On ne se moque pas de ces choses là.
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y’a un binz dans ton message @duJambon lol
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@Mister158 Non J’étais en mode complotiste
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bon ben je n’ai rien compris alors
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@Mister158 Je cherchais aussi le rapport avec le Perrier!
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@michmich tu me rassures, mais du coup je m’inquiète de la santé mentale de notre ami
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@Mister158 on a pas du piger un truc, je sais que Perrier (appartenant à Nestlé) je crois, a été inquiété par un soucis sanitaire dernièrement, genre une dégradation de l’eau dans le temps.
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@michmich Non, cette fois, un sacré paquet de bouteilles ont été retirées de la vente, car elles contenaient des matières fécales…
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@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Des matières fécales dans le Perrier, l’explication ?
À Nancy, une piscine toute neuve se vide toute seuleOui @duJambon
Mais quel est le rapport avec la piscine de Nancy ??? -
@RussianFighter L’eau dans les bouteilles de Perrier… Désolé si j’ai pris un raccourci trop rapide.
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ils ont vidés l’eau de la piscine dans les cuves de pierrier pour faire des économies?
en faite j’ai pas pigé la relation entre l’article et le titre du topic.
il me semble que perrier comme toute les eau en bouteille sont pompé directement a la source et que l"eau de la piscine n’est pas remis dans les nappes phréatiques . mais il est possible qu’on nous aurez menti -
“Je me suis retrouvée sur mes pieds, à l’étage d’en-dessous” : son plancher s’effondre, elle atterrit dans l’appartement voisin
Le plancher d’un appartement parisien s’est dérobé sous les pieds de la jeune femme qui y vivait. Elle a littéralement traversé le sol pour se retrouver un étage en-dessous. “J’étais en collant, j’allais mettre mes baskets, et à un moment j’ai senti le sol se dérober sous mes pieds,” a-t-elle raconté à BFMTV.
La jeune vingtenaire qui venait d’acquérir le bien de 28 m2 s’est remémoré la chute : “C’était relativement lent. Je me suis retrouvée sur mes pieds, à l’étage d’en-dessous”. Elle n’a été que légèrement blessée après avoir atterri dans un appartement vide et inoccupé. Plus de peur que de mal mais les dégâts sont considérables : “Je me suis très vite rendu compte que je n’allais pas pouvoir respirer longtemps parce qu’il y avait de la poussière partout”.
“Je me sens comme si j’avais dû mourir”
Un temps évacué l’immeuble est de nouveau accessible mais la jeune fille, touchée psychologiquement, a choisi rester chez des amis : “Je me sens comme si j’avais dû mourir mardi matin et que ça n’avait pas été le cas. Je ne comprends pas comment et pourquoi je suis encore là dans cette situation lunaire.”
Duplex à vendre, deux fois 28 m2, des travaux peuvent être nécéssaire
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à duJambon le dernière édition par
@duJambon Aucune solive visible juste des lambourdes. Me paraît vraiment pas aux normes son plancher, manque d’épaisseur sur la vidéo.
Elle a eu beaucoup de chance de n’avoir pas été gravement atteinte et devrait jouer au loto -
Ce jean “pré-rempli de pipi” inonde littéralement Internet et on se dit que la mode peut vraiment nous faire acheter n’importe quoi.
Ce n’est pas un accident, c’est un fashion statement !
Oui, c’est dur, mais avouons-le une bonne fois pour toutes, la mode peut nous faire aimer n’importe quoi. Des sacs en forme de paquets de chips, des rubans pour cheveux en forme de pâtes, des sabots de fermier des montagnes, des lunettes vagues, des chaussures gigantesques… et aujourd’hui, c’est ce jean, qui semble bien mouillé à l’entrejambe et qui coûte quand même 500 livres sterling, qui se retrouve sold-out.
Sommes-nous tous de simples moutons dans la grande bergerie du fashion system ? Dites “beeeeeh” après moi parce que croyez bien que ce pantalon passe sans doute une journée plus excitante (et mouillée) que nous. Et pour cause, toutes les girlies et autres fashion blogs ne parlent que de ça depuis 48 heures. Et même si le “denim tacheté de pipi” – comme l’ont surnommé les internautes – a fait sa première sortie publique pendant le défilé JordanLuca de la Fashion Week automne-hiver 2023 de Milan, ce n’est que maintenant que la grande Toile a décidé de le rendre viral. Pourquoi aujourd’hui et pas avant ? Ne me le demandez pas parce que je ne saurais pas quoi vous répondre. C’est l’un des grands secrets (et côtés cool) d’Internet. Ça devient viral quand il le décide lui et pas quand on le veut nous. Ce point me rappelle le moment gênant où Jennifer Lopez a voulu lancer le challenge “Love Don’t Cost a Thing” et que tout le monde s’est tenu la main pour lui dire un grand “non, merci”.
Tout ça pour dire que nous vivons encore un jour où le statement de Paola Locatelli, “Tu critiques mais tu cliques”, est vrai. Et les créateurs Jordan Bowen et Luca Marchetto peuvent, eux, dire merci aux doux haters du dimanche et autres personnes facilement outrées parce que tous les “c’est trop stupide” et “mais qui va porter ça, sérieux ?” ont réussi à mettre (ou remettre) en lumière leur marque JordanLuca. Un label très cool à suivre de très près et qui veut clairement défier l’aesthetic du mainstream et du politiquement correct. En tout cas, s’ils sortent le jean patte d’eph tacheté de sang à l’entrejambe arrière, je suis presque (et j’insiste sur le presque) prête à débourser les 500 livres sterling rien que pour faire un joli doigt d’honneur (et en denim) à tous ceux qui shament encore les règles. Parce que oui, n’ayons pas peur de le dire, les fuites urinaires ou autres, c’est naturel ! Et fashion maintenant, askip.J’attends avec impatience le jean avec “traces de pneus”
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à BahBwah le dernière édition par
@BahBwah Plus qu’à se trimballer comme Maurice Risch dans Gros dégueulasse 1985, ce sera plus simple
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Un second lanceur d’alerte qui accusait Boeing de négligences est décédé, après une maladie foudroyante
Joshua Dean avait témoigné contre les pratiques dangereuses au sein d’un des fournisseurs du géant de l’aviation Boeing. Il est soudainement tombé gravement malade, et a fini par succomber à de graves complications respiratoires après deux semaines d’agonie. Une mort étrange qui en rappelle une autre.
Joshua Dean avait été un des premiers à accuser son ancien employeur de négligence sur l’assemblage des avions 737 MAX de chez Boeing. Il avait également déposé une plainte auprès de la Federal Aviation Administration (FAA) alléguant “des comportements graves et répréhensibles de la part de la direction qualité senior de la ligne de production du 737 chez Spirit”. Dean avait été licencié en avril de l’année dernière.
Pas le premier à mourir
Étrange série noire: il est le second parmi ceux qui ont rendu publiques les carences en sécurité de l’avionneur à soudainement décéder. En mars dernier, c’était John Barnett qui avait été retrouvé mort, vraisemblablement après s’est tiré une balle dans la tête.
Barnett, ancien responsable de qualité pour l’avionneur, avait, lui aussi, révélé les manquements qui avaient lieu en usine. Il avait déclaré à la BBC que des pièces de qualité inférieure étaient utilisées par le groupe afin de ne pas retarder la production. L’assemblage était, selon lui, effectué à la hâte et dans des conditions dangereuses. Il dénonçait également des anomalies au niveau des masques à oxygène.
Il parait que Poutine aurait fait une offre pour la souche du virus…
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Il truque un test de paternité pour ne pas payer de pension
Ayant mis enceinte une femme lors d’une aventure d’une nuit, il envoie un ami donner son ADN à sa place.
La supercherie n’a toutefois pas fonctionné et la police est allée arrêter William Boswarva, qui a alors reconnu une relation sexuelle avec la mère de l’enfant, mais nier être le père. Il a en revanche refusé un test de paternité.
Onze délits à son actif
L’homme de 29 ans est passé devant un tribunal et a été enfermé en prison pour 12 mois mardi dernier, relate la BBC. Il a été reconnu coupable de complot en vue de commettre une fraude. L’individu, déjà condamné pour 11 autres délits, était en sursis lors de ce dernier procès. N’ayant aucun revenu, il ne pourra pas payer une pension à la mère de l’enfant, mais sera tenu responsable en tant que père biologique jusqu’aux 16 ans de sa progéniture.
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Neuf îles paradisiaques où il ne faut surtout pas aller!
- Ni’ihau, Hawaii (USA)
L’île de Ni’ihau à Hawaï reste un secret pour la majeure partie du monde. L’accès est réservé aux personnes invitées. Les 200 âmes de l’île vivent de la chasse et de la cueillette – un paradis à l’abri des regards. Mais pour les passionnés de chasse, une petite fenêtre s’ouvre depuis les années 1990: des tours de chasse à des prix exorbitants. Pour le reste, les garde-côtes veillent et interdisent l’entrée à toute personne non autorisée.
- Île North Sentinel, Andaman (Inde)
En 2020, une tragédie s’y est produite: un Américain qui voulait s’approcher des Sentinelles isolées dans l’océan Indien a été mortellement touché par des flèches. Le jeune Américain voulait faire du prosélytisme. La récupération de son corps est impossible, l’accès à l’île étant strictement interdit par les autorités indiennes.
- Queimada Grande (Brésil)
Au large de São Paulo se trouve Queimada Grande, un paradis mortel parsemé de la plus forte densité de trigonocéphales insulaires (Bothrops Insularis). Ces serpents de la famille des vipères ont banni toute présence humaine de l’île. Toute personne mordue meurt peu de temps après. Les autorités ont donc strictement interdit l’accès à «l’île la plus mortelle du monde».
- Plum Island, New York (États-Unis)
C’est une île mystérieuse. Sur Plum Island, une île de seulement 7 kilomètres carrés située dans l’État de New York aux États-Unis, les scientifiques faisaient autrefois des recherches sur les maladies dangereuses du règne animal comme la fièvre aphteuse. Aujourd’hui, ce laboratoire de haute sécurité abrite des agents pathogènes vivants qui menacent les hommes et les animaux. Seuls des chercheurs triés sur le volet y ont accès.
- North Brother Island, New York (États-Unis)
Encore une île mystérieuse dans l’État de New York. «L’île des lépreux», autrefois station de quarantaine pour les patients atteints de variole ou de fièvre typhoïde et plus tard centre de désintoxication, est aujourd’hui interdite aux visiteurs. L’île de 5,3 kilomètres de long sur la rivière Hudson reste une zone interdite, malgré sa belle vue sur Manhattan.
- Riems (Allemagne)
Il y a plus d’un siècle, Friedrich Loeffler, un élève du célèbre Robert Koch, a fondé le premier institut de recherche sur les virus au monde sur l’île de Riems, dans le Bodden. L’île, située au large de Greifswald dans le Mecklembourg-Poméranie occidentale, a également servi autrefois aux nazis pour la recherche sur les armes biologiques. Aujourd’hui, les experts de l’Institut Friedrich Löffler continuent de se consacrer à la recherche sur les maladies dangereuses, à l’abri du monde extérieur.
- Îles Farallon (États-Unis)
Au large de San Francisco, les îles Farallon cachent un danger invisible. Irradiées et déclarées zone interdite, elles abritent des déchets radioactifs qui ont été immergés entre 1946 et 1970. Près de 50’000 conteneurs dangereux reposent au fond de la mer. Un sauvetage est trop risqué, préviennent les experts.
- Île de Gruinard (Écosse)
Cette île écossaise, située à seulement dix minutes en bateau du continent, est restée longtemps inaccessible. La raison en était les tests à l’anthrax sur les moutons pendant la Seconde Guerre mondiale.
- Poveglia (Italie)
La dernière «île interdite» de Venise, maudite par les expériences cruelles d’un médecin dans ce qui était autrefois un hôpital psychiatrique, est en friche. Depuis un demi-siècle, les gens évitent cet endroit. Les bâtiments risquent de s’effondrer et plus personne n’a le droit de pénétrer dans Poveglia.
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Qui dit moins ? “140 doses de cocaïne retrouvées” : un trafiquant de drogue présumé âgé de 12 ans arrêté a Marseille
Sept ballots de cocaïne ont été retrouvés à proximité du pré-adolescent, contrôlé en plein centre-ville en compagnie de son complice présumé.
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Libérés de prison, un cannibale et un meurtrier russe sanguinaire font un selfie sur le front ukrainien
Deux des criminels les plus brutaux de Russie ont été envoyés sur le front en Ukraine. Il s’agit d’un meurtrier cannibale et d’un assassin ayant démembré deux jeunes femmes. Sur des images, on peut les voir faire un selfie, tout sourire. Ces deux “compagnons” possèdent un passé marqué par des actes répugnants. Ils ont été libérés de prison afin de participer aux combats en Ukraine. S’ils parviennent à survivre à la guerre, ils seront autorisés à rentrer chez eux en tant qu’hommes libres.
Un selfie troublant de deux criminels russes en Ukraine circule et suscite une vive émotion. Ces hommes, auteurs de crimes horrifiants, posent pour la photo avec une désinvolture qui a de quoi interpeller. À gauche, on trouve Dmitry Malyshev, âgé de 36 ans. En 2015, il a été condamné à 25 ans de prison pour le meurtre d’un migrant tadjik de 46 ans. Dmitry Malyshev avait non seulement assassiné sa victime, mais s’était également filmé en train de cuisiner et de consommer le cœur et d’autres organes de celle-ci. Dans une vidéo glaçante qu’il a lui-même enregistrée, il déclarait: “Nous faisons frire de la chair humaine. Voici le cœur. J’y ai déjà ajouté de l’oignon.”
L’homme à côté de Dmitry Malyshev est Alexander Maslennikov, 38 ans. Condamné en 2017 à 23 ans de réclusion, Alexander Maslennikov a assassiné deux jeunes femmes russes et a morcelé leurs corps dans des circonstances particulièrement macabres. Il avait rencontré ses victimes dans une boîte de nuit avant de les inviter à son appartement sous prétexte de manger une pizza. Selon ses aveux à la police, après avoir eu un rapport sexuel avec Daria Labutina, âgée de 29 ans, il l’a tuée dans sa salle de bains. Il a ensuite étranglé Olga Shaposhnikova, 28 ans, qui avait refusé de partager son lit, et, alors qu’elle était déjà morte, il l’a poignardée à de multiples reprises. Les corps ont été ensuite dépecés à l’aide d’une hache et d’un hachoir à viande. Maslennikov aurait même donné des morceaux des dépouilles à ses chiens.
Plusieurs mois en UkraineLes diplomates ukrainiens Olexander Scherba et Igor Sushko, directeurs du groupe de recherche américain “Wind of Change”, sont à l’origine de la diffusion de la photo des deux criminels. Dmitry Malyshev a lui-même confirmé, lors d’un échange téléphonique avec le média russe V1.ru, que lui et Alexander Maslennikov avaient signé un contrat avec le ministère russe de la Défense en octobre 2023. Cet accord leur a permis de quitter la prison et d’aller en Ukraine, où ils sont désormais installés depuis plusieurs mois.
Les deux criminels font partie de l’unité “Storm V”, une unité militaire composée de violeurs et de meurtriers condamnés. Dmitry Malyshev, actuellement hospitalisé pour une mâchoire cassée et des blessures causées par des éclats d’obus, soutient que lui et Alexander Maslennikov se distinguent des autres criminels ayant choisi de combattre en Ukraine. “J’ai connu des personnes qui venaient du camp pénitentiaire pour changer d’air. En général, ils disparaissent rapidement. Moi, j’ai compris pourquoi je partais et où j’allais”, a déclaré le cannibale, ajoutant se battre pour ses “convictions personnelles” et les “valeurs traditionnelles” de la Russie.
Des crimes payés par le sangLorsque feu le patron de Wagner, Evgeny Prigozhin, a commencé à recruter des détenus russes en 2022 - ce qui était illégal à l’époque - les contrats ne prévoyaient que six mois de service pour être gracié. Depuis, les criminels recrutés signent des contrats d’un an, que le ministère russe de la Défense peut prolonger unilatéralement. D’autre part, les criminels n’ont plus besoin d’une grâce présidentielle après leur retour: pour tous ceux qui ont combattu en Ukraine, toutes les peines en cours sont automatiquement converties en peines suspendues.
“Les personnes condamnées, y compris pour des crimes graves, paient leur crime par le sang sur le champ de bataille”, avait déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à propos de cette pratique.
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Et ce n’est toujours pas un article du Gorafi.