On ne se moque pas de ces choses là.
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Est-ce que le shopping vous donne envie de faire caca ?
Le Dr Joseph Salhab, gastro-entérologue certifié à Davenport, en Floride, a récemment posté une vidéo demandant à ses 2 millions d’abonnés s’ils ont déjà ressenti une envie pressante en faisant du shopping.(Vidéo: TikTok/fch)Hum… pas sûr que TikTok soit un échantillon représentatif, même avec deux millions d’échantillons, pour cette question.
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Un jeune Zurichois a écopé d’une amende de 1130 francs pour avoir lancé des œufs sur un train en avril dernier.
Plutôt que de lancer ses oeufs sur un train, il aurait mieux fait d’en faire une omelette. Fin avril, un Zurichois âgé de 18 ans a lancé ses projectiles à coquille sur le parebrise d’un train CFF stationné à la gare de Wohlen (AG). Il en a également explosés plusieurs à l’intérieur dudit train. Une «boutade» qui lui a coûté cher. Au total, le jeune homme devra casquer 1130 francs (€). Il a notamment écopé d’une amende de 500fr (€) pour viol du droit de l’environnement. En outre, le montant du nettoyage s’est élevé à 250 francs (€). Les motivations du Zurichois restent inconnues.
Les amendes pour “violation du droit de l’environnement” peuvent coûter beaucoup plus que dans le cas présent. Elles peuvent monter jusqu’à 50’000 francs (€) si, intentionnellement ou non, vous avez «laissé traîner, jeté ou stocké des déchets à des endroits non autorisés à cet effet».
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@duJambon
J’aime bien le mot “échantillon”… -
Indiana Jones et le temple maudit en vrai:
Ces pierres sont en réalité des oeufs de titanosaureDes pierres vénérées par des villageois à Madhya Pradesh, dans le centre de l’Inde, sont en réalité des œufs de titanosaure fossilisés, l’une des plus grandes créatures ayant foulé la Terre. Les villageois croyaient que ces pierres protégeaient leurs cultures et bétails.
Source et vidéo: https://www.7sur7.be/video/production/ces-pierres-sont-en-realite-des-oeufs-de-titanosaure-418201
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Une fois de plus, l’être humain montre toutes ses compétences intellectuelles
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La “maladie du cerf zombie" repérée dans le parc de Yellowstone, les scientifiques craignent qu’elle ne se transmette à l’homme
Ces dernières années, une maladie infectieuse mortelle touchant les cerfs et les élans se propage aux États-Unis et au Canada. Pour la première fois, un cas a été détecté dans le parc national américain de Yellowstone. Les scientifiques mettent en garde contre les “cerfs zombies” qui peuvent être reconnus à leur attitude apathique, leur démarche titubante et leur “regard vide”. À l’approche de la saison de la chasse, le Centre américain de contrôle des maladies met en garde contre la consommation de viande d’animaux qui semblent infectés. Leur crainte: que la maladie ne se propage à l’homme
“Une catastrophe qui progresse lentement”
Michael Osterholm, épidémiologiste et directeur du Centre des maladies infectieuses de l’université du Minnesota, qualifie également la CWD de “catastrophe qui progresse lentement”.
“Nous avons affaire à une maladie invariablement mortelle, incurable et hautement contagieuse”, ajoute son collègue, le docteur Cory Anderson. “Ce qui est inquiétant, c’est que nous n’avons pas de moyen efficace et facile de l’éradiquer, ni des animaux qu’elle infecte, ni de l’environnement qu’elle contamine”.
Quand la fiction rejoint la réalité…
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Cette maladie n’a pas usurpée son nom.
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Ça fait flipper
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En fait, Trump à raison… Faut construire des murs partout aux Etats Unis… Pour empêcher les américains de sortir!
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@Pluton9 En fait, pas une mauvaise idee, en tout cas ca empecherait 99% des conflits depuis les 100 dernieres années ou les americains ont foutu le bronx dans le monde entier…
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@Neutron trop tard, ils ont envahi la terre en y foutant une base dans chaque coin de la planète façon shérif du monde
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@Psyckofox le pays europeen quand meme le plus occupé reste l’italie avec sa quantité de bases OTAN qui risquent de mettre le waï a chaque instant… Finalement avec ses travers De Gaulle nous a evité ce sort…
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Chili: Un tunnel de lavage s’est clairement inspiré de la célèbre saga avec le nom Star Wash et des héros des films.
Un assistant déguisé et Chewbacca, sans doute spécialiste du shampoing.Ce n’est plus la guerre des étoiles, mais la guerre des nettoyeurs. Lucasfilm, société de production de Walt Disney, poursuit un lave-auto dans la banlieue de Santiago au Chili. Elle lui reproche d’avoir plagié sa saga «Star Wars».
Il faut dire que Star Wash n’y est pas allé de main morte. On voit sur ses réseaux sociaux des vidéos montrant des assistants habillés en Chewbacca ou en Stormtrooper essuyant des véhicules, ou le chasseur de primes Boba Fett et le héros Cassian Andor brandissant des tuyaux d’arrosage au lieu de blasters et Dark Vador semblant utiliser la Force pour invoquer des chiffons de nettoyage, relève l’agence de presse Reuters.
Les avocats du laveur d’autos ont déclaré que le propriétaire Matias Jara était en train d’enregistrer sa marque Star Wash auprès de l’autorité chilienne des brevets lorsqu’il a reçu la plainte de Lucasfilm.
Ce que l’on ignore, c’est si Star Wash est capable de rendre l’étoile noire plus brillante.
Source: https://www.lematin.ch/story/chili-les-createurs-de-star-wars-poursuivent-un-laveur-dautos-103008207
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”Menu anxiety”, cette peur irrationnelle qui touche particulièrement les jeunes au restaurant.
Choisir son plat au restaurant est un moment angoissant pour beaucoup de membres de la Génération Z, révèle une étude britannique.
Être attablé au restaurant et se retrouver indécis devant le menu, angoisser à l’idée de ne pas savoir quel plat prendre et finir par se décider au hasard pour éviter de faire un choix : cela vous connaît ? Vous souffrez peut-être du nouveau mal qui touche surtout les jeunes : la “menu anxiety” ou “angoisse du menu”. Cette peur d’avoir à choisir un plat au restaurant a été analysée au Royaume-Uni, sur un échantillon de 2000 jeunes de la Génération Z (né(e)s entre la fin des années 90 et le début des années 2010) qui semble la plus encline à subir cette angoisse. Une peur qui a d’ailleurs augmenté avec la crise du coronavirus et la coupure dans les relations sociales et activités en groupe qui en a découlé.
Il ressort donc de cette étude que 86 % des répondants de cette tranche d’âge deviennent anxieux à l’idée de se retrouver avec la carte d’un restaurant entre les mains, ce qui représente 19 % de plus que pour les autres catégories d’âge. Environ la moitié d’entre eux va voir le menu à l’avance, et quatre jeunes sur 10 affirment qu’ils seraient prêts à ne pas se rendre au restaurant s’ils n’ont pas l’occasion de regarder le menu à l’avance. 34 % de la Gen Z demandent également à une autre personne autour de la table de commander à leur place.
Car l’une des causes de “l’anxiété du menu” réside dans le nom des plats inscrits sur la carte. En effet, le fait de ne pas pouvoir prononcer ce qui se trouve sur le menu représente une source d’inquiétude pour les jeunes interrogés. Les autres éléments qui reviennent le plus souvent parmi les sondés et qui augmentent l’angoisse sont le prix du repas, le fait de ne rien trouver d’appétissant sur la carte et la crainte de regretter ce qu’on a commandé.
Enfin, l’étude met en lumière qu’un tiers des répondants de moins de 34 ans admet jeter son dévolu sur un plat esthétique, qui rendra bien en photo et sur les réseaux sociaux.
“J’imagine le cirque au resto le 31 décembre…”
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Cette anxiété n’existerait pas si on ne croulait pas sous des tonnes de bouffe. Il parait même qu’au niveau mondial on jette la moitié de la nourriture produite. Etonnament ce gaspillage ne semble pas être une source d’anxiété et encore moins une prise de conscience sur la chance que l’on a d’avoir toujours le ventre plein.
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Un employé de Tesla attaqué par un robot aux Etats-Unis
L’incident a eu lieu en 2021 dans une usine de production dite « gigafactory » du constructeur américain de voitures électriques, au Texas.
D’après le récit de The Information, l’un des robots de l’usine, alors qu’il effectuait les actions pour lesquelles il avait été programmé, a coincé un ouvrier contre un mur. Il a ensuite enfoncé ses griffes métalliques dans son dos et dans son bras, faisant couler son sang, selon des témoins de la scène.
L’ouvrier, blessé, a alors tenté de se libérer, sans succès, jusqu’à ce qu’un de ses collègues appuie sur le bouton d’arrêt d’urgence du robot, poursuivent les témoins de la scène.
Le robot, chargé de saisir et déplacer des pièces de voiture, aurait dû être éteint pendant les travaux de maintenance qu’effectuaient les employés. Mais, suite à une erreur, il est resté en état de marche.
De plus en plus d’accidents
Cet incident n’est pas isolé, et de nombreux autres cas d’employés blessés dans des usines de production de type gigafactory ont été rapportés, bien qu’ils ne soient pas le fait de robots.
Notamment, le journal britannique The Times a révélé l’histoire d’un employé de 21 ans blessé sur son lieu de travail, en se basant sur des rapports d’accidents déposés auprès de l’administration fédérale américaine de la sécurité et de la santé au travail (OHSA). Un autre employé, après avoir eu la cheville coincée dans un chariot, a été en incapacité de travailler pendant 127 jours. Un autre encore, blessé à la tête, n’a pas pu travailler pendant 85 jours.
En réalité, le nombre d’accidents dans ces usines augmente chaque année. Selon The Information, en 2022, un travailleur sur 21 aurait été blessé dans l’usine texane où a eu lieu l’incident. D’après les employés et les anciens employés de ces usines, Tesla ne tient pas compte de cette évolution.
Source: https://www.zdnet.fr/actualites/un-employe-de-tesla-attaque-par-un-robot-aux-etats-unis-39963238.htm
Heureusement pour l’accidenté, ce n’était pas un robot enfileur de boulons
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@duJambon un ancien de wareziens avait cet avatar.
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Attention, ceci est peut-être pour vous: Le 29 décembre est le jour où l’on meurt le plus en Suisse
Selon des études, une hausse des infarctus du myocarde est constatée la dernière semaine de décembre, provoquée notamment par l’ingestion d’aliments lourds et d’alcool, ainsi que le froid. -
Le 737 MAX de Boeing perd ses boulons
Le constructeur aéronautique américain Boeing a demandé aux compagnies aériennes propriétaires de 737 MAX, son avion-vedette, de faire des vérifications à cause d’un risque de “boulon desserré” sur le système de contrôle du gouvernail, a annoncé ce jeudi 28 décembre l’Agence américaine de l’aviation civile (FAA). La FAA a dit dans un communiqué “surveiller de près les inspections ciblées d’avions Boeing 737 MAX pour vérifier la possibilité d’un boulon desserré dans le système de contrôle du gouvernail”.
Vers 18h40 GMT, l’action Boeing cédait 1,17% à la Bourse de New York. Le 737 MAX a été cloué au sol pendant de longs mois dans le monde entier après deux catastrophes aériennes impliquant cet appareil en octobre 2018 et mars 2019, qui ont fait 346 morts. Plus récemment, l’avionneur a dû ralentir ses livraisons à cause de problèmes sur le fuselage, en particulier sur la cloison étanche arrière de l’appareil. Boeing a livré au total plus de 1.370 exemplaires du 737 MAX et son carnet de commandes en contient actuellement plus de 4 000.
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@duJambon Se faire clouer au sol pour un problème de boulon qui rentre dans les vices cachés… c’est un programme de quincaillerie ça!