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On parle de tout le reste

656 Sujets 7.7k Messages
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    vu que c’est en Belgique,ils pourraient lancer le black Frieday !

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    @Orphancia impossible macron a reçu ces nouveaux blindés anti gilets jaunes

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    Il y a des pirates dans tous les milieux :lol:

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    Je suis tout à fait d’accord avec toi (ça fait depuis que j’ai 20 ans que leur sort me préoccupait et je ne me suis pas réveillé avec des évènements comme la coupe du monde…ça fait des années que ça existe).
    Toute infrastructure gigantesque quel soit dans le monde, construit par la main d’oeuvre étrangère, ont vu des morts par milliers (j’ai la chance d’habiter une tour dans une banlieue depuis des années et j’en ai vu des migrants, réfugiés politiques etc, racontant leur vie et ce qu’ils déplorent dans tous ça, c’est l’hypocrisie qui pullule dans tous ce m*rdier) quand t’as 20 ans (j’en ai 42) et que tu écoutes tous ça, ça fait de l’effet.

    Et pour en revenir à la FIFA, ça fait depuis des années que la morale, ils s’en foutent carrément (seul l’argent des dessous de table, les sponsors etc etc les intéressent).
    Donc je le répète encore aujourd’hui, les fautifs dans tous ça n’est pas le Qatar (pour l’organisation de la cdm) mais bien la FIFA qui a accepté les dessous de table pour l’organisation de la cdm en Russie, Qatar (en Argentine en 78 alors qu’il y’avait une dictature comme pas possible avec des tortures, tueries faites à la populace).

    En + de tous ce tapage, le truc qui me fait grincer les dents, c’est plutôt le réveil soudain que certains ont eu pour ses travailleurs indiens, malaisiens, indonésiens et bengalis…c’est venu d’un coup d’un seul (très Zarbi comme situation).
    Donc oui vivement le premier match de la cdm pour le côté sportif (et pour le reste ?..c’est dans la main des élites corrompus de ce monde)

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    Le 17 mai 2020, le drone spatial militaire X-37B, alors passé sous le contrôle de la nouvelle US Space Force, décollait de Cap Canaveral grâce à une fusée Atlas V pour sa sixième mission depuis 2010. Et la question était de savoir combien de temps il resterait en orbite… On a désormais la réponse : il vient en effet d’atterrir en Floride, après 908 jours passés dans l’espace.

    Pour rappel, issu d’un précédent programme appelé X-40, le X-37B a été conçu par la division Phantoms Works de Boeing. Ayant l’allure d’une mini-navette spatiale, il mesure 8,38 m de long pour une envergure de 4,57 m et une hauteur de 2,9 m. Propulsé par un moteur Pratt&Whitney Rocketdyne, il a affiche une masse à vide d’environ 5 tonnes.

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    Officiellement, et grâce à un module de service, le X-37B est utilisé pour « tester et valider » de nouvelles technologies. Mais, pour la plupart, ses activités en orbite sont confidentielles alors qu’il a été établi qu’il a la capacité de manoeuvrer et donc de changer d’altitude pour échapper aux curieux. Cela « frustre nos adversaires » et « nous savons que cela les rend fous », avait ainsi admis Heather Wilson, ex-secrétaire à l’US Air Force, lors de l’édition 2019 du Forum sur la sécurité d’Aspen [Colorado].

    Toutefois, et afin, sans doute, de ne pas donner trop de prise aux spéculations, le Pentagone a livré quelques détails sur la nature des expériences menées à son bord. Ainsi, lors de sa cinquième mission, qui dura 789 jours, il avait indiqué que le X-37B allait mettre en orbite de « petits satellites » et embarquer une charge utile appelée « Advanced Structurally Embedded Thermal Spreader », afin d’éprouver des systèmes électroniques [non spécifiés] ainsi qu’un dissipateur thermique. Il aurait même été utilisé pour tester un moteur ionique, plus puissant et moins gourmand en énergie que les propulseurs chimiques, ainsi que de nouveaux matériaux.

    En tout cas, le X-37B bat des records de temps passé dans l’espace à chacun de ses vols. Depuis son premier lancement, en 2010, il aura ainsi évolué en orbite pendrant près de dix ans.

    Lors de la mission qu’il vient d’achever, ce drone spatial a de nouveau permis de tester « certains matériaux » et d’évaluer le rayonnement cosmique sur des semences de végétaux. Deux expériences qui auraient très bien pu effectuées à bord de la Station spatiale internationale [ISS]… Mais sans doute auront-elles été trop « confidentielles » pour cela…

    En outre, le X-37B a également placé sur orbite le micro-satellite FalconSat-8 de l’US Air Force Academy [il s’agit d’une « plateforme éducative », a expliqué le Pentagone] et mis en oeuvre un système expérimental qui, développé par le Naval Research Laboratory, consiste à capter l’énergie solaire et la renvoyer vers la Terre sous la forme d’un faisceau laser ou de micro-ondes afin de produire de l’électricité. Un tel principe avait été imaginé par l’écrivain Isaac Asimov [voir la nouvelle « Raison »], avant d’être théroisé par Peter Glaser, dans les années 1960.

    Probablement que le X-37B a servi à d’autres expériences. Ainsi, quelques mois avant sa sixième mission, le Pentagone avait dit vouloir connecter le drone spatial à ses avions de combat de 5e génération [F-35 et F-22].

    Connecter le X-37B aux F-22 et F-35 donnerait « la capacité d’opérer dans tous les domaines » et « cela inclut le partage d’informations pendant les missions de guerre », avait avancé un responsable de l’US Air Force, sans livrer plus de détails.

    Par ailleurs, dans un rapport sur les activités spatiales de défense, Oliver Becht et Stéphane Trompille, alors députés, avaient émis l’hypothèse que le X-37B pouvait être utilisé comme « arme anti-satellite, engin de renseignement spatial ou plateforme d’emport et de lancement de charges militaires ».

    Quoi qu’il en soit, selon le lieutenant-colonel Joseph Fritschen, directeur du programme X-37B, « la capacité de mener des expériences en orbite et de les ramener à la maison en toute sécurité pour une analyse approfondie s’avère précieuse » pour le Pentagone et la communauté scientifique. « L’ajout du module de service sur OTV-6 [désignation du drone spatiale pour sa sixième mission, ndlr] nous a permis d’héberger plus d’expériences que jamais », a-t-il dit.

    Source: http://www.opex360.com/2022/11/13/le-drone-spatial-militaire-americain-x-37b-est-revenu-sur-terre-apres-908-jours-passes-en-orbite/

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    Malheureusement, l’argent n’est plus là !

    Les gens s’informent et lisent sur internet, peu achète encore le journal…

    Le monde évolue et maintenant le rentable passe avant tout … qui parle de Taylorisme lol

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    Excellent Banksy j’aime beaucoup,c’est un artiste très engagé et ses oeuvres ont toujours beaucoup de sens,mais qui est-il ?
    Son anonymat contribue beaucoup aussi à sa renomée et il y a un docu “Banksy most wanted” pour ceux qui ne connaissent pas.

  • 10 choses à savoir sur Mindy, l’humain du futur

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    je préfère être comme je suis avec mal à la nuque et au dos !!!

  • 8 Millards de terriens

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    @Aurel S’il n’y avait que ça, pour moi le pire, ce sont les industriels qui continuent à produire des emballages plastiques ou des projets de toutes sortes sans tenir le moindre compte de la situation actuelle, sans parler de la complicité des gouvernements.

    Il est plus que temps de stopper la croissance et de se tourner vers le durable.

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    https://actu.fr/planete/pollution/coca-cola-largement-en-tete-des-entreprises-les-plus-polluantes-en-matiere-de-plastique_55237065.html

  • Cop27 et lobbyistes

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    @arcturien Mais qui ne sert pas non plus comme biogaz 😉

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    Il ne faut pas qu’ils se plaignent la COP aurait pu se tenir en Roumanie

    Les soldats français en Roumanie ont « faim » et « froid »

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    Des plongeurs cherchant à retrouver les restes d’un avion disparu dans le triangle des Bermudes ont à la place découvert une partie de la navette spatiale Challenger.

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    En 1986, cette navette avait explosé quelques dizaines de secondes après son décollage en Floride, causant la mort des sept membres d’équipage, dont l’institutrice Christa McAuliffe.

    Le segment, remarquablement conservé au fond de l’Atlantique, est l’un des plus grands morceaux retrouvés après cette tragédie ayant marqué l’histoire spatiale, a confirmé la Nasa jeudi.

    Sur des images filmant leur découverte, faite au printemps 2022, deux plongeurs entourés de poissons font apparaître, de sous le sable, les emblématiques tuiles de protection thermique de la navette. Ces petits carrés noirs recouvraient tout le dessous du vaisseau, afin de lui permettre de résister à une infernale chaleur lors de son retour dans l’atmosphère.

    L’un des deux plongeurs, Mike Barnette, a raconté à l’AFP avoir vécu de véritables «montagnes russes émotionnelles» en réalisant ce qu’il était alors en train de toucher.

    «Quand on l’a trouvée, c’était beaucoup d’émotions différentes», s’est remémoré ce biologiste marin, dont le loisir est d’explorer des épaves au fond des eaux. «Je suis habitué à plonger autour d’épaves vieilles de dizaines, voire de centaines d’années, mais pas d’un bout du programme spatial!» «Rapidement, j’ai réalisé que c’était quelque chose que j’avais vécu. Quand (l’accident) s’est produit, je me rappelle exactement où j’étais, à le regarder en direct à la télévision», a-t-il expliqué.

    Après sa plongée, il montre les images tournées à un ami astronaute, qui le conforte dans sa découverte. Puis, quelques mois plus tard, la Nasa confirme qu’il s’agit bien de la navette Challenger. «Ils étaient stupéfaits de la taille du morceau», raconte-t-il.

    La partie apparente fait environ 4,5 mètres sur 4,5. Mais le morceau s’étend sous le sable, enterré, et on ne connaît donc pour le moment pas sa taille totale.

    Une chose est sûre, «c’est l’un des plus grands jamais retrouvés», a déclaré à l’AFP Mike Ciannilli, employé de la Nasa depuis plus de 25 ans, pour l’essentiel sur le programme de la navette spatiale. Six navettes ont été construites en tout, dont une n’ayant jamais été dans l’espace.

    Il s’agit sans aucun doute du dessous de Challenger, a expliqué Mike Ciannilli, mais difficile de savoir quelle partie du vaisseau exactement. Selon lui, l’analyse de ce morceau n’apportera a priori rien de nouveau à l’enquête sur l’accident lui-même, dont il «n’oubliera jamais» la vue, lorsqu’il était tout jeune. Les causes de la tragédie ont en effet déjà été bien établies (des joints avaient gelé durant la nuit précédente). Observer la façon dont les matériaux ont vieilli pourrait malgré tout être intéressant. Mais surtout, souligne-t-il, le souvenir de Challenger doit aider à raviver les «leçons tirées de cette mission».

    Après l’accident, le 28 janvier 1986, de vastes opérations avaient été menées pour retrouver des morceaux du vaisseau. Dix ans plus tard, deux nouveaux avaient resurgi sur une plage, après une tempête. Il s’agissait des derniers retrouvés jusqu’ici. Seul un morceau est exposé dans un mémorial ouvert au public au centre spatial Kennedy, en Floride, et les autres sont conservés non loin de là.

    Au printemps dernier, les deux plongeurs étaient en réalité à la recherche d’un avion datant de la Seconde Guerre mondiale, pour un documentaire sur les disparitions dans le triangle des Bermudes.

    Le premier épisode, qui sera diffusé sur la chaîne History Channel le 22 novembre, aura finalement un vaisseau spatial pour vedette. «C’est ce que j’aime avec ces aventures, vous allez chercher quelque chose et vous tombez sur un mystère complètement différent», a dit Mike Barnette.

    Il a expliqué choisir les sites explorés grâce aux informations des pêcheurs, qui devinent où se trouvent les épaves au fond de l’eau car celles-ci attirent les poissons. Le site en question se trouve légèrement à l’ouest du triangle des Bermudes, et non en son sein, mais il était sur le trajet de vol de l’avion recherché.

    Le lieu exact de la découverte n’a pas été révélé pour ne pas attirer les curieux, mais se trouve juste au large de la côte. Selon l’explorateur, il serait «très facile» pour la Nasa d’extraire le morceau de l’eau, mais un tel geste pourrait aussi «rouvrir des plaies». Des discussions sont en cours, a précisé Mike Ciannilli, mais «quoique nous fassions, notre objectif premier est de nous assurer que nous honorons la mémoire et l’héritage de l’équipage, et leurs familles».

    Source: https://www.lematin.ch/story/un-morceau-de-la-navette-spatiale-challenger-retrouve-au-fond-de-la-mer-662405712070

  • Nokia prédit la mort des smartphones d'ici 2030

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    Selon le fabricant de téléphones Nokia, la réalité virtuelle et le métaverse vont très prochainement remplacer les smartphones, peut-être même avant 2030.
    À la fin de la décennie, les smartphones ne seront plus le principal outil de communication

    Alors qu’en début des années 2000, le géant des télécommunications Nokia se faisait une place dans le marché des portables en proposant des téléphones équipés de la technologie radio, l’entreprise mise désormais sur le métaverse pour se réinventer, et annonce la mort des smartphones comme principale forme de communication. “Notre conviction est que cet appareil sera dépassé par une expérience métaverse dans la seconde moitié de la décennie”, a déclaré le directeur de la stratégie et de la technologie de Nokia Nishant Batra.

    Nokia s’est réinventé depuis la fin des téléphones à clapet

    Le téléphone portable à clapet, le téléphone iconique des années 2000, a presque complètement disparu de nos jours, détrôné par les smartphones, malgré un timide mouvement de retour aux téléphones basiques appelés “dumb phones”. Depuis, Nokia s’est transformé en entreprise technologique à part entière, développant la reconnaissance faciale utilisée dans certains aéroports ou aidant les services publics de fourniture d’électricité à sécuriser leur réseau. Sept des principaux réseaux électriques aux États-Unis sont alimentés par les réseaux de l’entreprise scandinave. Nokia est donc loin d’être menacé de disparition, et a réalisé plus de 21 milliards de dollars de chiffre d’affaires l’an dernier, en opérant dans plus de 130 pays avec un effectif totalisant près de 88 000 personnes.

    Le metaverse, le secteur technologique d’avenir pour Nokia

    Selon l’entreprise de télécommunications, dans le monde de la consommation, il manque encore des idées complètes d’applications et de modèles commerciaux, ainsi que des technologies capables de supporter les applications du metaverse. Mais ces technologies vont se développer très rapidement. La taille, le facteur de forme, le coût des casques VR, leur manque de mobilité freine encore le développement du metaverse, mais cela est déjà en train de changer. La technologie 6G va aussi se développer, et permettre tous types d’application du metaverse. Des concepts comme l’augmentation humaine et la fusion numérique-physique permettront bientôt aux gens d’interagir avec le monde numérique. Les jeux, les interactions sociales et les voyages virtuels, permettront aux gens d’utiliser intuitivement le metaverse. “L’adoption généralisée de la technologie par les entreprises et les consommateurs sera essentielle pour qu’elle décolle vraiment, et cela dépendra également de la disponibilité d’appareils VR et AR abordables et ergonomiques connectés sans fil”, a déclaré Nishant Batra.

    Un futur qui mettra en danger la sobriété numérique

    Nokia n’est pas la seule entreprise à investir et à faire la promotion du metaverse. Meta et d’autres géants informatiques défendent le metaverse comme le futur des communications, grâce à des réseaux plus puissants et à un monde virtuel où il sera possible de tout faire. Mais malheureusement, ces développements viendront augmenter considérablement la consommation énergétique des plateformes numériques, ce qui augmente mécaniquement la pollution liée au numérique, principal argument des détracteurs de cette technologie.

    Source

  • La vraie taille des pays et continents en une map

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    Une petite vidéo explicative sur ce problème de taille sur les mappmondes/planisphères:

  • [Topic unique] Metavers

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    Metavers, Avatar ou ID numérique ? Le danger des avatars:

    Depuis le « rebranding » de Facebook devenu Meta, le mot « métavers » est devenu LE « buzzword » à la mode. Parce que polysémique, le mot est utilisé comme un outil marketing pour désigner tous les mondes virtuels ou immersifs. Pourtant, ce n’est pas un mot « à la recherche d’un sens », car au-delà de son histoire et de son étymologie, les professionnels du web 3.0 l’utilisent pour désigner quelque chose d’aussi précis que nouveau. Pour eux, le métavers constitue un monde virtuel ou en réalité augmentée où les objets digitaux disposent de valeurs uniques réelles et intermodales.

    Par conséquent, de la même manière qu’il n’existe pas de cryptoactifs sans technologie blockchain, il n’existe pas de métavers sans objets digitaux disposant de valeurs uniques réelles, autrement dit sans NFT. Les NFT sont même le caractère d’identification des métavers.

    Par définition, la question existentielle des métavers, c’est donc celle de l’identité. L’identité des objets qui disposent d’une valeur, mais également celle des personnes. En cela, ils ouvrent la porte à une transformation initialement pensée comme positive et cristallisée autour de la notion d’avatar.

    Initialement, la notion d’avatar (issue des jeux vidéos) apportait une promesse immense, celle de la fin des discriminations. Car chacun pouvait imaginer vivre dans le métavers comme il l’entendait. Les avatars devaient être la manière de rendre possible pour chacun d’être vraiment ce qu’il voudrait être. Pour la communauté queer, le métavers peut être envisagé comme un tremplin pour afficher son identité, être un outil d’affirmation de soi. Pour d’autres personnes, il pourrait même être un outil quasi thérapeutique. Pour ne donner qu’un exemple, il suffit d’imaginer comment il pourrait être mobilisé dans le traitement de phobies.

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    Imaginez-vous en train de parler à l’avatar d’un collègue, d’un prospect, d’un client. Et que la personne avec qui vous échangez soit en réalité un concurrent, ou tout simplement quelqu’un qui vous veut du mal. Hier, pour s’assurer que votre message était adressé à la bonne personne, la chose était facile : comptes certifiés, courriels authentifiés… La question se pose complètement différemment à l’ère du live, notion constitutive du métavers. Et dans ce cas, le concept d’avatar devient un frein à la confiance.

    La problématique n‘est pas nouvelle puisque les réseaux sociaux « classiques » (et même les outils de visioconférence) y étaient déjà confrontés. Sur ce terreau ont déjà fleuri les faux profils, les profils anonymes et nombre d’arnaques bien connues des utilisateurs du web 2.0. Mais dans le métavers, le problème – qui s’incarne à travers la notion d’avatar – est démultiplié.

    Si les risques liés aux avatars sont si importants dans le métavers, c’est parce qu’ils sont finalement moins ceux des réseaux sociaux que ceux des visioconférences. Avec comme amplification du risque la plus grande facilité de copier un avatar qu’un visage humain.

    Alors comment lever ce frein ? Faut-il encadrer par la loi ou normer les avatars ? Doit-on imaginer un métavers sans avatar ? La réponse est en plusieurs temps. D’abord, d’un point de vue technique, il s’agit de sécuriser les avatars ou d’en repenser le modèle. Ensuite, d’un point de vue juridique, il s’agit sans doute de les encadrer par la loi. Car il semble bien trop facile pour le moment de subtiliser des identités dans le métavers (ou du moins de se faire passer pour quelqu’un d’autre).

    Enfin, il est temps sans doute de réfléchir à un métavers sans avatar. À quoi pourrait-il ressembler ? L’hypothèse la plus simple serait sans doute celle de la duplication de la réalité par un scan de visage (par une utilisation des technologies de « know your customers » utilisées notamment par les banques en ligne), ce qui aurait de plus le mérite de permettre aux utilisateurs plus grand public de se reconnaître dans le métavers. Mais si le modèle est évident, il est déjà dépassé à l’heure du deepfake, avec la possibilité de répliquer des visages. En outre, il ferait revenir les discriminations du monde réel dans le virtuel.

    La solution parfaite n’existe pas encore. Reste donc à imaginer d’autres options et de nouvelles solutions qui s’ouvrent peut-être avec les identités décentralisées. Le territoire d’exploration reste entier, mais tant que le sujet des avatars ne sera pas réglé, le métavers restera sans doute de la science-fiction.

    Source: https://www.usinenouvelle.com/blogs/fabien-aufrechter/vers-un-metavers-sans-avatar.N2061037

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    Je vais me faire l’avocat du diable, mais il y a des gens assez stupides pour mettre sécher leur chien dans un micro-ondes, et qui ensuite porte plainte parce qu’il n’était précisé nul part que le chien n’allait pas apprécié.
    Certaines sociétés abusent c’est clair, mais je pense qu’on peut aussi leur accorder quelques circonstances atténuantes.

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    Je ne connaissais pas rumble, alors je suis allé y faire un tour, j’y ai vu Poutine se promener dans son palais sur la musique disco de Rasputin (Bonney M.), à part ça pas sur que la france soit vraiment perdante, mais qui sait…

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    Ah oui, et un pélican qui se promène dans un salon:

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  • Allons-nous prendre plus de drogues ?

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    @Violence a dit dans Allons-nous prendre plus de drogues ? :

    Autant les comprendre et les utiliser à bon escient comme le font certains peuples anciens plutôt que de les diaboliser à outrance.

    Tout à fait d’accord avec ça.
    En Birmanie (je crois) les vieux consomment du pavot pour soulager la douleur mais aussi planer tranquillement car ils n’ont plus qu’à attendre que le temps passe.

    Le rapport à la drogue est avant culturel, l’alcool qui est une drogue dure n’a finalement d’impact négatif que dans sa consommation avec outrance, sinon vu les milliers d’hectolitres consommés par l’humanité, avec modération) il n’y a pas tant que ça d’effets délétères.

  • Du sable radioactif découvert sur une plage française

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    Du sable radioactif a été détecté plus tôt en 2022 sur une plage de Saint-Nazaire, en Loire-Atlantique, a annoncé la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (CRIIRAD) qui a analysé les échantillons prélevés sur le site.

    Par la suite, la commission a confirmé dans un rapport l’existence d’une “anomalie radiologique” dans le secteur de la plage ainsi que dans la crique située à l’est d’elle.

    “La présence de ces sables peut entraîner une exposition aux rayonnements, par exposition externe et par contamination (inhalation de particules solides ou d’isotopes du gaz radon, ou ingestion de grains de sable)”, a conclu la CRIIRAD.

    Suite aux premières analyses, les spécialistes de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) ont pu caractériser les radionucléides présents. Il s’agit d’éléments de la chaine de l’uranium 238 et de celle du thorium 232.
    Elle n’a pas jugé “nécessaire de recommander des mesures de protection de la population concernant la plage de Trébézy à Saint-Nazaire”, compte tenu des niveaux de radioactivité très localisés.

    D’après l’ASN, il s’agirait de Radionucléides naturels émetteurs de rayonnements gamma

    Source: [link removed]/20221101/du-sable-radioactif-decouvert-sur-une-plage-francaise-1056696630.html

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    @alain06 a dit dans Un peu d'histoire le la télévision analogique, ou séquence nostalgie :

    J’ai connu aussi « 36 Chandelles »

    Ah ! Jean Nohain ! On en fait plus des comme ça !