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    Pas touche, je veux mon ternet 😁

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    Des ouvriers russes assemblant des Citroën à l’usine de Kalouga, lors de son démarrage en avril 2013 (MAXIM SHIPENKOV / EPA / MAXPPP)

    Une mystérieuse société a repris la production de Citroën C5 Aircross dans l’ancienne usine russe de Stellantis, avec l’aide du constructeur chinois Dongfeng. Le constructeur français affirme avoir perdu le contrôle du site, et se retrouve impuissant face à cette affaire qui mêle intérêts économiques et géopolitiques.

    Le site internet citroen.ru a toutes les apparences d’un site officiel de constructeur. Dans la section “voitures en stock”, il annonce que 96 Citroën C5 Aircross “russes” sont actuellement disponibles à la vente. Pourtant, pas plus ce site que ces voitures arborant les chevrons de la marque française n’ont quoi que ce soit à voir avec Stellantis, le groupe issu de la fusion de Peugeot-Citroën et de Fiat-Chrysler. La guerre en Ukraine, les sanctions internationales et la politique du Kremlin ont affranchi la Russie des règles du jeu économique mondial et rendent possible de tels actes de piratage industriel qui semblaient impensables il y a peu.

    Pour comprendre comment cela est devenu possible, il faut revenir en avril 2022, deux mois après l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Stellantis annonce alors la mise à l’arrêt de son usine de Kalouga, à 200 km au sud-ouest de Moscou, en raison “des difficultés logistiques rencontrées quotidiennement” et “afin de garantir le respect total de l’ensemble des sanctions”, explique le groupe. Du jour au lendemain, ce site (dont Mitsubishi détient 30%) conçu pour produire 125 000 véhicules par an, employant 2 700 salariés, se vide, comme la plupart des autres usines automobiles en Russie.

    Les Russes décidés à faire payer leur départ aux constructeurs automobiles

    Contrairement à Renault, qui va rapidement, en mai 2022, vendre (pour le rouble symbolique) sa participation dans Avtovaz-Lada et son usine de la banlieue de Moscou aux autorités russes, Stellantis n’arrive pas à solder ses actifs dans le pays. “Ils étaient moins bien intégrés dans le système que Renault”, analyse a posteriori un Français installé à Moscou, fin connaisseur des milieux industriels. Stellantis continue d’assurer les salaires des salariés dans un premier temps, mais le groupe ne fait pas mystère qu’il n’a pas l’intention de revenir sur le marché russe, où il n’a jamais vraiment percé. "Le ministère de l’Economie a très mal pris le départ des constructeurs automobiles étrangers, poursuit ce Français, il était résolu à ne leur faire aucun cadeau."

    Pour Stellantis, cela veut dire faire une croix sur l’usine de Kalouga, dont le groupe admet aujourd’hui qu’il en a “perdu le contrôle”, sans qu’aucune cession n’ait jamais été formellement actée. Pendant près de deux ans, plus personne n’entend parler de cette usine fantôme, jusqu’au 27 mars dernier, où une société russe, Automotive technologies, annonce le démarrage de “l’assemblage en série des crossovers Citroën C5 Aircross” sur le site de Kalouga, qui semble ne pas avoir été perdu pour tout le monde. Le nouvel opérateur annonce l’arrivée des premiers modèles en concession pour mai 2024. Les acheteurs peuvent déjà les réserver sur le site internet de Citroën Russie, qui semble lui aussi avoir changé de propriétaire.

    Le site internet de "Citroën Russie" permet déjà de réserver un C5 Aircross russe (CAPTURE D'ECRAN)
    Le site internet de “Citroën Russie” permet déjà de réserver un C5 Aircross russe (CAPTURE D’ECRAN)

    D’après nos informations, la production de ces véhicules, ainsi que les fonctions supports, sont assurées par d’anciens salariés de Stellantis en Russie, mais personne ne sait exactement qui se trouve derrière cette société. "Officiellement, il s’agit de l’ancien distributeur Citroën en Russie, explique un journaliste russe, qui aurait investi seul pour remettre en route l’usine. Sur le papier c’est possible, d’autres évoquent la présence d’un gros investisseur mais ce ne sont que des spéculations", poursuit ce spécialiste de l’automobile, qui a pu visiter l’usine lors d’une visite de presse à laquelle aucun journaliste étranger n’a été convié. Automotive Technologies n’a pas répondu aux questions de franceinfo.

    Une visite de l’usine qui laisse de nombreuses questions sans réponse

    Cette visite, que certains journalistes ont filmée, a permis de voir à quoi ressemblait cette nouvelle production made in Russia. Guidés par le directeur du développement d’Automotive Technologies, Pavel Bezroutchenko, les journalistes ont pu observer l’assemblage des premiers véhicules dans une usine à moitié déserte. "Evidemment, nous n’étions pas certains qu’on nous présentait toute la réalité, poursuit notre journaliste. Il reste, même après cette visite, de grandes zones d’ombre". Les C5 Aircross de Kalouga sont assemblées à partir de kits de 1 700 pièces importés en Russie. Cette méthode s’appelle CKD (pour complete knock down) dans l’industrie. Les carrosseries arrivent par train déjà soudées et peintes à Kalouga. Les ouvriers assemblent tous les éléments et la voiture devient officiellement russe. Mais qui fournit donc ces pièces qui permettent d’assembler une Citroën originale ? Ce jour de visite, Pavel Bezroutchenko a refusé de le dire aux journalistes qui lui ont posé la question. Tout juste sait-on que ces véhicules sont identiques à ceux commercialisés en France, à l’exception de quelques détails, comme les optiques avant.

    Le “complice” n’est pourtant pas bien difficile à trouver. Il s’agit de Dongfeng, le constructeur chinois, actionnaire de Stellantis, partenaire de Peugeot et Citroën dans la production en Chine de 4008 (version chinoise du 3008) et de… C5 Aircross notamment. Dongfeng Motor n’a pas répondu aux questions de franceinfo, mais une source chez Stellantis confirme que le groupe a bien écrit à son partenaire chinois “pour lui signifier qu’il n’avait pas le droit d’exporter ces pièces vers la Russie.” D’après l’agence Reuters, Dongfeng aurait, dans un premier temps, exporté 42 kits de C5 Aircross vers la Russie. D’autres ont dû l’être depuis, Automotive technologies affichant son intention d’augmenter la cadence de production, plafonnant pour l’instant à “deux ou trois véhicules par jour” du propre aveu de son représentant.

    “Un grand bal géopolitique”

    "Tout cela reste hautement symbolique et c’est un grand bal géopolitique, décrypte un bon connaisseur du secteur. Cela permet d’afficher une bonne entente entre Russes et Chinois, et le gouverneur de Kalouga peut annoncer fièrement que l’usine tourne." Cette opération a forcément reçu un aval politique de haut niveau à Moscou et à Pékin, nous ont confirmé plusieurs sources. Dongfeng est la propriété du gouvernement chinois et Pavel Bezroutchenko est l’ancien directeur adjoint du département automobile du puissant Minpromtorg, le ministère russe de l’Industrie et du Commerce. Il avait même été décoré, à ce titre, en 2018, sur décret de Vladimir Poutine. Le nouveau “propriétaire” de l’usine de Kalouga ne semble pas effrayé par la perspective de sanctions du fait de ses agissements. Interrogé sur le sujet par des journalistes russes, il affirme avoir “un plan B, et même un plan C.”

    Dans ce contexte, comment expliquer néanmoins le peu de virulence que semble montrer Stellantis face à cette spoliation évidente de ses droits ? "Tout est question de rapport de force, explique un consultant du secteur. Si vous estimez que vous êtes spoliés, vous allez au tribunal. Mais Stellantis a-t-il vraiment envie de se fâcher avec le gouvernement chinois au regard de ce qu’il attend de ce marché ?" D’autant plus que l’idylle entre le constructeur chinois, venu au secours de Peugeot-Citroën en grande difficulté en 2013, et le groupe devenu Stellantis depuis la fusion avec Fiat-Chrysler semble se terminer. Dongfeng a récemment revendu une partie de ses actions Stellantis, et racheté les usines qu’elle avait en copropriété en Chine. Quant à envisager un recours juridique en Russie dans le contexte actuel…

    Le nouveau visage de la Russie de 2024

    Pour symbolique que soit la production de l’usine de Kalouga, cette affaire est surtout représentative de la nouvelle réalité dans laquelle a basculé la Russie, après avoir longtemps cherché à afficher sa respectabilité concrétisée notamment par son adhésion à l’OMC (Organisation mondiale du commerce) en 2012, après 18 ans d’âpres négociations. Après avoir longtemps lutté contre la contrefaçon, le pays laisse aujourd’hui les cinémas diffuser des films américains “piratés”, faute de licence, et s’aligne sur des pratiques qui ont cours en Iran, par exemple, où l’on trouve déjà des Peugeot fabriquées sans l’autorisation du constructeur français. Dans les rues de Moscou, les voitures européennes disparaissent peu à peu au profit de modèles chinois, tous importés. Les constructeurs chinois rechignent à investir dans le pays malgré la coopération “sans limites” vantée par leurs dirigeants respectifs.

    Source : francetvinfo.fr

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    Pravda da

    Le service de vigilance et protection contre les ingérences numériques étrangères Viginum a découvert un nouveau « réseau structuré et coordonné de propagande prorusse » relayant la désinformation complotiste.

    Surnommé « Portal Kombat » dans le rapport de Viginum, en référence au jeu vidéo Mortal Kombat, ce réseau, détecté en septembre 2023, est constitué « d’au moins 193 sites » web utilisés depuis 2022 pour désinformer au sujet de la guerre en Ukraine.

    Des sites « soudainement réactivés et musclés »

    Créé par un acteur privé russe dès 2013, afin de « couvrir l’actualité russe et ukrainienne de façon badine », ces sites « dormants » auraient été « soudainement réactivés et musclés » suite à l’invasion de l’Ukraine, rapporte Le Point.

    Ils ont depuis réorienté leurs activités vers les territoires ukrainiens occupés, puis vers l’Europe, en particulier la France, l’Allemagne et la Pologne, connus pour soutenir l’Ukraine.

    | Viginum documente une campagne de déstabilisation des JO de Paris liée à l’Azerbaïdjan | Le premier rapport de Viginum reste peu disert sur les opérations d’influence étrangère

    Leur objectif serait de présenter sous un jour favorable « l’opération militaire spéciale » russe, fustiger les dirigeants ukrainiens présentés comme « nazis », « corrompus » et « incompétents », promouvoir le FSB (successeur du KGB soviétique), les services de renseignements russes ou encore dénigrer les pays soutenant l’Ukraine.

    Ils publient également des contenus portant « sur d’autres thématiques proches des sphères complotistes francophones, qui tendent à remettre en cause la parole politique, les médias ou encore les différentes décisions prises au sein des organisations internationales comme l’OTAN, l’ONU ou l’UE par exemple », précise Viginum.

    À l’été 2023, l’un d’entre eux s’est aussi recentré sur les crises au Niger et au Gabon, dénigrant au passage la présence française au Sahel. Armes de désinformation massive, il a été jusqu’à publier 1 687 articles en… une seule journée.

    L’écosystème « Pravda »

    Cinq d’entre eux, comportant « pravda » dans leurs URL – ou « vérité » en russe, le nom de l’ancien organe du comité central du Parti communiste soviétique –, ont publié 152 464 articles en moins de trois mois. En août 2013, ils ont publié jusqu’à plus de 3 000 contenus par jour, soit plus de deux contenus par minute.

    En plus de publier massivement des contenus, les sites du réseau « Portal Kombat » semblaient « bénéficier d’un référencement optimisé sur les différents moteurs de recherche via une promotion SEO » (pour Search Engine Optimization, ensemble de techniques utilisées pour améliorer la position d’un site web sur les pages de résultats des moteurs de recherche).

    Des audiences peu élevées

    « Pour des mots-clés génériques comme “France Ukraine” ou “Guerre Russie”, le site n’apparaît pas sur les requêtes les plus concurrentielles. Cependant, pour les mots-clés de “longue traîne” qui combinent plusieurs mots et suscitent donc moins de compétition entre les requêtes, les articles obtiennent un bon référencement, apparaissant parfois en tête des résultats d’une recherche sur Google », indique Viginum.

    Pour autant, souligne Viginum, cet écosystème « pravda » n’enregistre pas de scores d’audiences élevés. D’après l’outil Similarweb, la moyenne du trafic sur ces cinq portails « était d’environ 31 000 visites » durant le mois de novembre 2023. Celui ciblant la France étant, par ailleurs, le moins visité, avec 10 700 visites, contre 55 000 pour son pendant espagnol.

    Le nombre de publications sur les sites « pravda » entre le 23 juin et le 19 septembre 2023.

    « Nous sommes la cible des actions hybrides de la Russie »

    Viginum précise que les sites de ce réseau « ne produisent aucun contenu original » et que leur « “valeur ajoutée” réside dans la sélection des contenus pour chaque site ».

    Ils se contentent en effet de relayer « massivement » et de façon automatisée (avec des traductions automatiques) des publications issues en majorité de réseaux sociaux d’acteurs russes ou pro-russes, d’agences de presse russes et de sites officiels d’institutions ou d’acteurs locaux, traduites automatiquement.

    « Compte tenu de ses caractéristiques techniques, des procédés mis en œuvre ainsi que des objectifs
    poursuivis, ce réseau constitue une ingérence numérique étrangère », conclut Viginum.

    « Nous sommes la cible des actions hybrides de la Russie, par la désinformation, des cyberattaques et des ingérences politiques dans l’objectif de semer la division dans nos sociétés démocratiques », ont de leur côté déclaré les ministres des Affaires étrangères de la France, de l’Allemagne et de la Pologne en marge d’une réunion du Triangle de Weimar.

    Ce forum de rencontre, de dialogue et d’échange informel avait été créé en août 1991, deux ans après la chute du mur de Berlin, un an après la réunification allemande et l’année même de la dissolution de l’URSS, afin de définir la coopération trilatérale entre ces trois pays.

    « Cette guerre constitue la menace la plus forte et la plus directe pour la sécurité, la paix et la stabilité de la zone euro-atlantique », ont-ils rajouté. À l’aune d’une « année électorale importante », ils ont également annoncé la mise en place d’un « programme d’alerte et de réaction de Weimar » sur les manipulations de l’information et les ingérences étrangères, « pour renforcer la mobilisation de l’Union européenne dans ce domaine afin d’obtenir des plateformes en ligne qu’elles prennent des mesures plus efficaces ».

    Source : next.ink

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    Yep @Raccoon ce sont les nouvelles guerres. S’attaquer aux infrastructures d’un pays, comme Stuxnet en son temps qui doit être toujours dormant je ne sais ou quelque part.

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    Pas de quoi la ramener, la France est numéro 1 sur les réseaux sociaux et autres

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    L’office de contrôle des avoirs étrangers (OFAC - Office of Foreign Assets Control) du Département du Trésor américain a sanctionné la ressortissante russe Ekaterina Zhdanova pour avoir blanchi des millions de dollars en cryptomonnaie pour le compte de diverses personnes, notamment des acteurs de ransomwares.

    Zhdanova a utilisé son expertise dans les réseaux de crypto-monnaie et de blockchain pour transférer de l’argent via diverses plateformes telles que Garantex (sanctionné en avril 2022 pour avoir aidé le marché Hydra) afin d’échapper aux contrôles de « lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme » (AML/CFT).

    Un rapport de la société d’analyse blockchain Chainalisys a fourni des informations supplémentaires sur les entreprises publiques de Zhdanova, qui peuvent ou non faire partie de ses stratagèmes complexes de blanchiment d’argent.

    L’OFAC et Chainalysis notent que Zhdanova a également exploité ses connexions avec un vaste réseau mondial d’autres blanchisseurs d’argent pour masquer davantage ses activités financières et accéder à une clientèle plus traditionnelle.


    – Activité de transfert d’argent de Zhdanova (Chainalysis)

    Aider l’affilié du ransomware Ryuk

    Zhdanova aurait également blanchi plus de 2 300 000 $ de rançons présumées versées à une filiale de l’opération de ransomware Ryuk.

    Le gang Ryuk a été actif entre 2018 et 2021 et s’est répandu en attaquant des organisations dans tous les secteurs, y compris les soins de santé pendant la pandémie, et en extorquant aux victimes le montant le plus élevé possible.


    – Processus de blanchiment de rançon (Chainalysis)

    Le système utilisé par Zhdanova pour dissimuler l’origine illégale de l’argent de la filiale Ryuk impliquait l’ouverture frauduleuse d’un compte d’investissement et la réalisation d’achats immobiliers.

    Il est intéressant de noter qu’un autre citoyen russe qui a blanchi de l’argent pour le gang du ransomware Ryuk pendant trois ans a été extradé des Pays-Bas et a récemment plaidé coupable aux États-Unis.

    Outre les ransomwares, Zhdanova a également aidé les oligarques russes à échapper aux sanctions imposées par le monde occidental en réponse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

    Dans un cas, elle a facilité le transfert de plus de 100 millions de dollars au nom d’un oligarque russe vers les Émirats arabes unis. Les autorités ont également confirmé plusieurs cas dans lesquels elle a fait en sorte que des clients russes obtiennent la résidence fiscale, des cartes d’identité et des comptes bancaires aux Émirats arabes unis.

    À la suite des sanctions de l’OFAC, Ekaterina Zhdanova verra tous ses avoirs basés aux États-Unis gelés, tandis qu’il sera interdit aux personnes et entités américaines d’effectuer des transactions avec elle.

    – Source

    https://www.bleepingcomputer.com/news/security/us-sanctions-russian-who-laundered-money-for-ryuk-ransomware-affiliate/

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    @El-Bbz je me suis fait un compte pour y lire, je me garde bien d’y participer, on y trouve de tout, quelques punchlines rigolotes.

    Twitter dans les années 50/60 aurait eu une sacrée gueule!

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    @Raccoon a dit dans Facebook peine à identifier les mèmes et opérations d'influence du Kremlin en Afrique francophone :

    la propagande du Kremlin avec des titres comme « Les États-Unis à court d’argent pour continuer de soutenir l’Ukraine face à la Russie » ou « La Russie défie l’occident en produisant 1 500 chars modernes en une année ».

    Perso, j’ai assez bien identifié le réseau qui diffuse la propagande de Washington avec des titres comme “Vladimir Poutine opéré d’un cancer avancé : “Tout le monde sent que la fin est proche”, confirme le renseignement américain” ou " Si Poutine continue de bombarder l’Ukraine à ce rythme-là, il n’aura bientôt plus de munitions". 😉

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    j’ai pas fais assez d’histoire à l’école lol

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    @duJambon

    Pour les autres pays, ils ont confié la tâche à l’IA de Google, qui s’en acquitte très bien.

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    A propos de gif, celui là m’a fait rire.

    https://giphy.com/gifs/kissing-vladimir-putin-ezKMpWLzwN1Wo

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    @pollux a dit dans Les cinémas russes diffusent des films piratés téléchargés à partir de torrents :

    On est en plein dans le sujet puisque ce piratage ce développe en réaction à la mise en place de sanctions par Hollywood.

    Oui, mais discuter des sanctions hypothétiques a géométrie variable contre le gouvernement Russe intéressent moins le warez que les risques encourus par les cinémas qui passent outre, c’est pourquoi je considère que c’est un autre sujet et que j’aurais bien aimé un avis pertinent (ou deux) sur la question et pas une discussion en boucle sans le moindre intérêt.

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    @orphancia je plussoie :smile: