L'ouverture des JO n'a pas été une catastrophe
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Notre athlète présenté pour la natation, lui pourtant n’as pas été retenu par le CIO
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@RussianFighter a dit dans L'ouverture des JO n'a pas été une catastrophe :
Il y avait déjà eu une polémique similaire avec une athlète (je ne me souviens plus dans le détail).
Je pense que tu dois peut être parler de Caster Semenya (elle avait tous raflé je m’en rappelle)
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oui ce doit être ça @Psyckofox
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TEDDY OUAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS
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@RussianFighter T’a dit qui ???
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J’ai dis TEDDYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY
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excellent le gif
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excellent
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Le CIO s’est exprimé. Imane est une femme point barre.
Le Comité international olympique s’est fendu d’un communiqué, publié jeudi soir sur le réseau social X, pour défendre Imane Khelif, née et sociabilisée en tant que femme.
“Tous les athlètes participant au tournoi de boxe des Jeux de Paris respectent les règles d’éligibilité et d’inscription à la compétition. Comme pour les compétitions de boxe olympiques précédentes, le sexe et l’âge des athlètes sont basés sur leur passeport”, assure le CIO.
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À en regarder les images, tout laisse à croire que l’abandon d’Angela Carini est une forme de protestation contre le choix du CIO. Pour autant, la justification de son entraîneur, puis celle de son athlète, la voix encore entrecoupée de sanglots, juste après son abandon, devant les chroniqueurs sportifs italiens est toute autre. Le quotidien de référence Corriere della Sera rapporte, dans un article, le détail de ces échanges.«Angela avait déjà mal aux dents, elle était sous antibiotiques, elle a pris un coup dans le nez, elle a eu très mal…», répond ainsi aux journalistes interloqués l’entraîneur d’Angela, Emanuele Renzini. «Puis la machine des réseaux sociaux s’est mise en route (ces derniers jours, NDLR). Toute la boxe italienne lui a demandé de se retirer !». Même les politiques s’en sont mêlés. Pourtant, Imane Khelife n’est pas un homme, objectent les chroniqueurs sportifs. «Je sais. Mais elle a des niveaux de testostérone très hauts. (…) Angela voulait combattre. Mais il est possible que toute cette polémique l’ait affectée».
«Elle n’a rien à se reprocher. Qui suis-je moi pour la juger ?»
En larmes, Angela Carini ne parvient pas à parler face aux caméras qui se tournent vers elle. Mais devant les chroniqueurs de presse écrite, elle répond, la voix entrecoupée de sanglots. «Je me suis tout de suite dit : quelque chose ne va pas. J’ai senti ce coup. Il m’a fait mal. Très mal». C’est le coup le plus dur de sa carrière ? «Je vous dis seulement que je n’ai jamais été battue par KO. Jusqu’à aujourd’hui je n’étais jamais descendue d’un ring avant la fin du combat. Je suis une guerrière. Mais parfois même les guerriers, quand ils voient que la bataille est perdue, enfoncent l’épée dans la terre, et se rendent».
Pourquoi avoir lancé «Ce n’est pas juste» ? «Ce n’est pas juste de renoncer à une olympiade qui était mon olympiade. (…) Mais je ne suis personne pour juger Imane. La vérité c’est que nous ne savons rien de mon adversaire hormis une chose : elle n’a rien à se reprocher. C’est une femme qui est là pour faire les Jeux, comme moi. Qui suis-je moi pour la juger ? Ce n’est pas à moi de le faire, c’est aux autres.»
Pourquoi, alors, ne pas l’avoir saluée ? «J’ai commis une erreur. Je suis descendue du ring pleine de rage. Je n’ai jamais conclu une rencontre sans saluer mon adversaire. Je demande pardon à Imane de ne pas l’avoir saluée», répond encore Angela Carini, qui précise encore aux journalistes ne pas avoir cédé à d’éventuelles pressions politiques.
[…]Source :
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Teddy, Léon et tous les autres bienfûr ! 
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Une biche interrompt une épreuve Jeux olympiques
C’est lors d’une épreuve équestre des Jeux olympiques que se déroule une opération de sauvetage particulière. Un chevreuil tombe dans le Grand Canal de Versailles et ne peut plus en sortir sous les yeux de milliers de personnes.
Mais que fait la sécurité ?
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Les cyclistes flashés par un radar aux portes de Paris, en excès de vitesse !
Samedi 3 août 2024, scène insolite lors de la course cycliste en ligne. Lancés à pleine vitesse, les coureurs ont déclenché les flashs d’un radar automatique.
Les amendes ne devraient pas tomber, faute de plaques d’immatriculation. Et surtout parce que bon, c’est lors de la course cycliste en ligne, samedi 3 août 2024, que les coureurs des Jeux olympiques de Paris 2024 ont fait fonctionner un radar.
En pleine descente, le peloton a ainsi fait s’enchaîner les flashs à un radar automatique posté en bord de route. Scène donnant lieu, forcément, à une vidéo assez insolite dudit peloton, aux portes de Paris, en excès de vitesse !
Source et vidéo: https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/video-jo-2024-les-cyclistes-flashes-par-un-radar-aux-portes-de-paris-en-exces-de-vitesse_61443317.html
Y’a pas de justice
