Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
-
De faux bidonvilles pour touristes de luxe
Une polémique en Afrique du Sud suite à la construction de faux bidonvilles pour touristes de luxe
La nouvelle formule de séjour proposée par l’Hôtel Emoya de Bloemfontein, au centre de l’Afrique du Sud, fait polémique depuis quelques semaines. Ce complexe hôtelier, située dans une réserve naturelle de 270 hectares, ne propose plus seulement à ses riches clients d’aller à la rencontre des lions et des chimpanzés ou de se détendre dans un environnement naturel totalement préservé tout en profitant d’un spa ou d’un bain de boue.
Non, c’est une expérience qui vous est dorénavant proposée : celle de vivre la vie misérable d’un habitant de bidonville comme il en existe des millions en Afrique du Sud. Dans un espace dédié du domaine, un « faux » bidonville a donc été construit, composé d’une douzaine de cabanes en bois et en tole ondulée comprenant quelques lits rudimentaires. Pour s’immerger pleinement dans ce mode de vie très « exotique », les 52 clients disposent pour 60 euros la nuit d’une lampe à pétrole, de tambours en métal où ils peuvent faire chauffer l’eau et cuire leur alimentation et de toilettes extérieures. Mais aussi de l’eau courante, de chauffage au sol et d’une connexion wifi.
[…]
Source et suite : philomag.com
L’hôtelier soutient recréer les joies de la vie de taudis sans les nuisances du crime, de la maladie et de l’insalubrité.
Le tourisme propose aujourd’hui de se mettre dans la peau de l’humanité déchue. C’est ce qu’on appelle le tourisme d’immersion. En Russie, vous pourrez faire également l’expérience d’un déporté au Goulag.
Transformer des drames réels en divertissement, joue sur le désir de vivre plusieurs vies en une. Nous avons besoin d’avatars pour démultiplier nos vies.
Dans la peau d’un déporté du goulag
Travail forcé, interrogatoires musclés, privation de libertés. Les apparences peuvent être trompeuses, mais vous êtes bien dans un parc d’attraction. Deportation Day («journée de déportation»), ouvert en janvier 2010, se veut entre le musée et le parc de loisir, plongeant les touristes dans l’univers d’un déporté du goulag.
S’il existe plusieurs parcs dédiés à la déportation à l’époque communiste, un article publié sur le site de France24 s’intéresse particulièrement au Deportation Day de Vilnius en Lituanie, financé par la Commission européenne:
Deportation Day (“journée de déportation”) est conçu comme une leçon d’histoire en situation, un parcours réalisé grâce aux témoignages de victimes des goulags staliniens. Rencontre avec des agents du KGB ou avec un médecin qui vous hurle des ordres en russe, interrogatoires musclés: la mise en scène plonge le touriste quatre heures durant dans un de ces camps par lequel des millions de citoyens soviétiques sont passés.
[…]
Source et suite : slate.fr
-
Un mari veut quitter sa femme qui allaite leur enfant car il trouve cela « incestueux »
Un père a décidé de divorcer de sa femme parce qu’elle allaitait leur enfant. Estimant qu’il s’agissait d’un acte « incestueux », il lui a expliqué pourquoi cela le dérangeait.
Une triste histoire. Un mari a pris la décision de divorcer de sa femme pour une raison pour le moins étonnante. Il estimait en effet que l’allaitement était un acte incestueux. Il ne supportait pas qu’elle allaite leur enfant depuis sa naissance. Il lui a alors annoncé sa volonté de se séparer d’elle par message. Des messages dont le contenu a été publié sur le réseau social X, anciennement Twitter, relate le New York Post. Dans leurs échanges, l’homme en question demande à sa femme si elle allaite et réagit mal : « Tu allaites ? Tu sais ce que j’en pense, putain ». Sa femme tente d’apaiser la situation en proposant une alternative : « Si tu n’aimes pas voir ça, je peux peut-être le faire dans une autre pièce ? »
Finalement, l’homme a développé en détail sa réflexion sur l’allaitement, pensant qu’il s’agissait d’un acte déplacé envers leur fils : « Tu fais des bêtises et tu fais quelque chose qui me fait stresser. Je pense que tu es une mauvaise épouse. Je pense que tu ne me respectes pas. Je pense que tu m’as enlevé toute la joie. Je pense à beaucoup de choses. J’aime tes seins. Maintenant qu’ils sont dans la bouche d’un autre homme, je n’aime plus tes seins. C’est un homme. Et ton fils. C’est incestueux à mes yeux. » L’homme a, par ailleurs, assuré que le lait maternel n’était pas de la meilleure qualité pour nourrir leur bébé : « C’est un fait scientifique prouvé que le lait maternel n’est pas meilleur que le lait artificiel moderne. Je ne pourrai plus jamais te regarder de la même façon. » Des affirmations scientifiques que l’on appréciera à leur juste valeur…
Un point de vue qui fait réagir
Des échanges qui ont beaucoup fait réagir les internautes. De nombreuses personnes ont été écœurées par le comportement de ce père et ses accusations : « C’est dégoûtant. Certaines personnes devraient suivre une thérapie sérieuse », « D’une manière horrible, il lui a rendu un vrai service, car il lui a montré son vrai visage de la manière la plus dégoûtante, et elle ne peut plus l’ignorer maintenant », « Mon Dieu, qu’est-ce que je viens de lire ? Un père est jaloux de son nouveau-né parce qu’il est allaité et blâme la mère. Où va le monde ? », peut-on lire sur X.
Source : parents.fr
-
Encore un platiste ?
-
@BahBwah Ou un Trumpiste
-
Platiste vs allaitement, je trouve l’association pour le moins savoureuse.
-
Le resto Copains comme cochons prié de ne plus servir de porc
Des protecteurs des animaux demandent à l’établissement de retirer ce mets de sa carte vu son nom.
Le porc qu’on demande au médecin joué par Christian Clavier dans «Les bronzés font du ski» de soigner s’appelle Copain. «Ben oui, copain comme cochon», explique l’agriculteur. L’expression a également inspiré un restaurant à Villeneuve-d’Ascq, près de Lille, nommé Copains comme cochons depuis 40 ans.
Mais aujourd’hui, l’association de défense des animaux PETA trouve qu’il y a un problème: «Le nom de votre restaurant est on ne peut plus juste: les cochons sont des animaux sensibles et joueurs, qui développent des amitiés entre eux et avec des humains. Il est inquiétant que des animaux que nous considérons comme pouvant être ‹copains› sont réduits à des bouchées de chair sur vos tables», a écrit l’association au restaurant dans un message qu’a pu consulter actu.fr. Qui le prie donc de ne plus servir de porc pour être en adéquation avec son nom.
Mais l’établissement avait choisi son nom, non pas en raison de mignons porcelets que l’on aurait vus gambader entre les tables, mais plutôt parce que l’on y déguste de la cochonnaille. Et la démarche de PETA a agacé le gérant. «C’est aberrant. Qui sont ces gens pour se permettre de penser à notre place? On trace bien (l’origine de la viande, ndlr) et on travaille proprement. Puis vous recevez ça», a-t-il expliqué à «La Voix du Nord». Il est en train de se dire qu’on lui joue un tour de cochon.
-
@duJambon PETA ils contrôleraient pas plutôt les dysfonctionnements dans certains abattoirs, et les divers maltraitances animales plutôt que faire le buzz à pas cher.
-
@duJambon Trump a dit: “Poutine est en train de détruire la Russie” le Blick nous fait du titre putassier!
Là le grotesque c’est le Blick, qui traduit un peu comme ça l’arrange, pour sortir son titre putaklic.
-
L’idiocrate empaleur dans toute sa splendeur…
-
-
Mouais, c’est en lisant l’article que tu pige que c’est pas Trump lui-même qui veut “détruire” la Russie…
Mais ouais, le titre donne bien cette impression -
@michmich Si le blick commence à déconner à ce point, y’a plus rien à espérer des suisses-allemands non plus.
Déjà que ma comprenette est bien compromise par les rhums arrangés et autres punchs des iles…
-
Transformer “Poutine est en train de détruire la Russie” en “La Russie risque d’être détruite” si ce n’est pas de la désinformation manipulatrice…

-
Sans compter que cette phrase de Trump “Poutine est en train de détruire la Russie” a été reprise par toutes les chaînes infos.
-
@duJambon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
et autres punchs des iles…
T’es encore en vacances toi?