Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
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Sérial Licker !!! Oh, le beau cas
Dommage qu’on n’utilise plus beaucoup les timbres-poste, on aurait pu l’occuper.
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Mais… j’espère pour lui que ses “manies” à lecher ne lui font pas trop de soucis niveau estomac/intestins. Jsuis loin d’être certain du côté sain de lecher les sols.
Et bon, tant qu’il ne va pas tenter de lecher les gens aussi. -
Lèche botte (sans être vulgaire ), lèche vitrine alors pourquoi pas lèche sol ^^
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Un rennie et il repart pour lécher de nouvelles contrées
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y’a que moi qui suis choqué par l’article précédent ???
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Tu n’es pas le seul @Mister158, mais ça ne m’étonne même plus de la part des États-Unis
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Non c’est choquant mais comme l’a si bien souligné Pluton9, c’est les États Unis (et étant donné que c’est un monde capitaliste faut que ça tourne…je parle du dollars on sait jamais ^^).
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oui enfin on ne parle pas d’un objet, mais d’un enfant !!!
c’est juste inhumain
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@Mister158 Non rassure toi, mais j’avais déjà un doc sur cette situation bien dégueulasse des gosses adoptés aux USA.
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@michmich *vu
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@Mister158
Ca existe depuis longtemps et ça revient de temps en temps sur le devant de l’actu…
C’est comme avec les armes, on en parle et rien ne change… -
@Mister158 a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
c’est juste inhumain
Depuis quand l’humain a un quelconque intérêt aux États-Unis? Tout est motif à spéculation pécunière…
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Tiens, en parlant des USA de pognon, et des hopitaux:
Il tue sa femme parce qu’il ne peut payer ses soins
Un homme de 75 ans a étranglé son épouse sur son lit d’hôpital, son traitement coutant trop cher.
Ronnie Wiggs a avoué avoir déjà tenté de tuer sa femme auparavant.Vendredi 3 mai, le personnel de l’hôpital d’Independence, dans le Missouri, a reçu une alerte provenant de la chambre dans laquelle une femme était en attente d’une dialyse. Elle ne répondait plus et, bien qu’ils aient récupéré son pouls, ils n’ont pu que la déclarer en état de mort cérébrale.
Ronnie Wiggs, son mari, qui était présent à l’hôpital, est ensuite rentré chez lui. Le samedi, la femme est décédée et le mari est revenu avec leur fils. C’est alors que le personnel de l’hôpital l’a entendu dire: «Je l’ai fait, je l’ai tuée, je l’ai étranglée», selon abcNews.
Alertée, la police a arrêté cet homme de 75 ans, qui a expliqué qu’il avait tué sa femme parce qu’il ne pouvait plus payer le lourd traitement qu’elle suivait. Il a dit qu’il lui avait bouché le nez et la bouche pour l’empêcher de crier.
Elle lui avait dit de ne pas recommencer
Il a précisé qu’il avait déjà essayé de la tuer une autre fois, alors qu’elle était dans un centre de réadaptation et qu’elle dormait, mais qu’elle s’était réveillée et lui avait dit de ne plus recommencer. Il ne l’a pas écoutée, visiblement.
Ronnie Wiggs a comparu lundi devant un tribunal pour meurtre au deuxième degré et sa caution a été fixée à 250 000 dollars.
Source: https://www.lematin.ch/story/etats-unis-il-tue-sa-femme-parce-quil-ne-peut-payer-ses-soins-103099524
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Après avoir ressuscité des chiens, on cherche des cobayes humains
“Les tabloïds ont crié gare à la ‘Nuit des chiens vivants’ quand des scientifiques ont réussi à ressusciter des chiens au Centre Safar de recherche sur la résurrection, en Pennsylvanie, au Etats-Unis”, rapporte The Independent.
Grâce à une version élaborée de l’hypothermie, les scientifiques du Safar ont réussi à maintenir des chiens en état de mort clinique pendant trois heures, avant de les faire revenir à la vie. “Le procédé consiste à vider l’animal de son sang puis de remplir ses veines avec une solution saline et froide, qui abaisse la température du corps à 7 °C”, explique le quotidien britannique. Trois heures plus tard, le sang du chien est réinjecté, et l’animal est ramené à la vie par un léger choc électrique. Selon le journal, les chercheurs du Safar espèrent commencer les expériences sur les humains d’ici un an.
Selon le Dr Samuel Tisherman, directeur associé du Centre Safar, l’objectif est de “gagner du temps chez les blessés qui ont perdu trop de sang à la suite d’accidents ou de blessures par balle”. Le Dr Howard Champion, chirurgien britannique installé aux Etats-Unis, explique que “le principe de cette technique vise à accroître les chances de survie du patient pendant son acheminement à l’hôpital”. A l’avenir, “si un appareil de refroidissement était présent dans les ambulances, cela permettrait de réduire le métabolisme des patients”, commente Mark Voelker, scientifique chez Bio Time Inc, en Californie. Selon lui, “la notion de mort dépend des technologies dont on dispose pour réanimer un patient. Finalement, la mort, c’est quand le médecin dit : ‘Je ne peux plus rien faire’.”
La “résurrection” fait peur et pose des questions éthiques et spirituelles, note The Independent. Au Centre Safar, certains chiens ont souffert de problèmes physiques et comportementaux graves une fois réanimés. Ross Heaven, auteur du livre Shaman Vaudou, fait un rapprochement entre l’hypothermie et les pratiques vaudous sur les êtres humains à Haïti. Selon elle, une fois la cérémonie terminée, “les hommes ne sont plus jamais entiers, et on les qualifie de zombies parce qu’ils n’ont plus d’âme”. L’Eglise anglicane, elle, estime que “si l’on peut être réanimé, c’est qu’on n’était pas vraiment mort”, rapporte le quotidien. Elle voit les technologies médicales comme “une extension des soins de Dieu”. Enfin, Susan Blackmore, écrivaine et professeur d’université, estime qu’il s’agit simplement d’une question d’équilibre entre les nutriments et l’oxygène” dans l’organisme et qu’il n’y a “pas de raison d’invoquer la notion d’âme”.
Selon The Independent, les scientifiques du Safar sont exaspérés par les spéculations spirituelles des uns et des autres. “Mais on peut parier que s’ils commencent à ressusciter les êtres humains, on risque d’entendre parler de zombies pendant longtemps”, conclut le journal.
Source : courrierinternational.com
Je ne sais pas si c’est le fait de vieillir mais ce genre d’article me fait dire qu’on est de plus en plus perché et qu’on va droit vers le grand n’importe quoi.
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oh putain on y est !!!
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Se faire “refroidir” pendant x années en espérant qu’on ne t’oublie pas pour un réveil. Histoire d’attendre qu’un remède soit là pour te soigner d’une schtroumpferie qui te ronge… pourquoi pas ?
Après, c’est évident que pas impossible que ça soit mal utilisé… Nous sommes humain ^^
Sinon, pour ceux qui sont outrés par l’idée parce que, dans notre civilisation, on s’apprend c’est mal de s’approcher aussi près d’une divinité quelconque (ou bêtise vaudou du genre).
Jsais pas… il y a tellement d’exemples de trucs qu’on fait qui nous semblent totalement normaux mais qui pourraient être outrageux : se foutre de la peau de vache autour du pied (après avoir bu son lait, évidement) -> chaussure.
Bref, c’est juste une question d’habitude ^^ -
USA: Elle a poignardé son amie 484 fois: «Kim s’est bien défendue»
Une trentenaire a été condamnée à 55 ans de prison pour le meurtre de sa meilleure amie, perpétré en avril 2022 dans le Maine.
Kim Neptune a été tuée par Kailie Brackett le soir du 20 avril 2022, dans la réserve indienne de Pleasant Point (ça ne s’invente pas)«Nous sommes soulagés que justice soit faite. Et demain et les jours suivants, nous allons commencer à chercher des manières de guérir ensemble en tant que communauté, tous unis». Ces mots sont ceux d’Adam Newell, représentant de la tribu des Passamaquoddys, dont faisait partie Kim Neptune. En avril 2022, cette femme de 43 ans a été retrouvée morte chez elle, dans la réserve de Pleasant Point (Maine). Son corps, qui avait été emballé dans une couverture, présentait 484 blessures par arme blanche.
Vendredi, celle qui se présentait comme sa meilleure amie a été condamnée à 55 ans de prison pour meurtre, rapporte WABI 5. Kailie Brackett, 39 ans, continue de clamer son innocence et affirme que les auteurs de ce crime courent toujours. En décembre dernier, un homme nommé Donnell Dana était également jugé pour ce meurtre. Mais le jury ne parvenant pas à se mettre d’accord, il s’en est sorti. L’individu a ensuite plaidé coupable d’avoir éliminé des preuves pouvant mener à la condamnation de Kailie Brackett, qui est la mère de son enfant. Donnell Dana a, par ailleurs, vécu quelques années avec la victime avant 2021.
«Elle le racontait à qui voulait bien l’entendre»
La trentenaire affirme que le soir du crime, elle a déposé son fils chez la mère de Donnell Dana et qu’elle était chez elle au moment du meurtre. Or, selon la police, les deux trentenaires ont confié à plusieurs personnes avoir poignardé Kim Neptune. «Kailie Brackett le racontait à qui voulait bien l’entendre», peut-on lire dans le rapport de la police d’État du Maine, cité par le «Portland Press Herald». D’après les autorités, les deux acolytes avaient prévu de voler des médicaments, dont du Xanax, à la victime.
Après le meurtre, Donnell Dana aurait confié à une connaissance que le cambriolage avait mal tourné. Kailie Brackett, elle, aurait assuré à cette même personne que «Kim s’est bien battue». Durant une audience forte en émotions, vendredi, les proches de Kim Neptune l’ont décrite comme une personne «gentille», «attentionnée» et toujours prête à aider son prochain. Le neveu et la nièce de la victime, respectivement âgés de 12 et 14 ans, ont promis de faire perdurer la mémoire de leur tante. Kailia Brackett, elle, a répété qu’elle n’avait pas tué sa meilleure amie.
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bonjour le tartare
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Histoire folle : disparu depuis 26 ans, il est retrouvé séquestré chez son voisin
Un Algérien porté disparu depuis 26 ans a été retrouvé séquestré chez son voisin dans un village du centre de l’Algérie, ont annoncé les autorités mardi.
L’homme, âgé de 45 ans, disparu mystérieusement sans laisser de trace en 1998, a été retrouvé dans la maison d’un voisin perquisitionnée par les gendarmes à la suite d’une dénonciation publiée sur les réseaux sociaux, a indiqué dans un communiqué le bureau du procureur du gouvernorat de Djelfa, à 300 km d’Alger, où ces rocambolesques évènements ont eu lieu.
Selon les médias locaux, l’homme était retenu dans l’enclos de bétail de son voisin, dans le village d’El-Guédid. Des proches, cités par des médias, ont affirmé que l’homme pouvait pendant sa captivité voir et entendre les membres de sa famille à travers une ouverture dans l’enclos «mais était incapable de crier ou de fuir à cause d’un sort que son ravisseur lui avait jeté».
Le parquet a précisé que le suspect, un employé municipal local de 61 qui vivait comme si de rien n’était pendant toutes ces années, a été arrêté et sera jugé à l’issue de son interrogatoire.
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Un collier lui brûle le cou puis s’enfonce dans son matelas
Rayce Ogdahl, une Américaine de 16 ans, souffre de brûlures au troisième degré autour du cou. En cause: son collier.
Les cris déchirants de son fils Rayce ont brutalement tiré Danielle Davis de son sommeil. Lorsque la mère s’est précipitée vers son fils, le choc est immense: son cou était brûlé: «La puanteur était terrible», a-t-elle raconté aux médias américains. Selon elle, toute la maison sentait la peau et les cheveux brûlés.
L’incident s’est produit dans l’État américain de l’Oklahoma. Apparemment, l’adolescent était dans son lit et portait autour du cou une lourde chaîne métallique qui est entrée en contact avec une rallonge électrique. «Le courant électrique a fait le tour de son cou comme une bobine chauffée à blanc», décrit la mère.
Après que Rayce a arraché de son cou la chaîne avec un pendentif en forme de croix, celle-ci s’est également incrustée dans son matelas sur plusieurs centimètres de profondeur. «Il a dit qu’il avait clairement vu des étincelles sur de son cou», raconte la mère.
Le jeune homme est immédiatement amené à l’hôpital. Selon les médecins américains, il souffre de brûlures au troisième degré. Rayce aurait même pu mourir. Depuis son rythme cardiaque est surveillée pendant plusieurs jours. Les traces de la chaîne sont encore visibles sur la peau de l’adolescent et plusieurs cicatrices balafrent son cou. Les médecins ont suggéré une greffe de peau, mais Rayce refuse.