visuelle des humains et peuvent traduire une image bidimensionnelle sur un écran en quelque chose de réel. Il est raisonnable de penser que le gorille comprend une partie de ce qu’il voit.»

    Source: https://www.lematin.ch/story/accro-aux-ecrans-un-gorille-est-prive-de-smartphones-473744499998

  • CNRS : un nez électronique pour détecter des cancers

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    D’autant plus intéressant que cela ne se limitera pas aux maladies, la schnouf aussi, ça évitera de droguer des chiens et pour les explosifs, c’est aussi intéressant, sans parler d’autres domaines d’application.

    Par contre, en tant que gros mangeur de cassoulet, je m’élève déjà contre une utilisation abusive de ce système.

    Ça me fait penser au détecteur d’haleine dans Alien 3 🙂

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    @memorex91 La visite est une chose, creuser un sol irradié, s’alimenter et donc ingérer des particules volatiles en continu pendant 3 à 4 semaines, etc. Je n’ose imaginer la contamination sur les véhicules qui ont été stockés sur place et qui vont continuer à contaminer les soldats.

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    En Suisse on n’a déjà plus de place en sous-sol pour les coffres-forts et les abris anti-atomiques, on ne va pas encore en perdre pour des déchets.

    Plus sérieusement, la masse de déchets Français par rapport à celle de la Suisse est d’un autre ordre de grandeur (seulement 4 centrales) et je parie que des tractations discrètes sont en cours avec l’Allemagne qui est très concernée par la situation géographique du stockage, qui “possède” aussi relativement peu de déchets et qui démantèle déjà depuis un moment.

    Source Suisse: https://www.20min.ch/fr/story/le-futur-sarcophage-des-dechets-nucleaires-suisses-118795704034

    «C’est le projet du siècle: pendant 50 ans nous avons mené des recherches scientifiques, et nous avons maintenant 50 ans pour l’autorisation et la réalisation du projet», indique Felix Glauser, porte-parole de la Nagra. La période de surveillance s’étendra sur plusieurs décennies avant le scellement du site le siècle prochain.

    On est des rapides en Suisse. D’ici là on verra bien ce que les autres pays vont faire.

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    J’ai bien aimé ce trait de lucidité, de la part d’un membre de l’ONU, c’est osé je trouve. Barack Obama a du avoir des sifflements dans les oreilles. 😀

    Cet échec systémique soulève les questions de la vérité, de la tromperie et de l’aveuglement, de notre propre léthargie et de notre complicité passive. Ce n’est pas une coïncidence si ce livre commence par mes propres difficultés à transcender mes préjugés personnels.

    Le problème n’est pas que nous ne connaissons pas la vérité, mais plutôt que nous ne voulons pas la connaître. Le problème, c’est que nous permettons aux puissants, contre toute attente, d’enfreindre la loi sans même leur demander de rendre des comptes, que ce soit sur le plan juridique ou politique, mais que nous les louons comme de grands dirigeants et les honorons même avec des prix Nobel.

  • Le wokisme frappe fort chez Disney

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    La destruction de l’occident est en marche, qui en doute encore

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    Mais a part ca les bots macroniste n’existent pas

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    Oui désolé Psychofox j’ai lu ton message trop vite et je l’ai compris de travers.

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    Perso, je pense que ça fait des décennies que “le grand frère” américain a accès en tout ce qui concerne l’Europe. Il pèse dans toutes les décisions politiques, l’industrie, l’économie, etc.
    Bref ils sont en territoire conquis et ils en profitent grassement.

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    Comme toi Psycko, en plus mes petits enfants sont américains, dire que je connais…
    Je vois que M Benguigui a choisi son camp, ou au moins ses sources : un Q majuscule et tout est dit.

    Je n’ose même pas imaginer D J président en ce moment :cry:
    Il aurait été soutenir son copain ? Parce que je ne crois pas qu’il serait resté sans réagir. Il n’a pas participé à une guerre pendant son mandat, mais ce n’est pas de sa faute, je crois qu’il aurait kiffé grave.

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    :mmm:

  • Parce qu'il n'y a pas que les mauvaises nouvelles

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    Un astronaute de la NASA vient d’atterrir dans un vaisseau spatial russe, et tout va bien.

    Après plus d’un mois de spéculations, l’astronaute de la NASA Mark Vande Hei est en effet revenu sur Terre à l’intérieur d’un vaisseau spatial russe Soyouz mercredi, dans les steppes poussiéreuses du Kazakhstan.

    L’atterrissage du petit module de descente était nominal, avec un ciel clair au Kazakhstan quelques heures avant le coucher du soleil local. Le commandant de Soyouz, Anton Shkaplerov, est sorti le premier du véhicule, suivi de l’ingénieur de vol Pyotr Dubrov, puis enfin de Vande Hei, qui a rapidement enfilé une paire de lunettes de soleil et a levé le pouce vers la caméra.

    Dubrov et Vande Hei ont tous deux effectué une mission de 355 jours, après avoir été lancés vers la Station spatiale internationale le 9 avril 2021. Pour Vande Hei, cela a établi un record de durée aux États-Unis pour un seul vol spatial. Un cosmonaute russe, Valeri Polyakov, détient le record mondial d’une telle mission, ayant passé 437 jours sur la station spatiale Mir au milieu des années 1990.
    Lectures complémentaires
    Légalement, la Russie ne peut pas simplement prendre sa station spatiale et rentrer chez elle

    Il n’y avait aucun signe de tensions géopolitiques lors de l’atterrissage ou du flux de diffusion fourni par Roscosmos. À un moment donné, le grand panneau vidéo de Mission Control Moscow a affiché un “Bienvenue, Mark!” salutation en anglais. Toutes les images télévisées et les commentaires diffusés ne montraient aucun indice du conflit, et il n’y avait absolument aucune propagande de guerre russe à voir dans la zone d’atterrissage de Soyouz.

    Environ 30 minutes après l’atterrissage, les trois membres d’équipage ont été emmenés dans une tente médicale escamotable pour des tests initiaux et s’envoleront ensuite en hélicoptère vers Karaganda, une ville du centre-nord du Kazakhstan. Là, l’équipage se séparera, Vande Hei et son personnel de soutien de la NASA embarquant dans un jet Gulfstream de la NASA pour retourner à Houston. A aucun moment de ce voyage de retour vers les Etats-Unis il ne survolera le territoire russe.

    Le bon fonctionnement de jeudi suggère que le partenariat avec l’ISS devrait se poursuivre malgré l’agression continue de la Russie en Ukraine. De hauts responsables américains de l’espace ont clairement indiqué qu’ils souhaitaient continuer à piloter la station spatiale et à travailler avec la Russie. Si la NASA se retirait du partenariat avec la Russie et 13 autres pays, cela violerait essentiellement un traité international , et il est très peu probable que cela se produise.

    Cela a laissé la balle dans le camp de la Russie, et malgré les fanfaronnades du haut responsable des vols spatiaux du pays, Dmitri Rogozine, il n’y a aucun signe que cela se produise. Au contraire, l’atterrissage apparemment normal de mercredi suggère que la Russie souhaite également maintenir le partenariat.

    Source: https://arstechnica.com/science/2022/03/a-nasa-astronaut-just-landed-in-a-russian-spacecraft-and-all-is-well/

  • Bienvenu au club

    Déplacé
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    Ah mais oui, bienvenue au club ^^

    Lorsque nous rencontrons des cas comme celui-ci,
    cela dépasse tout ce que nous pouvons normalement imaginer!

    J’ai toujours considérée que le capitalisme consistait à faire des affaires en roue libre en essayant de gagner le plus d’argent possible avec le moins d’efforts, et de frais généraux…Càd, en graissent la patte d’autres politiciens.

    Les Américains, cette espèce semble vraiment être le centre du matérialisme égocentrique de la planète, bien que l’infection se soit répandue loin à la ronde.
    Vous savez, le pillage des ressources etc…

    …D’autres espèces (les fourmis envahissantes, par exemple) victimes du réchauffement climatique menacent directement la diversité du monde vivant en détruisant les écosystèmes, et pourraient devenir un
    point noir pour l’espèce humaine.

    Je pense que ce fil de discussion m’a déjà apporté quelques idées dans ce sens et qu’il pourrait être utile de
    réexaminer l’autre côté de la médaille.

    Le problème avec les opinions des gens est qu’ils assimilent l’oligarchie des entreprises au capitalisme.

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    Le “Best of Putin”

    Waw! Trop gentils, des militaires russes offrent un soutien humanitaire à Gorsk, un village qui compte environ 585
    habitants dans le western Ukrainien…

    Une importante et belle région agricole encore épargnée par les bombardements et autres combats de rue et “on se demande bien pourquoi”?

    Tous sont plus ou moins heureux sauf deux qui pensaient être invités à une barbecue party et qui n’ont finalement
    pas pu trouver ce qu’ils voulaient …

    Càd cigarettes et chargeur d’iphone.^^

    Pour les envies de BBQ, il faut aller à Irpin, Kharkiv ou Marioupol, leur aurait confié un soldat russe…

    J’aime l’odeur du monde multipolaire le matin^^

  • The Shape of Things to Come (H. G. Wells)

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    The Shape of Things to Come est un ouvrage de science-fiction de H. G. Wells, publié en 1933, qui spécule sur les événements futurs de 1933 à 2106.

    https://i.postimg.cc/N0CRgqwL/shape-of-things-to-come.jpg

    Le film assez ancien est une adaptation au grand écran des romans dystopiques de HG Wells écrits en 1931 et 1933 et peut être considéré comme un tutoriel pour reconnaître les éléments de programmation prédictive pour la simple raison que beaucoup de ses “prédictions” se sont plus ou moins réalisées.

    C’est précisément en raison de l’ancienneté du film que les compétences cinématographiques sont nécessairement primitives et que la programmation est donc plutôt grossière et évidente.

    Le film constitue donc un cas d’étude approprié, sinon idéal, pour tenter de détecter des éléments de programmation prédictive.

    Pour un synopsis décent:

    https://en.wikipedia.org/wiki/Things_to_Come
    https://en.wikipedia.org/wiki/The_Shape_of_Things_to_Come

    Le scénario a été écrit par H. G. Wells et est une adaptation libre de son propre roman de 1933, La forme des choses à venir, et de son œuvre non romanesque de 1931, Le travail, la richesse et le bonheur de l'humanité.

    Quels sont donc les éléments de programmation prédictive que nous pouvons glaner dans ce film ? Passons-les en revue selon ma routine habituelle qui consiste à aborder les différents plans du film et les citations qui les accompagnent.

    Le film prédit une guerre impliquant une ville appelée “Everytown” (qui n’est qu’une façon particulière de dire que la guerre est aussi une guerre mondiale) pour Noël 1940, alors que la véritable guerre mondiale a éclaté en septembre 1939 lorsque les nazis ont envahi la Pologne.

    Wells n’a donc été absent que pendant une période négligeable d’un an.

    Cela montre que Wells était définitivement “au courant”, comme l’appelle Alan Watt, de ce que l’agenda impliquait.

    Le spectateur de l’époque est invité à se préparer à la guerre à venir, ce qui est une citation intéressante au début du film :

    "La guerre stimule le progrès. La guerre peut être une chose stimulante. Mais on peut abuser d’un stimulant.

    Si nous ne mettons pas fin à la guerre, la guerre nous mettra fin… Que pouvons-nous faire ?"

    Le sentiment à l’égard du phénomène de la guerre glisse rapidement d’une attitude assez tolérante à une prise de conscience plus alarmante du fait que la guerre a la capacité de rayer l’humanité de la surface de la terre.

    Dès le départ, le spectateur est donc encouragé à réfléchir à des alternatives à la guerre (en tant que moyen de régler les différends entre États et puissances).

    Le spectateur n’est pas seulement préparé à un état de guerre, il est également conscient de la probabilité que la guerre à venir ne sera pas une guerre propre et “courtoise”, impliquant uniquement des armées permanentes qui s’affrontent dans une campagne éloignée, loin de la vie urbaine.

    Au contraire, il s’agira cette fois d’une guerre sale et totale, dans laquelle les civils non-combattants seront également impliqués.

    Dans le film, cela est illustré par des scènes dans lesquelles, à Everytown, la population civile se mêle aux forces armées.

    “Pourquoi devons-nous nous assassiner les uns les autres ?”
    C’est en effet le bon type de question à poser… Pourquoi s’entretuer pour commencer ?

    Pourquoi nous engageons-nous dans la guerre ?

    Le spectateur prend conscience de la banalité légitime de la nécessité pour un pays d’aller en combattre un autre.

    Il est à nouveau incité à envisager des alternatives plus bénignes à la guerre comme moyen de régler les différends ou à envisager la possibilité de débarrasser définitivement la terre de la guerre.

    “Vous avez été formés à ne pas penser mais à faire!”

    Une affirmation tout à fait vraie en soi…

    Les soldats sont censés obéir aux ordres d’abord et poser des questions, s’ils y sont autorisés, ensuite…

    Comme c’est le souverain qui le dit et que le film le dépeint sous un mauvais jour, le spectateur a une opinion encore moins positive de la guerre, dont les participants sont essentiellement des robots caricaturaux dépourvus de pensée et censés suivre les ordres.

    Il est certain qu’une société éclairée considère la pensée comme un atout plutôt que comme un élément superflu ou même un handicap.

    Après plus de 25 ans d’une guerre longue et prolongée, les résultats sont aussi évidents que dévastateurs. Chaque ville a été détruite et les populations du monde ont été pratiquement décimées.

    Le spectateur se voit ainsi rappeler d’un seul coup l’horreur potentielle qui accompagne les conséquences d’une guerre prolongée.

    Il s’agit certainement d’un regard insupportable sur l’avenir pour le spectateur impressionnable de l’époque. Mais le spectateur troublé ne doit pas s’inquiéter, car comme il est d’usage dans les histoires qui finissent bien, le salut est déjà au coin de la rue.

    "Nous, mécaniciens et ingénieurs, nous nous sommes placés pour sauver le monde…

    La fraternité de l’efficacité, la franc-maçonnerie de la science.

    Nous sommes les derniers dépositaires de la civilisation quand tout le reste a échoué."

    Comment voulez-vous que ce soit plus clair ? L’humanité ne peut manifestement pas prendre soin d’elle-même.

    Soit nous sommes trop infantiles, soit nous sommes trop occupés à nous faire la guerre pour nous asseoir calmement et essayer de régler nos différends de manière pacifique et raisonnable.

    C’est pourquoi l’élite intellectuelle (scientifique) s’est chargée de sauver le monde et de le débarrasser entièrement de la guerre.

    C’est une publicité flagrante pour une dictature scientifique, à l’échelle mondiale, s’il y en a jamais eu une.

    “Nous n’approuvons pas les États souverains indépendants. Nous voulons les arrêter.”

    Le peuple est trop belliqueux pour être capable de s’occuper de ses propres affaires et problèmes.

    Peu importe les banques qui financent les guerres, les fabricants qui produisent des armes de guerre et les partis religieux qui déclenchent les guerres, comme ils l’ont toujours fait auparavant.

    Non, bien sûr, tout est de la faute de ce pauvre vieux Joe Sixpack et de Jane Soap-opera.

    Par conséquent, afin de nous “protéger” de nos voisins qui nous glacent le sang, nous devons tous renoncer à nos droits humains fondamentaux.

    Bien sûr, nous sommes tous trop familiers avec ce mantra depuis Dieu sait combien d’années déjà, plus certainement depuis l’attaque terroriste du 11 septembre.

    Ainsi, le spectateur est aidé à se réchauffer à l’idée d’un abandon de la souveraineté de l’État, en fin de compte pour son propre bien, car il est “évident” qu’il n’a pas fait beaucoup de bien à quiconque lorsqu’il était encore en vigueur.

    Ce corps d’“ingénieurs et de mécaniciens” survivants prenant le contrôle du monde dans le but de mettre en œuvre un programme de pacification unilatérale reflète manifestement l’énoncé de mission d’une organisation que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de Nations unies.

    Cependant, cette organisation n’a pas exactement atteint ses objectifs :

    Les fondateurs de l'ONU avaient bon espoir qu'elle agisse pour prévenir les conflits entre les nations et rendre les guerres futures impossibles. De toute évidence, ces espoirs ne se sont pas entièrement concrétisés. De 1947 à 1991 environ, la division du monde en camps hostiles pendant la guerre froide a rendu extrêmement difficile tout accord sur les questions de maintien de la paix. Après la fin de la guerre froide, de nouveaux appels ont été lancés pour que l'ONU devienne l'agence chargée d'instaurer la paix et la coopération dans le monde, alors que plusieurs dizaines de conflits militaires actifs continuaient de faire rage sur la planète. L'éclatement de l'Union soviétique a également laissé les États-Unis dans une position unique de domination mondiale, créant une variété de nouveaux problèmes pour l'ONU (voir les États-Unis et les Nations unies).

    http://en.wikipedia.org/wiki/History_of_the_United_Nations

    Peu importe que les Nations Unies aient échoué lamentablement, ce n’est pas le but de leur existence.

    Ce qui est important cependant, c’est que l’installation de l’ONU peut être interprétée comme une première approximation d’une dictature scientifique mondiale.

    "Nous allons venir ici et faire le ménage.
    Nous continuons, c’est comme ça que les choses se passent.

    Nous prenons les choses en main. Avec la science et le gouvernement, à long terme, personne n’est indispensable.

    Les choses humaines se poursuivent avec la paix pour toujours. L’état guerrier doit disparaître.

    Je suis d’accord avec la partie sur la paix. La guerre doit cesser.

    Mais est-il vraiment nécessaire de céder la souveraineté pour l’échanger contre un régime essentiellement antidémocratique et totalitaire dans lequel les gens ont les mêmes droits que le bétail ?

    Quoi qu’il en soit, étant donné le sentiment du film et les conséquences horribles d’années et d’années de guerre continue, le spectateur est tenté d’être d’accord avec le protagoniste pour favoriser une dictature scientifique.

    Pour faire pencher la balance en faveur du protagoniste, le dernier souverain restant semble avoir un amour pour la bouteille, il est grossier, bruyant, et on lui reproche d’avoir la subtilité d’une grenouille-taureau par ce qui semble être sa propre femme, rien de moins, et bien sûr il est ouvertement hostile à la science.

    Le spectateur est donc amené à penser qu’il n’est pas la tête d’affiche idéale de la souveraineté de l’État.

    Ainsi, la seule alternative proposée dans le film devient attrayante par le biais de l’exclusion. Une technique évidente mais non moins efficace, si vous voulez mon avis.

    À la fin du film, le spectateur est familiarisé avec les merveilles et la prospérité qui appartiennent à une dictature scientifique sereine et complète.

    Les villes sont devenues souterraines et apparemment entièrement autosuffisantes.

    Il n’y a aucune trace de destruction totale. La société est ordonnée.

    Les gens sont bien habillés et semblent en bonne santé et satisfaits.

    Il n’y a pas de conflits ni de disputes et les gadgets technologiques sont nombreux.

    Qui voudrait avoir autre chose qu’une dictature scientifique maintenant ?

    C’est du moins ce que le spectateur est invité à penser.

    Avertissement :

    Ne croyez pas que je sois une partisane de la guerre.

    Au contraire, je suis dégoûtée par les horribles machinations de la guerre comme le serait tout autre être humain bien pensant.

    Cependant, j’ai des réserves quant au fait d’être manipulée dans une dictature mondiale sous de faux prétextes. Parce que vous devez alors automatiquement vous demander, si une dictature scientifique est si bénigne, pourquoi est-elle si secrète et manipulatrice ?

    Par conséquent, je ne suis pas contre la souveraineté des États et je suis très sceptique quant à une dictature mondiale, scientifique ou non.

    Ce n’est pas que je sois contre un gouvernement mondial en soi, en tant que concept.

    Si sa direction est bienveillante, raisonnable et n’abuse pas de son pouvoir, je pourrais même l’accueillir favorablement.

    Ce qui m’inquiète, en revanche, ce sont les formes abjectes et absolutistes de gouvernement dans lesquelles vous n’avez aucun droit de vous défendre contre d’éventuels abus de pouvoir et où vous êtes essentiellement traités comme du bétail sans droits.

    En outre, permettez-moi de dire clairement que je ne suis pas contre la science dans son ensemble.

    En fait, je suis moi-même une scientifique de formation et je connais donc parfaitement la méthode scientifique.

    En tant que telle, je suis également pleinement consciente des lacunes de la science et du fait que la science d’aujourd’hui sera généralement dépassée demain, au sens figuré.

    Ainsi, une règle dictatoriale basée sur la science d’aujourd’hui sera probablement injuste ou injustifiée en temps voulu.

    Il convient donc de faire preuve d’une extrême prudence et d’un grand scepticisme lorsqu’il s’agit de conformer une législation fondée sur la science d’aujourd’hui.

    Note : La Russie, la Biélorussie et l’Ukraine ont adhéré à l’Union en 1945, tandis que les autres anciennes républiques soviétiques ont adhéré dans les années 1990. La date d’adhésion de la Chine est fixée à 1945, date à laquelle elle était représentée par la République de Chine (qui a ensuite déménagé à Taïwan en 1949), et a été remplacée par la République populaire de Chine en tant que représentant de la Chine en 1971 (voir La Chine et les Nations unies).

  • [ Recherche Tapis Volant ]

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    Bonjour @ll

    Si vous connaissez ce pseudo et notamment son adresse mail, merci de me contacter.

    Récompense à l’appui :money:

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    @ashura a dit dans Possédez-vous un abri anti-nucléaire ? :

    @raccoon a dit dans Possédez-vous un abri anti-nucléaire ? :

    @nick2 a dit dans Possédez-vous un abri anti-nucléaire ? :

    L’explosion d’une bombe atomique est différente d’un accident de centrale nucléaire comme tchernobyl,car dans le premier cas on peut y retourner après l’explosion de la bombe,alors qu’a tchernobyl tout est contaminé par les radiations et pendant des centaines d’années…

    Ce n’est pas aussi simple. L’accident de Tchernobyl a causé une centaine de morts et le cancer de la thyroïde provoqué par les radiations se soigne facilement dans 98% des cas. Aujourd’hui, le taux de radiations a énormément chuté, la nature y à reprit ses droits et reste bien moins persécutée et sous pression que sur le reste de la planète, les activités humaines courantes (agricultures, etc) étant bien plus destructrices pour elle. Vu que le site est devenu touristique depuis quelques années ce n’est pas dit que ça dure.
    Le bombardement d’Hiroshima a quant à lui fait entre 60 000 et 14 0000 morts selon les estimations. Alors certes aujourd’hui le taux de radiations est revenu à la normale mais le bilan reste d’un facteur 1 000 par rapport à Tchernobyl.

    Tchernobyl une centaine de morts ? tu peux multiplier par 10 ou 20

    rien que les pompiers, mineurs, pilotes d’hélico qui sont intervenus direct après la catastrophe sont mort, une combinaison de pompier qui a ate stocker au sous sol de l’hopital qui les a accueillis a été découverte y’a peu et elle fait encore peter les compteurs …

    Les pompiers, oui c’est une centaine de morts au total.
    Si tu prends l’avion prochainement tu mangeras plus de radiations qu’en te promenant à Prypiat.

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    Pas de soucis les nazy ukrainien qui arrivent vont bientôt s’inscrire

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    Russia Today, vraiment ? …sigh…