Discussions générales

On parle de tout le reste

654 Sujets 7.7k Messages
  • 5 Votes
    54 Messages
    925 Vues

    Affligeant!

  • 3 Votes
    3 Messages
    37 Vues

    A voir si les toits vont supporter le poids de ces installations, ça plus le poids de la neige…

  • 0 Votes
    1 Messages
    35 Vues

    L’émission «À bon entendeur» de la RTS s’est penchée sur la «Temu mania». Un expert y a notamment décrypté les différents mécanismes qui sont déclenchés chez les clients lorsqu’ils fréquentent le site, afin de les pousser à consommer toujours plus.

    aa2566da-53e5-44f5-bae9-68e3c775f4be-image.png

    «Temu mania: les dessous d’un succès phénoménal»: ainsi s’intitulait l’épisode de l’émission «À bon entendeur» diffusé le 12 novembre dernier sur RTS. Parmi les intervenants de l’émission, le professeur Julien Intartaglia a décryptré les mécanismes qui s’opèrent en nous lorsque nous fréquentons un site comme Temu.

    Doyen de l’Institut de la communication et du marketing expérientiel (ICME) chez HEG Arc Neuchâtel, il explique notamment que l’être humain est de nature «instinctive» et que Temu joue avec le fait que notre cerveau prend des décisions rapidement.

    «Risque financier perçu»

    L’une des techniques pour appâter le consommateur est vieille comme le monde: lui faire croire qu’il bénéficie de rabais incroyables, de cadeaux ou d’avantages exclusifs. La plateforme est truffée de messages allant dans ce sens.

    «Il y a une limite spécifique pour que le consommateur consomme en-dehors de sa raison, on parle de risque financier perçu. Le prix est tellement faible que l’on n’évalue pas trop d’alternatives à côté», remarque Julien Intartaglia.

    Rapidement, le sentiment d’avoir fait une bonne affaire devient addictif. Une «boucle de rétroaction» se met en place, ajoute le spécialiste: «Plus on ressent ce sentiment temporaire de satisfaction, plus on a envie d’y retourner, de manière extrêmement rapide».

    Selon lui, «quelques minutes» à surfer sur un site comme Temu suffisent pour qu’une personne dotée de valeurs et de principes les mette de côté et cède à la tentation, au prétexte qu’elle «a bien le droit de se faire un petit plaisir».

    Mais qu’est-ce qu’il y a dans ce paquet?

    Une autre force de la plateforme de vente en ligne est qu’elle encourage les utilisateurs à pratiquer l’«unboxing». Elle invite les clients à se filmer en train de déballer leur commande et à partager leurs découvertes sur les réseaux sociaux. Ceux qui se prêtent au jeu peuvent ainsi gagner des cadeaux.

    Mais cela n’a rien d’innocent. C’est une formidable publicité gratuite pour Temu. Et là encore, un mécanisme très humain s’active dans notre cerveau, note Julien Intartaglia: «Derrière le fait d’ouvrir un paquet, il y a l’effet de la surprise. C’est-à-dire que l’on ne sait pas sur quoi on va tomber».

    Se demander ce qu’il y a dans un paquet provoque l’excitation de la découverte. Ceux qui regardent les influenceurs déballer leurs commandes ont ainsi rapidement envie de faire comme eux. «On est sur cette excitation, cette envie d’imiter et donc d’acheter», conclut l’expert.

    Source et vidéo: https://www.bluewin.ch/fr/divertissement/tv-film/vous-etes-accros-a-temu-un-expert-vous-explique-pourquoi-2451216.html

    Le test sur les crèmes solaire est édifiant (13’ 30").

  • 2 Votes
    8 Messages
    100 Vues

    @Violence Je crois qu’ils ont fait un effort cette année. :ahah:

    text alternatif

  • 3 Votes
    6 Messages
    136 Vues

    Pas besoin d’être scientifique pour savoir qu’il existe un 3ème état entre la vie et la mort.
    Croyez-en mon expérience…
    Je connais des gens, on dirait qu’ils sont morts, mais non : ils sont juste sur le fil.
    Tu les regardes dans le blanc des yeux : y a plus de vie, c’est le néant.
    Tu leur tires la langue, ils sourient en une grimace crispée.
    Mais je crois que ce 3ème état, ça s’appelle “être con et ne pas le savoir”.

    Je vous interdis de tenter l’expérience du “tirage de langue” avec moi. Je ne sais trop ce que cela va donner…

    Sourire-crispé.gif

  • Ratatouille et rat des champs

    3
    1 Votes
    3 Messages
    56 Vues

    @RussianFighter Rats des champs alors

  • Les SIG se lancent dans la production de CO2 liquide

    1
    0 Votes
    1 Messages
    41 Vues

    83352f71-028d-4a8e-831d-8f728b02ff6f-image.png
    Un employe Planzer purge les tuyaux apres le transfert du dioxyde de carbone CO2 du silo de stockage a une citerne mobile posee sur une semi-remorque sur le site de la STEP d’Aire des Services industriels de Geneve (SIG), ce lundi 4 novembre 2024 a Geneve. A la station d’epuration (STEP) genevoise d’Aire, la production de biomethane a partir de boues issues des eaux usees ne rejette plus de CO2 dans l’atmosphere. Le dioxyde de carbone est desormais capte et stocke sous forme liquide. Il est ensuite achemine chez un cimentier qui l’emprisonne dans du beton recycle grace a un procede developpe par l’entreprise bernoise Neustark

    A la station d’épuration (STEP) genevoise d’Aïre, la production de biométhane à partir de boues issues des eaux usées ne rejette plus de CO2 dans l’atmosphère. Le dioxyde de carbone est désormais capté et liquéfié. Il est ensuite acheminé chez un cimentier qui l’emprisonne dans du béton recyclé grâce à un procédé développé par l’entreprise bernoise Neustark.

    Gestionnaires de la STEP d’Aïre, les Services industriels de Genève (SIG) se trouvent au début de la chaîne en fournissant à Neustark sa matière première, soit le CO2. Pour l’instant, les SIG sont dans une phase de test avec ce projet. Ils ont loué le matériel permettant de liquéfier le gaz carbonique.

    “Nous pouvons ainsi nous faire la main dans ces nouveaux métiers”, explique Frédéric Schulz, le directeur de l’eau potable et du gaz aux SIG. La phase d’essai dure trois ans. Si le bilan est concluant, l’entreprise déploiera ces nouvelles installations dans le cadre de la rénovation de la station d’épuration d’Aïre.

    Ce projet permet d’éviter l’émission de 1500 tonnes de CO2 par an de l’usine de biogaz située sur la STEP, indiquent les SIG. Le biogaz est composé à 60% de méthane et d’environ 40% de dioxyde de carbone, ainsi que d’un peu d’ammoniac, rappelle M. Schulz. Seul le biométhane est injecté dans le réseau de gaz des SIG, permettant de chauffer 1000 logements.

    CO2 liquide transportable

    Les SIG extraient donc le dioxyde de carbone du biogaz grâce à un appareillage qui agit comme un filtre à molécules. Ils rejetaient auparavant ce gaz carbonique dans la nature. Aujourd’hui, ils le liquéfient en le portant à très basse température, puis le stockent dans une cuve dressée en plein coeur de la STEP.

    Sous forme liquide, le CO2 devient facilement transportable. C’est à ce moment que la société bernoise Neustark intervient. Elle transfère le gaz carbonique dans un camion-citerne qui va acheminer sa cargaison auprès d’un cimentier. Sur place, le gaz carbonique est regazéifié.

    Neustark transforme ensuite le gaz carbonique en calcaire en l’intégrant dans des granulats de béton provenant de bâtiments démolis ou d’autres déchets minéraux. Ces granulats peuvent ensuite être utilisés pour la fabrication de béton recyclé ou dans la construction de routes.

    Structure stable

    Le calcaire ayant une structure très stable, le CO2 peut rester des siècles emprisonnés. Il ne faut juste pas le soumettre à une température qui dépasse 600 degrés ou l’exposer à des acides puissants, note Elmar Vatter, porte-parole de Neustark. Dans ces situations extrêmes, le dioxyde de carbone reprend sa liberté sous forme gazeuse.

    Cette technique de captation du CO2 est un moyen de lutter contre la dérive climatique, le dioxyde de carbone étant un des gaz qui contribue à l’effet de serre. “On supprime une pollution, les émissions de CO2, c’est bon pour le climat et l’environnement”, commente M. Schulz.

    Fondée en 2019, Neustark a été une des premières entreprises à commercialiser l’élimination du gaz carbonique par minéralisation dans le béton de démolition. Avant sa collaboration avec les SIG, la jeune pousse bernoise avait uniquement des fournisseurs de CO2 en Suisse alémanique.

    Source: https://www.radiolac.ch/actualite/geneve/les-sig-se-lancent-dans-la-production-de-co2-liquide/

  • 3 Votes
    3 Messages
    64 Vues

    @Ashura a dit dans Australie: Les jeunes de moins de 16 ans ne pourront (théoriquement) plus utiliser les réseaux sociaux :

    Bonne chose

    Oui si c’était effectif, mais là j’ai un gros doute, mais que l’idée fasse son chemin c’est déjà un progrès.

    Mais comme dit par @duJambon c’est 15 ans trop tard, le mal est fait et il est indélébile.

  • 0 Votes
    1 Messages
    39 Vues

    Le nombre de films visionnés via les plateformes de streaming a baissé en 2023. Le visionnage de films en vidéo à la demande s’en sont en revanche plutôt bien sorties.

    Le secteur semblait intouchable, tant il n’a cessé de gagner du terrain au cours des dernières années. Et pourtant, en 2023, les visionnages de films via les services de streaming ont diminué par rapport à l’année précédente. Une première depuis que l’Office fédéral de la statistique (OFS) recense des données détaillées sur la question, soit 2019, a-t-il annoncé ce vendredi.

    Dans l’ensemble, les films consommés en streaming ont été environ 5% moins nombreux en 2023. «Cette tendance touche particulièrement les documentaires (-8%) ainsi que les films européens (-9%)», note l’OFS. Le cinéma suisse a toutefois de quoi se réjouir, car il a progressé de 13%. La part de marché des films suisses reste néanmoins inférieure à 1%, loin derrière les productions américaines, qui en détiennent le quasi-monopole avec 71%.

    d30bcc57-32b6-4131-bce0-8c8d320200d2-image.png

    Ventes et location gardent leur public

    Plutôt surprenant, la location et l’achat de films en vidéo à la demande n’ont eux pas subi le même sort que le streaming. Pour ce qui est de la location, les chiffres stagnent depuis 2021, avec quelque 4,3 millions de films loués par année. Les achats ont quant à eux augmenté de 8%, après trois années de baisses successives, pour atteindre environ 941’000 ventes.

    Source: https://www.20min.ch/fr/story/suisse-le-streaming-est-en-perte-de-vitesse-103217371

  • 0 Votes
    18 Messages
    213 Vues

    @Psyckofox En fait, c’est aussi que beaucoup de fonctionnaires ont de plus en plus de mal à trouver du sens à leur fonction, à la base ils rentrent plein de motivation et d’envies et sont gâchés par leur hiérarchie, elle même gérée par des managers qui coûtent un bras et qui n’ont plus aucunes connaissances du terrain, et se foutent des aspirations de leur masse salariale.

  • Le climat change mais ce n'est pas de notre faute

    29
    0 Votes
    29 Messages
    454 Vues

    Il y a ceux qui pensent que l’être humain n’est responsable de rien,ceux qui pensent que les scientifiques vont tout arranger et ceux qui pensent pouvoir partir dans l’espace pour les plus riches… Dans tous les cas,je pense qu’on a passé un point de non retour.

  • 0 Votes
    20 Messages
    324 Vues

    @Ashura a dit dans Netflix, Spotify, Disney+… Pourquoi les prix de vos abonnements streaming vont continuer à flamber :

    Sinon y’a le site spliit pour partager ces comptes et payer moins cher, j’ai pris un Disney 4k car on en trouve plus sur le net, les gens ne prennent plus cet abonnement cher

    J’utilise depuis longtemps, pour D+ notamment, ça fait des économies et sans cela je n’aurais pas D+ car trop peu de contenu qui m’intéresse au final

    Mais bon est-ce que ça durera s’ils commencent à mettre des vérifications contre le partage de compte ?

  • Brave Navigateur

    19
    0 Votes
    19 Messages
    304 Vues

    J’imagine bien qu’une option existe, mais pas directement dans les paramètres du navigateur.

    Mais bon, c’est surtout le côté “performance” qui finalement me fait retourner sur floorp.
    Autant, se balader sur les divers sites, brave est plus smooth mais pour certaines tâche il pèche franchement.
    typiquement, si je veux voir s’il faut que je prenne mon parapluie pour éviter les précipitations d’or, ça rame sec et le proco s’emballe quand je bouge la barre horaire.

  • 0 Votes
    11 Messages
    149 Vues
  • 1 Votes
    2 Messages
    40 Vues

    Savoir ce que disent les textes des langues anciennes, OK mais les chanter autre que dans la langue originelle, perso je trouve que ça dénature, à mon sens, complètement le contexte vu par Tolkien…

    L’héritage de Tolkien est à lire quand on à l’âge de le faire car tu ne lis pas ça à un gosse de 10 ans… (Avis perso)

    Par contre, quand tu es en âge, tu es ensuite assez grand pour trouver la traduction des textes elfiques en quenya ou en sindarin par exemple, sans oublier le khuzdul (nains), le noir parler ou encore l’adûnaic (Numenor) et d’autres…

    Sinon si tu veux montrer ça à des gosses, il reste le dessin animé.

    Je suis peut être trop puriste mais c’est en ce sens que j’aime apprécier au mieux l’œuvre de Tolkien…

    En passant, la saison 2 de la série est super sympa (j’ai bien aimé le traitement donné aux Istaris) et bien mieux emmenée que la première qui par contre, pour le coup, prends ici tout son sens…

  • Nucléaire: Inquiétudes chez EDF

    211
    3 Votes
    211 Messages
    9k Vues

    @duJambon si les boshe ne nous cassent pas les burnes entre temps

  • Ublock origin c'est fini...

    26
    0 Votes
    26 Messages
    464 Vues

    Ben la mienne aussi alors 😁

  • Chercheurs

    25
    1 Votes
    25 Messages
    193 Vues

    Une découverte, c’est connu, chacun réagit à sa façon.
    Les américains en font un business,
    Les chinois le copie,
    Les français en font une nouvelle taxe.

  • Puff daddy le nouveau eipstein ?

    19
    0 Votes
    19 Messages
    247 Vues
  • A paris on achève bien les automobilistes...

    18
    2 Votes
    18 Messages
    260 Vues

    @Zabal a dit dans A paris on achève bien les automobilistes... :

    Mais rien ne justifie le fait de vouloir ( et d’y réussir) tuer un cycliste, absolument rien.

    Faut voir 🙂 mais il y a en tout cas des baffes qui se perdent 🙂

    Quoique, les pires ont plus de chances de se faire écrabouiller, pas forcément besoin d’agir par soi-même…