Nécro
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RIP
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La chanteuse irlandaise Sinead O’Connor est morte à 56 ans
Rendue mondialement célèbre pour sa reprise du titre de Prince « Nothing Compares 2 U » en 1990, la chanteuse était connue pour l’intensité de sa voix et sa forte personnalité. Elle s’est éteinte à 56 ans, a annoncé mercredi le journal « The Irish Times ».
Cette photo d’archive du 11 août 2013 montre la chanteuse irlandaise Sinead O’Connor alors qu’elle se produit à Lorient, en France, lors du Festival interceltique de Lorient. FRED TANNEAU/AFP
La chanteuse irlandaise Sinead O’Connor est morte à l’âge de 56 ans, ont rapporté l’Irish Times et la radiotélévision publique irlandaise
, mercredi 26 juillet. Les causes de son décès ne sont pour l’instant pas connues.
Dans un communiqué dont les propos sont rapportés par RTE, la famille de la chanteuse a déclaré : « C’est avec une grande tristesse que nous annonçons le décès de notre bien-aimée Sinéad. Sa famille et ses amis sont dévastés et ont demandé l’intimité en cette période très difficile. »
Auteur, compositrice, interprète et musicienne, l’artiste originaire de Dublin avait acquis une renommée mondiale en 1990 avec sa reprise du tube Nothing Compares 2 U de Prince_,_ classée numéro un mondial cette année là par les Billboard Music Awards.
Au fil de sa carrière, elle a sorti dix albums studio et a reçu plus tôt cette année 2023 le premier prix de « l’album classique irlandais » aux RTE Choice Music Awards, prix musical décerné chaque année par RTE au meilleur album d’un groupe ou musicien né en République d’Irlande ou en Irlande du Nord ou titulaire d’un passeport irlandais.
Source : lemonde.fr
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Putain crever à 56 ans c est trop dur il y a tellement de chose à vivre encore…
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ou pas
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Que c’est bien triste, Condoléances, bon courage à sa famille, ses proches et fans.
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C’est étonnant qu’elle ait duré aussi longtemps, mais c’est toujours triste quelque part… je suppose.
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Geneviève de Fontenay est décédée
L’ancienne dirigeante du Comité Miss France était âgée de 90 ans.
Geneviève de Fontenay s’est éteinte ce mercredi à l’âge de 90 ans. C’est son fils, Xavier, qui l’a confié à TF1-LCI. “Miss Élégance 1957 n’est plus. Geneviève de Fontenay est décédée”, a-t-il tristement annoncé.
La célèbre dame au chapeau, ancienne dirigeante du Comité Miss France, avait tourné la page des Miss en 2015, , après avoir régné pendant plus de 60 ans sur les concours de beauté français.Plus d’informations à venir.
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Je l aimais bien cette mamie énergique avec son chapeau mythique
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Je suis effondré !
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triste merci pour l’info
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Je l’aimais bien moi aussi.
Elle avait des valeurs que je respectai.
Qu’elle repose en paix -
pareil, elle pouvait paraitre con aux yeux des jeunes générations, mais les valeurs qu’elle prônait méritaient le respect total !!!
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Franchement ?
Une institution telle que Miss France existe encore au 21e siècle ?
Des bouts de jambons qui se pavanent pour le plaisir de vieux pervers ?Ca me dépasse
Geneviève de Fontenay je l’ai bien aimée dans les émissions tv, en dehors de cette institution de Miss France, avec ses coups de gueules et sa franchise
Bon repos
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Toi tu sors lol
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faut voir le sketch de fabrice Eboué sur les miss lol
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Mort de Gilles Perrault, auteur du “Pull-over rouge”
L’écrivain Gilles Perrault est décédé à l’âge de 92 ans. Il était surtout connu pour “Le pull-over rouge”, livre sur l’affaire Ranucci.
L’écrivain Gilles Perrault, qui avait beaucoup pesé dans les années 1970 en faveur de l’abolition de la peine de mort en publiant Le Pull-over rouge, consacré à l’affaire Christian Ranucci, s’est éteint à 92 ans d’un arrêt cardiaque survenu dans la nuit de mercredi à jeudi.
Jacques Peyroles, de son vrai nom, avait débuté une carrière d’avocat avant de bifurquer vers le journalisme puis la littérature. Sous son pseudonyme, il signe notamment en 1969 un roman d’espionnage à succès, Le Dossier 51, adapté en film avec Michel Deville.Il n’était “pas seulement un formidable raconteur. Mais aussi un homme engagé”, a salué jeudi soir le journaliste Edwy Plenel dans un message sur Twitter, rebaptisé X.
Le nom de cet ancien adhérent au parti communiste revient dans de nombreuses tribunes engagées contre le racisme, pour la légalisation de l’euthanasie, ou en 2007 en faveur de l’ex-activiste italien Cesare Battisti.
“Avec sa plume de combat, Gilles Perrault a permis d’avancer vers l’abolition de la peine de mort. L’humanisme a aussi guidé son engagement à Ras l’front”, un réseau associatif actif dans les années 90 pour lutter contre les idées du Front national, a souligné la ministre de la Culture Rima Abdul Malak dans un message sur X.
En 1978, la parution du livre-enquête Le Pull-over rouge, qui alimente les doutes sur la culpabilité de Christian Ranucci, guillotiné deux ans plus tôt pour le meurtre d’une petite fille, va donner lieu à une vive polémique, alimentant les pages des journaux pendant plus de trente ans.
Marathon pour une révisionDes livres ultérieurs sur l’affaire, et ses propos répétés à son sujet (il avait qualifié l’enquête sur le meurtre de la petite Marie-Dolores Rambla de “forfaiture”), conduiront à sa condamnation, notamment pour diffamation envers des policiers de la brigade criminelle de Marseille.
La peine de mort a été abolie en France en 1981, mais les trois demandes de révision du procès n’ont jamais abouti.
“Une recherche de révision, ça n’est pas du sprint, c’est du marathon”, avait déclaré l’écrivain à l’AFP en 2006, espérant toujours voir un jour l’affaire réexaminée.
En 1990, Gilles Perrault avait été à l’origine de l’une des plus graves crises de l’histoire des relations franco-marocaines en publiant le retentissant Notre ami le roi, qui faisait un bilan accablant de 30 ans du règne d’Hassan II.
“Les livres de Gilles Perrault sont des marqueurs pour ma génération. Il y a un avant et un après Notre ami le roi d ans le regard sur le Maroc d’Hassan II”, a appuyé Pierre Haski, journaliste et président de Reporters sans Frontières.
L’ouvrage s’interrogeait aussi sur la complaisance de certaines élites françaises à l’égard du monarque.
Perrault avait préfacé en 2014 un livre très critique à l’égard du roi actuel du Maroc, fils d’Hassan II, écrit par un ancien journaliste marocain de l’AFP Omar Brouksy. Intitulé Mohammed VI derrière les masques, il était sous-titré “le fils de notre ami”, en référence à son célèbre ouvrage.
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Purée, ça tombe en ce moment