[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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M3GAN (prochainement)
M3GAN est un miracle technologique, une cyber poupée dont l’intelligence artificielle est programmée pour être la compagne idéale des enfants.
(…)
…débordée et sous pression au travail, elle décide de lier son prototype M3GAN à la petite fille, dans une tentative désespérée de résoudre ses problèmes sur ces deux fronts. Une décision qui va entrainer d’épouvantables conséquences.
28 décembre 2022 en salle
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Gangs Of London : Saison 2
L’intégralité de la série sera accessible dès le 4 décembre aux abonnés français de Lionsgate+, anciennement Starzplay, service disponible en option via Prime Vidéo.
– Red Band Trailer :
– Une petite preview et l’interview de Corin Hardy :
https://planete-warez.net/topic/2564/interview-corin-hardy-showrunner-sur-gangs-of-london-saison-2
https://planete-warez.net/topic/2563/preview-gangs-of-london-saison-2
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Les films de Noël ont la côte
Histoire de changer des DTV classiques passant sur M6 et compagnie en périodes de fêtes, 2 petits films m’ont mis la puce à l’oreille, le premier Christmas Bloody Christmas est décrit comme un film “entre le slasher et les techno thrillers des 80’s à la Terminator”, Christmas Bloody Christmas est le dernier effort en date de Joe Begos, réalisateur à qui l’on doit Almost Human (qui était assez sympa) et Bliss (inspiré par notre Gaspar Noé national). Ici, le cinéaste américain s’intéresse au cas d’une femme pris en grippe par un boogeyman particulièrement original : un robot publicitaire à l’effigie du père Noël devenu fou ! Un méchant cybernétique qui devrait permettre à Begos de s’amuser comme un petit fou d’autant que celui-ci a pu tourner son long-métrage en 16 mm pour mieux rendre hommage à l’époque qui l’a inspiré. Attendu en décembre aux USA, Christmas Bloody Christmas a été diffusé au Festival de Sitges.
Le second Violent night, jour la carte du Home Invasion qui part en live avec David Harbour (Stranger Things) en père Noël alcoolo venant rétablir la balance et l’excellent John Leguizamo qu’on ne présente plus. Vous trouverez une de ses interview pour le film ici :
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Yuru Camp - Au grand air (le film en VOSTFR de la série éponyme)
Cinq jeunes femmes montent un camping avec vue sur le Mont Fuji…
Mon avis: Autant j’aime bien voir éclater des tronches à coup de barre de fer (ou des pères noël alcolos), autant j’aime ce genre de film, tout en douceur et en poésie, à vous faire aimer le camping même en hiver…
Personnes susceptibles de narcolepsie (je pense par exemple au hasard à tudikoi ), passez votre chemin. -
White Noise - Blockbuster intimiste ?
Jugé inadaptable, le roman Bruit de fond de Don DeLillo (Cosmopolis) est pourtant à l’origine du prochain long-métrage de Noah Baumbach. Ici, le réalisateur de Marriage Story se frotte à la comédie apocalyptique en illustrant les déboires d’une famille dont le quotidien est perturbé par un accident de train qui va libérer un gaz toxique dans toute la région…
Prometteur tout ça même si le tournage de White Noise se serait montré particulièrement difficile pour l’équipe, au point de gonfler le budget de ce faux « petit film » ayant couté la bagatelle de 120 millions de dollars !
Ah oui, quand même !
En tout cas, si c’est aussi sympatoche que Don’t Look Up - ce que je doute un peu - je prends !
À juger sur pièce donc.
– Source: Mad Movies
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@Violence Une comédie pas drôle ? Un film d’horreur pas horrible ?
La bande annonce me fait craindre le pire… -
tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à duJambon le dernière édition par
@duJambon a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
@Violence Une comédie pas drôle ? Un film d’horreur pas horrible ?
La bande annonce me fait craindre le pire…Ca reste que du NETFLIX
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Rooooooo Faut faire les choses dans l’ordre.
Le film est peut être nul mais il faut le regarder en premier lieu. Perso, je n’en sais rien.
J’admets volontiers (moi le premier) qu’il y a beaucoup/trop de daubes sur les plateformes de streaming mais j’ai jamais compris le bashing dès que l’on voit le N rouge.
Faut être objectif, il y a des productions Netflix qui sont très bien voir bien au dessus de ce que certaines boites de production produisent.
Le problème, c’est que le public veux plein de choses tout de suite, des saisons entières à bing-watcher, des films à la pelle, le tout sans attendre. On est tombé dans la consommation massive de contenus et on a le public et les films qu’on mérite en quelque sorte.
Ce que je veux dire, c’est que l’humain est pour moi, autant responsable que les plateformes dans ce malheureux constat.
EDIT: Je sens que je vais me faire défoncer
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Violence le dernière édition par
@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
J’admets volontiers (moi le premier) qu’il y a beaucoup/trop de daubes sur les plateformes de streaming mais j’ai jamais compris le bashing dès que l’on voit le N rouge.
Il ne faut pas généraliser , je vois pas beaucoup de daubes sur APPLE TV+
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@tudikoi a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Il ne faut pas généraliser , je vois pas beaucoup de daubes sur APPLE TV+
Moi non plus
Je parlais surtout des 2 géants qui ont le plus grand catalogue.
J’aurais peut être du préciser. Shame on meApple à de très bonne séries (Severance, Slow Horses, Dr Brain, Fondation…), et elle en a aussi d’autres que j’aime moins mais il faut préciser que le catalogue est beaucoup moins fourni que les autres. Ceci explique peut être cela, ça rejoins un peu le raisonnement de mon dernier paragraphe plus haut sur le public/contenu
🧠 Ce pourquoi, je pense qu’Apple à la bonne stratégie, produire moins mais produire mieux. Pour moi, c’est de loin la meilleure plateforme de streaming actuellement.
Mais ça ne m’empêche pas de dire qu’il y a aussi de très bon contenus sur Netflix sans les basher, que Netflix c’est le diable, etc… (je ne te vises pas )
Certaines plateformes de streaming sont peut être maintenant le meilleur lieu pour pouvoir s’exprimer librement, cinématographiquement parlant.
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Je sens que je vais me faire défoncer
Je suis de ton avis.
Mais pour le bashing, faut pas chercher midi 14 c’est la polémique lambda…comme d’habitude lol.
Perso m’en balek de ces polémiques et je ne vois pas le diable à tous bout de champ, ce que pense les autres m’en carre le zen lol…je suis assez grand pour penser tous seul.
(j’ai Netflix justement pour ses docs qui sont vraiment pas mal…je consomme 85 % de docs là dessus). -
Merci pour ta participation l’ami @Psyckofox
Il est vrai que j’oublie rapidement la partie documentaire qui a vraiment toute sa place !
C’est un débat fort intéressant
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Violence le dernière édition par tudikoi
en voilà une BONNE NOUVELLE ! ! !
Le patron de Disney renvoyé car trop “woke”
Le 20 novembre, la firme aux grandes oreilles a annoncé le licenciement de Bob Chapek, PDG du groupe depuis février 2020. La nouvelle fait suite au scandale ‘woke’ provoqué par Chapek qui a aggravé les mauvais résultats financiers du groupe en 2022.Enfin ! ! !
« En Floride, notre politique est fondée sur le bien commun, pas sur les rêveries ‘woke’ des entreprises », déclarait en mars le gouverneur Ron DeSantis sur Fox News. Dimanche 20 novembre, Disney a licencié son PDG Bob Chapek et rappelé aux commandes Robert Iger, qui a dirigé l’entreprise pendant quinze ans. Dans une déclaration parue le week-end dernier, la direction a expliqué son geste en des termes très pudiques : « A l’heure où Disney s’engage dans une période de transformation de l’industrie de plus en plus complexe, Robert Iger est particulièrement qualifié pour mener l’entreprise au cours de cette période charnière. »
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C’est le distributeur Carlotta qui a annoncé la super nouvelle sur ses réseaux sociaux : Mad God, le long métrage signé Phil Tippett, sortira dans les salles françaises en 2023.
Depuis des décennies, Phil Tippett, le concepteur des effets visuels de Robocop et Starship Troopers, travaillait pendant ses heures libres à Mad God, un film très personnel réalisé en animation. Pour des raisons variées, le projet a été abandonné à de multiples reprises, à tel point que ceux qui en connaissaient l’existence avaient fini par douter qu’il serait jamais terminé. Finalement le voilà, et le résultat méritait largement le temps que son auteur y a consacré.
C’est un film inclassable, d’une liberté totale, dont la conception
relève de l’équivalent visuel de l’écriture automatique. Nourri par une imagination sans limites, chaque plan débouche sur un décor, une atmosphère et des créatures nouvelles. Le voyage commence à la suite d’un scaphandrier chargé de descendre aux tréfonds d’un
univers vertigineux peuplé de créatures dominées ou dominantes, plus ou moins monstrueuses. Le but est d’aller déposer une bombe dans un endroit précisément décrit sur une carte, tandis qu’alentour, des créatures sont élevées pour produire des fluides corporels qui sont recueillis, transformés et utilisés pour générer de nouvelles créatures.L’un après l’autre, les scaphandriers échouent, tandis que leur commanditaire, le dernier homme sur terre (incarné par Alex Cox) continue à préparer leurs itinéraires avec un soin maniaque.
Une multitude de références viennent à l’esprit : Le bunker de la dernière rafale de Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet, les films surréalistes de Jan Svankmajer pour l’animation image par image, les clips expérimentaux de Chris Cunningham pour l’horreur organique, le Peter Jackson des Feebles pour l’humour scato, 2001: l’odyssée de l’espace pour les séquences psychédéliques. une hallucination collective.
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« Mad Heidi » : torture à la fondue, trash suisse et autres scènes d’horreur
« Mad Heidi » arrive dans les salles de cinéma. Entre l’humour, l’horreur et une réinterprétation du film suisse culte « Heidi », tout y est – surtout le fromage.
Mad Heidi commence avec une clause spéciale : avant de regarder le film, il est essentiel de comprendre comment il a été réalisé. Mad Heidi n’est en effet pas un projet de studio, mais a vu le jour grâce à un crowdfunding de fans de cinéma du monde entier. La réalisation des deux metteurs en scène bernois Johannes Hartmann et Sandro Klopfenstein ainsi que du producteur bâlois Valentin Greutert a duré cinq ans en tout.
Sur leur page d’accueil, les réalisateurs écrivent : « 538 personnes de 19 nations différentes ont participé au financement du film. » Deux millions de francs ont ainsi été récoltés. Les producteurs écrivent en outre qu’ils ont voulu produire un film indépendamment de Netflix ou d’Amazon, non seulement parce qu’ils ne voulaient pas vendre leur propriété intellectuelle, mais aussi parce qu’ils souhaitent que les personnes qui ne sont pas abonnées aux services de streaming puissent également regarder le film.
Il en résulte une sorte de comédie où la suissitude est au rendez-vous. Le faux sang et les autres scènes d’horreur sont également légion.
Cette nouvelle interprétation n’a presque rien à voir avec le Heidi de Johanna Spyri, le livre pour enfants et célèbre film suisse. Mad Heidi se déroule dans une Suisse dystopique tombée sous le joug fasciste du méchant baron du fromage et président suisse Meili (Caspar Diem) et de ses tyrans fromagers – le soi-disant « Switzerland’s New Order ». Alors que le président fou Meili est impliqué dans diverses machinations fromagères douteuses et fait régner la terreur dans tout le pays, le commandant Knorr (Max Rüdlinger) n’hésite pas à commettre des atrocités pour que la Suisse reste dans ce fascisme fromager.
Il ne faut pas longtemps pour qu’Heidi (Alice Lucy), originaire des Alpes idylliques, s’oppose au commandant Knorr. En effet, ce dernier a lui-même exécuté de sang-froid Pierre le Chevrier (Kel Matsena) sur la place du village en raison de la fabrication de produits laitiers illégaux – et plus tard, il a fait exploser le chalet d’alpage de l’aimable Alpöhi et grand-père d’Heidi (David Schofield).
Pas étonnant qu’Heidi soit énervée.
S’il y a bien une chose qui ne manque pas à Mad Heidi, ce sont les idées absurdes qui ne viennent normalement que lorsqu’on est complètement ivre. Ainsi, tout au long du film, on parle anglais. Ce n’est toutefois pas l’anglais cinématographique auquel nous sommes habitué·es, mais plutôt le « schwenglisch » : le dialecte suisse est évident. « Danke Schatz, it smells delicious », dit-on ainsi au dîner dans le chalet d’alpage, rappelant aussi comment les touristes suisses essaient de communiquer avec la population locale à l’étranger.
Bien entendu, le cliché du fromage suisse n’est pas en reste. Le produit laitier est omniprésent et constitue en fait l’accroche de tout le film. Au début, on assiste à un défilé dramatique et sanglant contre le fabricant de fromage « Meili » : l’entreprise appartient en effet au président suisse. Il a décrété que les intolérant·es au lactose n’auraient plus leur place dans le fascisme fromager. Pour trier les personnes souffrant de problèmes digestifs, il leur fait mettre un morceau de fromage dans la bouche. Celles et ceux qui ne peuvent pas le garder dedans sont exécuté·es ou meurent de toute façon d’un empoisonnement au fromage. C’est comme ça que ça se passe chez les nazis du fromage.
Outre Heidi, Pierre le Chevrier et Alphöhi, les autres protagonistes des livres pour enfants Heidi des années 1880 sont également représenté·es dans le film. Klara, Mlle Rottenmeier – tout le monde est là. Geissenpeter, par exemple, est joué par une personne de couleur. Cela rend le film désinvolte. On ne sait pas si les cinéastes ont voulu ainsi faire une déclaration politique, mais cela correspond au caractère délicieusement arbitraire du reste de la bande.
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L’horreur est au rendez-vous
Mad Heidi n’est définitivement pas un film familial : ce n’est pas pour rien qu’il est déconseillé aux moins de 16 ans. En effet, Mad Heidi appartient au genre de film trash et gore. Un film trash va à l’encontre du goût, de la morale et des préjugés bourgeois conservateurs de manière provocante et est souvent excessivement brutal. Ce dernier point s’applique également aux films gores. Dans Mad Heidi, il y a quand même de l’action et de la comédie.
Pourtant, je dois détourner le regard à plusieurs reprises, car il y a trop d’organes qui volent et de sang qui gicle : dans Mad Heidi, des personnes sont coupées en deux, battues à mort avec du chocolat Toblerone en guise de matraque et des soldats suisses portant des brassards rappelant la Seconde Guerre mondiale tirent sauvagement avec des fusils. Parfois, les visages sont lacérés. Des têtes sont arrachées. Heidi se retrouve dans un camp de rééducation semblable à un camp de concentration.
Mais ce n’est pas tout. La torture à la fondue est omniprésente. Au lieu de torturer les gens en leur mettant la tête sous l’eau, on leur verse de la fondue chaude dessus. Les victimes sont à la fois brûlées et asphyxiées par le fromage liquide. C’est ainsi que fonctionne le « trash » dans le « film trash ».
Mais c’en était apparemment trop pour la police : un cadre de la police a été licencié sans préavis pour avoir participé au film. Produire un tel film d’horreur avec des parodies de nazis ne serait pas compatible avec le métier. Après coup, ce licenciement a été jugé inadmissible.
Ce qui frappe, c’est la valeur étonnamment élevée de la production. En effet, les films trash ont souvent tendance à avoir l’air aussi mauvais que leur budget. Cf. The Ring Thing. Les images de Mad Heidi ne sont pourtant pas mauvaises. Celles des Alpes sont particulièrement réussies. D’ailleurs, je n’ai presque rien à redire : les acteur·rices sont convaincant·es et l’histoire tient dans l’ensemble plus la route que ce à quoi je m’attendais. Vous pouvez effectivement voir dans le film que tout le monde y a mis du sien. Il n’est juste pas pour tous les publics.
Mad Heidi est dans les salles de cinéma (Suisses) depuis le 24 novembre 2022. Et pour ceux qui ne veulent pas aller au cinéma, le film sera disponible en streaming directement sur madheidi.com à partir du 8 décembre, sans aucun abonnement.
Désolé, je n’ai pas pu resister…
Pour me faire pardonner, un truc plus bisounours, la bande annonce de super mario:
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Dommage que se soit tourné en anglais et pas en français avec l’accent Suisse
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