On ne se moque pas de ces choses là.
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@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
100 onglets Chrome
T’es pas fou toi?! Ça fait des semaines que tu nous habilles avec Floorp , on ne va pas se salir avec Chrome… ceci dit quand j’ai 20 onglets ouverts, c’est que je suis déjà perdu
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@Pluton9 Ben justement, il faut être malade pour surfer sous chrome, moi, je ne suis pas panépistabomane
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Je suis malade, complètement maladeeeee,… comme quand DuJambon disait le soir bla bla bla
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Ne craignez rien, nous sommes, vos zzzzamis !
Des ingénieurs construisent un humanoïde volant propulsé par un avion à réaction pour répondre aux catastrophes
Imaginez que vous êtes blessé sur un sentier de montagne isolé mais que vous avez réussi à contacter les secours d’urgence. Le premier à arriver sur les lieux pourrait être un petit robot humanoïde équipé d’un jetpack si la recherche italienne porte ses fruits.
Le projet du groupe d’intelligence artificielle et mécanique de l’Institut italien de technologie (Istituto Italiano di Tecnologia) a pris un bipède enfantin conçu pour la recherche sur l’IA – l’ iCub – et vise à le faire décoller en utilisant la puissance d’un avion à réaction.
Source et plus: https://newatlas.com/robotics/ironcub3-jet-powered-flying-humanoid/
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mais grave, je ne les enlève que dans le lit
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Futur Premier ministre : Et si vous faisiez traîner les choses pendant quarante jours comme Macron, ça donnerait quoi ?
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@duJambon C’est un vicieux, il a fait des provisions.
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Un cochon opéré à 9 000 kilomètres de distance
PhotocochonebidonUn cochon à Hong Kong a récemment été au centre d’une avancée technologique impressionnante : une endoscopie réalisée à distance par des chercheurs de l’ETH Zurich et de l’Université chinoise de Hong Kong. Grâce à une connexion Internet ultra-rapide et une technologie robotique sophistiquée, l’endoscope a été contrôlé depuis Zurich, à plus de 9 300 kilomètres de là. Cette prouesse démontre le potentiel exceptionnel de la téléchirurgie et ouvre de nouvelles perspectives pour les interventions médicales à distance
Prouesse technique
La téléchirurgie, ou chirurgie à distance, est une innovation qui transforme le monde médical. En utilisant des technologies avancées, elle permet à des chirurgiens de réaliser des opérations sur des patients situés à des milliers de kilomètres. Cette approche offre des perspectives prometteuses pour améliorer l’accès aux soins spécialisés dans des régions éloignées ou difficiles d’accès.
Bien que la téléchirurgie ait été expérimentée depuis plusieurs années, des défis technologiques, tels que la latence des connexions et la précision des instruments, demeurent des obstacles majeurs. Néanmoins, d’importants progrès ont été réalisés, comme en témoigne cette opération.
Dans le cadre d’une collaboration innovante entre l’ETH Zurich et l’Université chinoise de Hong Kong, des chercheurs ont réussi à mener une endoscopie sur un cochon à Hong Kong depuis un laboratoire à Zurich, à plus de 9 300 kilomètres de distance.
L’opération a été rendue possible grâce à une connexion Internet ultra-rapide et un endoscope spécialement développé pour être manipulé à distance. L’endoscope, équipé d’une tête magnétique, est capable de se plier dans toutes les directions, offrant une flexibilité et une maniabilité supérieures aux appareils conventionnels. Le doctorant Alexandre Mesot l’a piloté à l’aide de manettes de jeu depuis Zurich, avec seulement 300 millisecondes de décalage, démontrant ainsi la possibilité de réaliser des interventions chirurgicales à distance en temps quasi réel.
Une salle d’opération à l’Université chinoise de Hong Kong. Sur l’écran, on peut voir une liaison en direct avec une autre équipe scientifique de l’ETH Zurich, en Suisse. Crédits : ETH ZurichImplications et perspectives de la téléchirurgie
Cette nouvelle prouesse ouvre la voie à de nouvelles possibilités pour les interventions médicales à distance. La technologie utilisée dans cette opération, avec son endoscope compact et flexible, pourrait en effet permettre des procédures moins invasives et plus confortables pour les patients, notamment en rendant possible l’insertion par le nez au lieu de la bouche.
À plus long terme, les chercheurs envisagent d’étendre cette approche à des interventions sur des patients humains, en particulier pour des procédures mini-invasives dans le tractus gastro-intestinal comme le dépistage du cancer.
Bien que des défis demeurent, notamment en matière de stabilité des connexions et de miniaturisation des instruments, cette expérience marque un pas de géant vers la réalisation d’une chirurgie à distance fiable et efficace, même à travers des distances considérables.
L’opération a fait l’objet d’une étude publiée dans la revue Advanced Intelligent Systems.
Source: https://sciencepost.fr/cochon-opere-9-000-kilometres-de-distance/
#Touchepasàmonporc
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à duJambon le dernière édition par
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enfin une invention qui va rendre service … enfin plus qu’une invention c’est l’aboutissement d’une technologie
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Un curé démissionne après avoir avoué une liaison avec une femme… qu’il venait de marier
Le dimanche 1ᵉʳ septembre, les paroissiens de Brignoles (Var), ont été stupéfaits d’apprendre la démission du père Gerson Peres en raison d’une “contradiction flagrante avec les engagements qui sont les siens”. Ce dernier a reconnu avoir entretenu une relation inappropriée avec une femme mariée.
Le jeune marié “choqué à vie”
Le jeune marié, âgé de 37 ans, se dit “choqué à vie” après avoir appris l’infidélité. “Je suis quelqu’un de très pratiquant. Je me suis même fait tatouer la vierge sur l’avant-bras gauche. Je vivais avec ma femme depuis 17 ans. On a élevé deux enfants dont une fille en commun. Je me suis remarié à l’église il y a trois mois. Jamais je n’aurais pu imaginer qu’il se passerait ce qu’il s’est passé”, déplore-t-il au Parisien.
Source et plus: https://www.7sur7.be/monde/un-cure-demissionne-apres-avoir-avoue-une-liaison-avec-une-femme-quil-venait-de-marier~a5da7a13/
Vive les femmes !
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@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Je suis quelqu’un de très pratiquant. Je me suis même fait tatouer la vierge sur l’avant-bras gauche. Je vivais avec ma femme depuis 17 ans. On a élevé deux enfants dont une fille en commun. Je me suis remarié à l’église il y a trois mois.
Ben voyons, ça ne l’a pas empêché de vivre dans le pêché toutes ces années et de faire des enfants sans être marié…
Quel hypocrite… -
Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à duJambon le dernière édition par
@duJambon et ce n’est même pas un article du Gorafi.
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@Raccoon Pourquoi lire le Gorafi quand la réalité dépasse la fiction ?
Flashée à 196 km/h, sans permis et positive au cannabis… L’étudiante se rend à la convocation des gendarmes au volant de la voiture de sa mère.
Interceptée en avril dernier sur l’A62 à grande vitesse (196 km/h), sans permis de conduire et sous l’emprise de stupéfiants, une étudiante agenaise de 18 ans n’a pas trouvé mieux que de se rendre à sa convocation à la brigade du Peloton motorisée (PMO) de Montauban au volant de la voiture de sa mère. Elle a été placée en garde à vue et l’automobile comme celle de son père dans la précédente affaire, a fait l’objet d’une immobilisation judiciaire en fourrière.
Outre l’excès de vitesse significatif, la contrevenante a été interpellée pour conduite sans permis et consommation de stupéfiants. Elle avait également refusé d’obtempérer en tentant de se soustraire à l’Alpine des gendarmes, se dissimulant derrière un camion sur une aire de repos.
Les gendarmes attendaient depuis lors les résultats de son test salivaire, qui devaient confirmer que la Lot-et-Garonnaise avait consommé de la résine de cannabis avant de prendre le volant.
Convoquée récemment à la brigade du Peloton motorisé (PMO) de Montauban pour être entendue sur ce point, la femme a de nouveau surpris les gendarmes en charge de son dossier.
Article pour abonné: https://www.ladepeche.fr/2024/08/30/flashee-a-196-kmh-sans-permis-et-positive-au-cannabis-letudiante-se-rend-a-la-convocation-des-gendarmes-au-volant-de-la-voiture-de-sa-mere-12167343.php
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SMIERT SPIONAM ? (ha non, c’est un des nôtres)
Après avoir vu un réseau Wi-Fi nommé « STINKY », la marine a trouvé une antenne Starlink cachée sur un navire de guerre américain.
Ce n’est un secret pour personne : l’informatique gouvernementale peut s’avérer extrêmement décevante. La conservation des dossiers ! La sécurité ! Ainsi, les fonctionnaires prennent parfois l’informatique en main avec des solutions créatives, mais, euh, non autorisées.
Par exemple, en 2015, un ancien ambassadeur américain au Kenya a eu des ennuis après avoir travaillé dans les toilettes de l’ambassade – le seul endroit où il pouvait utiliser son ordinateur personnel (!) pour accéder à un réseau non sécurisé (!!) qui lui permettait de se connecter à Gmail (!!!), où il effectuait une grande partie de ses affaires officielles – au diable les règles et les politiques de sécurité.
Pourtant, l’ambassadeur n’avait rien à dire sur les membres supérieurs de l’équipage du navire de combat littoral USS Manchester, qui n’aimaient pas la restriction de l’accès Internet à bord par la Marine. En 2023, ils ont décidé que la meilleure façon de résoudre le problème était de verrouiller secrètement un terminal Starlink sur le « pont exposé de niveau O-5 » d’un navire de guerre américain .
Ils ont appelé le réseau Wi-Fi résultant “STINKY” et lorsque les officiers à bord du navire ont entendu des rumeurs et ont commencé à poser des questions, le chef du projet a ouvertement menti à ce sujet. Puis, lorsqu’elle a été exposée, elle est allée jusqu’à inventer de faux rapports d’utilisation de Starlink suggérant que le système n’avait été consulté qu’au port, où les problèmes de cybersécurité et d’espionnage étaient moindres.
Sans surprise, l’histoire se termine mal, avec une enquête approfondie de la Marine et une cour martiale. Pourtant, pendant six mois, la vie à bord du Manchester a dû être une sacrée aventure.
Une photo incluse dans le rapport d’enquête officiel de la Marine, montrant l’emplacement du terminal Starlink caché sur l’USS Manchester.Une solution puante (STINKY)
Le Navy Times a tous les détails nouveaux et sanglants , et vous devriez lire leur récit, car ils ont pris la peine d’utiliser la Freedom of Information Act (FOIA) pour découvrir le contexte de cette étrange histoire. Mais les bases sont assez simples : les gens sont habitués à accéder à Internet. Ils le veulent, même (peut-être surtout !) lorsqu’ils sont en mer pour des missions navales sensibles en Asie, où les inquiétudes concernant la surveillance et le piratage chinois sont vives.
Ainsi, début 2023, alors qu’il se préparait aux États-Unis pour un déploiement, le chef du commandement Grisel Marrero, le chef de bord enrôlé, a mené un projet visant à acheter un Starlink pour 2 800 $ et à l’installer discrètement sur le pont du navire. Le système était destiné uniquement aux chefs – et non aux officiers ou à la plupart des militaires enrôlés – et une enquête de la Marine a révélé plus tard qu’au moins 15 chefs participaient au plan.
Le Navy Times décrit comment Starlink a été installé :
L’antenne parabolique Starlink a été installée sur le pont exposé au niveau O-5 du Manchester pendant une période de « couverture » en altitude, ce qui oblige un marin à se suspendre au-dessus ou au-dessus du côté du navire.
Lors d’une « couverture » en altitude, les tâches ne sont pas documentées dans les journaux de pont ou dans les journaux de pont de l’officier, selon l’enquête.
On ne sait pas exactement qui a exploité et réellement installé le système pour Marrero en raison de suppressions dans la copie rendue publique de la sonde, mais les archives montrent que Marrero a mis le système sous tension la nuit précédant le départ du navire vers les eaux du Pacifique occidental de la 7e flotte américaine.
Tout cela était extrêmement risqué et les chefs ne semblent pas avoir pris de précautions de sécurité étonnantes une fois tout installé. D’une part, ils ont appelé le réseau « STINKY ». D’autre part, ils ajoutèrent bientôt davantage d’équipements autour du navire, ce qui ne manquerait pas de soulever d’autres questions. Les chefs ont constaté que le signal Wi-Fi provenant de l’émetteur-récepteur satellite Starlink ne pouvait pas couvrir l’intégralité du navire. Ainsi, lors d’une escale à Pearl Harbor, ils ont acheté des « répéteurs de signal et un câble » pour étendre la couverture.
Les marins du navire ont alors commencé à découvrir le réseau STINKY et à poser des questions à ce sujet. Certaines de ces questions sont venues directement à Marrero, mais elle a nié savoir quoi que ce soit sur le réseau… et a ensuite changé en privé son nom Wi-Fi en “un autre surnom qui ressemblait à une imprimante sans fil - même si aucune imprimante sans fil à usage général n’était disponible”. présent sur le navire, a révélé l’enquête.
Marrero est même allé jusqu’à supprimer les questions sur le réseau de la « boîte à suggestions » du commandant à bord du navire pour éviter d’être détecté.
Trouver l’odeur
Les officiers du navire ont entendu les rumeurs à propos de STINKY, bien sûr, et ils ont commencé à poser des questions et à procéder à des inspections, mais ils n’ont jamais trouvé l’appareil dissimulé. Le 18 août, cependant, un employé civil du Naval Information Warfare Center était en train d’installer un appareil SpaceX « Starshield » autorisé et est tombé sur l’ appareil SpaceX non autorisé caché sur la terrasse.
La tentative de Marrero de créer de fausses données montrant que le système n’avait été utilisé que dans le port a ensuite échoué de façon spectaculaire en raison des déclarations “mal falsifiées” qu’elle a soumises. À ce stade, le jeu était terminé et les enquêteurs de la Marine ont examiné l’ensemble de la situation.
Tous les chefs qui ont utilisé, payé ou même eu connaissance du système sans le divulguer ont été infligés « à des sanctions administratives non judiciaires au poste de commodore », a déclaré le Navy Times.
Marrero elle-même a été relevée de son poste l’année dernière et elle a plaidé coupable devant une cour martiale ce printemps.
Alors voilà, les enfants : deux leçons de choses sur une mauvaise prise de décision. Que vous travailliez depuis les toilettes d’une ambassade ou sur le pont d’un navire de combat côtier, si vous êtes un employé du gouvernement, réfléchissez-y à deux fois avant de céder à la douce tentation d’un accès Internet sans fil non sécurisé et non autorisé.
Mise à jour, 5 septembre, 15h30 : Un lecteur a affirmé que le SSID Starlink par défaut est en fait… « STINKY ». Cela semblait presque impossible à croire, mais Elon Musk a en fait tweeté à ce sujet en 2022, des Redditors l’ont signalé dans la nature, et en 2022 (merci, Wayback Machine), la FAQ officielle de Starlink indiquait que le « nom de réseau de l’appareil apparaîtrait ». comme « STARLINK » ou « STINKY » dans les paramètres WiFi de l’appareil. (Une vérification de la FAQ Starlink actuelle montre cependant que le nom du réseau par défaut est désormais simplement « STARLINK ».)
En d’autres termes, non seulement cette conspiration stupide était une terrible idée OPSEC, mais les meneurs n’ont même pas changé le nom Wi-Fi par défaut jusqu’à ce qu’ils commencent à recevoir des questions à ce sujet.
Sourchttps://arstechnica.com/security/2024/09/sailors-hid-an-unauthorized-starlink-on-the-deck-of-a-us-warship-and-lied-about-it/
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Comme quoi le zèle dans la sécurité peu avoir des effets contraire à ceux voulus.