[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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Merci pour ta participation l’ami @Psyckofox
Il est vrai que j’oublie rapidement la partie documentaire qui a vraiment toute sa place !
C’est un débat fort intéressant
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Violence le dernière édition par tudikoi
en voilà une BONNE NOUVELLE ! ! !
Le patron de Disney renvoyé car trop “woke”
Le 20 novembre, la firme aux grandes oreilles a annoncé le licenciement de Bob Chapek, PDG du groupe depuis février 2020. La nouvelle fait suite au scandale ‘woke’ provoqué par Chapek qui a aggravé les mauvais résultats financiers du groupe en 2022.Enfin ! ! !
« En Floride, notre politique est fondée sur le bien commun, pas sur les rêveries ‘woke’ des entreprises », déclarait en mars le gouverneur Ron DeSantis sur Fox News. Dimanche 20 novembre, Disney a licencié son PDG Bob Chapek et rappelé aux commandes Robert Iger, qui a dirigé l’entreprise pendant quinze ans. Dans une déclaration parue le week-end dernier, la direction a expliqué son geste en des termes très pudiques : « A l’heure où Disney s’engage dans une période de transformation de l’industrie de plus en plus complexe, Robert Iger est particulièrement qualifié pour mener l’entreprise au cours de cette période charnière. »
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C’est le distributeur Carlotta qui a annoncé la super nouvelle sur ses réseaux sociaux : Mad God, le long métrage signé Phil Tippett, sortira dans les salles françaises en 2023.
Depuis des décennies, Phil Tippett, le concepteur des effets visuels de Robocop et Starship Troopers, travaillait pendant ses heures libres à Mad God, un film très personnel réalisé en animation. Pour des raisons variées, le projet a été abandonné à de multiples reprises, à tel point que ceux qui en connaissaient l’existence avaient fini par douter qu’il serait jamais terminé. Finalement le voilà, et le résultat méritait largement le temps que son auteur y a consacré.
C’est un film inclassable, d’une liberté totale, dont la conception
relève de l’équivalent visuel de l’écriture automatique. Nourri par une imagination sans limites, chaque plan débouche sur un décor, une atmosphère et des créatures nouvelles. Le voyage commence à la suite d’un scaphandrier chargé de descendre aux tréfonds d’un
univers vertigineux peuplé de créatures dominées ou dominantes, plus ou moins monstrueuses. Le but est d’aller déposer une bombe dans un endroit précisément décrit sur une carte, tandis qu’alentour, des créatures sont élevées pour produire des fluides corporels qui sont recueillis, transformés et utilisés pour générer de nouvelles créatures.L’un après l’autre, les scaphandriers échouent, tandis que leur commanditaire, le dernier homme sur terre (incarné par Alex Cox) continue à préparer leurs itinéraires avec un soin maniaque.
Une multitude de références viennent à l’esprit : Le bunker de la dernière rafale de Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet, les films surréalistes de Jan Svankmajer pour l’animation image par image, les clips expérimentaux de Chris Cunningham pour l’horreur organique, le Peter Jackson des Feebles pour l’humour scato, 2001: l’odyssée de l’espace pour les séquences psychédéliques. une hallucination collective.
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« Mad Heidi » : torture à la fondue, trash suisse et autres scènes d’horreur
« Mad Heidi » arrive dans les salles de cinéma. Entre l’humour, l’horreur et une réinterprétation du film suisse culte « Heidi », tout y est – surtout le fromage.
Mad Heidi commence avec une clause spéciale : avant de regarder le film, il est essentiel de comprendre comment il a été réalisé. Mad Heidi n’est en effet pas un projet de studio, mais a vu le jour grâce à un crowdfunding de fans de cinéma du monde entier. La réalisation des deux metteurs en scène bernois Johannes Hartmann et Sandro Klopfenstein ainsi que du producteur bâlois Valentin Greutert a duré cinq ans en tout.
Sur leur page d’accueil, les réalisateurs écrivent : « 538 personnes de 19 nations différentes ont participé au financement du film. » Deux millions de francs ont ainsi été récoltés. Les producteurs écrivent en outre qu’ils ont voulu produire un film indépendamment de Netflix ou d’Amazon, non seulement parce qu’ils ne voulaient pas vendre leur propriété intellectuelle, mais aussi parce qu’ils souhaitent que les personnes qui ne sont pas abonnées aux services de streaming puissent également regarder le film.
Il en résulte une sorte de comédie où la suissitude est au rendez-vous. Le faux sang et les autres scènes d’horreur sont également légion.
Cette nouvelle interprétation n’a presque rien à voir avec le Heidi de Johanna Spyri, le livre pour enfants et célèbre film suisse. Mad Heidi se déroule dans une Suisse dystopique tombée sous le joug fasciste du méchant baron du fromage et président suisse Meili (Caspar Diem) et de ses tyrans fromagers – le soi-disant « Switzerland’s New Order ». Alors que le président fou Meili est impliqué dans diverses machinations fromagères douteuses et fait régner la terreur dans tout le pays, le commandant Knorr (Max Rüdlinger) n’hésite pas à commettre des atrocités pour que la Suisse reste dans ce fascisme fromager.
Il ne faut pas longtemps pour qu’Heidi (Alice Lucy), originaire des Alpes idylliques, s’oppose au commandant Knorr. En effet, ce dernier a lui-même exécuté de sang-froid Pierre le Chevrier (Kel Matsena) sur la place du village en raison de la fabrication de produits laitiers illégaux – et plus tard, il a fait exploser le chalet d’alpage de l’aimable Alpöhi et grand-père d’Heidi (David Schofield).
Pas étonnant qu’Heidi soit énervée.
S’il y a bien une chose qui ne manque pas à Mad Heidi, ce sont les idées absurdes qui ne viennent normalement que lorsqu’on est complètement ivre. Ainsi, tout au long du film, on parle anglais. Ce n’est toutefois pas l’anglais cinématographique auquel nous sommes habitué·es, mais plutôt le « schwenglisch » : le dialecte suisse est évident. « Danke Schatz, it smells delicious », dit-on ainsi au dîner dans le chalet d’alpage, rappelant aussi comment les touristes suisses essaient de communiquer avec la population locale à l’étranger.
Bien entendu, le cliché du fromage suisse n’est pas en reste. Le produit laitier est omniprésent et constitue en fait l’accroche de tout le film. Au début, on assiste à un défilé dramatique et sanglant contre le fabricant de fromage « Meili » : l’entreprise appartient en effet au président suisse. Il a décrété que les intolérant·es au lactose n’auraient plus leur place dans le fascisme fromager. Pour trier les personnes souffrant de problèmes digestifs, il leur fait mettre un morceau de fromage dans la bouche. Celles et ceux qui ne peuvent pas le garder dedans sont exécuté·es ou meurent de toute façon d’un empoisonnement au fromage. C’est comme ça que ça se passe chez les nazis du fromage.
Outre Heidi, Pierre le Chevrier et Alphöhi, les autres protagonistes des livres pour enfants Heidi des années 1880 sont également représenté·es dans le film. Klara, Mlle Rottenmeier – tout le monde est là. Geissenpeter, par exemple, est joué par une personne de couleur. Cela rend le film désinvolte. On ne sait pas si les cinéastes ont voulu ainsi faire une déclaration politique, mais cela correspond au caractère délicieusement arbitraire du reste de la bande.
(…)
L’horreur est au rendez-vous
Mad Heidi n’est définitivement pas un film familial : ce n’est pas pour rien qu’il est déconseillé aux moins de 16 ans. En effet, Mad Heidi appartient au genre de film trash et gore. Un film trash va à l’encontre du goût, de la morale et des préjugés bourgeois conservateurs de manière provocante et est souvent excessivement brutal. Ce dernier point s’applique également aux films gores. Dans Mad Heidi, il y a quand même de l’action et de la comédie.
Pourtant, je dois détourner le regard à plusieurs reprises, car il y a trop d’organes qui volent et de sang qui gicle : dans Mad Heidi, des personnes sont coupées en deux, battues à mort avec du chocolat Toblerone en guise de matraque et des soldats suisses portant des brassards rappelant la Seconde Guerre mondiale tirent sauvagement avec des fusils. Parfois, les visages sont lacérés. Des têtes sont arrachées. Heidi se retrouve dans un camp de rééducation semblable à un camp de concentration.
Mais ce n’est pas tout. La torture à la fondue est omniprésente. Au lieu de torturer les gens en leur mettant la tête sous l’eau, on leur verse de la fondue chaude dessus. Les victimes sont à la fois brûlées et asphyxiées par le fromage liquide. C’est ainsi que fonctionne le « trash » dans le « film trash ».
Mais c’en était apparemment trop pour la police : un cadre de la police a été licencié sans préavis pour avoir participé au film. Produire un tel film d’horreur avec des parodies de nazis ne serait pas compatible avec le métier. Après coup, ce licenciement a été jugé inadmissible.
Ce qui frappe, c’est la valeur étonnamment élevée de la production. En effet, les films trash ont souvent tendance à avoir l’air aussi mauvais que leur budget. Cf. The Ring Thing. Les images de Mad Heidi ne sont pourtant pas mauvaises. Celles des Alpes sont particulièrement réussies. D’ailleurs, je n’ai presque rien à redire : les acteur·rices sont convaincant·es et l’histoire tient dans l’ensemble plus la route que ce à quoi je m’attendais. Vous pouvez effectivement voir dans le film que tout le monde y a mis du sien. Il n’est juste pas pour tous les publics.
Mad Heidi est dans les salles de cinéma (Suisses) depuis le 24 novembre 2022. Et pour ceux qui ne veulent pas aller au cinéma, le film sera disponible en streaming directement sur madheidi.com à partir du 8 décembre, sans aucun abonnement.
Désolé, je n’ai pas pu resister…
Pour me faire pardonner, un truc plus bisounours, la bande annonce de super mario:
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Dommage que se soit tourné en anglais et pas en français avec l’accent Suisse
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L’abus de drogue est dangereux pour la santé
La bande annonce m’a trop fait rigoler
Après l’actioner féministe, Elizabeth Banks (Charlie’s Angels) se frotte au film de terreur animale avec Cocaine Bear dont le pitch — totalement barré — est pourtant inspiré d’une histoire vraie. Comme son titre l’indique, cette production Universal s’intéresse aux exactions d’un ours devenu fou après avoir mangé un paquet de cocaïne lâché dans la forêt par un passeur de drogue.
De quoi semer la panique au sein de la population vivant dans la région… Voilà un point de départ riche en possibilités scénaristiques et visuelles pour ce long-métrage qui bénéficie en outre de la présence du regretté Ray Liotta (Identity), comédien récemment décédé dont c’est l’une des dernières apparitions à l’écran.
Vraiment pour le délire
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Tu as piqué ma curiosité sur le coup pour Mad God mon Violence .
Il y’a des critiques positives sur le net, le film est sorti ? (Enfin sorti, je me comprend lol) -
Non non pas encore sorti
On sait qu’il y a un distributeur français (Carlotta)et que c’est prévu pour 2023.Dans le même esprit, je te conseille Junk Head en attendant :
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Violence le dernière édition par tudikoi
@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Junk Head
Le 1 ou le 2 , tu conseilles ? ^^
2013 ou 2021
https://www.cineserie.com/movies/3276806/ -
Aucune différence mis à part que le premier est le même mais ne dure que 30 min…
Ah on me dis que c’est quand même une bonne différence 🤪
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Pas vraiment de l’actualité, vu que la sortie du film est prévue pour le 30 juin, voici la bande annonce (pas un simple teaser) d’Indiana Jones 5
Et ça promet. Après quinze ans d’absence, l’archéologue va à nouveau faire claquer son fouet et botter les fesses des nazis. Le nom de cet épisode est dévoilé: après «Les aventuriers de l’Arche perdue», «Indiana Jones et le temple maudit», «Indiana Jones et la Dernière croisade» et «Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal», voici «Indiana Jones et le Cadran de la destinée»!
A la vue de ce trailer, on peut constater qu’Harrison Ford semble en très bonne forme (et même numériquement rajeuni dans la scène d’ouverture du film dont on peut voir, ici, des images) et que le film enchaine les moments épiques. Dont une scène à New York, en pleine parade en l’honneur des astronautes d’Apollo 11, le 13 août 1969.
Le film se déroule douze ans après le dernier épisode, en pleine course à l’espace, alors que l’archéologue au chapeau recherche un objet bien spécifique. Voller, campé par Mads Mikkelsen, est aussi à la recherche de cette chose. Ce personnage est inspiré de l’ingénieur nazi Wernher von Braun qui travaillait pour la NASA.
Dans ce film, on retrouve également Sallah, le grand ami d’Indy joué par John Rhys-Davies. Phoebe Waller-Bridge incarne Helena, qui semble beaucoup participer à l’action. Antonio Banderas, Thomas Kretschmann et Toby Jones sont aussi de cette cinquième aventure qui sortira le 28 juin 2023 dans les salles romandes.
Il s’agira ici du premier long-métrage de la franchise non réalisé par Steven Spielberg qui laisse sa place à James Mangold.
Il ne reste plus qu’à patienter…
Source: https://www.lematin.ch/story/decouvrez-le-premier-trailer-et-le-nom-dindiana-jones-5-944531943459
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La dernière création de Makato Shinkai (Your name) - voir ici et ici - Suzume sortira en france au printemps 2023 sous l’égide de Crunchyroll, le 12 avril 2023 pour être plus précis !
Gros gros au succès au japon depuis sa sortie en novembre.
L’attente va être loonnngguuuue les amis (on aura surement une fantrad avant)
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@Violence La bande-annonce de Suzume donne l’eau à la bouche.
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je kiff les séries HBO en général c’est souvent de bonnes séries !
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@Violence alors la pour le coup le trailer me hype pas du tout, ca fait cheap je trouve