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    Et bien sûr, les “incidents” ne se sont pas arrêtés en 2019 🙂

    De toute façon, Google vend ses données à qui veut payer (même à des escrocs), personne n’est à l’abri.

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    Comme tout le monde ne s’en fiche pas d’être outrgeusement fiché, quelques nouvelles.

    Google poursuivi en justice pour les collectes de données opérées par Chrome

    Une cour d’appel de San Francisco a décidé le 21 août que Google devrait répondre aux poursuites intentées par des utilisateurs de Chrome.

    Ces derniers accusent l’entreprise d’avoir collecté des données personnelles depuis son navigateur, sans leur accord, et alors qu’ils avaient choisi de ne pas synchroniser Chrome avec leurs comptes Google, YouTube et leur messagerie Gmail.

    Le recours collectif avait initialement été rejeté : un premier juge avait estimé que Google avait démontré avoir récolté le consentement des usagers à collecter leurs données.

    Cette fois-ci, en revanche, les plaignants ont réussi à faire entendre que la formulation choisie par Google au moment de recueillir le consentement puisse prêter à confusion à un utilisateur classique, n’ayant pas « les compétences d’un avocat d’affaires expérimenté ou d’une personne capable de se frayer facilement un chemin dans un labyrinthe de jargon juridique ».

    Fin décembre, rappelle l’AFP, Google a déjà accepté de détruire les données récoltées sur des millions d’internautes ayant utilisé le mode « incognito ». Les plaignants avaient réussi à démontrer que celui-ci donnait la fausse impression de naviguer en ligne sans être suivis.

    Source : next.ink

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    Photo de Etienne Girardet sur Unsplash

    « Avec l’abandon de Usenet par Google Groupes, le plus ancien de tous les réseaux sociaux est voué à disparaître », écrit ZDNet. Un rappel sous la forme d’une citation Wikipédia pour les plus jeunes : « Usenet est organisé autour du principe de groupes de discussion ou groupes de nouvelles (en anglais newsgroups), qui rassemblent chacun des articles (contributions) sur un sujet précis ».

    20 ans d’évolution en douceur des messageries Les groupes Google coupent les ponts avec Usenet

    Google vient en effet d’annoncer qu’« à compter du 22 février 2024, vous ne pourrez plus utiliser les groupes Google (sur groups.google.com) pour publier du contenu dans des groupes Usenet, vous abonner à des groupes ou afficher du nouveau contenu Usenet ».

    En outre, précise Google, « le serveur NNTP (Network News Transfer Protocol) de Google et le peering associé ne seront plus disponibles, ce qui signifie que Google ne prendra pas en charge la diffusion de nouveaux contenus Usenet ou l’échange de contenus avec d’autres serveurs NNTP ».

    Par contre, vous pourrez « continuer à afficher et à rechercher du contenu Usenet publié avant le 22 février 2024 sur Google Groupes ».

    Les usages ont « considérablement diminué »

    Google relève en effet qu’« au cours des dernières années, l’activité légitime des groupes Usenet basés sur le texte a considérablement diminué parce que les utilisateurs sont passés à des technologies et des formats plus modernes tels que les médias sociaux et les forums basés sur le web ».

    C’était la même justification lors de l’arrêt de Reader (lecteur de flux RSS) il y a 10 ans, avec tout de même la volonté de davantage contrôler la diffusion de l’information.

    Google explique aussi qu’« une grande partie du contenu diffusé sur Usenet aujourd’hui est un partage de fichiers binaires (non textuels), que Google Groups ne prend pas en charge, ainsi que des spams ». Les « binaires » n’ont absolument rien de nouveau et sont largement utilisés depuis des années par certains adeptes du partage de fichiers illégaux.

    Comme avec la fin de Reader et le RSS, cela ne signe pas l’arrêt de mort d’Usenet, qui continuera de fonctionner. Simplement, si vous utilisez les groupes Google pour y accéder, il faudra vous trouver un nouveau client et un serveur public.

    Retour dans le passé d’Usenet

    ZDNet revient aussi sur l’histoire de Usenet (UNIX User Network), créé en 1979 par un groupe d’étudiants de Caroline du Nord et rapidement connecté à ARPAnet, l’ancêtre d’Internet, via le protocole UUCP, depuis remplacé par NNTP. Usenet est donc arrivé quelques années après les emails et bien avant le lancement du World Wide Web.

    Il souligne également qu’« une grande partie du vocabulaire que nous utilisons aujourd’hui pour parler de l’utilisation du réseau provient de Usenet », à commencer par les foires aux questions (FAQ). Mais aussi que « le spam a également vu le jour sur Usenet ».

    Si le terme a été « inventé » par les Monty Python en 1970 et que le premier « spam » remonterait à 1978, « la première utilisation commerciale majeure du spam date de 1994, lorsque Laurence Canter et Martha Siegel, deux avocats, ont commencé à publier sur Usenet des annonces pour leurs services en matière de droit de l’immigration », rappelle ZDNet.

    1st spam on Usenet

    Notre confrère rappelle que Linux, par exemple, est né d’un message désormais célèbre envoyé sur Usenet en août 1991 par un certain Linus Benedict Torvalds : « un système d’exploitation (gratuit) pour les clones AT 386 (486) », dont le noyau (kernel) ne comptait alors « que » 10 000 lignes de code.

    En 2013, Free faisait parler de lui en prenant en charge les flux RSS et les newsgroups dans la version 2.0 de Freebox OS.

    | Freebox OS, cauchemar des ayants droit

    « Aujourd’hui, le réseau social Mastodon utilise une approche similaire avec le protocole ActivityPub, tandis que d’autres réseaux sociaux, tels que Threads, envisagent d’utiliser ActivityPub pour se connecter à Mastodon et aux autres réseaux sociaux qui supportent [ce protocole] », souligne ZDNet.

    Il relève aussi qu’« à bien des égards, Usenet est un avertissement sur la façon dont les réseaux sociaux peuvent mal tourner. Quoi qu’il en soit, les problèmes que nous voyons aujourd’hui sur les réseaux sociaux sont apparus pour la première fois sur Usenet ».

    Il n’en conclut pas moins en fournissant des liens vers un prestataire gratuit, eternal-september.org, et trois payants, permettant de continuer à accéder à Usenet.

    Source : next.ink

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    En septembre 2022, Google annonçait la fermeture de son service de streaming de jeu vidéo Stadia, une information importante concernait la manette. Celle-ci, utilisant en temps normal un protocole propriétaire basé sur le Wi-Fi, pouvait être mise à jour depuis un site dédié pour la faire basculer sur deux types de connexion plus courants : en filaire via USB-C et en Bluetooth.

    La date limite pour cette opération était fixée au 31 décembre. Nos confrères d’iGen ont remarqué que cette date avait récemment été décalée d’un an. Les personnes concernées ont donc désormais jusqu’au 31 décembre 2024 pour effectuer l’opération. En revanche, si elles ratent le créneau, la manette ne pourra plus être utilisée.

    iGen rappelle que la manette est compatible avec les iPhone 15 en la branchant en USB-C.

    Source : next.ink

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    @duJambon a dit dans La Cour suprême du Colorado valide les mandats d'arrêt par mots-clefs inversés :

    J’imagine que c’est simplement comme complément d’enquête, parce que moi, j’ai tapé: “Comment fabrique-t-on une bombe atomique ?” et je n’ai jamais eu d’ennui… excusez-moi, quelqu’un a sonné à ma porte.

    Tu as oublié la formule de politesse en fin de recherche « Allah Ackbar ».
    Résultat garanti. :salam_poulet:

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    @Rapace c’est le principe d’un botnet, infecter une machine ou objet connecté pour s’en servir comme “lanceur” de paquet

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    @Raccoon gratuit mais avec la contrepartie de pas avoir de vie privée

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    Google va leur dire ok, plus de Google chrome, plus de moteur de recherche, plus rien ca va vite faire prout

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    la question importante, est ce qu’il est woke comme les autres ou pas ?

    [link removed]/2023/02/23/etats-unis-wokisme-joe-biden-signe-un-decret-obligeant-les-intelligences-artificielles-a-avoir-une-ideologie-woke/

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    Google Bard se voit dotée de nouvelles fonctionnalités de codage !

    Très attendu dans l’univers technologique, Bard est toujours en phase de test auprès d’un groupe de confiance sélectionné par Google. Récemment, cette dernière a ajouté des fonctionnalités de codage capable de générer du code et de corriger des bugs. L’objectif selon la firme américaine est d’aider les développeurs et les particuliers à travailler plus facilement sur leurs projets informatiques.

    Google apporte une mise à jour à son chatbot Bard AI afin d’aider les développeurs dans leurs activités d’écriture et de débogage de code. Cependant, il convient d’indiquer qu’il ne s’agit pas d’une grande nouveauté dans la mesure où cette fonctionnalité est déjà présente dans ChatGPT et Bing AI. La firme de Mountain View indique toutefois que c’est « l’une des principales demandes » formulées par les utilisateurs depuis l’ouverture de l’accès le mois dernier. Désormais, Google Bard est en mesure de générer du code, de déboguer du code existant, d’expliquer des lignes de code et même d’écrire des fonctions spécifiques pour Google Sheet.

    Dans un article de blog, Paige Bailey, chef de produit de groupe pour Google Research explique que cette nouvelle technologie est développée dans « plus de 20 langages de programmation, dont C++, Go, Java, Javascript, Python et Typescript. » Grâce à ce potentiel impressionnant, vous pouvez demander à Bard d’expliquer des extraits de code ou d’expliquer du code dans les référentiels GitHub. Tout ceci se déroule de la même manière que l’outil GitHub de Microsoft implémente un assistant de type ChatGPT avec Copilot. Par ailleurs, le chatbot Bard sera en mesure de déboguer son propre code, s’il se rend compte qu’il a fait des erreurs.

    Source et plus: https://www.fredzone.org/google-bard-nouvelles-fonctionnalites-de-codage-rcp345

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    Font pas que des conneries en France!

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    ha ha 😉

    Je ne sais pas, je n’ai pas guetter tous les liens quand j’ai fait la recherche, mais pour l’attaquant, c’est tout simplement le panard 😉

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    Sur les mesures prises par l’entreprise pour réduire les coûts

    Le PDG de Google, Sundar Pichai, a dû faire face à l’ire des employés de l’entreprise en raison des mesures d’économie qu’elle a prises, notamment les réductions des budgets de voyage et de divertissement, la gestion de la productivité et les licenciements potentiels. En réponse à la question de savoir pourquoi Alphabet avait mis en place toutes ces mesures, Pichai aurait déclaré aux employés qu’il espère qu’ils sont informés des vents contraires à l’économie mondiale. Il aurait ajouté que les employés devaient se serrer les coudes pour traverser cette période de turbulences et leur aurait également demandé de ne pas “assimiler le plaisir à argent”.

    Alors que Google tente de naviguer dans un environnement peu familier de ralentissement de la croissance, de réduction des coûts et de désaccord des employés sur les changements culturels, le PDG Sundar Pichai se retrouve sur la défensive. Lors d’une réunion générale de l’entreprise cette semaine, Pichai aurait été confronté à des questions difficiles de la part des employés concernant les réductions des budgets de voyage et de divertissement, la gestion de la productivité et les licenciements potentiels. Selon plusieurs sources, les employés étaient mécontents des restrictions sur les allocations de fin d’années et d’autres avantages.

    Dans une question qui a été très bien notée par les employés sur le système interne Dory de Google, on a demandé à Pichai pourquoi l’entreprise “ponctionne les employés” en réduisant les budgets de voyage et de divertissement à un moment où “Google engrange des bénéfices records et d’énormes réserves de trésorerie”, comme c’était le cas à la sortie de la pandémie de Covid. En réponse, Pichai aurait déclaré à l’assemblée qu’il espérait que tout le monde lisait les nouvelles de l’extérieur et que les employés devaient se montrer plus responsables dans “l’une des conditions macroéconomiques les plus difficiles de la dernière décennie”.

    « Comment puis-je le dire ? Écoutez, j’espère que vous lisez tous les nouvelles, à l’extérieur. Le fait que, vous savez, nous soyons un peu plus responsables à travers l’une des conditions macroéconomiques les plus difficiles en cours dans la dernière décennie, je pense qu’il est important qu’en tant que société, nous nous serrions les coudes pour traverser des moments comme celui-ci », a-t-il déclaré, selon un enregistrement audio de la réunion. Pichai est ensuite revenu sur sa réponse, soulignant qu’il n’est pas toujours nécessaire d’avoir plus d’argent pour s’amuser. « Je me souviens de l’époque où Google était petit et teigneux », a-t-il déclaré.

    « Le plaisir n’était pas toujours - nous ne devrions pas toujours assimiler le plaisir à l’argent. Je pense que vous pouvez entrer dans une startup qui travaille dur et les gens peuvent s’amuser et cela ne devrait pas toujours être assimilé à de l’argent », a-t-il ajouté. Malgré les réponses de Pichai, CNBC, qui a obtenu l’enregistrement, note que la réunion a été plutôt houleuse. Pichai n’a pas aidé son cas lorsqu’il a esquivé les questions sur la réduction de la rémunération des dirigeants comme moyen de réduire les coûts, montrant que les employés croient clairement qu’on leur demande de faire des sacrifices auxquels les dirigeants sont insensibles.

    La dernière réunion de l’ensemble du personnel a lieu alors qu’Alphabet, la société mère de Google, Meta et d’autres entreprises technologiques sont confrontées à une série de défis économiques, notamment une récession potentielle, une inflation galopante, une hausse des taux d’intérêt et des dépenses publicitaires modérées. Les entreprises qui, au cours des dix dernières années, étaient connues pour leur forte croissance et l’abondance de leurs avantages voient ce qu’il en est de l’autre côté. L’incertitude macroéconomique a conduit plusieurs entreprises technologiques à élaborer des mesures pour faire face au ralentissement économique.

    En juillet, Alphabet a annoncé pour le deuxième trimestre consécutif des bénéfices et des revenus inférieurs aux prévisions, et la croissance des ventes au troisième trimestre devrait se situer à un chiffre, contre plus de 40 % un an plus tôt. Pichai a admis que ce n’est pas seulement l’économie qui a causé des difficultés à Google, mais aussi une bureaucratie en expansion chez Google. Après l’explosion des effectifs de l’entreprise pendant la pandémie de Covid, la directrice financière d’Alphabet Ruth Porat a déclaré plus tôt cette année qu’elle s’attendait à ce que certains problèmes économiques persistent à court terme.

    Google a annulé la prochaine génération de son ordinateur portable Pixelbook et réduit le financement de son incubateur interne Area 120. En outre, au début du mois, Pichai a déclaré qu’il espérait rendre l’entreprise 20 % plus productive tout en ralentissant les embauches et les investissements. Et lors de la réunion de cette semaine, les employés ont demandé à Pichai de développer son commentaire concernant l’amélioration de la productivité et l’objectif de 20 %. « Je pense que vous pouvez être une équipe de 20 personnes ou une équipe de 100 personnes, nous allons être limités dans notre croissance dans une perspective d’avenir », a-t-il déclaré.

    « Peut-être que vous prévoyiez d’embaucher six personnes de plus, mais que vous allez devoir faire avec quatre et comment allez-vous faire pour que cela se produise ? Les réponses vont être différentes selon les équipes », a-t-il ajouté. Pichai a déclaré que la direction passe au peigne fin plus de 7 000 réponses qu’elle a reçues des employés concernant les suggestions de l’effort “Simplicity Sprint”, une initiative visant à solliciter les idées de ses plus de 174 000 employés sur la manière d’obtenir de meilleurs résultats plus rapidement et d’éliminer le gaspillage. Le PDG avait précédemment déclaré que la productivité n’était pas à la hauteur des effectifs.

    Marc Zuckerberg, PDG de Meta, a fait les mêmes commentaires il y a peu. Lors d’un entretien avec les employés fin juin, Zuckerberg a déclaré qu’il y a “un tas de gens dans l’entreprise qui ne devraient pas être là”. « Je pense que certains d’entre vous peuvent décider que cet endroit n’est pas pour eux, et cette autosélection me convient. De manière réaliste, il y a probablement un tas de personnes dans l’entreprise qui ne devraient pas être là », a-t-il déclaré. Ses propos, qui sont parmi les plus virulents qu’il ait adressés aux employés au cours des dernières années, reflètent le degré de difficulté auquel Meta est confrontée dans son activité.

    Vers la fin de la réunion, Pichai a répondu à une question sur les raisons pour lesquelles l’entreprise est passée d’une politique “d’embauche et de dépenses rapides à une politique tout aussi agressive de réduction des coûts”. Pichai n’était pas d’accord avec cette caractérisation. « Je suis un peu inquiet que vous pensiez que ce que nous avons fait est ce que vous définiriez comme une réduction agressive des coûts. Je pense qu’il est important que nous ne soyons pas déconnectés. Il faut avoir une vision à long terme dans des conditions comme celles-ci », a-t-il déclaré.

    Il a ajouté que Google continue d’investir dans des projets à long terme comme l’informatique quantique, et a déclaré qu’en période d’incertitude, il est important “d’être intelligent, d’être frugal, d’être teigneux, d’être plus efficace”. Bret Hill, vice-président de Google chargé de la rémunération globale, a répondu à une question sur les augmentations de salaire, les actions et les primes et sur la manière dont elles seront affectées par les changements. Il a déclaré que l’entreprise ne prévoyait pas de s’écarter de la rémunération des travailleurs “dans le haut du marché afin d’être compétitif”.

    Source : web.developpez.com

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    A mon avis ca va être dur à changer tout ca, quand tu vois que certaines écoles sont équipées full Apple des le plus jeune age

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    Pratique de merde 😞

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    @rapace

    On peut supposer que c’est le genre de personnes qui pensent qu’ils n’ont rien à cacher donc qui ne sont pas concernées.

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    Un protocole de messagerie mobile

    Google a lancé une nouvelle campagne et une nouvelle page sur son site dédié aux évolutions d’Android pour faire pression sur Apple afin que l’éditeur d’iOS change d’avis sur le protocole RCS (Rich Communication Services). La grande enseigne de la technologie appelle de plus en plus Apple à adopter le RCS, estimant que le protocole de communication améliorerait l’expérience de messagerie entre les utilisateurs d’Android et d’iOS. « Il est temps pour Apple de corriger les SMS », lit-on sur le site Web. « Il ne s’agit pas que de la couleur des bulles. Ce sont les vidéos floues, les discussions de groupe interrompues, les accusés de lecture et les indicateurs de frappe manquants, l’absence de SMS sur le Wi-Fi et plus encore. Ces problèmes existent parce qu’Apple refuse d’adopter les normes d’envoi de SMS modernes lorsque les utilisateurs d’iPhone et de téléphones Android s’envoient des SMS ».

    Google affirme que la campagne vise à résoudre non seulement le problème des « bulles vertes/bleues », mais également d’autres défis courants dans la messagerie multiplateforme, notamment le chiffrement de bout en bout, etc. Tous les problèmes sont dus à l’utilisation continue par iPhone des SMS et MMS pour les conversations non-iMessage, que Google qualifie de « technologies obsolètes des années 90 et 00 ».

    La grande enseigne de la technologie pousse Apple à résoudre ces problèmes en prenant en charge RCS, qui offre de nombreuses fonctionnalités d’iMessage dans un protocole pouvant être utilisé à la fois sur iOS et Android.

    RCS est un protocole de messagerie mobile défini par le consortium international GSMA. Il vise à remplacer le SMS et le MMS, dont l’usage sur smartphone est en baisse régulière depuis plusieurs années. Mais la transition du SMS au RCS n’est pas simple. Le successeur du traditionnel SMS est déjà largement disponible depuis plus de cinq ans.

    Cependant, Apple ne semble pas particulièrement disposé à se servir de ce protocole, même si l’entreprise n’a jamais officiellement indiqué qu’elle ne le ferait pas. Très attaché à iMessage, sa propre messagerie instantanée lancée en 2011, Apple se voit reprocher de faire barrage au standard. Aussi, quand un iPhone interagit avec un smartphone Android, le SMS est toujours utilisé ; et avec l’envoi revendiqué de quelque 200 000 iMessages chaque seconde, le mastodonte de Cupertino n’a pas vraiment besoin de changer une équipe qui gagne.

    Pour la plupart des gens, les problèmes décrits par Google pourrait s’apparenter au fait d’afficher des bulles de discussion vertes (et non bleues comme sur iPhone) pour désigner les utilisateurs sous Android. D’ailleurs, à ce propos, un récent article du Wall Street Journal soulignait que cette distinction pouvait être excluante et provoquer une forme de cyberharcèlement.

    En fait, alors que l’application iPhone utilise le propre service iMessage d’Apple pour envoyer des textes entre les iPhones (avec des fonctionnalités modernes telles que le chiffrement, la prise en charge des discussions de groupe et les transferts d’images et de vidéos de haute qualité), ils reviennent aux SMS et MMS à l’ancienne lors de l’envoi de message à un utilisateur sur Android. Non seulement ces messages sont affichés dans une bulle verte aux couleurs contrastées, mais ils brisent également de nombreuses fonctionnalités de messagerie modernes sur lesquelles les gens comptent.

    Suite à l’article du Wall Street Journal publié en janvier, Hiroshi Lockheimer, le vice-président de Google, s’est attaqué frontalement à la politique d’Apple, selon lui hypocrite : « Le verrouillage d’iMessage par Apple est une stratégie bien documentée. Utiliser la pression sociale et l’intimidation afin de vendre des produits est malhonnête pour une entreprise qui place l’humanité et l’équité au cœur de sa stratégie marketing. Il existe des standards pour remédier à cela ». Puis de clamer haut et fort : « Nous ne demandons pas à Apple de porter iMessage sur Android […] Nous demandons à Apple de soutenir le standard de l’industrie pour la messagerie moderne (RCS) dans iMessage, comme il le fait déjà pour les anciens standards SMS/MMS ».


    Google a ouvert une page sur son site dédié aux évolutions d’Android pour mettre la pression à Apple avec le slogan HELP @APPLE #GETTHEMESSAGE. Google espère que la pression publique incitera Apple à adopter RCS, une mise à niveau mineure de la norme SMS qu’Apple utilise pour les utilisateurs non-iMessage. Google pousse cette stratégie depuis le début de l’année, mais venant de l’entreprise avec la stratégie de messagerie la plus dysfonctionnelle au monde, elle apparaît simplement comme une entreprise fatiguée de récolter ce qu’elle a semé.

    Dans le monde entier, iMessage n’est pas si populaire (les gens ont tendance à préférer Whatsapp), mais aux États-Unis, iMessage est un phénomène culturel suffisant pour que l’une des chansons apparaissant au Billboard Top 100 indique à quel point il est nul d’avoir une bulle iMessage verte (SMS) - il s’agit de la chanson Texts Go Green de Drake.

    L’un des plus grands concurrents d’Apple, en particulier pour les services en ligne, est Google, et l’incapacité de Google à rivaliser avec iMessage a beaucoup contribué à la situation actuelle. Google estime apparemment que la domination d’iMessage est préjudiciable à sa marque, alors maintenant, il demande gentiment à Apple d’arrêter de le battre si durement sur ce terrain à domicile.

    Le site de Google indique : « Il ne s’agit pas de la couleur des bulles. Ce sont les vidéos floues, les discussions de groupe interrompues, les confirmations de lecture et les indicateurs de frappe manquants, l’absence de SMS via Wi-Fi, etc. Ces problèmes existent parce qu’Apple refuse d’adopter les normes modernes de SMS lorsque les gens avec des iPhones et des téléphones Android s’envoient des textos ».

    Certaines des affirmations de Google sur ce site Web n’ont pas beaucoup de sens. Google déclare : « Apple transforme les SMS entre les iPhones et les téléphones Android en SMS et MMS, des technologies obsolètes des années 90 et 2000. Mais Apple peut adopter le RCS, la norme moderne de l’industrie, pour ces fils de discussion à la place ». RCS n’est pas non plus une norme moderne - elle date de 2008 - et, malgré quelques mises à jour médiocres depuis lors, n’a pas suivi le rythme.

    RCS traîne depuis si longtemps et est encore si mal implémenté car il a été créé par les opérateurs (via la GSMA) en tant que norme de messagerie centrée sur les opérateurs. Les opérateurs l’ont fait à l’apogée des SMS payants, lorsque la messagerie de l’opérateur était une véritable source de revenus. Maintenant que la messagerie des opérateurs est banalisée, les opérateurs qui contrôlent le RCS n’ont plus intérêt à se soucier du RCS. RCS serait-il une spécification zombie ? À chacun de le déterminer.

    À la décharge de Google, le protocole SMS date de 1986, donc RCS est plus moderne que lui. C’est probablement plus un signe que vous ne devriez jamais travailler avec la GSMA si vous n’y êtes pas obligé. Si Google et Apple s’associaient pour créer un duopole de messagerie, ils n’auraient pas besoin des opérateurs ni de leur ancienne norme de messagerie.

    Le fork propriétaire de Google de RCS

    Datant de 2008, RCS pourrait manquer de beaucoup d’éléments auquel vous vous attendez d’une norme de messagerie moderne. Tout d’abord, en tant que norme, RCS est la messagerie de l’opérateur, de sorte que les messages sont transmis à un seul numéro de téléphone de l’opérateur, plutôt qu’à plusieurs appareils via Internet, comme on s’attendrait à ce qu’un service moderne fonctionne. En standard, il n’y a pas de chiffrement. Google a essayé de faire les louanges des fonctionnalités sur la spécification RCS vieillissante, mais si vous considérez ces éléments comme faisant partie de l’argumentaire de vente RCS, ce que Google fait, cela ressemble plus à vous vendre « le fork propriétaire de RCS de Google ». Google aimerait vraiment qu’Apple intègre son fork RCS propriétaire dans iMessage.

    Soit dit en passant, la version de RCS de Google, celle promue sur le site Web avec des fonctionnalités exclusives à Google telles que le chiffrement facultatif, est définitivement propriétaire. Si cela est censé être une norme, il n’y a aucun moyen pour un tiers d’utiliser les API RCS de Google pour le moment. Certaines applications de messagerie, comme Beeper, ont demandé à Google d’intégrer RCS et on leur a dit qu’il n’y avait pas d’API RCS publique et qu’il n’était pas prévu d’en créer une. Google a déjà une API RCS, mais seul Samsung est autorisé à l’utiliser car Samsung a signé une sorte d’accord de partenariat.

    Si vous souhaitez implémenter RCS, vous devrez faire passer les messages via un type de service, et qui fournit ce serveur*? Ce sera probablement Google. Google a acheté Jibe, le principal fournisseur de serveurs RCS, en 2015. Aujourd’hui, il a tout un argumentaire de vente sur la façon dont Google Jibe peut « aider les opérateurs à faire évoluer rapidement les services RCS, à itérer en cycles courts et à bénéficier immédiatement des améliorations ». Ainsi, l’argument pour Apple d’adopter RCS n’est pas seulement cette absurdité de bien public sur l’amélioration des textes avec les utilisateurs d’Android ; il s’agit également de faire passer les messages d’Apple via les serveurs de Google. Google profite à la fois des frais de serveur et de l’acquisition de données.

    La messagerie de Google, on en parle ?

    Google n’a toujours pas de stratégie de messagerie unique. Bien qu’il ait soudainement blâmé Apple pour une situation qu’il a largement contribué à créer, le plus triste à ce sujet est que Google n’a même pas tourné une nouvelle page. La messagerie Google est tout aussi fragmentée et dysfonctionnelle qu’elle ne l’a jamais été.

    À l’heure actuelle, Google dispose de trois applications de messagerie principales*: outre cette plate-forme Google Messages/RCS, il existe également Google Chat, qui est un service de messagerie over-the-top plus traditionnel, et Google Voice, qui est un numéro de téléphone fourni par Google avec la possibilité de faire des messages type SMS. Google Hangouts est techniquement toujours la quatrième application de messagerie, bien qu’elle ait été fermée en novembre. Il existe également des applications de messagerie en silo intégrées à Google Maps, Google Photos, Google Stadia, Google Pay, Google Assistant et Google Phone, et aucune d’entre elles ne se parle.

    Le responsable de la messagerie de Google a quitté le navire le mois dernier, donc on ne sait pas ce que l’avenir de la messagerie Google réserve jusqu’à ce que quelqu’un prenne les rênes. Il est donc important pour Google de mettre d’abord de l’ordre dans sa maison avant de commencer à jeter des pierres sur Apple.

    Du côté d’Apple, l’intérêt n’est pas perçu : Craig Federighi, vice-président directeur du génie logiciel d’Apple, estime qu’augmenter la compatibilité d’iMessage avec les téléphones Android ne servirait qu’à soutenir Android et à affaiblir la stratégie de verrouillage d’Apple. Une grande partie de la stratégie marketing d’Apple est qu’Android est un écosystème brisé où les choses ne fonctionnent pas aussi bien, et vous pouvez le voir dans l’explication de la bulle verte ci-dessus d’Apple et dans des choses comme la diapositive Toxic Hellstew de Tim Cook.

    Enfin, RCS en tant que plate-forme de messagerie n’est tout simplement pas si bonne. Le résultat final d’une norme de 2008 avec un tas de fonctionnalités supplémentaires qui y sont ajoutées est toujours inférieur à la normale par rapport à des plateformes comme iMessage, WhatsApp, Signal ou Telegram. À part le fait que Google cherche désespérément l’une des rares solutions de messagerie qu’il n’a pas épuisées avec une mauvaise gestion, il n’y a pas d’argument clair pour expliquer pourquoi RCS vaut cet effort. Dans l’utopie du monde des rêves où Apple veut travailler avec Google et Samsung sur une norme de messagerie, ces trois entreprises travaillant ensemble pourraient faire bien mieux qu’une norme de messagerie négligée.

    Sources : Google, developpez.com

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    Le système d’exploitation Google le plus connu est Chrome OS. Mais le géant américain utilise en son sein sa propre distribution Linux pour postes de travail : gLinux. Sa principale caractéristique : réduire le labeur et le stress des équipes en charge de son déploiement et de son exploitation.

    Rare moment où gLinux a pu être capturé, ici dans une vidéo de Google sur le calcul quantique avec son CEO Sundar Pichai. (crédit : Reuters)
    Rare moment où gLinux a pu être capturé, ici dans une vidéo de Google sur le calcul quantique avec son CEO Sundar Pichai. (crédit : Reuters)

    Si vous regardez autour des bureaux de Google à Mountain View, en Californie, vous verrez des machines Windows, des Chromebooks, des Mac et des ordinateurs de bureau gLinux. G quoi, vous demandez-vous ? Eh bien, en plus de s’appuyer sur Linux pour ses serveurs, Google possède en fait sa propre distribution de bureau Linux. Mais impossible - bon sang! - de la télécharger depuis plus d’une décennie. Au départ, elle a été dénommée Goobuntu, non sans cacher un lien de parenté avec la célèbre distro Ubuntu. Mais en 2018, la firme américaine a a fait évolué son développement vers une autre distribution Linux, nommée gLinux, cette fois-ci basée sur Debian. Pourquoi ? Google a expliqué que recourir à la version LTS de Goobuntu signifiait de mettre à niveau chaque système de sa flotte, soit plus de 100 000 terminaux, avant la date de fin de vie de l’OS. Un chantier titanesque. Ajoutez à cela la nécessité fastidieuse de personnaliser entièrement les PC des ingénieurs, et Google a décidé que cela coûtait trop cher. En outre, l’effort de mise à niveau de la flotte de terminaux vers Goobuntu aurait pris une bonne partie de l’année, soit autant de temps mordu sur un support étalé sur deux ans avant de devoir recommencer le même processus pour une prochaine version LTS.

    « L’ensemble de ce processus a été un énorme facteur de stress pour notre équipe, car nous avons reçu des centaines de bogues avec des demandes d’aide pour des cas critiques », a expliqué Google qui en a eu assez et a donc basculé sur Debian Linux. La société a alors créé une distribution Debian en développement continu : GLinux Rolling Debian Testing (Rodete). L’idée ? Que les utilisateurs et les développeurs profitent de dernières mises à jour et correctifs au fur et à mesure de leur création et jugés prêts pour la mise en production. Ces distributions incluent Arch Linux, Debian Testing et openSUSE Tumbleweed. Pour Google, l’objectif immédiat était de sortir du cycle de mise à niveau de deux ans. Comme l’a montré le passage à l’intégration continue/déploiement continu (CI/CD), ces changements progressifs fonctionnent bien. Ils sont également plus faciles à contrôler et à annuler en cas de problème.

    Une automatisation complète dans le pipeline qui change la vie

    Pour que tout cela fonctionne sans beaucoup de sang, de sueur et de larmes, Google a créé un système de workflow, Sieve. Chaque fois que Sieve repère une dernière version d’un paquet Debian, il démarre une build. Ces packages sont intégrés dans des groupes de packages et une fois qu’ils ont été créés, Google exécute une suite de tests virtualisés pour s’assurer qu’aucun composant principal et aucun flux de travail de développeur ne sont rompus. Ensuite, chaque groupe est testé séparément avec une installation complète du système, un démarrage et une exécution de la suite de tests locaux. Le package se construit en quelques minutes, mais les tests peuvent prendre jusqu’à une heure. Une fois cela fait, tous les packages sont fusionnés avec le dernier pool de packages gLinux. Ensuite, lorsque l’éditeur décide qu’il est temps de le mettre en production, l’équipe prend alors un snapshot de ce pool avant déploiement et utilise les principes « d’ingénierie de fiabilité » (SRE) tels que le canarying incrémental pour s’assurer que rien ne tourne mal.

    Aujourd’hui, grâce à Sieve, le développement gLinux se résume à un seul poste d’ingénieur de publication qui tourne entre les membres de l’équipe. Il n’y a pas de gros efforts de modernisation à fournir. Pas de versions alpha, bêta et de disponibilité générale (GA) en plusieurs étapes à gérer. Mieux encore, grâce au calendrier de publication glissant, Google peut rapidement corriger les failles de sécurité sur l’ensemble de la flotte sans compromettre la stabilité. Auparavant, les ingénieurs en sécurité devaient examiner attentivement chaque avis de sécurité Debian (DSA) pour s’assurer que le correctif était présent. En outre, « la suite de tests améliorée de Google et les tests d’intégration avec des équipes partenaires clés qui exécutent des systèmes de développement critiques ont également donné une expérience plus stable en utilisant une distribution Linux qui fournit les dernières versions du noyau Linux. Notre fort désir de tout automatiser dans le pipeline a réduit considérablement le labeur et le stress au sein de l’équipe. Il nous est désormais également possible de signaler des bogues et des incompatibilités avec d’autres versions de la bibliothèque tout en nous assurant que les outils Google fonctionnent mieux au sein de l’écosystème Linux », explique l’éditeur.

    Une distro publique attendue mais pour l’instant en rêve

    Pour le futur, l’équipe de Google a déclaré qu’elle travaillera plus étroitement avec Debian en amont et contribuera davantage à ses correctifs internes pour maintenir l’écosystème de ses paquets. Tout cela sonne bien mais amène à formuler deux remarques. Premièrement, pour certaines organisations, les versions LTS ont toujours un sens. Vous n’avez pas besoin des programmes les plus récents et les plus brillants pour votre entreprise ? Alors un Linux Ubuntu ou Red Hat LTS a toujours du sens. Ensuite, et c’est le plus important : Sieve sonne comme un cri de rassemblement. Qui ne veut pas d’un programme qui peut automatiser un pipeline de production de distribution en continu au point de ne nécessiter qu’un seul ingénieur pour le maintenir sur plus de 100 000 postes ? Personne… Alors qu’attend Google pour publier le code de Sieve afin de commencer à produire des versions de bureau Linux en continu ? Allez, encore un petit effort.

    Source : lemondeinformatique.fr

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