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    Pour celles et ceux qui ne comprenaient pas ce que voulait dire “dérégulation”, en voilà un bel exemple…:blase:

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    pas de compte micro$oft perso (pas fou)
    mais pas le choix au taf ; donc… info bien utile, merci @Raccoon

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    @Ashura a dit dans Données de centrales nucléaires : AWS réfute avoir « refusé de signer un contrat » avec EDF :

    on a ovh et d’autres en France

    Pour OVH, on a vu ce que ça a donné 🤪😅

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    Mais en pratique, l’initiative s’est rapidement heurtée à des limites majeures. Contrairement à ce que son nom laissait entendre, DNT n’avait aucune valeur contraignante. Les sites web étaient libres de l’ignorer… et c’est exactement ce qu’ils ont fait. Pire, certains exploitants de données ont vu dans cette requête un moyen de cibler plus précisément les utilisateurs soucieux de leur vie privée.

    Pour ne rien arranger, le soutien initial des grandes entreprises s’est vite effrité. Le monde de la publicité en ligne, dominé par des géants comme Google ou Facebook, a préféré miser sur des outils de tracking toujours plus sophistiqués. Résultat : Do Not Track est resté une chouette idée, mais vide de substance.

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    @Ashura C’est vrai qu’il y a des états voyous qui mettent le paquet. :ahah:

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    Et bien sûr, les “incidents” ne se sont pas arrêtés en 2019 🙂

    De toute façon, Google vend ses données à qui veut payer (même à des escrocs), personne n’est à l’abri.

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    Abrutissons l’I.A. avec des données fantaisistes, c’est à notre portée! et ça pourrait même être drôle :ahah:

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    Et hop une base de plus sur le net en circulation

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    Oh les fdp, on l’attendaient pas celle là

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    @Psyckofox c’est le but de le revendre, surtout qu’un tel nombre ça doit valoir beaucoup

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    @Raccoon a dit dans Une régie publicitaire surveillait plus de 5 milliards de portables via 500 000 applications :

    la plateforme (…) dispose des profils de « plus de 5 milliards d’identifiants d’utilisateurs »

    c’est malheureux à dire mais je m’en fous… comme l’a dit @duJambon tant que les données ne tombent pas entre les mains du commun des mortels je vois pas où est le problème

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    Comme tout le monde ne s’en fiche pas d’être outrgeusement fiché, quelques nouvelles.

    Google poursuivi en justice pour les collectes de données opérées par Chrome

    Une cour d’appel de San Francisco a décidé le 21 août que Google devrait répondre aux poursuites intentées par des utilisateurs de Chrome.

    Ces derniers accusent l’entreprise d’avoir collecté des données personnelles depuis son navigateur, sans leur accord, et alors qu’ils avaient choisi de ne pas synchroniser Chrome avec leurs comptes Google, YouTube et leur messagerie Gmail.

    Le recours collectif avait initialement été rejeté : un premier juge avait estimé que Google avait démontré avoir récolté le consentement des usagers à collecter leurs données.

    Cette fois-ci, en revanche, les plaignants ont réussi à faire entendre que la formulation choisie par Google au moment de recueillir le consentement puisse prêter à confusion à un utilisateur classique, n’ayant pas « les compétences d’un avocat d’affaires expérimenté ou d’une personne capable de se frayer facilement un chemin dans un labyrinthe de jargon juridique ».

    Fin décembre, rappelle l’AFP, Google a déjà accepté de détruire les données récoltées sur des millions d’internautes ayant utilisé le mode « incognito ». Les plaignants avaient réussi à démontrer que celui-ci donnait la fausse impression de naviguer en ligne sans être suivis.

    Source : next.ink

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    Un couple et leur petite fille à la plage face à la merPhoto de Natalya Zaritskaya sur Unsplash

    Coup sur coup, la CNIL a publié une mise en garde au sujet des risques associés au « partage de photos et vidéos de votre enfant sur les réseaux sociaux », et le Sénat adopté en seconde lecture une proposition de loi afférente.

    Le Sénat a adopté, en seconde lecture ce mardi 19 décembre, une proposition de loi de l’Assemblée nationale visant à garantir le respect du droit à l’image des enfants.

    Leur texte, qui « se veut avant tout pédagogique vis-à-vis des parents », entend modifier les règles du Code civil relatives à l’autorité parentale, « pour y intégrer le respect de la vie privée et le droit à l’image », et « mieux sensibiliser les parents à leurs obligations ».

    En nouvelle lecture, le Sénat a « accepté de faire figurer expressément dans le Code civil l’obligation des parents de protéger en commun le droit à l’image de leur enfant ».

    Les sénateurs veulent également « consacrer la possibilité pour le juge aux affaires familiales d’interdire à un parent la diffusion d’un contenu relatif à l’enfant sans l’accord de l’autre parent ».

    Il a par contre « refusé de créer un cas de délégation de l’exercice du droit à l’image de l’enfant » lorsque la diffusion de l’image de celui-ci par ses parents porte gravement atteinte à sa dignité ou à son intégrité morale, considérant que cette procédure « n’apportait pas de solution plus efficiente » que les mesures d’assistance éducative que peut déjà prendre le juge des enfants.

    L’échec de la commission mixte paritaire

    Ce texte revenait au Sénat après l’échec de la commission mixte paritaire en raison de divergences sur deux points principaux : l’exigence d’un accord des deux parents pour toute diffusion d’une image de leur enfant sur internet, que le Sénat avait ajoutée, et la création d’une « délégation forcée de l’exercice du droit à l’image de l’enfant à un tiers » en cas d’atteinte grave à sa dignité ou à son intégrité morale, que souhaitaient maintenir les députés.

    Lors de son examen en nouvelle lecture, la commission des lois a finalement renoncé à la nécessité d’un accord des deux parents pour la diffusion d’une image de l’enfant sur internet, en cohérence avec la position exprimée par le Sénat en matière d’inscription des mineurs sur les réseaux sociaux lors du vote de la loi du 7 juillet 2023 « visant à instaurer une majorité numérique et à lutter contre la haine en ligne ».

    La rapporteure précise que son article 4 ne requiert en effet l’accord que d’un seul titulaire de l’autorité parentale pour permettre à un enfant de s’inscrire à un réseau social avant ses quinze ans. Il ne lui a donc pas semblé logique de créer une différence de traitement entre ces deux situations, sachant que l’inscription à un réseau social n’est souvent que le préalable à la diffusion de photos.

    La question du rôle des parents, du juge et de la CNIL

    Elle a par contre consacré dans le Code civil l’obligation pour les parents de « protéger en commun le droit à l’image de leur enfant », afin de les sensibiliser aux dangers d’exposer leurs enfants sur les réseaux sociaux, mais également de « donner une référence légale aux professionnels qui interviennent auprès des parents et des enfants en la matière ».

    À l’initiative de la rapporteure, la commission a en outre accepté de préciser les pouvoirs du juge aux affaires familiales (JAF) pour interdire à un parent la diffusion d’un contenu relatif à l’enfant sans l’accord de l’autre parent, tout en précisant que ces pouvoirs s’exerçaient dans le but d’assurer la protection du droit à l’image de l’enfant. Et ce, au motif que « le rôle des parents n’est en effet pas tant d’exercer le droit à l’image de leur enfant que de le protéger ».

    Introduit en première lecture au Sénat, l’article 5 qui vise à permettre à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) de saisir le tribunal judiciaire en référé dès lors que des données à caractère personnel d’un mineur sont concernées, a été précisé par l’Assemblée nationale « afin de circonscrire l’intervention de la CNIL en référé aux cas de non-exécution ou d’absence de réponse à une demande d’effacement de ces données ».

    Sharenting : l’avis de la CNIL

    « Vos enfants ont le droit au respect de leur vie privée et disposent d’un droit à l’image », rappelait la CNIL dans une fiche consacrée à ces questions et mise en ligne la veille.

    Elle y relève que l’Observatoire de la parentalité et de l’éducation numérique (OPEN)-POTLOC avait estimé que 53 % des parents français ont déjà partagé sur les réseaux sociaux du contenu sur leurs enfants. Une pratique surnommée « sharenting » (mot-valise anglais composé de share, partager, et parenting, parentalité).

    La CNIL note également qu’une étude britannique, publiée en 2018, estimait qu’en moyenne, les parents d’un enfant de 13 ans avaient partagé 1 300 photos de lui sur les réseaux sociaux.

    « _Le partage de vidéos ou de photos de vos enfants sur les réseaux sociaux n’est pas un acte anodin et comporte de nombreux risque_s », relève la CNIL.

    Des parents refusent de dépublier des photos de leur enfant

    Elle déconseille notamment de partager des photos d’enfants dans le bain ou à la plage, ces images pouvant être détournées à des fins malveillantes, voire les diffuser sur des réseaux pédocriminels.

    À plus long terme, ces images peuvent aussi « priver les enfants de leur capacité à définir leur propre image et leur identité », et porter atteinte à leur réputation en ligne (avec un risque de cyberharcèlement) dans un cadre scolaire ou dans leur avenir personnel et professionnel.

    Elle raconte avoir ainsi été contactée par un mineur qui voulait voir retirer des photographies, vidéos et enregistrements vocaux diffusés par ses parents par l’intermédiaire du groupe sur un réseau social. La CNIL ne précise pas ce pourquoi ses parents auraient refusé de répondre favorablement à leur enfant.

    La CNIL évoque aussi les difficultés rencontrées par certains parents à faire cesser la diffusion de photographies du baptême de leurs enfants mineurs.

    La CNIL recommande les messageries sécurisées et éphémères

    La CNIL rappelle qu’ « avant de publier une photo ou une vidéo de votre enfant sur les réseaux sociaux, il est nécessaire d’en parler avec lui et d’obtenir son accord ». Il convient également de demander (et d’obtenir) l’accord de l’autre parent.

    Plusieurs décisions de justice « établissent clairement » que le fait de diffuser des photographies de ses enfants, notamment sur les réseaux sociaux, « est un acte non habituel qui nécessite l’accord des deux parents ». Un juge pourrait donc interdire à l’un des parents de diffuser des photographies des enfants « sans l’accord de l’autre parent ».

    La CNIL relève en outre que les enfants peuvent aussi agir eux-mêmes contre leurs parents en cas de non-respect de leurs droits par ces derniers. En 2018, un adolescent de seize ans avait ainsi porté plainte contre sa mère pour violation de sa vie privée. Le tribunal de Rome avait alors ordonné à la mère d’arrêter de poster des photos de son fils sur les réseaux sociaux, sous peine d’amende.

    « De manière générale », la CNIL « déconseille fortement de partager des photos ou des vidéos de vos enfants sur les réseaux sociaux, surtout lorsque votre profil est public ».

    À défaut, elle conseille de cacher le visage de son enfant, de le photographier de dos, ou d’ajouter une émoticône sur son visage avant de partager les photos.

    Mais également de privilégier le partage par messagerie privée instantanée sécurisée, « dont certaines proposent même des fonctionnalités qui vous permettent d’envoyer des messages éphémères ».

    Source : next.ink

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    @Ashura a dit dans Cox Media Group (CMG) admet écouter les conversations pour du ciblage publicitaire :

    Bordel et ça doit pas être les seuls, même chez toi tranquille ta plus de vie privée et les gens sont content

    Et ça t’étonnes ?
    Combien de personnes utilisant un smartphone se tiennent-elles au courant de ce qui se passe en lisant ce genre d’articles ?
    On serait surpris du petit nombre d’entre eux et la toute grande majorité s’en foutent du moment qu’ils peuvent aller sur leurs réseaux asociaux mater toutes les conneries…
    Pauvre monde…

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    @Raccoon a dit dans Tests ADN : les données d’un million d’utilisateurs de 23andMe fuitent :

    Un échantillon d’1 millions de données concernant principalement des juifs

    Ha comme quoi tout est lié, c’était ciblé

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    @Violence J’en ai vu une bonne partie sur des chaînes infos, et c’est vrai qu’ils ne manquent pas d’humour.

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    Accusées d’avoir accédé illégalement aux données personnelles de ses utilisateurs, la Fnac, SeLoger, et MyFitnessPal sont toutes trois visées par des plaintes de l’association Noyb.

    L’association autrichienne de protection de la vie privée Noyb (None Of Your Business) a déposé trois plaintes auprès de la (Cnil Commission nationale de l’informatique et des libertés) contre les applications mobiles de la Fnac, SeLoger et myFitnessPal. L’association demande au gendarme des données personnelles d’ordonner aux trois sociétés de « supprimer toutes les données ayant fait l’objet d’un traitement illicite », écrit-elle dans son communiqué.

    Il est reproché aux trois applications d’accéder « illégalement », dès l’ouverture de l’application par l’utilisateur, à certaines de ses données comme l’identifiant publicitaire unique de Google (AdID), le modèle et la marque de l’appareil et l’adresse IP locale et de les partager à des fins d’analyse. L’AdID est un identifiant unique à chaque appareil et permet aux annonceurs d’identifier les utilisateurs et de mieux cerner leur profil de consommateur afin de faire apparaître des publicités et campagnes marketing personnalisées.

    Absence de consentement

    Problème,  dans le cas des applications Fnac, SeLoger, et MyFitnessPal : « les utilisateurs n’ont même pas le choix de consentir ou d’empêcher le partage de leurs données. Cette approche est illégale. », fait remarquer Noyb. Ce qui constitue selon elle une violation de la directive européenne « vie privée communications électroniques », qui impose de recueillir le consentement des utilisateurs. Au regard des faits, l’association suggère que le régulateur inflige des amendes aux trois entreprises.

    Selon Noyb, ces trois exemples ne sont que quelques illustrations de la manière dont les applications contournent les lois européennes sur la protection de la vie privée comme le RGPD, « afin de monétiser les données de leurs utilisateurs ». Selon une étude  étude menée par des chercheurs de l’Université d’Oxford, seules 3,5% des applications demandent effectivement leur consentement des utilisateurs.

    Source : linformaticien.com

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    @duJambon a dit dans En Europe, on se bat pour continuer de payer en espèces :

    @noctambule75 Venez changer en Suisse, les banques vous attendent les bras ouverts 🙂

    La Suisse c’est trop loin pour le change, par contre c’est parfait pour l’achat et le stockage d’or ainsi que pour le trading boursier :haha:

    Internet c’est pour certaines choses bien pratique :mrgreen:

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    Les autorités américaines ont infligé plus de 500 millions de dollars d’amende à une dizaine de banques, dont BNP Paribas et la Société Générale, au motif qu’elles n’avaient pas conservé les messages échangés par leurs employés dans le cadre de leurs activités professionnelles, rapportent AGEFI - Dow Jones et awp/afp.

    Dans son communiqué, la Securities and Exchange Commission (SEC), qui a infligé des amendes de 35 millions de dollars à BNP Paribas, la Société Générale et 9 autres banques, précise en effet que « leurs employés communiquaient souvent via diverses plateformes de messagerie sur leurs appareils personnels, notamment iMessage, WhatsApp et Signal, au sujet des activités de leurs employeurs » et ce, « en violation des lois fédérales » qui obligent les banques à pouvoir conserver les messages de leurs employés afin de pouvoir les mettre à disposition des autorités.

    La Commodity Futures Trading Commission (CFTC), chargée de la régulation des bourses de commerce et qui a infligé des amendes de 75 millions de dollars aux deux banques françaises, ainsi qu’à Wells Fargo et la Banque de Montréal, leur reproche également de ne pas avoir « empêché leurs employés, y compris ceux des niveaux supérieurs, de communiquer à la fois en interne et en externe en utilisant des méthodes de communication non approuvées, y compris des messages envoyés par SMS ou WhatsApp ».

    La CFTC précise avoir d’ores et déjà imposé 1,091 milliard de dollars en sanctions pécuniaires civiles à 18 institutions financières « pour leur utilisation de méthodes de communication non approuvées » depuis décembre 2021, et la SEC 1,5 milliard de dollars, « pour faire passer ce message fondamental ».

    Source : nextinpact.com

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    faudra attendre l’année prochaine pour la st Patrick